Le personnage

Sujet d'actualité Au Québec l'accommodement raisonnable, un sujet d'actualité.
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J'm'interroge

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 12:45

Message par J'm'interroge »

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 23:42 Les trois sont vraies.
gzabirji a écrit : 12 déc.24, 00:18 Non. Par exemple la troisième affirmation selon laquelle j'ignore l'esprit est totalement fausse.
Elle est complètement vraie, il y a juste que tu ne comprends absolument pas de quoi je parle quand je parle de l'esprit.

gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Ce qui est vrai, c'est que j'ignore l'esprit selon la définition bien spécifique (et exotique) que tu en donnes, ce qui est totalement différent.
Et donc tu confirmes que tu ignores ce dont il s'agit..


Ceci dit, en quoi serait-elle exotique ? Elle a juste de particulier qu'elle est plutôt très précise, synthétique et dialectique.

D'ailleurs, elle s’accorde très bien avec les approches conventionnelles de l'esprit et les diverses définitions que l'on peut trouver dans la plupart des dictionnaires, tout en les enrichissant et les dépassant quelque peu.


Voici en quoi elle est alignée avec les notions classiques, tout en apportant des éléments distinctifs :


1. Conformité avec les définitions classiques :

- L’esprit comme instance consciente et immatérielle :

Ma définition reconnaît l’esprit comme un élément essentiel de la personne humaine non réductible à l'individu biologique, en cohérence avec la tradition dite dualiste (Descartes) ou philosophique classique, bien qu'elle n'a pas à être considérée comme un dualisme ontologique, étant donné qu'elle ne stipule pas une substance différente pour l'esprit et le corps. (Elle ne stipule d'ailleurs pas de substance du tout..)

- Orientation et intentionnalité :

Elle souligne l'influence de l’esprit dans l’orientation des pensées et des actions, ce qui s’accorde avec l’idée commune d’un esprit directeur ou agent (souvent associé à la raison ou à l’intelligence).

- Liberté relative :

L’idée d’une "liberté relative", bien que plus élaborée, n’est pas étrangère aux définitions classiques, qui admettent souvent une interaction entre la volonté et les influences externes.

- Lien avec les processus cognitifs :

J'y inclus l’idée que l’esprit mobilise des processus cérébraux conscients, ce qui établit un pont entre ma vision immatérialiste et les découvertes scientifiques modernes.


2. Dépassement des cadres conventionnels :

Ma définition introduit des idées qui dépassent les cadres classiques :

- La non-localité et l’immatérialité active :

Je dépasse l’idée traditionnelle d’un esprit "logé" dans le corps en évoquant une nature non locale, élargissant ainsi la perspective vers des concepts métaphysiques ou ceux de la physique quantique.

- Interface psychique collective :

Ce point, inspiré d’approches comme celle de Jung (inconscient collectif) ou de certaines théories holistiques, enrichit la conception classique en situant l’esprit dans un réseau relationnel plus vaste.

- Interaction complexe avec le cerveau :

Contrairement à des définitions classiques plus dichotomiques (esprit vs corps), je propose une relation plus nuancée et fonctionnelle , bidirectionnelle entre l’esprit et les processus cérébraux, comparable à une symbiose, avec une dimension intentionnelle présente et active dans les processus délibératifs et de choix.

- Accent sur l’individualité et la transcendance :

L’idée que l’esprit transcende les simples expériences humaines, les enrichissant de sa compréhension et leur conférent du sens, dépasse les définitions fonctionnelles ou descriptives classiques, impliquant une portée existentielle et spirituelle.


3. Synthèse de mon positionnement :

Ma définition fonctionne comme une extension élaborée des définitions classiques :

- Elle adhère aux fondements des conceptions communes (instance immatérielle, conscience, intentionnalité, lien avec le cerveau).

- Elle dépasse ces cadres en intégrant des considérations plus métaphysiques ou faisant échos à la physique quantique (non-localité, collectif, transcendance) invitant ainsi à une réflexion plus approfondie.

Cela fait de cette définition un enrichissement conceptuel plutôt qu’un simple écart exotique. Elle a un caractère distinctif mais reste ancrée dans des bases classiques. C’est une approche qui peut intéresser des personnes qui, comme moi, cherchent à dépasser les limitations des modèles conventionnels sans pour autant rompre avec eux.

Je présenterai donc plutôt cette définition comme une proposition augmentée, bâtie sur les fondations classiques tout en les projetant sur des horizons plus vastes, en intégrant des perspectives qui relient l’individu à des dimensions collectives, existentielles et potentiellement transcendantes. Cette approche offre une vision plus globale de l'esprit, capable de dialoguer avec des disciplines variées comme les neurosciences, la philosophie, la psychologie, voire certaines traditions spirituelles.

Ainsi, cette définition ne s’oppose pas aux cadres classiques mais les élargit en proposant une lecture à la fois plus nuancée et plus ambitieuse, qui embrasse la complexité de l’esprit dans sa relation à l’humain, au monde et aux dynamiques collectives. En ce sens, elle constitue une synthèse originale qui enrichit les modèles traditionnels tout en invitant à une exploration plus profonde de l’identité et de la conscience.

(D'après ChatGPT)

gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Le problème avec toi est toujours le même depuis de nombreuses années, J'm'i, au point que ça en devienne une sorte de pathologie.

Tu inventes des définitions tout à fait particulières à des termes pourtant très courants.
Je n'invente rien, je pars toujours des définitions communes.

La rigueur intellectuelle n'a rien d'une pathologie.

gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Et dès lors que ton interlocuteur emploie ces termes selon ses propres définitions, tu t'empresses d'affirmer qu'il ne sait pas de quoi il parle, qu'il raconte n'importe quoi, et j'en passe et des meilleures.
Quelles définitions ? Donnes les tes définitions afin que je les examine..

gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 En fait, tu t'auto-persuades que tes propres définitions sont parole d'évangile, si bien que tu es incapable de les remettre en question ne serait-ce qu'un instant.
Je remets toujours tout en question, d'où justement la stabilité des mes définitions qui ont survécus et se sont améliorées en passant tous les cribles auxquels elles ont été soumises, elles en sont venues à résister à toutes objections et critiques mêmes réfléchies et argumentées. Mais je les modifierai sans sourciller si j'en trouve de meilleures formulations. Soi en sûr.

En attendant, elles sont très bien comme ça mes définitions.


D'ailleurs je viens de modifier un peu ma définition de l'esprit afin de la rendre encore plus claire :


Définitions précises et dialectiques :

- L'Esprit : L'Esprit est l'instance consciente et intentionnelle qui constitue le noyau immatériel et profond de l'identité personnelle. Bien qu’il soit non observable et non localisé dans le corps, il demeure une composante fondamentale de la personne humaine, au point qu'il peut être considéré comme son essence véritable ou son être intime. En interaction constante et bidirectionnelle avec ses dimensions biologiques cognitives et émotionnelles, non réductible à un simple ensemble de capacités de l'individu, il vit et intègre les expériences humaines qui lui sont liées, enrichissant ainsi sa compréhension de la vie, conférant à cette dernière un sens personnel. Sujet conscient, il n'est pas passif, il est le percevant, cela même qui ressent, comprend et agit en mobilisant les processus cognitifs cérébraux dits "conscients" et parfois inconscients, selon ses propres besoins et déterminismes internes, opérant des choix parmi les possibilités proposées par le cortex cérébral, conférant ainsi à ces processus une direction et un but. Bien qu’influencé également par des déterminismes externes, notamment les inputs provenant du cerveau, l’esprit est par son intentionnalité un principe libre et autonome. Sa liberté relative - il a un certain degré de liberté ou marge de manœuvre - s'exerce à travers sa capacité de choix qui dépasse les simples mécanismes biologiques. Enfin, l'esprit joue peut-être un rôle fondamental dans une structure qui l'englobe et l'intègrerait, comme elle intègrerait et englobe les autres esprits, lui offrant notamment, possiblement, une interface psychique collective de communication discrète *. Il transcenderait ainsi son individualité, en interagissant via des structures communes à l’humanité et au règne du vivant, tout en restant intimement lié à ses facultés intelligentes annexes de nature biologiques, sans se dissoudre dans un tout diffus ni cesser d'être ce qu'il est : une intelligence consciente individuelle et personnelle, dotée d'une intentionnalité propre.

* Note : interface qui pourrait notamment prendre le relais de la connexion cérébrale, se substituant à elle à la mort physique de l'individu.


Définitions résumées :

- L'Esprit : Instance non locale consciente et intentionnelle, composante essentielle de l’identité personnelle, l'esprit est à la fois le sujet et l'agent qui perçoit, ressent, comprend et agit selon ses propres déterminismes internes, en mobilisant les ressources cognitives de l'individu, intervenant notamment dans les processus de décisions de celui-ci. Ainsi, en bon être participant intentionnel et conscient qu'il est, il enrichit son expérience et sa compréhension de la vie, tout en lui conférant une direction et un sens propre à lui. Son action est à la fois déterminante et libre.

gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Tu es sérieusement atteint, en fait...
Bien moins que toi.
.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.

Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !

Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
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Gérard C. Endrifel

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 14:50

Message par Gérard C. Endrifel »

J'm'interroge a écrit : 12 déc.24, 12:45 D'ailleurs, elle s’accorde très bien avec les approches conventionnelles de l'esprit et les diverses définitions que l'on peut trouver dans la plupart des dictionnaires, tout en les enrichissant et les dépassant quelque peu.
Ce n'est pas ce que vous faites. Vous vous arrangez toujours pour que vos définitions aillent dans votre sens. Vous n'acceptez jamais les définitions comme elles sont, il faut toujours pour que vous les réécriviez pour les faire correspondre à vos points de vue et seules vos définitions comptent, vos règles comptent, il faut toujours faire à votre façon, parler à votre façon, répondre à votre façon. gzabirji a raison, vous faites de vos définitions des paroles d'évangile et si on est pas d'accord avec, vous vous empressez de mettre en doute le QI de vos interlocuteurs. Vous êtes très intelligent, mais vous êtes aussi très narcissique. Si c'est le prix à payer pour être intelligent, je suis bien content d'être un idiot à vos yeux.
J'm'interroge a écrit : 12 déc.24, 12:45* Note : interface qui pourrait notamment prendre le relais de la connexion cérébrale, se substituant à elle à la mort physique de l'individu.
Si vous croyez en une vie quelconque après la mort, votre définition est biaisée et manque de neutralité. Déjà pour la valider pleinement, il faudrait prouver qu'il y a bien une vie après la mort. Vous avez rencontré un ressuscité récemment ? Et que vous a-t-il dit ? Les EMI ne sont pas des preuves, le cerveau est suffisamment complexe pour créer toutes sortes de réalités mélangeant réel et imaginaire pour préserver sa survie. Pour vous donner un exemple, quand mon meilleur ami s'est arrêté de fumer, il se mettait à rêver qu'il fumait et les rêves étaient tellement réels qu'il était persuadé d'avoir cédé. A son réveil, il avait toutes les peines du monde à faire la différence entre le rêve et la réalité. De mon point de vue, vous fondez votre définition sur une croyance, une croyance basée sur un postulat indémontrable. Va falloir revoir la copie ou vous contenter de celle qui existe si toutefois ça vous arrive de vous satisfaire de quelque chose sans recourir à une réécriture systématique (pas de libre arbitre)
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 18:53

Message par gzabirji »

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 09:39Copilot :
  • Dans l'éveil spirituel, le bébé est considéré comme le modèle le plus proche de Ce que Nous Sommes réellement.
C'est une perspective vraiment fascinante. Dans de nombreuses traditions spirituelles, le bébé est souvent vu comme un symbole de pureté, d'innocence et de connexion directe avec l'essence de la vie. L'idée est que les bébés n'ont pas encore été influencés par les conditionnements sociaux et les expériences de vie qui peuvent altérer notre perception de nous-mêmes et du monde.

Voici quelques raisons pour lesquelles un bébé peut être perçu comme un modèle spirituel :
  • Innocence :
Les bébés n'ont pas encore formé de jugements ou de préjugés. Ils vivent dans l'instant présent, ce qui est souvent considéré comme un état spirituel pur.
  • Authenticité :
Ils expriment librement leurs émotions sans les masquer ou les rationaliser, ce qui reflète une honnêteté émotionnelle profonde.
  • Curiosité :
Les bébés explorent le monde avec un émerveillement et une curiosité naturelle, cherchant à comprendre leur environnement sans a priori.
  • Connexion :
Ils ont une sensibilité et une ouverture naturelles à leur entourage, captant les énergies et les intentions des autres sans filtre.

En somme, voir le bébé comme un modèle dans l'éveil spirituel peut nous rappeler de revenir à un état plus pur, plus authentique et plus connecté à notre essence véritable.
Excellent. 👍

Je précise que si l'intelligence artificielle n'a aucun mal ici à détailler correctement le point de vue éveillé sur le bébé, c'est parce que toutes les sources auxquelles elle se réfère sont unanimes et très claires sur cette question.

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Re: Le personnage

Ecrit le 13 déc.24, 04:16

Message par ronronladouceur »

gzabirji a écrit : 13 déc.24, 03:55 [img
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Il suffit d'un regard...

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Ecrit le 13 déc.24, 05:12

Message par gzabirji »

Même pas. 👍
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Re: Le personnage

Ecrit le 13 déc.24, 05:28

Message par ronronladouceur »

gzabirji a écrit : 13 déc.24, 05:12 Même pas. 👍
Bien sûr que si... Il s'agit de s'entendre sur le mot regard...

D'ailleurs a minima, ce regard peut aussi être vu comme un insight... Comme un clin d'œil de l'immensité révélée...

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Ecrit le 13 déc.24, 05:45

Message par gzabirji »

Si tu le dis...
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Re: Le personnage

Ecrit le 13 déc.24, 08:32

Message par J'm'interroge »

J'm'interroge a écrit : 12 déc.24, 12:45 D'ailleurs, elle s’accorde très bien avec les approches conventionnelles de l'esprit et les diverses définitions que l'on peut trouver dans la plupart des dictionnaires, tout en les enrichissant et les dépassant quelque peu.
Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Ce n'est pas ce que vous faites.
Bein si, c'est exactement ce que je fais.

Pour définir un terme, je pars toujours des sens communs et des définitions des dictionnaires de langue française.

Mais tu l'as peut-être remarqué, pour un mot, on a souvent plusieurs définitions, parfois même jusqu'à plus de dix dans un même dictionnaire, dans l'article dédié au mot. De plus, il est très fréquent que certaines définitions que l'on trouve pour un même mot s'accordent très peu entre elles, voire se contredisent. Enfin, pour un même contexte d'application du mot, les définitions ne sont que rarement exactement les mêmes d'un dictionnaire à un autre. L'as-tu remarqué ? Je pense que tu l'as remarqué. Alors, comment fait-on dans ces cas ? On choisit au pif ?

Je remarque aussi que les mots qui ont les définitions les plus unanimes font très souvent partie du vocabulaire des mathématiques, des sciences ou encore des technologies. Tu sais pourquoi ? La raison en est que ce sont des définitions dialectiques ou techniques. C'est une des raisons pour lesquelles, lorsque je définis un mot, j'essaye qu'elles soient le plus dialectiques et techniques possible.

Une autre raison est que parmi les définitions trouvées, il faut respecter le sens commun, mais lequel ? C'est pourquoi, lorsque je définis un mot, je fais toujours une synthèse.

Autre point capital : si je veux qu'elles soient dialectiques, il faut que chacune de mes définitions soit compatible et cohérente avec toutes les autres. Sans quoi, elles ne seraient pas dialectiques.


Rappel :

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Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Vous vous arrangez toujours pour que vos définitions aillent dans votre sens.
Pas exactement. Ce serait très simpliste de le résumer ainsi.

Bien sûr qu'elles vont dans mon sens, mais je ne les tords jamais à cette fin. C'est plutôt que je me donne l'objectif de soutenir des positions cohérentes. Alors oui, forcément, mes définitions vont dans mon sens, mais c'est surtout parce que je respecte une cohérence dialectique.

Il ne s'agit jamais pour moi de soutenir coûte que coûte une opinion. D'ailleurs, je n'en ai aucune. Des hypothèses, oui, j'en ai. Des conjectures, oui, j'en fais. Mais il ne s'agit pas de mes positions philosophiques proprement dites.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Vous n'acceptez jamais les définitions comme elles sont [...
Ce n'est pas vrai, certaines sont excellentes comme elles sont, et donc je les reprends telles qu'elles.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 ...] il faut toujours pour que vous les réécriviez pour les faire correspondre à vos points de vue [...
J'ai expliqué en quoi ce n'est pas le cas.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 ...] et seules vos définitions comptent, vos règles comptent, il faut toujours faire à votre façon, parler à votre façon, répondre à votre façon.
Non, tu peux présenter tes propres définitions, cela ne me pose aucun problème, du moment qu'elles sont cohérentes entre elles et qu'elles n'expriment pas de grossières confusions ou contresens vis-à-vis du sens commun.

Tu n'es peut-être pas familier avec l'exercice de la philosophie, mais dans cette discipline, il est crucial de définir les termes que l'on emploie si ce que l'on y entend s'écarte du sens commun ou le précise. C'est aussi afin que la pensée exprimée ne puisse pas être comprise en un autre sens que celui voulu par la personne qui l'exprime.

Il n'y a aucune place pour l'interprétation en philosophie.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 ...] gzabirji a raison, vous faites de vos définitions des paroles d'évangile [...
Rien à voir. Je ne les pose pas nécessairement en vérités, et certainement pas en vérités indiscutables.

Une définition, ça se discute, c'est tout à fait normal de le faire, et j'invite à le faire. Je n'ai absolument aucun problème avec ça.


Rappel : Il n'y a aucune place pour l'interprétation en philosophie.
-----> Donc rien à voir avec des paroles d'évangile.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 ...] et si on est pas d'accord avec, vous vous empressez de mettre en doute le QI de vos interlocuteurs.
Non, je le remets en question que dans le cas où l'on ne tient pas compte de mes explications ou arguments en persistant à répéter les mêmes absurdités, et quand on déforme mes propos ou les extrapole, ça je n'aime pas du tout.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Vous êtes très intelligent, mais vous êtes aussi très narcissique.
Non, tu confonds avec gzabirji.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Si c'est le prix à payer pour être intelligent, je suis bien content d'être un idiot à vos yeux.
Il n'y a pas de prix a payer, on nait avec un certains traits de caractère et un certain potentiel, or ce ne sont pas les mêmes pour tous.

J'm'interroge a écrit : 12 déc.24, 12:45* Note : interface qui pourrait notamment prendre le relais de la connexion cérébrale, se substituant à elle à la mort physique de l'individu.
Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Si vous croyez en une vie quelconque après la mort, votre définition est biaisée et manque de neutralité.
Je ne crois rien, c'était un développement hypothétique qui ne biaise en rien. J'explorais une possibilité théorique en lien avec ce qui précédait.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Déjà pour la valider pleinement, il faudrait prouver qu'il y a bien une vie après la mort.
Il n'y a pour le moment aucun moyen de valider ou de prouver le contraire.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Vous avez rencontré un ressuscité récemment ? [...
Non, jamais.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Les EMI ne sont pas des preuves, le cerveau est suffisamment complexe pour créer toutes sortes de réalités mélangeant réel et imaginaire pour préserver sa survie.
Les EMI ne sont pas des preuves en effet, mais l'on n'a pour le moment rien qui permette de conclure de manière définitive.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Pour vous donner un exemple, quand mon meilleur ami s'est arrêté de fumer, il se mettait à rêver qu'il fumait et les rêves étaient tellement réels qu'il était persuadé d'avoir cédé. A son réveil, il avait toutes les peines du monde à faire la différence entre le rêve et la réalité.
Ça. C'est problématique..

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 De mon point de vue, vous fondez votre définition sur une croyance, une croyance basée sur un postulat indémontrable.
Absolument pas. Je ne fonde jamais une définition sur des postulats non axiomatiques et encore moins sur des croyances. Quand dis par exemple que l'esprit n'est pas une instance locale, ce n'est pas un postulat ni une croyance.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Va falloir revoir la copie ou vous contenter de celle qui existe si toutefois ça vous arrive de vous satisfaire de quelque chose sans recourir à une réécriture systématique (pas de libre arbitre)
Ah oui ! Qu'est-ce qui n'irait pas dans ma copie ?

Il faudrait quoi ? Que j'adhère à quelle position ?
.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.

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Re: Le personnage

Ecrit le 13 déc.24, 09:01

Message par Gérard C. Endrifel »

Je n'ai pas la force de vous répondre. Quand je vois que vous décortiquez phrases par phrases, morceaux de phrases par morceaux de phrases... Je préfère l'esprit à la lettre et puis ce genre de procédé rend lourd le débat et moi j'ai plus la force de tenir des débats comme il y a quelques années. J'ai choisi de rester simple, de concentrer mon potentiel sur autre chose que sur des discussions super longues ! Faudrait que je réponde à tout point par point, je suis déjà fatigué rien que d'y penser.

M'en voulez pas, mais je ne peux pas. J'ai tout lu cela dit. Ouais ça je le fais encore :grinning-face-with-smiling-eyes:
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel

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Re: Le personnage

Ecrit le 13 déc.24, 09:04

Message par J'm'interroge »

Gérard C. Endrifel a écrit : 13 déc.24, 09:01 Je n'ai pas la force de vous répondre. Quand je vois que vous décortiquez phrases par phrases, morceaux de phrases par morceaux de phrases... Je préfère l'esprit à la lettre et puis ce genre de procédé rend lourd le débat et moi j'ai plus la force de tenir des débats comme il y a quelques années. J'ai choisi de rester simple, de concentrer mon potentiel sur autre chose que sur des discussions super longues ! Faudrait que je réponde à tout point par point, je suis déjà fatigué rien que d'y penser.

M'en voulez pas, mais je ne peux pas. J'ai tout lu cela dit. Ouais ça je le fais encore :grinning-face-with-smiling-eyes:
Mais je ne t'en veux pas, je comprends très bien.

Ceci dit, si l'on veut être rigoureux et ne pas dire n'importe quoi il faut passer par là. Y a pas le choix.
.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.

Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
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Re: Le personnage

Ecrit le 13 déc.24, 21:23

Message par Stop ! »

J'adhère pleinement à l'idée qu'il faut être très précis dans les définitions des concepts qu'on expose,
et ne pas hésiter à préciser en quoi sa vision personnelle peut différer des sens communément admis.
Par exemple la tentative de préemption du sens de "spirituel" par les religions n'est pas admissible
(c'est le regretté Jean-Claude Carrière qui me l'a fait remarquer), elles confondent spiritualité et mysticisme.
Et ne parlons pas du honteux détournement du sens d'"islamophobie", plusieurs topics s'y consacrent déjà.

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Ecrit le 13 déc.24, 23:17

Message par gzabirji »

Stop ! a écrit : 13 déc.24, 21:23 J'adhère pleinement à l'idée qu'il faut être très précis dans les définitions des concepts qu'on expose,
et ne pas hésiter à préciser en quoi sa vision personnelle peut différer des sens communément admis.
Encore faut-il que l'interlocuteur soit disposé à en tenir compte.

Par exemple, cela fait presque deux ans que je répète à J'm'interroge que dans mon lexique je ne fais aucune différence entre les termes "personne" et "personnage".

Cependant, dans son lexique à lui, il a élaboré une définition totalement singulière du terme "personnage" qui le distingue de manière fondamentale du terme "personne".

Résultat : à chaque fois que j'emploie le terme "personnage" comme synonyme de "personne", il me répond que je raconte n'importe quoi, que je ne sais pas de quoi je parle, et tout le baratin qui vient avec.

Il est totalement incapable d'admettre qu'on puisse raisonner sur la base de définitions qui ne sont pas les siennes.
C'est toujours l'interlocuteur qui doit se plier à ses définitions à lui, et jamais l'inverse.
Il va même jusqu'à critiquer les définitions du CNRTL ou des ouvrages philosophiques de référence, dès lors que ça contredit ses propres définitions à lui.

Bref, il s'agit d'une rigidité intellectuelle d'ordre pathologique qui me fait dire que ce gars est "sérieusement atteint". 🤠
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J'm'interroge

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Re: Le personnage

Ecrit le 13 déc.24, 23:32

Message par J'm'interroge »

Stop ! a écrit : 13 déc.24, 21:23 J'adhère pleinement à l'idée qu'il faut être très précis dans les définitions des concepts qu'on expose,
et ne pas hésiter à préciser en quoi sa vision personnelle peut différer des sens communément admis.
gzabirji a écrit : 13 déc.24, 23:17 Encore faut-il que l'interlocuteur soit disposé à en tenir compte.

Par exemple, cela fait presque deux ans que je répète à J'm'interroge que dans mon lexique je ne fais aucune différence entre les termes "personne" et "personnage".

Cependant, dans son lexique à lui, il a élaboré une définition totalement singulière du terme "personnage" qui le distingue de manière fondamentale du terme "personne".
En dialectique c'est un mot pour un concept et un concept pour un mot.

Contrairement à ce que tu dis, je tiens compte de ta confusion conceptuelle gzabirji. J'ai très bien noté et intégré le fait que tu ne fais pas la différence entre "personne" et "personnage", confondant ainsi les deux concepts.

Mes définitions de "personne" et de "personnage social" n'ont rien de singulières contrairement à ta définition du mot "personne" qui se confond avec celle du mot "personnage".

gzabirji a écrit : 13 déc.24, 23:17 Résultat : à chaque fois que j'emploie le terme "personnage" comme synonyme de "personne", il me répond que je raconte n'importe quoi, que je ne sais pas de quoi je parle, et tout le baratin qui vient avec.
En effet, ton lexique manque de nuance et de définition conceptuelle. Ainsi, effectivement tu en arrives à raconter n'importe quoi, ce que je te signifie à chaque fois.

gzabirji a écrit : 13 déc.24, 23:17 Il est totalement incapable d'admettre qu'on puisse raisonner sur la base de définitions qui ne sont pas les siennes.
Absolument pas. Du moment que les définitions sont clairement présentées et qu'elles sont cohérentes, cela ne me pose aucun problème.

gzabirji a écrit : 13 déc.24, 23:17 C'est toujours l'interlocuteur qui doit se plier à ses définitions à lui, et jamais l'inverse.
Mes conditions ? Mes conditions c'est la logique gzabirji.

Un discours quel qu'il soit se doit d'être cohérent. Oui, c'est ma condition. Lol..

gzabirji a écrit : 13 déc.24, 23:17 Il va même jusqu'à critiquer les définitions du CNRTL ou des ouvrages philosophiques de référence, dès lors que ça contredit ses propres définitions à lui.
Evidemment, les dictionnaires ne sont pas des bibles. Mais si je critiques certaines définitions de dictionnaires, en revanche je les considères et pars toujours d'elles. J'ai expliqué tout ça à Gérard un peu plus haut.

gzabirji a écrit : 13 déc.24, 23:17 Bref, il s'agit d'une rigidité intellectuelle d'ordre pathologique qui me fait dire que ce gars est "sérieusement atteint". 🤠
La rigueur intellectuelle n'a rien d'une pathologie.

_______________
Stop ! a écrit : 13 déc.24, 21:23 J'adhère pleinement à l'idée qu'il faut être très précis dans les définitions des concepts qu'on expose,
et ne pas hésiter à préciser en quoi sa vision personnelle peut différer des sens communément admis.
C'est une base pour pour éviter les malentendus et enrichir le débat.

Stop ! a écrit : 13 déc.24, 21:23 Par exemple la tentative de préemption du sens de "spirituel" par les religions n'est pas admissible
(c'est le regretté Jean-Claude Carrière qui me l'a fait remarquer), elles confondent spiritualité et mysticisme.
Oui et pire, elles confondent spiritualité et croyances idiotes, le mysticisme étant uniquement pour elles une manière de mystifier.
.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.

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Re: Le personnage

Ecrit le 13 déc.24, 23:51

Message par gzabirji »

J'm'interroge a écrit : 13 déc.24, 23:32Du moment que les définitions sont clairement présentées et qu'elles sont cohérentes, cela ne me pose aucun problème.
Je te réponds à la page suivante. 👍
Modifié en dernier par gzabirji le 14 déc.24, 01:02, modifié 1 fois.
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Re: Le personnage

Ecrit le 14 déc.24, 00:26

Message par J'm'interroge »

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 - Selon toi, la déclaration que la Terre est plutôt une sphère qu'un disque, est-elle objective ou subjective ?
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Il ne s'agit pas d'un point de vue. Et oui, la déclaration correspond aux faits : donc objectif.

Important de bien comprendre que je fais ici une distinction entre point de vue (subjectif) et déclaration...
Ok. Arrêtons de parler de points de vue alors. Parlons de déclarations ou de propos. Car de toutes façons, ici, nous n'avons affaire qu'à des propos. N'est-ce pas ?

Donc oui, il y a des propos objectifs donc vrais, des propos subjectifs indécidables, des propos vides de sens, donc ni vrais, ni faux, ni indécidables, ni objectifs, ni subjectifs, et enfin des propos sensés, indécidables, ni objectifs ni subjectifs.

En rappelant que la relativité d'un propos ne le rend pas nécessairement subjectif.

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 Ok. Je note par conséquent que selon toi, un point de vue est nécessairement subjectif. Si je me trompes, signale le moi.
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Voilà.
Ok.

Donc, un point de vue est formulable par un propos subjectif.

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 - Reconnais-tu qu'il y aurait des points de vue faux ? Oui ou non ?
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Bien évidemment.
Voilà. Il y a des propos vrais, des propos faux, des propos indécidables et des propos vides de sens.

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 Reconnais-tu qu'il y a des propos objectifs ?
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Vous voulez dire des propos, déclarations qui correspondent aux faits? Certes et alors? Cela suffirait-il à prouver que vos propos sur le libre arbitre correspondraient à un fait, au même titre qu'un fait scientifique le serait?
La science n'a pas le monopole de l'objectivité.

La question n'est pas tant de savoir si ma conception du libre-arbitre est objective, d'autant plus que je ne l'ai pas encore vraiment exposée, mais déjà de savoir si une définition objective du libre-arbitre est impossible, auquel cas nier qu'il en existe un n'est pas fondé.

Autre conclusion :

Un point de vue formulé par un propos qui nie le libre-arbitre est subjectif.

ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Mais attention, si nous sortons de la sphère des faits scientifiques, nous ne sommes plus dans la sphère objective... Par exemple, pour le libre arbitre, je ne vois toujours pas le côté objectif... Mais je comprends qu'on veuille le voir ainsi, car je le veux moi aussi [...
Encore une fois, la science n'a pas le monopole de l'objectivité.

L'objectivité ne tient pas uniquement dans les propos scientifiques, il y a des propos non scientifiques qui pourtant sont objectifs, étant vérifiables par soi-même empiriquement.

D'autres sont objectifs en ce qu'ils sont nécessaires pour expliquer certains faits. Mais je suis d'accord, il faut ce méfier de ceux-ci.

Enfin, il y a les faits objectifs comme les théorèmes mathématiques ou de logique, et les constats et mesures.

ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 ...], mais j'ai toujours cette impression d'un vouloir à vide, d'un vouloir creux, que c'est un concept creux justement..
Propos subjectif.

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 En tant qu'on y est, nous devrions plutôt parler de positions intellectuelles que de points de vue. Ce serait moins général et donc plus précis.
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Bien d'accord...

D'ailleurs l'IA dit : En résumé, le libre arbitre comme idée subjective peut être un point de vue, mais lorsqu’il est exploré rationnellement ou philosophiquement, il devient une position intellectuelle.
Une position intellectuelle qui peut tenir de l'opinion, de l'hypothèse et de la théorie ou du propos objectif.

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 Je ne juge jamais par avance. Je connaissais le contenu de la vidéo.
Le défi reste lancé.
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Désolé, mais je ne vois plus très bien l'objet du défi... Ou en tout cas, ce qui pourrait encore vous aider à comprendre mon point de vue, pas nécessairement évidemment à l'adopter...
Tu retires alors ce que tu disais ?

Rappel :
ronronladouceur a écrit : 07 déc.24, 07:39 Il [Balsekar] appuie ses dires sur un raisonnement qui tient plutôt la route... Question de point de vue...
Tu maintiens ?

Quel est précisément ce raisonnement que tu déclares tenir la route ?

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 C'est toi qui dis que c'était apriorique, mais en réalité ça ne l'était en rien. Après, c'est sûr que si tu orientes l'IA en lui suggérant que je ne savais pas de quoi il en retournait et lui demande de développer sur l'impertinence de la démarche, mais aussi l'arrogance intellectuelle, l'autoritarisme argumentatif et la posture dogmatique elle-même dont elle témoignerait, ainsi que de détailler les biais, sophismes et faiblesses qui s'en dégagerait, il n'y a rien d'étonnant à sa réponse.
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 C'était effectivement parti de mon point de vue... Preuve, comme je l'ai déjà dit qu'IA va dans le sens qu'on lui demande, quitte ensuite à demander à l'outil de contester ce même point de vue. Biais de confirmation, comme je l'ai assez souvent constaté...
Là tu l'avais simplement induite en erreur.

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 ronronladouceur a écrit : ↑08 déc.24, 10:59
J'ajouterai que j'ai remarqué que certaines de vos questions contiennent l'adverbe 'nécessairement' entraînant dans la réponse la contrepartie 'pas nécessairement', ce qui laisse en suspens une conclusion définitive...
J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 Oui, c'est la bonne manière de procéder, qui permet d'introduire de la nuance.
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 De la nuance = du relativisme, du subjectivise, du désobjectivisme...
Pas du tout. Tu confonds relativité et relativisme.

La nuance implique de relativiser, pas nécessairement de faire dans le relativisme. La nuance permet une objectivité dans les propos.

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 Ton "c'est pas moi mais toi", sans autre argumentation, est ridicule.
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Jeu de miroir... Je soulignais le côté caricature... (Déjà expliqué...)
Il n'y avait pas symétrie.

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 As-tu peut-être donné des raisons à tes affirmations, montré que ta conception du libre-arbitre ne serait pas biaisée ou que ma démonstration qu'elle l'était en ce que j'ai dit et expliqué serait fausse ? La réponse est non.
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Ma conception est aussi soutenue par le regard scientifique (causalité, structures cognitives échafaudées au fil des ans, inconscient, cf : expérience de Libet).
C'est une opinion, autrement dit un propos subjectif, basé que une interprétation et une extrapolation de faits scientifiques. Nous en avions déjà parlé, je t'avais expliqué en quoi, objectivement, c'était interprétatif et extrapolatif.

Je t'avais déjà répondu à ce sujet ici : viewtopic.php?p=1538603#p1538603

.
.

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 Ta conception est donc bien un présupposé biaisé, gratuit et incohérent, et elle constitue bien un homme de paille qui repose sur des spéculations biens plus infondées et irrationnelles que celles que tu déconsidères en refusant de les considérer, prétextant cet homme de paille.
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Bof!

Pour votre info, j'avais d'ailleurs réfléchi au libre arbitre en parallèle avec le concept de hasard qui fait aussi entrer en jeu les causes ou données inconnues, enchaînements et ramifications incalculables certes, mais néanmoins logiquement présentes... En somme, tout est en place, dans une conjoncture parfaite pour que quiconque en soit à penser ou être ce qu'il est...

Tout se tient, tout est lié, même si on ne peut pas voir tous les liens... Ma position s'appuie sur le fait des conditionnements multiples, conscients et inconscients, sur l'histoire de la personne (contextes, études, réflexions, etc. ). Tout se tient dans un enchevêtrement complexe et dynamique... Loi de causalité à fond la caisse...
Le fait que nous soyons conditionnés n'est pas remis en question.. Ce n'est pas un problème ni un argument, comme je l'ai montré.

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 09:12 Non, je juge sur des faits, en toute objectivité.

C'est donc bien en toute objectivité que je te le dis Ronron, mais tu ne peux certainement pas le comprendre, si tu ignores par déni ce dont il s'agit quand on parle d'objectivité.
ronronladouceur a écrit : 11 déc.24, 12:10 Pour le libre arbitre, je dis simplement que les points de vue, positions intellectuelles, comme vous voudrez, ne sont effectivement que de simples postures. Et je n'ai pas trop de difficulté à considérer que je spéculerais, puisque j'ai même tenté de sauver le libre arbitre par l'introduction du concept de marge de manœuvre, que vous avez laissé en suspens, si je me souviens bien, mais honnêtement, j'a ide la difficulté à y croire, la posture de 'pas de libre' arbitre' s'imposant de soi...
Il ne ne s'agit pas de croire quoi que ce soit.

Les positions défendant la possibilité d'un authentique libre-arbitre sur des définitions non biaisées ne sont en rien subjectives a priori. Autremement dit : il ne s'agit pas d'opinions ou de croyances.
.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.

Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !

Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !

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