Posté : 04 déc.04, 06:49
Cher Sébastien,
Si à ton avis, quiconque n'a pas la même opinion que toi souffre d'une lacune d'intelligence, alors je ne sais pas lequel de nous est le plus enfermé dans ses opinions.
Mais je veux bien me taire pour le moment et laisser parler d'autres personnes peut-être mieux placées que moi.
______________________________________________
d) L’adoption d’enfants
Selon les récentes analyses quantitatives de Lerner et Nagai, 49 études américaines,
favorables à l’éducation homoparentale, comportent toutes au moins une erreur fatale
(échantillon non-représentatif, hypothèse imprécise, objectifs politiques avoués...) suffisante
pour les rendre statisquement invalides. Selon les chercheurs, ces études, constamment
évoquées par les groupes homosexuels américains, européens et canadiens, ne devraient pas
être utilisées pour influencer les politiques des gouvernements concernés.
L’éducation homoparentale comporte des risques spécifiques et n’est pas l’équivalent de
l’éducation hétérosexuelle. Les familles de couples homosexuels sont beaucoup plus instables,
enclins à la violence, au suicide et aux abus d’alcool et de drogues. Plusieurs chroniqueurs et
chercheurs homosexuels notent que l'instabilité et la promiscuité sexuelle du couple gai restent
la norme.
Selon trois études récentes parues dans Archives of General Psychiatry , les homosexuels
souffrent davantage de problèmes psychologiques en plus des pathologies spécifiques
associées à leur mode de vie. Avant la découverte du sida, l'étude américaine de Bell
démontrait que 43% des homosexuels avaient plus de 500 partenaires au cours de leur vie et
28% en avaient plus de 1000. Une étude plus récente de Kaslow (échantillon de 5000
hommes gais) indique qu'entre 69 et 83% des homosexuels ont plus de 50 partenaires alors
que l'étude de Michael confirme cette moyenne et indique que les hétérosexuels en ont quatre.
Le développement de l'enfant est fort compliqué et très fragile. Plusieurs millions d’années
d’hétérosexualité expliquent l’humanité actuelle. Le phénomène de la famille parentale à deux
hommes ou deux femmes est nouveau et incertain. Les jeunes enfants n'ont pas à essayer de
comprendre ou à expliquer pourquoi ils ont deux pères ou deux mères. La confusion est déjà
trop grande. Au Canada, nombre d'enfants grandissent dans des familles éclatées,
abandonnées ou reconstituées parce que la famille traditionnelle est dévalorisée et, à
l’occasion, ridiculisée.
Source:
http://www.crin.org/docs/resources/trea ... ort(F).pdf (Il faut copier-coller manuellement l'adresse dans Internet Explorer)
...il semble très difficile de déceler les causes spécifiques de l'homosexualité. Les causes sont peut-être différentes pour chacun. Il est probable d'ailleurs qu'une combinaison de facteurs jouent chaque fois. Les facteurs biologiques prédisposent sans être déterminants. Les facteurs sociologiques comptent quand ils portent sur un terrain préparé. Le plus important est probablement le facteur psychologique; ce qui dénote l'importance de l'éducation, dès le plus jeune âge.
(...)
Le rôle de la mère est ici le plus important (dans l'éducation); mais c'est autant par la façon dont elle est femme et épouse que par celle dont elle est mère.
(...)
NATURE DE L'HOMOSEXUALITÉ
- Voie normale ou déviation?
Certains prétendent que l'homosexualité serait une autre voie pour vivre sa sexualité, tout aussi normale que la voie hétérosexuelle. Si l'on a priviligié l'une sur l'autre, c'est sans raison réelle, cela ne tient qu'à la culture et aux préjugés. (...)
Cette théorie est propagée par certains scientifiques, notamment des scientifiques uraniens, qui se basent sur la théorie freudienne de la bisexualité et ne se gênent pas pour "dépasser" considérablement leur maître là-dessus.
Selon le psychiatre Eck, cette théorie de la bisexualité est insoutenable depuis certaines découvertes plus récentes. Aussi a-t-elle été généralement abandonnée. Il n'y a pas, au début du développement humain, d'être bisexué qui pourrait se développer indifféremment dans un sens ou dans l'autre. Tout au plus peut-on dire que l'être humain passe par une période fragile où la libido risque de se fixer sur un objet de sexe identique. Le deéveloppement de l'être humain va dans le sens de l'hérérosexualité. Les phases connues du développement (phases autoérotiques anale, orale, génitale, suivies des phases hérétoérotiques homosexuelles et hétérosexuelles ) ne sont pas un simple résultat de l'éducation, mais relèvent de la "nature": elle correspondent à une orientation inscrite en l'être. (...) L'instinct sexuel lui-même pousse d'ailleurs vers l'hétérosexualité. L'indication fournie par la vie des animaux ne fait que confirmer l'expérience humaine commune. La dimension procréatrice de la sexualité, enfin, confirme cette affirmation. Non pas qu'il faille réduire la sexualité au processus reproducteur (...), mais on ne peut, non plus, éliminer de la sexualité cette composante essentielle.
Tout cela est confirmé d'ailleurs par les recherches philosophiques sur la description de l'être humain en terme de "relation", et sur le sens de l'altérité: la personne de sexe différent constituant l'autre par excellence. Cela est confirmé également par les recherches psychologiques sur l'importance, au plan de la maturité, de la relation aux autres et particulièrement de la relation aux personnes de l'autre sexe.
C'est donc dire que l'homosexualité résulte d'une anomalie dans le développement normal de l'être humain. Tout au plus peut-on dire qu'elle constitue une phase normale de l'évolution psycho-affective, mais une phase passagère qui correspond à une absence d'intégration de toutes les dimensions de l'être humain. (...) "C'est dans ma nature d'être ainsi", objecte l'homosexuel. Oui, mais à la lumière de l'anatomie, de la psychologie et des autres sciences humaines, cette nature est une anormalité.
Cette déviation est greffée soit sur une immaturation psycho-sexuelle (blocage, fixation à un stade infantile de la sexualité), soit sur une régression à un stade auto-érotique antérieur.
(...) Le docteur Edmund Bergler qui a une longue expérience auprès des homosexuels n'est pas hésitant. (...) L'homosexualité est une catégorie psychiatrique spéciale avec des traits spécifiques (plus ou moins inconscients):
- L'attitude du "collecteur d'injustice", avec la tendance à provoquer inconsciemment des situations qui permettent d'être victime, d'être humilié et rejeté;
- La peur de l'autre sexe, malgré les apparences contraires au niveau des rationnalisations conscientes;
- Le goût masochiste du risque, y compris le risque d'emprisonnement;
- Une jalousie extrême, violente et irrationnelle, manifestée par les querelles à n'en plus finir entre partenaires;
- L'instabilité profonde, qui se manifeste également dans la jalousie morbide ci-dessus mentionnée. Instabilité qui dépend pour une part des exigences incroyables et de la possessivité sans limite qu'ils s'arrogent par rapport à leur partenaire;
- La mégalomanie, c'est-à-dire la tendance à penser (et parfois à dire) que dans le fond tous les humains sont homosexuels et que les hétérosexuels n'osent tout simplement pas l'avouer. D'où une tendance à glorifier l'homosexualité comme sommet de l'amitié.
- Une agressivité névrotique qui identifie l'autre à un modèle menaçant vécu dans l'enfance;
- L'infantilisme de la sexualité, càd l'existence des attitudes de des façons de réagir par rapport au sexe qui sont le propre de l'enfance;
- Le masochisme psychique fondamental dont on retrouve bien les traits: peur de mourir de faim, peur d'être dévoré, peur d'être emprisonné, peur d'être étouffé, peur d'être coupé en morceaux, d'être vidé, d'être castré;
- un sentiment profond de culpabilité, inhérent à la déviation.
On peut facilement objecter à cette sombre description que les médecins et psychiatres ne connaissent pas des homosexuels représentatifs du milieu: ils ne travaillent qu'Avec des sujets détectés par la police ou les hôpitaux. Les psychiatres se défendent bien de ce reproche. Le docteur J. Beaudouard a travaillé sur un échantillonnage de 146 cas de comportement homosexuel, dans une population masculine jeune (moyenne 19.5 ans), composé ni de malades envoyés comme tels par des confrères aux hôpitaux, ni de sujets névrosés venant consulter d'eux-mêmes, ni de détraqués sexuels qui avaient eu affaire avec la police. Tous les sujets de cette nature ont été éliminés de son investigation. Sa conclusion rejoint pourtant celle de Bergler (la précédente).
PRÉVENTION
Si la thérapie est difficile, voire même impossible en bien des cas, il vaut cent fois mieux essayer de prévenir. Beaudouard a écrit un long chapitre justement sur la possibilité et les moyens de prévention. Cette prévention (...) repose d'abord sur les parents puis sur les éducateurs: rôle de la mère, rôle du père, danger d'être enfant unique, importance des jeux, risque d'une amitié d'adolescent avec une personne plus agée, etc. (...) une meilleure éducation "aurait pu empêcher l'évolution vers la déviation sexuelle pour plus de deux tiers d'entre eux."
Source: Guy Durand, SEXUALITÉ ET FOI, Fides, collection héritage et projet, numéro 19, 430p.
Si à ton avis, quiconque n'a pas la même opinion que toi souffre d'une lacune d'intelligence, alors je ne sais pas lequel de nous est le plus enfermé dans ses opinions.
Mais je veux bien me taire pour le moment et laisser parler d'autres personnes peut-être mieux placées que moi.
______________________________________________
d) L’adoption d’enfants
Selon les récentes analyses quantitatives de Lerner et Nagai, 49 études américaines,
favorables à l’éducation homoparentale, comportent toutes au moins une erreur fatale
(échantillon non-représentatif, hypothèse imprécise, objectifs politiques avoués...) suffisante
pour les rendre statisquement invalides. Selon les chercheurs, ces études, constamment
évoquées par les groupes homosexuels américains, européens et canadiens, ne devraient pas
être utilisées pour influencer les politiques des gouvernements concernés.
L’éducation homoparentale comporte des risques spécifiques et n’est pas l’équivalent de
l’éducation hétérosexuelle. Les familles de couples homosexuels sont beaucoup plus instables,
enclins à la violence, au suicide et aux abus d’alcool et de drogues. Plusieurs chroniqueurs et
chercheurs homosexuels notent que l'instabilité et la promiscuité sexuelle du couple gai restent
la norme.
Selon trois études récentes parues dans Archives of General Psychiatry , les homosexuels
souffrent davantage de problèmes psychologiques en plus des pathologies spécifiques
associées à leur mode de vie. Avant la découverte du sida, l'étude américaine de Bell
démontrait que 43% des homosexuels avaient plus de 500 partenaires au cours de leur vie et
28% en avaient plus de 1000. Une étude plus récente de Kaslow (échantillon de 5000
hommes gais) indique qu'entre 69 et 83% des homosexuels ont plus de 50 partenaires alors
que l'étude de Michael confirme cette moyenne et indique que les hétérosexuels en ont quatre.
Le développement de l'enfant est fort compliqué et très fragile. Plusieurs millions d’années
d’hétérosexualité expliquent l’humanité actuelle. Le phénomène de la famille parentale à deux
hommes ou deux femmes est nouveau et incertain. Les jeunes enfants n'ont pas à essayer de
comprendre ou à expliquer pourquoi ils ont deux pères ou deux mères. La confusion est déjà
trop grande. Au Canada, nombre d'enfants grandissent dans des familles éclatées,
abandonnées ou reconstituées parce que la famille traditionnelle est dévalorisée et, à
l’occasion, ridiculisée.
Source:
http://www.crin.org/docs/resources/trea ... ort(F).pdf (Il faut copier-coller manuellement l'adresse dans Internet Explorer)
...il semble très difficile de déceler les causes spécifiques de l'homosexualité. Les causes sont peut-être différentes pour chacun. Il est probable d'ailleurs qu'une combinaison de facteurs jouent chaque fois. Les facteurs biologiques prédisposent sans être déterminants. Les facteurs sociologiques comptent quand ils portent sur un terrain préparé. Le plus important est probablement le facteur psychologique; ce qui dénote l'importance de l'éducation, dès le plus jeune âge.
(...)
Le rôle de la mère est ici le plus important (dans l'éducation); mais c'est autant par la façon dont elle est femme et épouse que par celle dont elle est mère.
(...)
NATURE DE L'HOMOSEXUALITÉ
- Voie normale ou déviation?
Certains prétendent que l'homosexualité serait une autre voie pour vivre sa sexualité, tout aussi normale que la voie hétérosexuelle. Si l'on a priviligié l'une sur l'autre, c'est sans raison réelle, cela ne tient qu'à la culture et aux préjugés. (...)
Cette théorie est propagée par certains scientifiques, notamment des scientifiques uraniens, qui se basent sur la théorie freudienne de la bisexualité et ne se gênent pas pour "dépasser" considérablement leur maître là-dessus.
Selon le psychiatre Eck, cette théorie de la bisexualité est insoutenable depuis certaines découvertes plus récentes. Aussi a-t-elle été généralement abandonnée. Il n'y a pas, au début du développement humain, d'être bisexué qui pourrait se développer indifféremment dans un sens ou dans l'autre. Tout au plus peut-on dire que l'être humain passe par une période fragile où la libido risque de se fixer sur un objet de sexe identique. Le deéveloppement de l'être humain va dans le sens de l'hérérosexualité. Les phases connues du développement (phases autoérotiques anale, orale, génitale, suivies des phases hérétoérotiques homosexuelles et hétérosexuelles ) ne sont pas un simple résultat de l'éducation, mais relèvent de la "nature": elle correspondent à une orientation inscrite en l'être. (...) L'instinct sexuel lui-même pousse d'ailleurs vers l'hétérosexualité. L'indication fournie par la vie des animaux ne fait que confirmer l'expérience humaine commune. La dimension procréatrice de la sexualité, enfin, confirme cette affirmation. Non pas qu'il faille réduire la sexualité au processus reproducteur (...), mais on ne peut, non plus, éliminer de la sexualité cette composante essentielle.
Tout cela est confirmé d'ailleurs par les recherches philosophiques sur la description de l'être humain en terme de "relation", et sur le sens de l'altérité: la personne de sexe différent constituant l'autre par excellence. Cela est confirmé également par les recherches psychologiques sur l'importance, au plan de la maturité, de la relation aux autres et particulièrement de la relation aux personnes de l'autre sexe.
C'est donc dire que l'homosexualité résulte d'une anomalie dans le développement normal de l'être humain. Tout au plus peut-on dire qu'elle constitue une phase normale de l'évolution psycho-affective, mais une phase passagère qui correspond à une absence d'intégration de toutes les dimensions de l'être humain. (...) "C'est dans ma nature d'être ainsi", objecte l'homosexuel. Oui, mais à la lumière de l'anatomie, de la psychologie et des autres sciences humaines, cette nature est une anormalité.
Cette déviation est greffée soit sur une immaturation psycho-sexuelle (blocage, fixation à un stade infantile de la sexualité), soit sur une régression à un stade auto-érotique antérieur.
(...) Le docteur Edmund Bergler qui a une longue expérience auprès des homosexuels n'est pas hésitant. (...) L'homosexualité est une catégorie psychiatrique spéciale avec des traits spécifiques (plus ou moins inconscients):
- L'attitude du "collecteur d'injustice", avec la tendance à provoquer inconsciemment des situations qui permettent d'être victime, d'être humilié et rejeté;
- La peur de l'autre sexe, malgré les apparences contraires au niveau des rationnalisations conscientes;
- Le goût masochiste du risque, y compris le risque d'emprisonnement;
- Une jalousie extrême, violente et irrationnelle, manifestée par les querelles à n'en plus finir entre partenaires;
- L'instabilité profonde, qui se manifeste également dans la jalousie morbide ci-dessus mentionnée. Instabilité qui dépend pour une part des exigences incroyables et de la possessivité sans limite qu'ils s'arrogent par rapport à leur partenaire;
- La mégalomanie, c'est-à-dire la tendance à penser (et parfois à dire) que dans le fond tous les humains sont homosexuels et que les hétérosexuels n'osent tout simplement pas l'avouer. D'où une tendance à glorifier l'homosexualité comme sommet de l'amitié.
- Une agressivité névrotique qui identifie l'autre à un modèle menaçant vécu dans l'enfance;
- L'infantilisme de la sexualité, càd l'existence des attitudes de des façons de réagir par rapport au sexe qui sont le propre de l'enfance;
- Le masochisme psychique fondamental dont on retrouve bien les traits: peur de mourir de faim, peur d'être dévoré, peur d'être emprisonné, peur d'être étouffé, peur d'être coupé en morceaux, d'être vidé, d'être castré;
- un sentiment profond de culpabilité, inhérent à la déviation.
On peut facilement objecter à cette sombre description que les médecins et psychiatres ne connaissent pas des homosexuels représentatifs du milieu: ils ne travaillent qu'Avec des sujets détectés par la police ou les hôpitaux. Les psychiatres se défendent bien de ce reproche. Le docteur J. Beaudouard a travaillé sur un échantillonnage de 146 cas de comportement homosexuel, dans une population masculine jeune (moyenne 19.5 ans), composé ni de malades envoyés comme tels par des confrères aux hôpitaux, ni de sujets névrosés venant consulter d'eux-mêmes, ni de détraqués sexuels qui avaient eu affaire avec la police. Tous les sujets de cette nature ont été éliminés de son investigation. Sa conclusion rejoint pourtant celle de Bergler (la précédente).
PRÉVENTION
Si la thérapie est difficile, voire même impossible en bien des cas, il vaut cent fois mieux essayer de prévenir. Beaudouard a écrit un long chapitre justement sur la possibilité et les moyens de prévention. Cette prévention (...) repose d'abord sur les parents puis sur les éducateurs: rôle de la mère, rôle du père, danger d'être enfant unique, importance des jeux, risque d'une amitié d'adolescent avec une personne plus agée, etc. (...) une meilleure éducation "aurait pu empêcher l'évolution vers la déviation sexuelle pour plus de deux tiers d'entre eux."
Source: Guy Durand, SEXUALITÉ ET FOI, Fides, collection héritage et projet, numéro 19, 430p.