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effacé, employé, utilisé le nom dans le NT. Aucune différence, les juifs on continué à insérer le tétragramme dans leurs écrits biblique jusqu'a aujourd'hui.
Vous confondez affirmation gratuite et argumentation. Votre phrase est une profession de foi qui ne constitue pas une analyse convaincante.
Les actions de ne pas effacer et celle d'utiliser sont différentes.
Pourriez-vous m'indiquer les écrits ou les juifs ont "ECRIT" le tétragramme ?
Nous constatons que lorsque les "Hébraïsants" ont produit LEUR version de la Septante grecque, ils ont INTRODUIT le tétragramme en caractères paléo-hébreux , soit en caractères archaïques. Cette pratique montre que même dans le texte hébreu, on ne veut parfois pas actualiser le Tétragramme. Comment penser alors, si à l’écrit on tient à signifier à ce point la sacralité du Nom au point de ne pas vouloir le rendre comme le reste du texte, qu’il était par contre lu à l’oral comme n’importe quel autre mot.
Les lecteurs de la LXX, même dans ses recensions palestiniennes, ne prononçaient manifestement pas le Nom de Dieu. Ils en connaissaient la “graphie sacrée”, le “dessin” du Nom en quelque sorte, il savaient que ce “dessin” représentait le Nom sacré de Dieu, mais ils ne pouvaient pas le lire.
Gnosis,
Vous OCCULTEZ le fait que depuis les 3/2 eme siècle avant notre éré les juifs de palestine NE PRONONCAIENT PLUS le tétragramme.
Dans son ouvrage Mishné Torah, Maïmonide explique que seuls les prêtres du Temple de Jérusalem étaient habilités à prononcer le Tétragramme, lors de la bénédiction sacerdotale quotidienne des fidèles. Après la mort du grand-prêtre Shimon HaTzadik au IIIe siècle av. J.-C., les prêtres ont cessé de réciter cette bénédiction qui accompagnait le Nom.
Le Talmud énonce l'interdiction de le prononcer7, en vertu du Troisième Commandement: « Tu ne prononceras pas le nom de YHWH en vain… » Dans leurs prières ou pendant la lecture de la Torah, les Juifs le remplacent par « Adonaï », dont la traduction courante est « mon Seigneur », et « Adonaï » est remplacé par « HaShem », « Le Nom », dans la vie de tous les jours.
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Le tétragramme n'est pas "effacé", il est à l'arrière-plan.
On ne retrouve pas la même usage du tétragramme dans l'AT et le NT.
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Pourquoi existe t-il une disproportion entre Père ou Dieu et Jéhovah?
Cet argument statistique soutient l'idée que les manuscrits originaux ne devaient pas contenir le tétragramme.
Un autre argument qui va dn ce sens, c'est l'introduction "impropre" du tétragramme dans le NT de la TMN, qui brise et détruit la cohérence interne du texte comme en Rm 13,10 et Romains 14.6-9.
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Au I et II siecles et tous les siecles suivant, En Palestine, les textes indique que le Nom est vénéré, loué , sanctifié, commémoré, tout indique qu'il est considéré comme sacré
C'est justement parce qu'il était considéré comme SACRE que le tétragramme n'était plus utilisait en palestine depuis le 2eme siècle avant notre ère.
Le Talmud énonce l'interdiction de le prononcer7, en vertu du Troisième Commandement: « Tu ne prononceras pas le nom de YHWH en vain… » Dans leurs prières ou pendant la lecture de la Torah, les Juifs le remplacent par « Adonaï », dont la traduction courante est « mon Seigneur », et « Adonaï » est remplacé par « HaShem », « Le Nom », dans la vie de tous les jours.
Le grand-rabbin Lazare Wogue, traducteur de la Torah, précise : « Quant au saint Tétragramme, on sait que le judaïsme, de temps immémorial et dans toutes ses sectes sans exception, s’est abstenu de le prononcer selon sa forme véritable : les rabbanites ou pharisiens disaient Adônaï, les Samaritains Schimâ.
L’interdiction de prononcer le nom propre de Dieu ne concerne pas seulement les Juifs, mais aussi les premiers chrétiens, qui peut-être n’ont jamais connu sa prononciation.