Posté : 26 avr.04, 08:10
Ah mais tu as des arguments imparables Issa! Je te tire mon turban!
Alors si des centaines d'oulémas disent le contraire de ce que tu chantes, ils se trompent tous, mais pas toi, c'est ça qu'on doit comprendre? Mais tu ne t'atouffes pas à nier à hue et à dia ce que tu es incapable de démonter par des éléments d'argumentation?
Et alors, tu crois que tu m'apprends quelque choses sur les dizaines de tendances dans l'islam, tu as lu ou pas que j'en cite différentes? Pourquoi est-ce que ta seule tendance serait la plus vraissemblable? J'ai bien vu par exemple comment tu détestes les Chiites, qui doivent te le rendre au centuple les connaissant.
Puisque tu es si malin et si informé de toute chose, dis moi toi quelle est la vraie tendance vachement vraie?
extrait :
LES SAVANTS OU ULEMAS EN ISLAM
"Si les savants ont hérité les sciences des Prophètes (as), cela veut également dire qu'ils ont hérité d'une position élevée et d'un rang qui leur sied dans la Chariâ. L'obéissance aux savants est obligatoire est fait partie de l'obéissance à Allah. Il faut les aimer, les respecter, aller vers eux et apprendre d'eux. En effet, ceci est la voie de nos pieux prédécesseurs, les savants étaient pour eux mis en avant, ils occupaient les premières places dans les assemblées, ils étaient le recours de la communauté dans toutes les situations, et le refuge face aux questions préoccupantes. Les gens (dans leur ensemble) reconnaissaient leur rang et leur place."
autre extrait Les savants, Ulémas,
et leurs valeurs respectives en Islam
(source : http://islam-belgique.com)
Parler de ce sujet est une priorité capitale, surtout lorsque nous nous apercevons qu’en cette fin de siècle une grande quantité de savants nous ont quittés.
Les ulémas sont les lumières de Dieu sur terre, les jalons qui rappelle la rigueur, le respect de la norme et la vérité dans notre cheminement vers Dieu.
Les ulémas sont les amis intimes de Dieu, rapprochés de Sa science et de Son être, ils sont les héritiers des prophètes. Effectivement, notre seigneur exalté soit-Il, les prend sous sa protection et dit : " Celui qui combat un de Mes amis intimes, Je lui déclare la guerre ". Ils ont acquis cette prééminence de par leur vie, par et pour la science, qui permet d’acquérir une sagesse et de donner un sens à l’existence. En effet, le Coran confirme : " Certes, ne craint Dieu parmi Ses serviteurs, {réellement}, que les savants ".
L’Islam a depuis sa première prophétie, à Adam, valorisé le savoir et, il use alors de l’instruction comme paramètre d’élection d’Adam face aux anges. Le Coran confirme : " Et, Il {Dieu}enseigna à Adam le nom de toute chose et ensuite Il les proposa aux anges ". Ainsi cette sagesse qui est une science est la lumière par laquelle les révélations se sont clôturées. Lorsque le prophète est élu, le Coran lui dit : "Lis, au nom de ton seigneur ", en d’autres termes il lui demande de s’impliquer alors que le prophète est illettré. Son implication devra être une recherche de la sagesse car il en sera le porteur et le modèle. La clef de la science et celle de la foi doivent aller en parallèle afin de promouvoir une personnalité équilibrée. Le maître Sadek CHARAF, sainteté sur son âme, expliquait ce verset par une symbiose entre les deux éléments qui sont des paramètres de la personnalité du savant sur base du modèle prophétique, c’est la notion du ta’amoul, la méditation et du tafâ’oul, l’interaction.
Ainsi, cette réflexion nous amène à s’interroger sur le sens du savant. Il est celui qu’éduque le Coran et qui y est caractérisé tel un clairvoyant.
Le prophète sur lui la paix dit : " Les savants sont les héritiers des prophètes et les prophètes n’ont laissés après eux ni dinars ni dirhams mais ont laissés comme héritage la science ; celui qui y la prend, prend une bonne part ".
Cependant lorsque les savants accomplissent leur rôle de missionnaire et prédicateurs, ils sont pris en témoin par Dieu pour son unicité.
Pourtant le temps annoncé par le prophète durant lequel dit-il : " Adviendra un temps de ma communauté où ne restera de l’Islam que son nom et du Coran que son écrit, les mosquées sont pleines et vides de toutes guidances, la pire des espèces seront en ce temps les savants de qui provient la discorde et vers eux elle retourne ".
Dans une autre tradition le prophète dit : " Adviendra de ma communauté une période où l’honnête homme sera considéré comme un traître et le traître comme un honnête homme, le sincère tel un menteur et le menteur comme un homme sincère, y parlera le ringard, l’idiot qui parlera au nom de la masse ".
En fait, il s’agit de prédicateur aux portes de l’enfer, ceux qui deviennent des imams autoproclamés et des pseudo-cheick. D’où le prophète disait : " Dieu ne retire pas la science du cœeur des hommes mais en rappelant vers lui les savants jusqu’au moment où il ne reste plus de savants, les gens interrogerons n’importe qui et il répondra ; il égarera et s’égarera. " Face à l’extrémisme de certains imams, il faut revenir à la règle d’or de l’Imam Chafi’ disant : " Ma parole est une vérité avec une éventualité d’erreur et la parole d’autrui est pour moi une erreur qui porte en elle une éventualité de vérité ".
Lorsque la passion et la vanité s’emparent de certains imams autoproclamés, elle déchire la jeunesse qui aujourd’hui se rend juge face aux divergences des savants, alors que les anciens s’aimaient et s’enrichissaient de par leur diversité.
L’imam Ibn ‘Assakir dit : " La chaire des savants est empoisonnée ". Il s’agit de ne pas de diffamer sur les savants car il s’agirait de diffamer sur le prophète.
Rappelons que les savants sont les lumières de Dieu sur terre, ils ont cependant des caractéristiques qui nous permettent d’entrevoir en eux un charisme, un instructeur.
L’imam Hassan Al Basri disait que ces caractéristiques doivent lui permettre d’être un réel prédicateur, à savoir être ceux dont la sincérité réside sur leur langue, la crainte de Dieu dans leur cœur, les bonnes œuvres sur leurs membres et le conseil dans son intention.
Le maître Sadek CHARAF définissait les savants en disant : " Les prédicateurs pour Dieu n’ont pas de pays, ils sont voyageurs et leurs moyens de subsistance se trouvent dans leurs sciences ".
L’imam Ja’far Sadiq disait à ses disciples : " Soyez pour nous des prédicateurs silencieux ", " Comment? " lui dit-on. " De par votre comportement, vos positions et votre fermeté ", dit-il.
Nous ne considérons pas les savants telle la bonne conscience des gens mais une référence et lueur d’espoir car ils sont ceux qui soignent les cœurs, les porteurs d’espérance et ceux qui peuvent annoncer le Coran à l’homme irréligieux.
Ainsi, ne pas valoriser ceux qui sont la référence est un acte blâmable et immoral, car c’est cette lueur qui nous reste lorsque à peux de jours d’intervalle des dizaines de savants meurent. Qui pourrait les remplacer ? Ils sont malheureusement irremplaçables, car ils sont intimes et communs à la fois dans leur singularité et leur amour du bien, du vrai, du beau et du juste. (...)
par Yacob MAHI
Alors, t'as une autre explication?
Al
Alors si des centaines d'oulémas disent le contraire de ce que tu chantes, ils se trompent tous, mais pas toi, c'est ça qu'on doit comprendre? Mais tu ne t'atouffes pas à nier à hue et à dia ce que tu es incapable de démonter par des éléments d'argumentation?
Et alors, tu crois que tu m'apprends quelque choses sur les dizaines de tendances dans l'islam, tu as lu ou pas que j'en cite différentes? Pourquoi est-ce que ta seule tendance serait la plus vraissemblable? J'ai bien vu par exemple comment tu détestes les Chiites, qui doivent te le rendre au centuple les connaissant.
Puisque tu es si malin et si informé de toute chose, dis moi toi quelle est la vraie tendance vachement vraie?
extrait :
LES SAVANTS OU ULEMAS EN ISLAM
"Si les savants ont hérité les sciences des Prophètes (as), cela veut également dire qu'ils ont hérité d'une position élevée et d'un rang qui leur sied dans la Chariâ. L'obéissance aux savants est obligatoire est fait partie de l'obéissance à Allah. Il faut les aimer, les respecter, aller vers eux et apprendre d'eux. En effet, ceci est la voie de nos pieux prédécesseurs, les savants étaient pour eux mis en avant, ils occupaient les premières places dans les assemblées, ils étaient le recours de la communauté dans toutes les situations, et le refuge face aux questions préoccupantes. Les gens (dans leur ensemble) reconnaissaient leur rang et leur place."
autre extrait Les savants, Ulémas,
et leurs valeurs respectives en Islam
(source : http://islam-belgique.com)
Parler de ce sujet est une priorité capitale, surtout lorsque nous nous apercevons qu’en cette fin de siècle une grande quantité de savants nous ont quittés.
Les ulémas sont les lumières de Dieu sur terre, les jalons qui rappelle la rigueur, le respect de la norme et la vérité dans notre cheminement vers Dieu.
Les ulémas sont les amis intimes de Dieu, rapprochés de Sa science et de Son être, ils sont les héritiers des prophètes. Effectivement, notre seigneur exalté soit-Il, les prend sous sa protection et dit : " Celui qui combat un de Mes amis intimes, Je lui déclare la guerre ". Ils ont acquis cette prééminence de par leur vie, par et pour la science, qui permet d’acquérir une sagesse et de donner un sens à l’existence. En effet, le Coran confirme : " Certes, ne craint Dieu parmi Ses serviteurs, {réellement}, que les savants ".
L’Islam a depuis sa première prophétie, à Adam, valorisé le savoir et, il use alors de l’instruction comme paramètre d’élection d’Adam face aux anges. Le Coran confirme : " Et, Il {Dieu}enseigna à Adam le nom de toute chose et ensuite Il les proposa aux anges ". Ainsi cette sagesse qui est une science est la lumière par laquelle les révélations se sont clôturées. Lorsque le prophète est élu, le Coran lui dit : "Lis, au nom de ton seigneur ", en d’autres termes il lui demande de s’impliquer alors que le prophète est illettré. Son implication devra être une recherche de la sagesse car il en sera le porteur et le modèle. La clef de la science et celle de la foi doivent aller en parallèle afin de promouvoir une personnalité équilibrée. Le maître Sadek CHARAF, sainteté sur son âme, expliquait ce verset par une symbiose entre les deux éléments qui sont des paramètres de la personnalité du savant sur base du modèle prophétique, c’est la notion du ta’amoul, la méditation et du tafâ’oul, l’interaction.
Ainsi, cette réflexion nous amène à s’interroger sur le sens du savant. Il est celui qu’éduque le Coran et qui y est caractérisé tel un clairvoyant.
Le prophète sur lui la paix dit : " Les savants sont les héritiers des prophètes et les prophètes n’ont laissés après eux ni dinars ni dirhams mais ont laissés comme héritage la science ; celui qui y la prend, prend une bonne part ".
Cependant lorsque les savants accomplissent leur rôle de missionnaire et prédicateurs, ils sont pris en témoin par Dieu pour son unicité.
Pourtant le temps annoncé par le prophète durant lequel dit-il : " Adviendra un temps de ma communauté où ne restera de l’Islam que son nom et du Coran que son écrit, les mosquées sont pleines et vides de toutes guidances, la pire des espèces seront en ce temps les savants de qui provient la discorde et vers eux elle retourne ".
Dans une autre tradition le prophète dit : " Adviendra de ma communauté une période où l’honnête homme sera considéré comme un traître et le traître comme un honnête homme, le sincère tel un menteur et le menteur comme un homme sincère, y parlera le ringard, l’idiot qui parlera au nom de la masse ".
En fait, il s’agit de prédicateur aux portes de l’enfer, ceux qui deviennent des imams autoproclamés et des pseudo-cheick. D’où le prophète disait : " Dieu ne retire pas la science du cœeur des hommes mais en rappelant vers lui les savants jusqu’au moment où il ne reste plus de savants, les gens interrogerons n’importe qui et il répondra ; il égarera et s’égarera. " Face à l’extrémisme de certains imams, il faut revenir à la règle d’or de l’Imam Chafi’ disant : " Ma parole est une vérité avec une éventualité d’erreur et la parole d’autrui est pour moi une erreur qui porte en elle une éventualité de vérité ".
Lorsque la passion et la vanité s’emparent de certains imams autoproclamés, elle déchire la jeunesse qui aujourd’hui se rend juge face aux divergences des savants, alors que les anciens s’aimaient et s’enrichissaient de par leur diversité.
L’imam Ibn ‘Assakir dit : " La chaire des savants est empoisonnée ". Il s’agit de ne pas de diffamer sur les savants car il s’agirait de diffamer sur le prophète.
Rappelons que les savants sont les lumières de Dieu sur terre, ils ont cependant des caractéristiques qui nous permettent d’entrevoir en eux un charisme, un instructeur.
L’imam Hassan Al Basri disait que ces caractéristiques doivent lui permettre d’être un réel prédicateur, à savoir être ceux dont la sincérité réside sur leur langue, la crainte de Dieu dans leur cœur, les bonnes œuvres sur leurs membres et le conseil dans son intention.
Le maître Sadek CHARAF définissait les savants en disant : " Les prédicateurs pour Dieu n’ont pas de pays, ils sont voyageurs et leurs moyens de subsistance se trouvent dans leurs sciences ".
L’imam Ja’far Sadiq disait à ses disciples : " Soyez pour nous des prédicateurs silencieux ", " Comment? " lui dit-on. " De par votre comportement, vos positions et votre fermeté ", dit-il.
Nous ne considérons pas les savants telle la bonne conscience des gens mais une référence et lueur d’espoir car ils sont ceux qui soignent les cœurs, les porteurs d’espérance et ceux qui peuvent annoncer le Coran à l’homme irréligieux.
Ainsi, ne pas valoriser ceux qui sont la référence est un acte blâmable et immoral, car c’est cette lueur qui nous reste lorsque à peux de jours d’intervalle des dizaines de savants meurent. Qui pourrait les remplacer ? Ils sont malheureusement irremplaçables, car ils sont intimes et communs à la fois dans leur singularité et leur amour du bien, du vrai, du beau et du juste. (...)
par Yacob MAHI
Alors, t'as une autre explication?
Al