l'origine de l'islamophobie
Ecrit le 17 juil.07, 02:29
l'islamophobie judeo-française à paris en 1956!
la bombe atomique judeo-française est intrinsequement islamophobe sa raison d'etre est l'islamphobie shimon perez la justifiait ainsi " nous sommes entourés de centaines de millions d'arabo musulmans il nous faut l'arme nucleaire":
Les bombes atomiques sont bien françaises - 11 mars 2002 - par ALAIN FAUJAS
Comment la France a permis à l'État hébreu de disposer de tout un arsenal grâce à un certain Shimon Pérès.
Dans un article paru en novembre 2001, le journal israélien Yediot Aharonot, de Tel-Aviv, a redécouvert un secret à la fois de polichinelle et d'État, mais jamais officiellement levé : c'est la France qui a permis à l'État hébreu de développer un arsenal nucléaire qui s'élève, aujourd'hui, à plusieurs centaines de bombes A. Cet article oublie de dire que c'est aussi la France qui a failli permettre à Saddam Hussein de disposer de l'arme nucléaire.
Dans son livre intitulé Les Deux Bombes (Fayard, 1991), Pierre Péan racontait par le menu comment l'un des directeurs au ministère israélien de la Défense, nommé Shimon Pérès, a su tisser au milieu des années cinquante des relations de complicité peu communes avec le personnel politique, scientifique et militaire français.
Pérès a même disposé d'un bureau à l'Hôtel Matignon, résidence des Premiers ministres français ! Cette stratégie a débouché en octobre 1957 sur la signature d'un accord par lequel la France s'engageait à aider Israël à construire, à Dimona, dans le désert du Néguev, un réacteur de 24 MW baptisé EL 102, une pile à haut flux de neutrons thermiques utilisant de l'uranium légèrement enrichi en uranium 235.
La raison de cette coopération exceptionnelle entre deux États tient au fait que les socialistes de la SFIO au pouvoir à Paris se trouvaient en parfaite sympathie avec les travaillistes du Mapaï qui gouvernaient alors l'État hébreu. Les deux inspirateurs français de l'accord nucléaire sont Maurice Bourgès-Maunoury, ministre de la Défense, et son directeur de cabinet, Abel Thomas. Mais les relations étaient plus que cordiales avec les scientifiques français comme Pierre Guillaumat, patron du CEA (Centre d'études atomiques) français, puis ministre de la Défense du général de Gaulle.
Les chercheurs israéliens étaient quasiment associés à la mise au point de la bombe A française à laquelle ils ont contribué en faisant profiter, dès 1953, leurs collègues français de brevets, notamment sur le traitement de l'eau lourde. À vrai dire, l'opinion publique française était, à cette époque, totalement acquise à Israël qui recevait en abondance chars, vedettes et avions de combat (Mystère, puis Mirage) et qui aidait la France dans sa lutte contre le FLN algérien soutenu par l'Égypte.
Revenu au pouvoir en 1958, le général de Gaulle n'est pas d'accord avec cette totale complicité qui lie les mains à la France. Malgré ses colères et ses ordres, la participation du CEA et de la société Saint-Gobain à la construction d'une usine d'extraction du plutonium va mettre plus de deux ans avant de s'arrêter. Le lobby pro-israélien demeure très efficace.
La première bombe A française est expérimentée en février 1960, à Reggane (Sahara algérien). Le réacteur de Dimona diverge en 1962 ; il est, en fait, six fois plus puissant que prévu ; il se décompose en un réacteur « bidon » doté d'une fausse salle de commandes pour convaincre les visiteurs de la vocation civile de la pile... et en une « vraie » usine souterraine où se fabriquent les bombes A.
En 1966, en sort la première bombe. En 1967, nouvelle fureur de De Gaulle qui découvre que Dassault aide Israël à mettre au point son lanceur de têtes nucléaires « Jéricho » capable d'atteindre Le Caire ou Bagdad et que l'État hébreu est à deux doigts d'utiliser, en 1973, contre les Égyptiens qui avaient débarqué victorieusement sur la rive occidentale du canal de Suez. La menace d'une riposte soviétique l'en dissuade.
Lâché peu à peu par la France gaulliste, Tel-Aviv espionne allègrement le savoir-faire nucléaire militaire américain et se tourne vers l'Afrique du Sud qui, semble-t-il, l'autorise à expérimenter, au large de ses côtes, deux bombes nucléaires tactiques, en 1979 et 1980. Ces explosions auraient été enregistrées par les satellites de la CIA.
L'histoire a une suite pour la France. Les successeurs du Général continuent à rééquilibrer leurs relations moyen-orientales en se rapprochant de l'Irak. Quand Bagdad annonce son intention d'acheter des centrales nucléaires civiles (dont il n'a nul besoin compte tenu de ses réserves pétrolières), le président français Valéry Giscard d'Estaing est d'accord avec son Premier ministre Jacques Chirac pour lui fournir la technologie civile nécessaire. L'accord est signé en 1975 pour 1,45 milliard de francs, le CEA doit livrer un réacteur de 70 MW (Tamuz 1 ou Osirak) et un autre de 800 kW (Tamuz 2 ou Isis).
Le 9 avril 1979, les deux cuves de Tamuz sont détruites à l'explosif à l'intérieur des chantiers navals de La Seyne-sur-Mer, par des « écologistes français ». Le 14 juin 1980, le spécialiste nucléaire égyptien Yahia el-Meshad, qui travaille sur Osirak, est abattu par des inconnus, à Paris. Le 7 juin 1981, huit bombardiers F16 israéliens détruisent Osirak, ainsi que l'usine secrète qui se trouvait à plusieurs dizaines de mètres de profondeur... comme à Dimona.
Le 16 janvier 1991, le premier acte de l'opération « Tempête du désert » lancé par les États-Unis pour libérer le Koweït ne consiste pas à attaquer les troupes irakiennes qui s'y trouvent, mais à bombarder les installations censées fabriquer des armes nucléaires et chimiques, à Badgad et dans ses environs. La prolifération nucléaire redoutée autant par Israël que par les États-Unis n'aura pas lieu immédiatement. Car Israël ne supporte pas que le monopole nucléaire acquis grâce à la France soit remis en cause grâce à celle-ci. Par deux fois, Paris a joué les apprentis sorciers. À l'évidence, ni la paix ni ses intérêts stratégiques n'y ont trouvé leur compte.
la bombe atomique judeo-française est intrinsequement islamophobe sa raison d'etre est l'islamphobie shimon perez la justifiait ainsi " nous sommes entourés de centaines de millions d'arabo musulmans il nous faut l'arme nucleaire":
Les bombes atomiques sont bien françaises - 11 mars 2002 - par ALAIN FAUJAS
Comment la France a permis à l'État hébreu de disposer de tout un arsenal grâce à un certain Shimon Pérès.
Dans un article paru en novembre 2001, le journal israélien Yediot Aharonot, de Tel-Aviv, a redécouvert un secret à la fois de polichinelle et d'État, mais jamais officiellement levé : c'est la France qui a permis à l'État hébreu de développer un arsenal nucléaire qui s'élève, aujourd'hui, à plusieurs centaines de bombes A. Cet article oublie de dire que c'est aussi la France qui a failli permettre à Saddam Hussein de disposer de l'arme nucléaire.
Dans son livre intitulé Les Deux Bombes (Fayard, 1991), Pierre Péan racontait par le menu comment l'un des directeurs au ministère israélien de la Défense, nommé Shimon Pérès, a su tisser au milieu des années cinquante des relations de complicité peu communes avec le personnel politique, scientifique et militaire français.
Pérès a même disposé d'un bureau à l'Hôtel Matignon, résidence des Premiers ministres français ! Cette stratégie a débouché en octobre 1957 sur la signature d'un accord par lequel la France s'engageait à aider Israël à construire, à Dimona, dans le désert du Néguev, un réacteur de 24 MW baptisé EL 102, une pile à haut flux de neutrons thermiques utilisant de l'uranium légèrement enrichi en uranium 235.
La raison de cette coopération exceptionnelle entre deux États tient au fait que les socialistes de la SFIO au pouvoir à Paris se trouvaient en parfaite sympathie avec les travaillistes du Mapaï qui gouvernaient alors l'État hébreu. Les deux inspirateurs français de l'accord nucléaire sont Maurice Bourgès-Maunoury, ministre de la Défense, et son directeur de cabinet, Abel Thomas. Mais les relations étaient plus que cordiales avec les scientifiques français comme Pierre Guillaumat, patron du CEA (Centre d'études atomiques) français, puis ministre de la Défense du général de Gaulle.
Les chercheurs israéliens étaient quasiment associés à la mise au point de la bombe A française à laquelle ils ont contribué en faisant profiter, dès 1953, leurs collègues français de brevets, notamment sur le traitement de l'eau lourde. À vrai dire, l'opinion publique française était, à cette époque, totalement acquise à Israël qui recevait en abondance chars, vedettes et avions de combat (Mystère, puis Mirage) et qui aidait la France dans sa lutte contre le FLN algérien soutenu par l'Égypte.
Revenu au pouvoir en 1958, le général de Gaulle n'est pas d'accord avec cette totale complicité qui lie les mains à la France. Malgré ses colères et ses ordres, la participation du CEA et de la société Saint-Gobain à la construction d'une usine d'extraction du plutonium va mettre plus de deux ans avant de s'arrêter. Le lobby pro-israélien demeure très efficace.
La première bombe A française est expérimentée en février 1960, à Reggane (Sahara algérien). Le réacteur de Dimona diverge en 1962 ; il est, en fait, six fois plus puissant que prévu ; il se décompose en un réacteur « bidon » doté d'une fausse salle de commandes pour convaincre les visiteurs de la vocation civile de la pile... et en une « vraie » usine souterraine où se fabriquent les bombes A.
En 1966, en sort la première bombe. En 1967, nouvelle fureur de De Gaulle qui découvre que Dassault aide Israël à mettre au point son lanceur de têtes nucléaires « Jéricho » capable d'atteindre Le Caire ou Bagdad et que l'État hébreu est à deux doigts d'utiliser, en 1973, contre les Égyptiens qui avaient débarqué victorieusement sur la rive occidentale du canal de Suez. La menace d'une riposte soviétique l'en dissuade.
Lâché peu à peu par la France gaulliste, Tel-Aviv espionne allègrement le savoir-faire nucléaire militaire américain et se tourne vers l'Afrique du Sud qui, semble-t-il, l'autorise à expérimenter, au large de ses côtes, deux bombes nucléaires tactiques, en 1979 et 1980. Ces explosions auraient été enregistrées par les satellites de la CIA.
L'histoire a une suite pour la France. Les successeurs du Général continuent à rééquilibrer leurs relations moyen-orientales en se rapprochant de l'Irak. Quand Bagdad annonce son intention d'acheter des centrales nucléaires civiles (dont il n'a nul besoin compte tenu de ses réserves pétrolières), le président français Valéry Giscard d'Estaing est d'accord avec son Premier ministre Jacques Chirac pour lui fournir la technologie civile nécessaire. L'accord est signé en 1975 pour 1,45 milliard de francs, le CEA doit livrer un réacteur de 70 MW (Tamuz 1 ou Osirak) et un autre de 800 kW (Tamuz 2 ou Isis).
Le 9 avril 1979, les deux cuves de Tamuz sont détruites à l'explosif à l'intérieur des chantiers navals de La Seyne-sur-Mer, par des « écologistes français ». Le 14 juin 1980, le spécialiste nucléaire égyptien Yahia el-Meshad, qui travaille sur Osirak, est abattu par des inconnus, à Paris. Le 7 juin 1981, huit bombardiers F16 israéliens détruisent Osirak, ainsi que l'usine secrète qui se trouvait à plusieurs dizaines de mètres de profondeur... comme à Dimona.
Le 16 janvier 1991, le premier acte de l'opération « Tempête du désert » lancé par les États-Unis pour libérer le Koweït ne consiste pas à attaquer les troupes irakiennes qui s'y trouvent, mais à bombarder les installations censées fabriquer des armes nucléaires et chimiques, à Badgad et dans ses environs. La prolifération nucléaire redoutée autant par Israël que par les États-Unis n'aura pas lieu immédiatement. Car Israël ne supporte pas que le monopole nucléaire acquis grâce à la France soit remis en cause grâce à celle-ci. Par deux fois, Paris a joué les apprentis sorciers. À l'évidence, ni la paix ni ses intérêts stratégiques n'y ont trouvé leur compte.
- samuel3333
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 753
- Enregistré le : 03 juil.07, 23:57
Ecrit le 17 juil.07, 03:07
le suisse Henri DUNANT, fondateur de la Convention de Genève et de la Croix Rouge, constitua la " Société Nationale Universelle pour le Renouvellement de l'Orient ", en 1866. (Quand je pense à cette même Croix Rouge, qui actuellement accepte le Croissant-Rouge dans son sein, mais refuse le Maguen-David !!!).anoual a écrit :
c'est un suisse "neutre" qui a tout fait pour se debarrasser des juifs d'europe en palestine !
Ainsi , lorsque Th. HERTZL commença sa campagne en faveur du rétablissement d'un Etat juif, il trouva des amis influents et dévoués parmi les chrétiens comme William HECHLER, aumônier à l'ambassade de la Grande Bretagne à Vienne. D'après ses calculs, le salut des Juifs devait survenir en 1897 !
Cette année là, justement, HECHLER assista, aux côtés d'HERZL et de DUNANT, au premier Congrès sioniste de Bâle !
http://lepetitsioniste.oldiblog.com/?pa ... 8850&nba=7
Ecrit le 17 juil.07, 03:09
Suisse - La Loge Henri Dunant à Genèveanoual a écrit :
c'est un suisse "neutre" qui a tout fait pour se debarrasser des juifs d'europe en palestine !
La Loge a été fondée en 1951.
Henri Dunant, philanthrope suisse est né à Genève en 1828. Il fut le principal fondateur de la Croix-Rouge.
Prix Nobel de la Paix en 1901, il est mort à Heiden en 1910.
C’était un grand ami des juifs et de l’idéal sioniste.
http://www.bnaibritheurope.org/bbe/cont ... ang,fr_FR/
Ecrit le 17 juil.07, 03:15
votre plus belle connerie se nomme l'entité sionistesamuel3333 a écrit :anoual La c'est bon tu pouri tous les posts avec tes conneries!
Le sionisme: de Bâle a Sion
- Le Jubilé Herzl -
Suisse-Israël
Au casino de la ville de Bâle, à l'endroit même où, il y a cent ans, les délégués du premier Congrès sioniste adoptèrent le «Programme de Bâle», le «Jubilé Herzl s'est ouvert officiellement le soir du 26 août. La grande salle des fêtes était pleine à craquer, et les orateurs s'efforcèrent tous de placer cette circonstance sous le signe de la réconciliation. Le président du gouvernement de Bâle-Ville, Ueli Vischer, affirma dans son discours d'ouverture que Bâle ne pouvait être dissociée de l'histoire du sionisme .
.....En considérant l'histoire de la résurrection d'Israël, il est impossible d'ignorer Herzl et Bâle, c'est-à-dire la Suisse. Herzl ainsi que les fondateurs de l'Etat d'Israël, Ben Gourion, Golda Meïr Moshe Dayan et d'autres, n'étaient pas particulièrement croyants. Bien au contraire! Ils étaient simplement pénétrés de l'importance du mouvement sioniste. Mais Dieu se servit d'eux pour accomplir la prophétie biblique. CM
Nouvelles d'Israël 10 / 1997
© Nouvelles d'Israël
http://www.regard.eu.org/Archeologie/TX ... ASLJH.html
- Carpe Diem
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 413
- Enregistré le : 21 juin07, 03:12
Ecrit le 17 juil.07, 03:20
Bonjour,
Je suis moi, l'ami des juifs, des musulmans, des chrétiens, des papous et de tous les habitants du Guatemala septentrional !
Qu'est-ce que tu veux essayer de dire ? Dis-le franchement (et clairement si possible) et on va trier nous-mêmes.
@++
Et alors ?anoual a écrit :... C’était un grand ami des juifs et de l’idéal sioniste...
Je suis moi, l'ami des juifs, des musulmans, des chrétiens, des papous et de tous les habitants du Guatemala septentrional !
Qu'est-ce que tu veux essayer de dire ? Dis-le franchement (et clairement si possible) et on va trier nous-mêmes.
@++
Ecrit le 17 juil.07, 03:22
En 1875, il fonda à Londres la «Syrian and Palestinian Colonization Society» dans le but de favoriser la colonisation de la Palestine et des pays voisins par des «personnes intègres, notamment des Juifs».Carpe Diem a écrit :Bonjour, Et alors ?
Je suis moi, l'ami des juifs, des musulmans, des chrétiens, des papous et de tous les habitants du Guatemala septentrional !
Qu'est-ce que tu veux essayer de dire ? Dis-le franchement (et clairement si possible) et on va trier nous-mêmes.
@++
Employé par la Compagnie genevoise des colonies suisses de Sétif (cofondée par Lullin et Sautter), Dunant est en Algérie dès 1853. Il décide de lancer en parallèle sa propre entreprise et fonde la Société des moulins de Mons-Djémila (1858).
http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F19082.php[/quote]
- Carpe Diem
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 413
- Enregistré le : 21 juin07, 03:12
Ecrit le 17 juil.07, 04:01
Bonjour anoual,
Super, je viens de comprendre !
Mais tu devrais plutôt ouvrir un sujet : "colonisation de la Palestine".
Cela répondrait plus (éventuellement) à tes interrogations et surtout cela t'apprendrait que sur ce sujet, la Suisse n'a pas être la seule a être incriminée et de loin.
Et puis rend-moi service : arrête de répondre uniquement avec des extraits de biographie. Ecris ce que tu penses réellement toi ! Merci d'avance.
@++
Super, je viens de comprendre !
Mais tu devrais plutôt ouvrir un sujet : "colonisation de la Palestine".
Cela répondrait plus (éventuellement) à tes interrogations et surtout cela t'apprendrait que sur ce sujet, la Suisse n'a pas être la seule a être incriminée et de loin.
Et puis rend-moi service : arrête de répondre uniquement avec des extraits de biographie. Ecris ce que tu penses réellement toi ! Merci d'avance.
@++
- samuel3333
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 753
- Enregistré le : 03 juil.07, 23:57
Ecrit le 18 juil.07, 00:19
Anoual s'autoquote pour se repondre à lui-même!anoual a écrit : le suisse Henri DUNANT, fondateur de la Convention de Genève et de la Croix Rouge, constitua la " Société Nationale Universelle pour le Renouvellement de l'Orient ", en 1866. (Quand je pense à cette même Croix Rouge, qui actuellement accepte le Croissant-Rouge dans son sein, mais refuse le Maguen-David !!!).
Ainsi , lorsque Th. HERTZL commença sa campagne en faveur du rétablissement d'un Etat juif, il trouva des amis influents et dévoués parmi les chrétiens comme William HECHLER, aumônier à l'ambassade de la Grande Bretagne à Vienne. D'après ses calculs, le salut des Juifs devait survenir en 1897 !
Cette année là, justement, HECHLER assista, aux côtés d'HERZL et de DUNANT, au premier Congrès sioniste de Bâle !
http://lepetitsioniste.oldiblog.com/?pa ... 8850&nba=7
- latino95-homophobe
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 88
- Enregistré le : 04 juil.07, 02:04
- Salah Al Din
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 2480
- Enregistré le : 20 avr.07, 20:34
Ecrit le 18 juil.07, 03:42
l'islamophobie est la meme aujourdhui que celle d'il y a 14 siecles:latino95-homophobe a écrit :ce post est assez simple , la phobie viens de ce qu'on vois a la télé ( charia , attentat sanglant , exision .... )
mais l'islamphobe amr iben alaas voyant que ces attaques contre les musulmans ne donnent rien .
il a tenté le clash des religions en attaquant l'islam en tant que tel " demande leur qu'est ce qu'ils disent de jesus et de marie" disait amr.
la il a retenu l'attention du negus qui posa la meme question aux musulmans. c'est jaafar ben abi taleb un cousin du prophete qui lui a repondu "nous dison de jesus ce que le coran dit" alors il a recité la sourate de mariame=marie.
pendant que jaafar recite la sourate de marie le negus avait les larmes aux yeux .quand jaafar a terminé le negus a dit "il n'ya rien de blamable".
ensuite il s'est adressé à amar iben alaas " reprend tes cadeaux ,pour l'or du monde je ne te livre ses braves gens".
amr l'islamphobe est retourné bredouille à la mecque
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Amazon [Bot], Eliaqim, estra2 et 3 invités