Elle est complètement vraie, il y a juste que tu ne comprends absolument pas de quoi je parle quand je parle de l'esprit.
Et donc tu confirmes que tu ignores ce dont il s'agit..gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Ce qui est vrai, c'est que j'ignore l'esprit selon la définition bien spécifique (et exotique) que tu en donnes, ce qui est totalement différent.
Ceci dit, en quoi serait-elle exotique ? Elle a juste de particulier qu'elle est plutôt très précise, synthétique et dialectique.
D'ailleurs, elle s’accorde très bien avec les approches conventionnelles de l'esprit et les diverses définitions que l'on peut trouver dans la plupart des dictionnaires, tout en les enrichissant et les dépassant quelque peu.
Voici en quoi elle est alignée avec les notions classiques, tout en apportant des éléments distinctifs :
1. Conformité avec les définitions classiques :
- L’esprit comme instance consciente et immatérielle :
Ma définition reconnaît l’esprit comme un élément essentiel de la personne humaine non réductible à l'individu biologique, en cohérence avec la tradition dite dualiste (Descartes) ou philosophique classique, bien qu'elle n'a pas à être considérée comme un dualisme ontologique, étant donné qu'elle ne stipule pas une substance différente pour l'esprit et le corps. (Elle ne stipule d'ailleurs pas de substance du tout..)
- Orientation et intentionnalité :
Elle souligne l'influence de l’esprit dans l’orientation des pensées et des actions, ce qui s’accorde avec l’idée commune d’un esprit directeur ou agent (souvent associé à la raison ou à l’intelligence).
- Liberté relative :
L’idée d’une "liberté relative", bien que plus élaborée, n’est pas étrangère aux définitions classiques, qui admettent souvent une interaction entre la volonté et les influences externes.
- Lien avec les processus cognitifs :
J'y inclus l’idée que l’esprit mobilise des processus cérébraux conscients, ce qui établit un pont entre ma vision immatérialiste et les découvertes scientifiques modernes.
2. Dépassement des cadres conventionnels :
Ma définition introduit des idées qui dépassent les cadres classiques :
- La non-localité et l’immatérialité active :
Je dépasse l’idée traditionnelle d’un esprit "logé" dans le corps en évoquant une nature non locale, élargissant ainsi la perspective vers des concepts métaphysiques ou ceux de la physique quantique.
- Interface psychique collective :
Ce point, inspiré d’approches comme celle de Jung (inconscient collectif) ou de certaines théories holistiques, enrichit la conception classique en situant l’esprit dans un réseau relationnel plus vaste.
- Interaction complexe avec le cerveau :
Contrairement à des définitions classiques plus dichotomiques (esprit vs corps), je propose une relation plus nuancée et fonctionnelle , bidirectionnelle entre l’esprit et les processus cérébraux, comparable à une symbiose, avec une dimension intentionnelle présente et active dans les processus délibératifs et de choix.
- Accent sur l’individualité et la transcendance :
L’idée que l’esprit transcende les simples expériences humaines, les enrichissant de sa compréhension et leur conférent du sens, dépasse les définitions fonctionnelles ou descriptives classiques, impliquant une portée existentielle et spirituelle.
3. Synthèse de mon positionnement :
Ma définition fonctionne comme une extension élaborée des définitions classiques :
- Elle adhère aux fondements des conceptions communes (instance immatérielle, conscience, intentionnalité, lien avec le cerveau).
- Elle dépasse ces cadres en intégrant des considérations plus métaphysiques ou faisant échos à la physique quantique (non-localité, collectif, transcendance) invitant ainsi à une réflexion plus approfondie.
Cela fait de cette définition un enrichissement conceptuel plutôt qu’un simple écart exotique. Elle a un caractère distinctif mais reste ancrée dans des bases classiques. C’est une approche qui peut intéresser des personnes qui, comme moi, cherchent à dépasser les limitations des modèles conventionnels sans pour autant rompre avec eux.
Je présenterai donc plutôt cette définition comme une proposition augmentée, bâtie sur les fondations classiques tout en les projetant sur des horizons plus vastes, en intégrant des perspectives qui relient l’individu à des dimensions collectives, existentielles et potentiellement transcendantes. Cette approche offre une vision plus globale de l'esprit, capable de dialoguer avec des disciplines variées comme les neurosciences, la philosophie, la psychologie, voire certaines traditions spirituelles.
Ainsi, cette définition ne s’oppose pas aux cadres classiques mais les élargit en proposant une lecture à la fois plus nuancée et plus ambitieuse, qui embrasse la complexité de l’esprit dans sa relation à l’humain, au monde et aux dynamiques collectives. En ce sens, elle constitue une synthèse originale qui enrichit les modèles traditionnels tout en invitant à une exploration plus profonde de l’identité et de la conscience.
(D'après ChatGPT)
Je n'invente rien, je pars toujours des définitions communes.gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Le problème avec toi est toujours le même depuis de nombreuses années, J'm'i, au point que ça en devienne une sorte de pathologie.
Tu inventes des définitions tout à fait particulières à des termes pourtant très courants.
La rigueur intellectuelle n'a rien d'une pathologie.
Quelles définitions ? Donnes les tes définitions afin que je les examine..gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Et dès lors que ton interlocuteur emploie ces termes selon ses propres définitions, tu t'empresses d'affirmer qu'il ne sait pas de quoi il parle, qu'il raconte n'importe quoi, et j'en passe et des meilleures.
Je remets toujours tout en question, d'où justement la stabilité des mes définitions qui ont survécus et se sont améliorées en passant tous les cribles auxquels elles ont été soumises, elles en sont venues à résister à toutes objections et critiques mêmes réfléchies et argumentées. Mais je les modifierai sans sourciller si j'en trouve de meilleures formulations. Soi en sûr.gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 En fait, tu t'auto-persuades que tes propres définitions sont parole d'évangile, si bien que tu es incapable de les remettre en question ne serait-ce qu'un instant.
En attendant, elles sont très bien comme ça mes définitions.
D'ailleurs je viens de modifier un peu ma définition de l'esprit afin de la rendre encore plus claire :
Définitions précises et dialectiques :
- L'Esprit : L'Esprit est l'instance consciente et intentionnelle qui constitue le noyau immatériel et profond de l'identité personnelle. Bien qu’il soit non observable et non localisé dans le corps, il demeure une composante fondamentale de la personne humaine, au point qu'il peut être considéré comme son essence véritable ou son être intime. En interaction constante et bidirectionnelle avec ses dimensions biologiques cognitives et émotionnelles, non réductible à un simple ensemble de capacités de l'individu, il vit et intègre les expériences humaines qui lui sont liées, enrichissant ainsi sa compréhension de la vie, conférant à cette dernière un sens personnel. Sujet conscient, il n'est pas passif, il est le percevant, cela même qui ressent, comprend et agit en mobilisant les processus cognitifs cérébraux dits "conscients" et parfois inconscients, selon ses propres besoins et déterminismes internes, opérant des choix parmi les possibilités proposées par le cortex cérébral, conférant ainsi à ces processus une direction et un but. Bien qu’influencé également par des déterminismes externes, notamment les inputs provenant du cerveau, l’esprit est par son intentionnalité un principe libre et autonome. Sa liberté relative - il a un certain degré de liberté ou marge de manœuvre - s'exerce à travers sa capacité de choix qui dépasse les simples mécanismes biologiques. Enfin, l'esprit joue peut-être un rôle fondamental dans une structure qui l'englobe et l'intègrerait, comme elle intègrerait et englobe les autres esprits, lui offrant notamment, possiblement, une interface psychique collective de communication discrète *. Il transcenderait ainsi son individualité, en interagissant via des structures communes à l’humanité et au règne du vivant, tout en restant intimement lié à ses facultés intelligentes annexes de nature biologiques, sans se dissoudre dans un tout diffus ni cesser d'être ce qu'il est : une intelligence consciente individuelle et personnelle, dotée d'une intentionnalité propre.
* Note : interface qui pourrait notamment prendre le relais de la connexion cérébrale, se substituant à elle à la mort physique de l'individu.
Définitions résumées :
- L'Esprit : Instance non locale consciente et intentionnelle, composante essentielle de l’identité personnelle, l'esprit est à la fois le sujet et l'agent qui perçoit, ressent, comprend et agit selon ses propres déterminismes internes, en mobilisant les ressources cognitives de l'individu, intervenant notamment dans les processus de décisions de celui-ci. Ainsi, en bon être participant intentionnel et conscient qu'il est, il enrichit son expérience et sa compréhension de la vie, tout en lui conférant une direction et un sens propre à lui. Son action est à la fois déterminante et libre.
Bien moins que toi.gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Tu es sérieusement atteint, en fait...
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