Bonjour,
Dhmo,
Je trouve triste que toi tu n'es autre argument que le sens de ta vie viens d'un livre bourré d'erreurs. Moi au moins je cherche un lien logique et ne cherche pas n'importe quel explication.
Aussi tout ça n'a rien avoir avec le sujet initial..
Moi je trouve triste, de lire autant de prétention dans certains commentaires, de la part de certains Athées, je dit bien certains Athées, car dieu merci, j’en connais ils ne sont pas tous comme « VOUS » avec une t’elle prétention, et un manque de respect total pour une autre pensé que la leur.
Que vous soyez ahtée reste un fait, ce forum est créer pour débattre, que vous sous estimie le niveau intellectuel des croyants est souvent un fait également de votre part.
Mais que vous argumentier sur un livre, ici le coran que vous n’avez jamais lu, que vous argumentier sur un livre écrit en arabe, parce que la critique ici est sur la valeur, grammaticale la richesse du coran, sans avec une connaissance là je suis triste de voir que la nature humaine est aussi basse !!!!
Je vous montre pourquoi ce défi ne sera jamais réalisé :
Au départ, les Mecquois accusaient Mohammed d’avoir lui-même rédigé le Coran. Mais Dieu leur répondit ainsi :
« Ou bien disent-ils: « Il l’a lui-même inventé » ? Non… en réalité, ils ne croient pas. Et bien, qu’ils produisent donc un récit pareil à celui-ci, s’ils sont véridiques. Ont-ils été créés à partir de rien? Ou sont-ils eux-mêmes les créateurs? » (Coran 52:33-35)
Puis Dieu les mit au défi de produire dix sourates similaires à celles du Coran :
Mais les voyant incapables de relever ce défi, Dieu réduisit le nombre à une seule sourate :
« Et si vous êtes dans le doute au sujet de ce que Nous avons révélé à Notre serviteur (Mohammed), alors essayez donc de produire ne serait-ce qu’une sourate semblable, et appelez vos témoins que vous adorez en dehors de Dieu, si vous êtes véridiques. Et si vous n’y parvenez pas, et à coup sûr vous n’y parviendrez jamais, prémunissez-vous donc contre le Feu dont les hommes et les pierres seront le combustible, et qui a été préparé pour les mécréants. » (Coran 2:23-24)
Ils n’y parvinrent pas. Dieu avait d’ailleurs prédit leur échec :
« Dis : « Même si toute l’humanité et les djinns s’unissaient pour produire quelque chose de similaire à ce Coran, ils ne sauraient rien produire de semblable, même s’ils se soutenaient les uns les autres. » (Coran 17:88)
Le prophète Mohammed dit :
« Chaque prophète a reçu des signes (miracles) grâce auxquels des gens ont cru en lui. Moi, j’ai reçu la révélation divine, que Dieu m’a inspirée. J’espère donc être le prophète qui aura le plus de fidèles au Jour de la Résurrection. » (Sahih al-Boukhari)
Les miracles accomplis par les autres prophètes, dans le passé, étaient limités dans le temps et s’adressaient à ceux qui en étaient témoins. Mais le miracle éternel avec lequel le prophète Mohammed fut envoyé, c’est-à-dire le noble Coran, n’a été accordé à aucun autre prophète. Sa supériorité linguistique, son style, la clarté de son message, la force de ses arguments, la qualité de sa rhétorique et l’incapacité des hommes à produire quoi que ce soit de similaire et ce, jusqu’à la fin des temps, lui confèrent un caractère absolument unique. Ceux qui ont été témoins de sa révélation, comme ceux qui sont venus après, tous peuvent boire à sa fontaine de sagesse. C’est pourquoi le Prophète de miséricorde espérait être le prophète qui aurait le plus de fidèles, au Jour de la Résurrection, ce qu’il a d’ailleurs prédit à un moment où les musulmans étaient peu nombreux, bien avant que les gens ne se mettent à embrasser l’islam en masses. Sa prophétie s’est donc réalisée.
Pourquoi ce défi?:
Premièrement, parce que les Arabes étaient de grands poètes. Ils étaient très versés dans cet art et ils étaient connus pour cela. La poésie arabe était bien enracinée dans la vie quotidienne des gens; elle existait d’ailleurs à l’oral bien avant qu’on ne la couche sur papier. Les poètes pouvaient composer de façon spontanée des poèmes très élaborés et mémoriser des milliers de vers. Les Arabes avaient développé un système complexe pour évaluer les poètes et leurs poèmes, lesquels devaient répondre à des critères très sévères. Ils organisaient des compétitions annuelles et les poèmes des gagnants étaient gravés dans l’or et suspendus à l’intérieur de la Ka’aba, aux côtés des idoles qu’ils adoraient. Les plus talentueux tenaient le rôle de juges. Les poètes pouvaient, simplement par leurs vers, déclencher une guerre ou favoriser une trêve entre tribus ennemies. Les descriptions qu’ils faisaient des femmes, du vin et de la guerre étaient sans égal.
Deuxièmement, les ennemis du prophète Mohammed étaient fortement déterminés à faire obstacle à sa mission en utilisant tous les moyens à leur disposition. Dieu leur donna donc la possibilité de réfuter les paroles de Mohammed par un moyen non-violent.
L’incapacité à relever le défi et ses conséquences:
L’histoire est témoin du fait que les Arabes de l’époque du Prophète ont été incapables de relever le défi de produire une seule sourate semblable à celles du Coran. C’est un fait attesté par des orientalistes non-musulmans :
«
Que les meilleurs écrivains arabes n’aient jamais réussi à produire quoi que ce soit dont l’excellence rejoindrait celle du Coran n’est pas étonnant… » (E H Palmer (Tr.), The Coran, 1900, Partie I, Oxford at Clarendon Press, p. lv).
« En tant que monument littéraire, le Coran est unique en son genre, unique à la littérature arabe, n’ayant ni précurseur ni successeur dans sa langue… » (H A R Gibb, Islam - A Historical Survey, 1980, Oxford University Press, p. 28).
Et par des arabes chrétiens :
« De nombreux Arabes chrétiens parlent de son style avec une véritable admiration et reconnaissent son excellence. Lorsqu’il est récité à haute voix, il a un effet presque hypnotique qui nous fait oublier sa syntaxe parfois étrange et son contenu qui, pour certains, est parfois repoussant.
Il possède la capacité de réduire au silence la critique par la douce musique de sa langue, qui a donné naissance au dogme de son inimitabilité. Dans toute la littérature arabe, rien ne lui est comparable. » (Alfred Guillaume, Islam, 1990, Penguin Books, pp. 73-74)
Le défi lancé par Dieu est mentionné en cinq endroits différents, dans le Coran. Voici les versets, dans l’ordre dans lequel ils ont été révélés :
« Et si vous êtes dans le doute au sujet de ce que Nous avons révélé à Notre serviteur (Mohammed), alors essayez donc de produire ne serait-ce qu’une sourate semblable, et appelez vos témoins que vous adorez en dehors de Dieu, si vous êtes véridiques. Et si vous n’y parvenez pas, et à coup sûr vous n’y parviendrez jamais, prémunissez-vous donc contre le Feu dont les hommes et les pierres seront le combustible, et qui a été préparé pour les mécréants. » (Coran 2:23-24, italiques ajoutés)
« Ou bien ils disent : « Il [Mohammed] l’a inventé. » Dis : « Composez donc une sourate semblable et appelez, pour vous aider, tous ceux que vous pouvez en dehors de Dieu, si vous êtes véridiques. » (Coran 10:38)
« Ou alors ils disent : « Il l’a forgé, [ce Coran] ». Dis : « Apportez donc dix sourates semblables à celles-ci, que vous aurez vous-mêmes forgées, et appelez qui vous pourrez, (pour vous aider), hormis Dieu, si vous êtes véridiques. » (Coran 11:13)
« Dis : « Même si toute l’humanité et les djinns s’unissaient pour produire quelque chose de similaire à ce Coran, ils ne sauraient rien produire de semblable, même s’ils se soutenaient les uns les autres. » (Coran 17:88)
« Ou bien disent-ils: « Il l’a lui-même inventé » ? Non… en réalité, ils ne croient pas. Et bien, qu’ils produisent donc un récit pareil à celui-ci, s’ils sont véridiques. » (Coran 52:33-34)
En somme, si quiconque a encore des doutes au sujet du Coran, qu’il relève donc ce défi.
Une importante déclaration du Prophète (saw)
Ce n’est pas des années après sa révélation que les gens se sont tout à coup rendu compte que ce Coran est miraculeux. Il ne faut pas croire que les érudits qui sont venus après l’époque du prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) ont étudié le Coran et ont tout à coup déclaré qu’il constituait un miracle. Non. En fait, ce livre a été le miracle même du prophète Mohammed, et la preuve la plus éclatante du caractère véridique de sa mission. Les mécréants de l’époque du Prophète s’attendaient à un autre genre de miracle – peut-être plus tangible et demandant moins de réflexion – mais Dieu a clairement affirmé que ce Coran devait suffire pour témoigner de la véracité du Prophète. Il dit :
« Et ils disent : « Pourquoi des signes ne lui sont-ils pas envoyés par son Seigneur? » Dis : « Ces signes relèvent de Dieu seul. Moi, je ne suis (chargé) que d’avertir clairement (les gens). » Ne leur suffit-il donc pas, [comme signe], que Nous t’ayons fait descendre le Livre qui leur est récité? Il y a assurément là une miséricorde et un rappel pour les gens qui croient. » (Coran 29:50-51)
Enfin, le défi s’adressait à la fois aux Arabes et au non-Arabes. Mais si les Arabes ont été incapables de le relever, ceux qui ne parlent pas cette langue ne peuvent prétendre le relever non plus.
Et enfin je vous renvoi sur ce site :
http://n.lapietra.free.fr/eveil2lame/Mi ... ique.htm#1
Autre chose :
On ne cherche pas à se limiter au stade animal ou mécanique, on est des animaux, il serait temps que tu ouvres les yeux... Les différences entre les animaux et nous sont infimes. (Tout dépend du point de vue auquel on se place) Le jour où on sera capable de se passer de respirer, boire, manger, dormir et se reproduire pour vivre en tant qu'être humain, je voudrai bien reconsidéré qu'on est différent des animaux, sinon on est identique.
Darwin n’est il pas le précurseur de cette pensé, ne dit il ? pas que l’homme descend du singe !!!