Je ne cherche pas les faux-fuyants. Ce débat sur les meilleures façons d'être homophobes me dégoute, c'est tout. A mes yeux, c'est un peu comme avoir un débat sur la meilleur façon d'assassiner les enfants.le_abdel_du_compatissant a écrit :vous voulez montrer que l'homosexualité n'est pas une maladie bien qu'elle
en présente les symptômes, c'est bien ça?
Allez-y ,Ne vous génez , faites le directement,
et ne cherchez pas les faux-fuyant
et les fausses excuses!
Enfin puisqu'il faut montrer que l'homosexualité n'est pas une maladie mentale, je vais reprendre votre définition :
" Une maladie mentale est une affection qui perturbe la pensée, les sentiments ou le comportement d'une personne de façon suffisamment forte pour rendre son intégration sociale problématique ou pour lui causer souffrance."
Lorsque les homosexuel(le)s sont bien acceptés, leur intégration sociale est-elle problématique ? NON
Lorsque les homosexuel(le)s sont bien acceptés, leur homosexualité leur ceuse-t-elle de la souffrance ? NON
" Elle fait partie du champ d'étude et pratique de la psychiatrie, de la psychopathologie et de certaines branches de la psychologie.
Les symptômes sont variés et diffus :
* Conduite associale et perturbation des relations.
* Troubles de l'humeur.
* Altération de la personnalité.
* Troubles cognitifs et perceptuels, hallucinations.
* Altération de la perception du réel.
* ...
Les limites de la maladie mentale sont parfois subjectives et conditionnées par la tolérance qu'a une société par rapport à des déviances sous forme de conduites ou d'être-là. Ainsi et par exemple, dans le monde occidental, l'homosexualité a longtemps fait partie des maladies mentales. Autre limite subjective, on constate également que bien des hommes considérés comme des génies présentent tous les symptômes de la maladie mentale et feraient, peut-être, de nos jours, un séjour dans un hôpital psychiatrique. Cette imprécision est mise à profit par les régimes totalitaires pour justifier l'internement des opposants politiques. On parle de personnalité limite ou borderline pour désigner des personnes réussissant à présenter une apparence de « normalité », malgré certains traits relevant de la psychose. "
Je ne vois pas là non plus quoi que ce soit qui corresponde à l'homosexualité.
C'est le rejet de l'homosexualité qui crée la maladie mentale.