Re: le défi du coran relevé sur le fait de réaliser une sourate
Posté : 30 août09, 06:56
ce que tu viens d'écrire là c'est faux, relisalmasihouilahi a écrit :SOEUR marie .. ce que tu dis est faux
on peut dire inzourou fi ma aydikoume
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
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ce que tu viens d'écrire là c'est faux, relisalmasihouilahi a écrit :SOEUR marie .. ce que tu dis est faux
on peut dire inzourou fi ma aydikoume
marie1 a écrit : ce que tu viens d'écrire là c'est faux, relis
marie1 a écrit :pour ce qui est du messager de Dieu, tu crois vraiment qu'il allait manger lftour et mijoter un verset? tu crois qu'il avait que ça à faire? la guerre, la famine, sa famille, ses occupations..tu crois qu'il avait que ça à faire...un illetré? toi tu es diplômé et tu n'arrives pas à présenter un texte sans erreur...
Que Dieu te guide tout simplement
PS: c'est marrant...pourquoi les chrétiens prennet le ftour? tu vs manger avec ta famille et venir te moquer d'eux sur le forum, que les musulmans se goinrent blabla...si ce n'est pas un signe d'hypocrisie, on se demande ce que c'est!
Tu voulais me parler à moi?!almasihouilahi a écrit :
je voulais parler à la soeur loubna ..
désolé soeur marie de mon erreur ...
inchallah ce soir vous aurez une autre sourate...vos critiques .. me permettront peut être d'atteindre le niveau du coran selon vous
mais bon j'espère que vous serez convaincu car j'ai un paquet de sourate que j'ai déjà sur papier....donc prépare votre esprit critique que vous n'utilisez pas face au coran
Loubna a écrit : Tu voulais me parler à moi?!
Essaye de respecter ton sujet.almasihouilahi a écrit :
que penses tu de ce verset ?
non pas que les rimes mais le sens ... plus profond que ton coran mon paragraphe en appelle à la réflexionReda a écrit : Essaye de respecter ton sujet.
Sinon, Selon quel critères ton paragraphe est il semblable a une sourate? les rimes?
Destinée à moi?! Je crois que n'ai pas parlé de "inzourou.."almasihouilahi a écrit :
enfin les propos t'étaient destiné....
Florent52 a écrit :De toute manière faire des erreurs de grammaire en imitant le coran c'est justement selon certains arabophones l'imiter correctement puisque le coran comporte des fautes de grammaire.
J'ai trouvé cela sur internet qui me paraît convaincant.
Les Musulmans prétendent que le Coran n'est pas simplement un chef-d'oeuvre littéraire, mais un miracle littéraire divin. Sauf que cette affirmation ne correspond pas aux faits, car le Coran que nous avons entre les mains contient des erreurs grammaticales évidentes qu'il est facile de voir pour qui connait l'arabe.
Première erreur.
En 5:69
"Ceux qui ont cru, ceux qui se sont judaïsés, les Sabéens, et les Chrétiens, ceux parmi eux qui croient en Allah, au Jour dernier et qui accomplissent les bonnes oeuvres, pas de crainte sur eux, et ils ne seront point affligés.
"Innal-laziina 'aamanuu wal-laziina haaduu was-Saabi'uuna wan-Nasaaraa man 'aamana bilaahi wal-Yawmil-'Aakhiri wa 'amila saali-hanfalaa khaw-fun 'alay-him wa laa hum yah-zanuun."
Il y a une erreur de grammaire dans le verset précédent. Le mot Saabi'uuna a été mal décliné.
Dans deux autres versets, le même mot, dans exactement la même configuration grammaticale, a été décliné correctement.
2:62 "Innal-laziina 'aamanuu wal-laziina haaduu wan-Nasaaraa was-Saabi'iina ..."
22:17 "Innal-laziina 'aamanuu wal-laziina haaduu was-Saabi'iina wan-Nasaaraa ..."
Notez que le mot a été écrit Saabi'uuna en 5:69 et a été écrit Saabi'iina en 2:62 et en 22:17. Dans les deux derniers versets, le mot a été décliné correctement car le mot inna du début de la phrase implique une forme de déclinaison appelée "nasb" (pour l'accusatif et le subjonctif) et le "yeh" est le signe du "nasb". Mais le mot Saabi'uuna en 5:69 a reçu un 'uu, waw qui est le signe d'un "raf'a" (pour le nominatif et l'indicatif). C'est une erreur de grammaire évidente.
Deuxième erreur.
En 4:162
Mais ceux d'entre eux qui sont enracinés dans la connaissance, ainsi que les croyants, (tous) ont foi à ce qu'on a fait descendre sur toi et à ce qu'on a fait descendre avant toi. Et quant à ceux qui accomplissent la Salat, paient la Zakat et croient en Allah et au Jour dernier, ceux-là Nous leur donnerons une énorme récompense.
"Laakinir-Raasi-khuuna fil-'ilmi minhum wal-Mu'-minuuna yu'-minuuna bi-maaa 'unzila 'ilayka wa maaa 'unzila min-qablika wal-muqiimiin as-Salaata wal mu'-tuunaz-Zakaata wal-Mu'-mi-nuuna billaahi wal-Yawmil-'Aakhir: 'ulaaa 'ika sanu'-tii-him 'ajran 'aziimaa."
Le mot muqiimiin devrait être muqiimuun. Le mot devrait être décliné en "raf'a" comme les autres noms de la phrase. En plus, les deux noms qui le précèdent (Raasi-khuun et Mu'-minuun), et le nom qui suit (mu'-tuun) sont déclinés correctement. Certains ont prétendu que ce mot était décliné de cette manière pour distinguer et adorer l'acte de la prière, mais le savant Ibn al-Khatib dit que c'est un mauvais raisonnement. (al-Furqan par Mohammad M. 'abd al-Latif Ibn al-Katib, Dar al-Kutub al-'elmiyah, Beirut, p.43). Un tel raisonnement défie la logique. Pourquoi distinguer la prière, qui est une branche de la religion, et pas la foi qui est le fondement et la racine de la religion ? En plus, est-ce que cette logique s'applique aux erreurs de déclinaison des versets précédents ? Doit-on conclure que les Saabi'iin sont plus distingués que ceux qui croient, et que le Peuple du Livre ? Et pourquoi sont-ils distingués dans un verset et pas dans l'autre, comme nous avons vu ? Dieu est plus haut que cette logique douteuse. Ceci est encore une erreur grammaticale évidente.
Troisième erreur.
En 20:63
Ils dirent : "Voici deux magiciens..."
"Qaaluuu inna haazaani la-saahiraani ..."
Le mot haazaani devrait être haazayn.
Le mot haazaani a été mal décliné car le mot inna du début de la phrase implique une forme de déclinaison appelée "nasb" pour le nominatif et le "yeh" est le signe du "nasb". Ceci est la troisième erreur grammaticale.
Quatrième erreur.
En 2:177
"La bonté pieuse ne consiste pas à tourner vos visages vers le Levant ou le Couchant. Mais la bonté pieuse est de croire en Allah, au Jour dernier, ... de donner de son bien ... et de délier les jougs, d'accomplir la Salat et d'acquitter la Zakat. ..."
"Laysal-birra 'an-tuwalluu wujuuhakum qibalal-Mashriqi wal-Maghrib wa laakinnal-birra man 'aamana billaahi wal-Yawmil-'Akhiri wal-malaaa-'ikati wal-Kitaabi wan-nabiyyiin: wa 'aatal-maala 'alaa hubbihii zawilqurbaa wal-yataamaa wal-masaakiina wabnas-sabiili was-saaa-'iliina wa fir-riqaab: wa'aqaamas-Salaata wa 'aataz-Zakaata; wal-muufuuna bi'ahdihim 'izaa 'aahaduu was-Saabiriina fil-ba'-saaa'i wazzarraaa-'i ..."
Dans le verset ci-dessus, il y a 5 erreurs grammaticales. Pour quatre d'entre elles, un mauvais temps a été utilisé, car la phrase commence au présent avec le verbe tuwalluu, alors que les quatre autres verbes ont été écrits au passé :
'aaman should be tu'minuu;
'aata shoud be tu'tuu;
'aqaama should be tuqimuu;
'aata shoud be tu'tuu.
Le verset ci-dessus, lorsqu'il est traduit en anglais [note : en français][/note] comme il apparait en arabe donne : "Il n'est pas convenable que vous tourniez vos visages vers le Levant ou le Couchant. Mais convenable est celui qui a cru en Allah et au Jour dernier... et qui a donné son bien... et qui a accompli la prière et payé la Zakat."
Mais les traducteurs anglais ont respecté le temps, et les verbes "cru", "donné", "accompli" et "payé" ont été corrigés et écrits au présent (par exemple, regardez les traductions anglaises de Arberry, Pickthall, Yusuf Ali et Rodwell).
[Note : en français Hamidullah a utilisé une autre méthode pour dissimuler ce problème, il a tout mis à l'infinitif !]
La cinquième erreur est dans la mauvaise déclinaison du mot saabiriina. Il devrait être décliné saabiruuna comme le mot précédent muufuuna.
Cinquième erreur.
En 3:59
Pour Allah, Jésus est comme Adam qu'Il créa de poussière, puis Il lui dit "Sois" : et il fut.
"Inna massala 'Isaa 'indal-laahi ka-masali 'Adam; khalaqahuu min-turaabin-sum-ma qaala lahuu kun fa-yakuun."
Le verset ci-dessus traduit en anglais [note : en français] comme il apparait en arabe devrait donner : "Pour Allah, Jésus est comme Adam qu'Il créa de poussière, puis Il dit 'Sois' : et il est." Au-dessus, c'est la traduction de Pickthall note : pour la traduction française j'ai pris celle de Hamidullah. Notez bien le yakuun (est) qui apparait en arabe au présent.
Le mot yakuun ("est" en français) devrait être kana ("fut") pour être cohérent avec le temps passé utilisé pour le verbe "dire" et ceci a été corrigé par Arberry, Rodwell, Yusuf Ali [note : et donc aussi par Hamidullah !] dans leur traduction de ce verset. Ceci est la cinquième erreur.
Sixième erreur.
En 21:3
"les injustes tiennent des conversations secrètes..."
"Laahiyatan - quluubuhum. Wa 'asarrun-najwallaziin zalamuu..."
Le mot 'asarru devrait être 'asarra. La phrase ci-dessus est une phrase verbale, et la règle pour une telle phrase, où le verbe vient avant le sujet (masculin), est que le verbe soit à la troisième forme (masculine) du singulier, si le sujet actif de la phrase verbale est déclaré dans la phrase. (La même règle vaut en substituant les mots "masculin" par "féminin".) Mais le verbe dans le verset coranique est au pluriel. Pourtant la règle a bien été respectée aux versets 3:52, 10:2, 16:27, 16:35, 3:42 et 49:14.
Septième erreur.
En 22:19
"Voici deux clans adverses qui disputaient au sujet de leur Seigneur...
"haazaani Khismani 'ikhtasamuu fi rabbihim..."
En arabe, comme en anglais [note : et en français aussi], les mots sont accordés en nombre. En anglais [note : et en français] il y a deux genres : le singulier et le pluriel. Donc en anglais deux hommes sont considérés comme un pluriel. Mais en arabe, il y a trois genres : le singulier, le duel, et le pluriel. Donc en Arabe les verbes et les noms sont mis au singulier, ou au duel, ou au pluriel. Le verbe dans ce verset a été conjugué comme si le sujet était plus que duel. Mais le verset parle seulement de deux, donc la règle du duel devrait être appliquée, et le mot 'ikhtasamuu devrait être 'ikhtasamaa. Donc ceci est encore une autre erreur.
Huitième erreur.
En 49:9
"Et si deux groupes de croyants se combattent, faites la conciliation entre eux."
"wa 'in-taaa-'ifataani mi-nal-Mu'-miniinaq-tatalu fa-'aslihuu baynahumaa."
Cette erreur dans ce verset est comme la précédente. Le genre est encore duel, mais le verbe a été conjugué comme si le sujet était pluriel. Donc le verbe 'eq-tatalu devrait être écrit 'eqtatalata.
Neuvième erreur.
En 63:10
"... Seigneur! si seulement Tu m'accordais un court délai : je ferais l'aumône et serais parmi les gens de bien".
"... Rabbi law laaa 'akhartaniii 'ilaaa 'ajalin-qariibin-fa-'assaddaqa wa 'akum-minas-salihiin."
Le verbe 'akun est mal conjugué. Il devrait être écrit 'akuuna, c'est-à-dire que la dernière consonne doit avoir la voyelle "a", au lieu d'être sans voyelle, car le verbe 'akun est au subjonctif. En plus, le verbe précédent ('assaddaqa) a été correctement conjugué et est au subjonctif. La raison de cela est qu'en arabe le présent est mis au subjonctif s'il est précédé par certains mots (huruf nasebah). Un de ces mots est le mot causal "fa".
Dixième erreur.
En 91:5
Par le ciel et Celui qui l'a construit !
"was-samaaa-'i wa maa ba-naahaa."
Le mot ma en arabe est utilisé au mode impersonnel. Mais le sujet du verset est Dieu. Donc le mot qui devrait être utilisé est le mot arabe "man" (signifiant "lui qui"). Arberry a traduit ce verset ainsi: "Par le ciel et ce qui l'a construit" sous-entendant Dieu. Pickthall cependant à corrigé le mode impersonnel ("ma", ce que) et a traduit le verset par : "Par le ciel, et Celui qui l'a construit." [Note : Hamidullah a fait de même !]
De plus, Pickthall a aussi corrigé les deux versets suivants :
Et par la terre et Celui qui l'a étendue (91:6).
Et par l'âme et Celui qui l'a harmonieusement façonnée (91:7).
[Note : même chose pour Hamidullah !]
Yusuf Ali, pour contourner le problème, a traduit le verset comme suit : "Par le firmament et sa structure extraordinaire". Donc le sujet "Dieu" n'apparait pas du tout dans sa traduction. Il donne la raison de cette traduction dans une note de bas de page en disant : "Le ma masdariya en arabe, dans cette phrase et les suivantes, se traduit mieux en anglais avec des noms." Mais le mot bana in banaha n'est pas un nom mais un verbe conjugué au passé comme l'ont correctement traduit Arberry et Pickthall. Le mot ma aurait dû être man (signifiant "qui") et dans ce contexte, il aurait dû être "Qui" avec la capitale Q.
Onzième erreur.
En 41:11
Il S'est ensuite adressé au ciel qui était alors fumée et lui dit, ainsi qu'à la terre : "Venez tous deux, bon gré, mal gré." Tous deux dirent : "Nous venons obéissants."
"...faqal laha wa lel-Arad 'iteya taw'aan aw karha qalata atayna ta'e'een."
Le ciel et la terre en arabe sont des noms féminins. Le verbe utilisé dans "ils dirent" est conjugué au féminin pluriel (qalata), mais l'adjectif "obéissants" à la fin du verset est masculin pluriel (ta'e'een), enfreignant la règle voulant que les adjectifs s'accordent en nombre et en genre avec le nom auquel ils se rapportent, donc ta'e'een qui est utilisé au pluriel devrait être ta'e'atain qui est au féminin duel.
Douzième erreur.
En 7:56
... la miséricorde d'Allah est proche des bienfaisants.
"... inna rahmata Allahi qaribun min al-mohseneen."
Le verset est à la forme nominale. Dans ce cas, le prédicat devrait être accordé en genre au sujet (rahmata) de la forme nominale. Le mot qaribun (signifiant "proche") se rapporte à rahmata Allahi ("la miséricorde d'Alahh"), donc ils devraient correspondre en genre. Mais ce n'est pas le cas dans le texte arabe. Rahmata est féminin en arabe et donc le mot qaribun (qui est masculin) devrait être qaribah (sa forme féminine).
Cette règle a été correctement observée dans d'autres versets du Coran. Par exemple, en 9:40, nous lisons : "Kalemat ul-llah heya al-'ulya." Ici, les deux mots Kalemat et heya sont féminins. Dire à la place : "Kalemat ul-llah howa al-'a'la" ne serait jamais correct. Ce serait tout aussi erroné que de dire : "... inna rahmata Allahi qaribun min ..."
Treizième erreur.
En 7:160
"Nous les répartîmes en douze tribus..."
"wa qata'nahom 'ethnata 'ashrata asbatan."
À la place de asbatan on devrait lire sebtan.
Dans le texte arabe, il est dit littéralement "douze tribus". Ceci est correct en anglais mais pas en arabe. En arabe, il devrait être écrit "douze tribu" [note : tribu au singulier] car le nom qui est dénombré à l'aide d'un nombre supérieur à dix doit être singulier. Cette règle est respectée par exemple dans les versets : 7:142, 2:60, 5:12, 9:36 et 12:4.
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Le Coran contient des phrases qui sont incomplètes et incompréhensibles sans l'adjonction de commentaires ; des mots étrangers, des mots arabes non familiers, et des mots utilisés avec un autre sens que leur sens normal. Des adjectifs et les verbes sont déclinés sans observer les règles d'accord en genre et en nombre. Des pronoms sont utilisés de manière illogique et sans respect des règles de grammaire, ou bien sans référant. Des prédicats dans les passages rythmés sont souvent déconnectés du sujet... En résumé, plus d'une centaine d'aberrations coraniques déviant des règles et des structures normales ont été répertoriées... ('Ali Dashti, 23 Ans : Une Étude de la Carrière Prophétique de Mohammed, Mazda Publishers, Costa Mesa, California, 1994, pages 48,50)
Ainsi, ce qui précède représente juste un petit bout, il y aurait beaucoup d'autre choses à dire.
Certaines des erreurs mentionnées ci-dessus ne sont pas la découverte de critiques modernes. Elles sont connues depuis le premier siècle de l'islam par les plus proches fidèles de Mohammed. Il est rapporté que Othman, après avoir vu la première copie standard du Coran, a dit : "Je vois des erreurs grammaticales dedans, et les Arabes le liront correctement dans leurs langues." [4] Le savant musulman Ibn al-Khatib qui a cité ce qui précède dans son livre al-Furqan, a mentionné une autre tradition sur l'autorité de 'Aa'isha, une des femmes du Mohammed, qui a dit : "Il y a trois erreurs de grammaire dans le Livre d'Allah. Ce sont les fautes des scribes :
En 20:63 :
"Qaaluuu inna haazaani la-saahiraani ..."
En 5:69 :
"Innal-laziina 'aamanuu wal-laziina haaduu was-Saabi'uuna wan-Nasaaraa man 'aamana bilaahi wal-Yawmil-'Aakhiri wa 'amila saali-hanfalaa khaw-fun 'alay-him wa laa hum yah-zanuun."
Et en 4:162 :
"Laakinir-Raasi-khuuna fil-'ilmi minhum wal-Mu'-minuuna yu'-minuuna bi-maaa 'unzila 'ilayka wa maaa 'unzila min-qablika wal-muqiimiin as-Salaata wal mu'-tuunaz-Zakaata wal-Mu'-mi-nuuna billaahi wal-Yawmil-'Aakhir: 'ulaaa 'ika sanu'-tii-him 'ajran 'aziimaa." [5]
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Deux commentaires doivent être faits.
Premièrement : les Musulmans prétendent que le Coran que nous avons aujourd'hui entre les mains est ce qui fut révélé à Mohammed à l'origine, sans aucune modification, ne serait-ce que d'une seule lettre. Cependant, il y a des erreurs grammaticales dans le Coran actuel. Face à ces erreurs, il faut choisir entre deux possibilités. Ou bien le Coran original fut révélé avec ces erreurs, ou bien ces erreurs resultent d'erreurs faites par les scribes en copiant le Coran. Il n'y a pas d'autres possibilités. Comme la première possibilité est impensable, la seconde est la seule explication logique. Mais cela signifie aussi qu'il n'est pas vrai que le Coran que nous avons entre les mains est "la seule écriture inspirée qui nous soit parvenue intacte comme révélée au prophète, et qu'il n'y a eu aucune modification du texte, que la pureté originelle du langage est restée intacte."
Deuxièmement : Si les erreurs mentionnées ci-dessus se trouvaient dans un article devant être publié, elles seraient corrigées. Un article comportant ces erreurs ne pourrait être considéré comme un chef-d'oeuvre.
Le Coran, à cause de ces erreurs, n'est donc même pas un chef-d'oeuvre. Si, d'un point de vue humain, le Coran ne peut être considéré comme un chef-doeuvre, qui peut honnêtement le considérer comme un miracle littéraire divin ?