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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Mormon a écrit :
Oui, je suis là. Je n'ai pas compris la question.
Avant tout sache que Jésus connaissait sa fin dès le début, mais entre le savoir et le vivre c'est une toute autre chose.
Lorsqu'il souffrit dans le jardin pour nos péchés, ils ne pouvaient même pas prier pour recevoir de l'aide, il devait se débrouiller seul pour racheter la création. Il en fut de même sur la croix... avec la torture physique en +.
Qu'il ait posé la question "Pourquoi m'as-tu abandonné" alors qu'il aurait pu choisir de mourir pour être délivré, lui rappela par cette parole prophétique que tout était accompli et qu'il avait la permission d'enfin mourir.
Bonjour Mormon,
Une petite question, le dogme du péché originel était il enseigné aux apotres par Jésus ???
Quel est le commandement le plus important de tous? Jésus répondit:
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
« D’après Abu Hurayra : Le Prophète a dit , ‘Adam et Moïse se sont disputés l’un avec l’autre. Moïse a dit à Adam. ‘O Adam ! Vous êtes notre père qui NOUS A DÉÇU ET NOUS A SORTI DU PARADIS.’ »
" Alors Adam lui a dit, ’O Moïse ! Allah vous a préféré avec Sa conversation (vous a parlé directement) et Il a écrit (la Torah) pour vous avec Sa Propre Main. Me reprochez-vous l’action qu’ALLAH AVAIT ÉCRITE DANS MON DESTIN quarante ans avant ma création ? "
(Sahih al-Bukhari, Volume 8, Livre 77, N° 611
Péché Originel ?
Décret divin ?
Fait attention a ce que tu va répondre car si tu dit " décret divin " et bien tout serial killers , assassins , violeurs , pervers , mécréants etc.... secret tout simplement un décret divin par avance d'Allah donc ont ne pourrait aucunement imputé la faute a ses gens là car se serait Allah qui en aurait décidé ainsi .
Ont remarque quoi dans ce texte ? déjà que moïse reproche a Adam de nous avoir déçu en commettant le péché ce qui a eu pour conséquence d'avoir sortie du paradis toute sa descendance c'est a dire nous tous .
Il y a donc ici la notion du péché originel
Adam par la suite s'en défend , en disant a Moïse " Me reprochez-vous l’action qu’ALLAH AVAIT ÉCRITE DANS MON DESTIN quarante ans avant ma création ? " ( ont y voit ici le coup de mettre des fondateurs de L'islam qui pour effacer cette notion, ont fait répliquez Adam de la sorte. ) .
Problème car dans ce cas de figure et bien c'est Allah qui a décrété la chute d'Adam et nous entrons dans le décret divin .
Jean 14 14 Si vous me demandez quelque chose en mon nom, je le ferai
Jésus n'est pas mort pour expier les péchés de l'humanité ?
La croyance chrétienne est basée principalement sur la rédemption des péchés par la mort de Jésus , impliquant
le fait que la venue de Jésus est synonyme d'expiation des péchés . Cependant le principal interessé annonce
lui-même le contraire en enseignant la chose suivante :
Jean 15/22 [ Jésus dit ]
« Si je n'était pas venu et ne leur avais pas parle ils n'auraient pas de péchés , mais maintenant i ls n'ont pas d'excuse à leur péchés »
La parole de Jésus exposé en amont est explicite sur le fait que l'expiation des péchés du peuple aurait été
effective si sa mission n'aurait pas eu lieu « Si je n'était pas venu … ils n'auraient pas de péchés » .
Par conséquent Jésus annonce qu'il n'est pas venue au sein de son peuple pour expier ses péchés mais pour au
contraire leur ôter toute excuse face à leurs péchés . Un passage de l'épitre aux hébreux confirme la parole de
Jésus concernant le fait que sa mise à mort n'entraine aucune expiation des péchés mais qu'au contraire elle est
synonyme du désaveux de cette redemption :
Epitre aux Hébreux 10/26 à 31
« Car si nous péchons volontairement, après avoir reçu la connaissance de la vérité , il n'y a plus de sacrifice pour les péchés.
Il y a, au contraire, une perspective redoutable, celle du jugement et d'un courroux de feu qui doit dévorer les rebelles.
Quelqu'un rejette-t-il la Loi de Moïse ? Impitoyablement il est mis à mort sur la déposition de deux ou trois témoins.
D'un châtiment combien plus grave sera jugé digne, ne pensez-vous pas, celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu,
tenu pour profane le sang de l'alliance dans lequel il a été sanctifié, et outragé l'Esprit de la grâce ?
Nous connaissons, en effet, celui qui a dit : Ä moi la vengeance. C'est moi qui rétribuerai. Et encore : Le Seigneur jugera son peuple. Oh ! chose effroyable que de tomber aux mains du Dieu vivant ! »
(74.1) La véritable explication de ce sujet est très difficile. Sachez qu'il y a deux sortes de créatures : les matérielles et les spirituelles, celles qui sont perceptibles et celles qui sont intelligibles; c'est-à-dire que les unes tombent sous les sens, et les autres n'y tombent pas et sont intelligibles.
(74.2) Les choses perceptibles sont celles qui sont comprises par les cinq sens extérieurs; ainsi, ces choses extérieures que l'oeil voit sont dites perceptibles. Les choses intelligibles sont celles qui n'ont pas d'existence extérieure : l'intelligence les conçoit.
(74.3) Par exemple, l'intelligence elle-même est une chose intelligible; elle n'a pas d'existence extérieure. Tous les caractères et les qualités de l'homme ont une réalité intelligible, non sensible.
(74.4) Bref, les réalités intelligibles, comme les qualités et les admirables perfections de l'homme, sont exclusivement bonnes; elles existent, et le mal est leur non-existence.
(74.5) Ainsi, l'ignorance est la non-existence du savoir, la perdition est la non-existence du salut, l'oubli, la non-existence de la mention, la bêtise, , la non-existence du bon sens. Toutes ces choses sont des néants et non pas des choses qui existent.
(74.6) Et de même pour les choses sensibles : celles-là aussi sont purement bonnes; le mal est leur non-existence. Ainsi la cécité est le manque de vue, la surdité le manque d'ouïe, la pauvreté le manque de richesse, la maladie le manque de santé, la mort le manque de vie, la faiblesse le manque de force.
(74.7) Pourtant, un doute vient à l'esprit : le scorpion, le serpent sont des animaux venimeux; est-ce un bien ou un mal, car ils sont des choses existantes ? Oui, le scorpion est un mal, du moins par rapport à nous; et de même le serpent. Mais par rapport à eux-mêmes, ils ne sont pas un mal, car leur venin est leur arme; par leur dard, ils se protègent. Cependant, comme les éléments de ce poison ne conviennent pas à nos éléments, comme il y a non-affinité entre ces deux sortes d'éléments, cela devient un mal; en contact les uns avec les autres, ces éléments sont un mal; mais en réalité ils sont un bien.
(74.8) Bref, il se peut qu'une chose, par rapport à une autre, soit un mal; mais dans la limite de sa propre essence, elle n'est pas mauvaise.
(74.9) Il est donc prouvé que le mal n'existe pas; tout ce que Dieu a créé, il l'a bien créé. Le mal est le néant : ainsi, la mort est le néant de la vie; lorsque le secours de la vie ne parvient plus à l'homme, il meurt. L'obscurité est le néant de la lumière, quand il n'y a pas de lumière, l'obscurité règne : la lumière existe, mais l'obscurité n'existe pas, c'est un néant. La richesse existe, mais la pauvreté est un néant. Donc, il est évident que tous les maux reviennent au néant. Le bien existe, le mal n'existe pas.
Comme tous meurent par Adam de même tous revivront par Christ"
(29.1) Sachez qu'il y a deux natures dans l'homme : la nature corporelle et la nature spirituelle. La nature corporelle est l'héritage d'Adam, et la nature spirituelle est l'héritage de la réalité du Verbe de Dieu, de la spiritualité du Christ. ( voir aussi: Renvoi 518)
(29.2) La nature corporelle est née d'Adam, la nature spirituelle, de la bonté du Saint-Esprit; celle-là est la source de toute imperfection, celle-ci est la cause de toute perfection.
(29.3) Le Christ s'est sacrifié lui-même pour affranchir les hommes des imperfections de la nature corporelle, et les parer des vertus de la nature spirituelle.
(29.4) Cette nature spirituelle, qui vient de la bonté de la réalité de Dieu, est l'union de toutes les perfections, et existe par les souffles du Saint-Esprit : elle consiste dans les perfections divines, la lumière, la spiritualité, la direction, l'exaltation, les nobles efforts, la justice, l'amour, la bienfaisance, la charité envers le prochain, la philanthropie, en un mot l'essence de la vie. C'est la réflexion de la splendeur du Soleil de Vérité.
(29.5) Le Christ est le point central du Saint-Esprit, il est né du Saint-Esprit, il est suscité par lui, il est de sa descendance.
(29.6) C'est-à-dire que la réalité du Christ ne descend pas d'Adam, elle est fille du Saint-Esprit. Donc, le verset 22 du chapitre XV de l'épître de Paul aux Corinthiens où il est dit : "Comme tous meurent par Adam, de même tous revivront par Christ", veut dire que, selon la terminologie consacrée(a), Adam était le père de l'homme, c'est-à-dire fut la cause de la vie physique de l'humanité. Il a la paternité physique; il est une âme vivante, mais il n'est pas donneur de vie(b). ( voir aussi: Renvoi 518)
(29.7) Le Christ, au contraire, est la cause de la vie spirituelle de l'homme, et au point de vue de l'esprit il a la paternité spirituelle. Adam est l'âme vivante, le Christ est l'esprit vivifiant.
(29.8) Ce monde physique représente pour l'homme les facultés des sens, et c'est des exigences de ces facultés que viennent les péchés, car elles ne sont pas soumises aux lois de la justice et de la sainteté. Le corps de l'homme est prisonnier de la nature, tous ses mouvements ont pour but la satisfaction de ses exigences.
(29.9) Il est donc évident que des péchés existent dans le monde corporel, tels la colère, la jalousie, la dispute, l'avidité, l'avarice, l'ignorance, la tromperie, l'orgueil, la cruauté. Tous ces défauts existent dans la création de l'homme.
(29.10) Un homme qui n'a pas reçu une éducation spirituelle est une brute; par exemple, les peuplades de l'Afrique dont les actes, les habitudes, les caractères sont purement dirigés par les sens, n'agissent que pour satisfaire les exigences de leur nature, au point de se lacérer et de se manger entre eux.
(29.11) Il est donc établi que le monde physique de l'homme est un monde de péchés. Dans ce monde physique, l'homme ne diffère pas de l'animal.
(29.12) Tout péché vient des exigences de la nature, et ces exigences naturelles spéciales au corps, qui ne constituent pas des péchés pour l'animal, en constituent pour l'homme.
(29.13) L'animal est la source des imperfections, comme la colère, la sensualité, la jalousie, l'avarice, la cruauté, l'orgueil; tous les défauts réprouvés se rencontrent chez l'animal, mais ne constituent pas, en ce qui le concerne, des péchés. Ils en constituent pour l'homme.
(29.14) Adam fut la cause de la vie physique de l'homme, mais la réalité du Christ, c'est-à-dire le Verbe de Dieu, fut la cause de sa vie spirituelle.
(29.15) Il est l'esprit vivifiant, c'est-à-dire que, grâce aux instructions et à l'éducation de cet esprit unique, toutes les imperfections provenant des exigences de la vie physique de l'homme sont transformées en perfections humaines. Donc le Christ était l'esprit vivifiant et la cause générale de la vie spirituelle.
(29.16) Adam était la cause de la vie physique. Et comme le monde physique de l'homme est un monde d'imperfections, et que les imperfections sont la source de la mort, Paul a comparé les imperfections physiques à la mort.
(29.17) Mais l'Eglise chrétienne croit que, comme Adam a mangé du fruit défendu, il a commis une faute et a désobéi, et que la calamité et le désastre de cette désobéissance ont été transmis comme un héritage, et fixés successivement sur toute sa postérité. Adam est alors devenu la cause de la mort de l'humanité.
(29.18) Cette interprétation est inintelligente et, évidemment, erronée. Car elle tend à dire que tous les hommes, même les prophètes et les envoyés de Dieu, sans commettre de faute ni de péché, uniquement parce qu'ils sont de la postérité d'Adam, sont devenus sans raison des coupables et des pécheurs, et que, jusqu'au jour du sacrifice du Christ, ils ont été retenus dans l'enfer aux châtiments terribles, ce qui serait bien loin de la justice divine!
(29.19) En admettant qu'Adam fût un pécheur, quel est le péché d'Abraham ? quelle est la faute d'Isaac, de Joseph ? de quoi Moïse est-il coupable ?
(29.20) Quant au Christ, qui était le Verbe de Dieu, et qui est sacrifié, cela a une double signification, l'une apparente, l'autre réelle.
(29.21) La première c'est que, comme le Christ voulait promulguer une cause qui devait éduquer l'humanité, éveiller les enfants d'Adam, et illuminer toute la création, que la promulgation d'une cause aussi grande le mettait en opposition avec tous les peuples de la terre, et en révolte contre toutes les races et toutes les nations, le sang devait forcément couler, et il devait forcément être tué et crucifié.
(29.22) Aussi, le Christ, en proclamant sa cause, a-t-il sacrifié sa vie : il a regardé la croix comme son trône, la blessure comme un baume, et le poison comme du miel et du sucre.
(29.23) Il s'est adonné à l'éducation et à l'instruction des hommes, et ainsi, il s'est sacrifié pour donner aux hommes l'esprit de vie, pour être détruit dans son corps, afin de faire revivre les autres par l'esprit.
(29.24) La seconde signification du sacrifice est que le Christ fut comme la graine. Cette graine a sacrifié sa propre forme afin que l'arbre puisse croître et se développer. Bien que la forme de la graine soit détruite, sa réalité devient apparente dans la grandeur et la beauté les plus parfaites, dans la forme de l'arbre.
(29.25) Le rang du Christ était la perfection absolue : il fit briller ces perfections divines, comme le soleil, sur tous ceux qui crurent en lui; et les bienfaits de la lumière brillèrent et resplendirent dans la réalité des hommes.
(29.26) C'est pour cela qu'il dit : "Je suis le pain descendu du ciel : quiconque mangera de ce pain ne mourra pas." C'est-à-dire quiconque prendra sa part de cette nourriture divine parviendra à la vie éternelle, autrement dit, quiconque aura une part de cette bonté et obtiendra ces perfections, trouvera la vie éternelle, aura en abondance les bienfaits antiques, sera affranchi des ténèbres de l'erreur, et sera illuminé par les lumières de la direction. ( voir aussi: Renvoi 519)
(29.27) La forme de cette graine fut sacrifiée pour l'arbre : mais les perfections de cette graine, par suite du sacrifice, devinrent manifestes et évidentes. Car l'arbre, les branches, les feuilles et les fleurs étaient cachés et enfermés dans la graine. Lorsque la forme de celle-ci faut sacrifiée, ses perfections apparurent dans la plus parfaite manifestation, sous la forme des feuilles, des fleurs et des fruits.
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
voici le péché originel dont parle les écritures mais dans son sens réel :
Le péché d’Adam
(5) Dès après qu’il eut créé le monde, Dieu défendit à l’homme de manger de
l’arbre de la connaissance du bien et du mal, parce que ce n’était point encore l’heure
où il pouvait discerner l’un l’autre. Il lui intima cet ordre :
Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras
pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en
mangeras, tu mourras.
A la suite de quoi, le serpent dit à la femme :
Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez,
vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le
bien et le mal.
Séduite par ces paroles prometteuses du serpent, la femme mangea du fruit de
l’arbre de la connaissance. Elle en donna aussi à son mari, et il en mangea. Cela mit
Dieu en colère, et Il réprimanda la femme. Puis Il dit au serpent :
Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa
postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu la blesseras au talon.
Il réprimanda aussi l’homme. Puis Dieu vêtit Adam et Eve (aujourd’hui avec la
connaissance). Après quoi Il dit :
Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du
bien et du mal. Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre
de l’arbre de vie, d’en manger, et de vivre éternellement.
(6) Toute l’histoire de l’humanité est exprimée dans ces quelques paroles du livre.
On voit aussi que Dieu est l’immense esprit composé de l’esprit de tous les anges de
l’univers, car Dieu dit : voici que l’homme est devenu comme l’un de nous. On voit
également que l’une des raisons d’être de l’homme est la vie éternelle qu’il doit
acquérir par élévation spirituelle. C’est pour cela que Dieu dit : empêchons-le
maintenant... ce qui n’est point une interdiction, mais le renforcement du mérite de
celui qui sera victorieux de l’épreuve de l’instruction. Si donc je vous ressuscite, vous
serez victorieux et vous ne pourrez plus mourir.
(7) L’Écriture dit que Dieu plaça l’homme dans le jardin pour le cultiver et le
garder. Mais l’homme le détruit, parce qu’il transgresse l’ordre que Dieu lui a donné.
Il n’aurait point dû écouter la femme qui, après avoir entendu le serpent, crut que
l’on vit éternellement quoi que l’on fasse. C’est pourquoi, voulant toujours plus, elle
a incité l’homme à manger de l’arbre de la connaissance. Et pour lui plaire, il fit des
choses qu’il n’aurait point dû faire, cela conduisant à la fin du monde. Voilà ce que
fut le péché d’Adam, le péché de l’homme ! Ce fameux péché originel s’est perpétré
126
Les bases de la connaissance
jusqu’ici, parce qu’en n’ayant pas encore en lui le discernement du bien et du mal,
l’homme a pratiqué tout ce qui ne doit plus jamais être pratiqué. Il a agi en étant à
côté de la vérité et non dans la vérité. Et, aujourd’hui où il apprend cette vérité, il en
meurt ; parce qu’il voit que ses oeuvres sont mauvaises et qu’elles vont lui retomber
dessus. C’est pourquoi Dieu dit à l’homme : le jour où tu mangeras de l’arbre de la
connaissance, tu mourras. Cela s’effectue, parce que ce jour-là on voit que le monde
est fini et que l’on sait exactement pourquoi il est fini. C’est donc l’homme ancien qui
meurt avec le monde qu’il a bâti, pour laisser place à l’homme nouveau et au règne
de Dieu.
(8) Mais, parce qu’elle enfante comme la Terre, en prolongeant ainsi l’oeuvre du
Créateur, la femme crut que l’homme ne serait point châtié s’il désobéissait à Dieu.
Elle pensait au contraire, et comme le serpent le lui a dit, qu’au terme des six jours
où le monde apprendrait la vérité, tous les hommes et toutes les femmes ouvriraient
les yeux et seraient comme des dieux connaissant le bien et le mal. Elle ne saisit
manifestement pas l’avertissement de Dieu, et se laissa aisément séduire par les
paroles prometteuses du serpent. Il s’agit évidemment d’une allégorie là aussi (car
les serpents ne parlent pas), pour montrer que, durant les ténèbres, l’homme
n’écoute point Dieu son Créateur. Aussi, le monde qu’il bâtit est un monde de plus en
plus douloureux.
(9) On remarque qu’il y a bien eut inimitié entre la postérité du serpent (tout ce
que la Terre produit) et la postérité de la femme (les hommes), car ces derniers sont
irrespectueux de la création et détruisent tout, en sachant qu’ils condamnent leurs
propres enfants. C’est donc aujourd’hui que la femme écrase la tête du serpent et
qu’elle en est blessée, parce qu’elle voit enfin que c’est à cause de lui que l’opprobre
est tombé sur elle et qu’elle fut mise hors du camp (hors du monde) durant des
siècles. Mais, au soir du monde, sa pénitence est finie ; car Dieu la rappelle pour lui
enlever son opprobre pour toujours.
(10) L’Écriture dit aussi que l’homme s’attachera à sa femme et qu’ils deviendront
ensemble une seule chair. Cela, parce que lorsque Adam et Eve sont attachés par les
liens de l’amour, il s’établit entre eux la communion de leur être, qui est le mariage
de leurs corps et de leurs coeurs. C’est alors qu’ils ne font qu’un. Mais vous qui croyez
encore que le péché originel est un péché de chair, avez-vous lu quelque part dans
l’Écriture que Dieu punit Adam et Eve pour s’être connus ? Non, le péché originel
n’est nullement dû à l’acte de chair, mais à la désobéissance de l’homme envers son
Créateur qui lui avait défendu de manger de l’arbre de la connaissance.
(11) La tournure qu’a pris ce péché dans vos pensées est due à l’esprit pervers des
chefs religieux qui ne peuvent s’empêcher de voir la femme corrompue à cause d’Eve
qui fut séduite par le serpent. Redoutant alors de se souiller avec les femmes, non
seulement ils les dénigrent et les repoussent, mais encore ils sont parvenus à faire
croire au monde entier que le péché originel était dû à l’union corporelle de l’homme
et de sa femme ! Ils vous ont mis ce mensonge en tête pour vous culpabiliser, afin de
régner sur vous ; et ce qui en résulte est infamant ! Je vous le dis, connaissant leur
affaire, rien ne manque dans leurs propos, pas même de rendre le Créateur
détestable qui aurait créé la femme de sorte qu’elle soit un piège pour l’homme, alors
qu'elle est sa récompense, son honneur et un don de Dieu. Avec les scientifiques, qui
vous font croire que vous êtes les enfants du chaos et des singes en évolution, ces
127
Les bases de la connaissance
sépulcres blanchis sont vos pires ennemis car, eux, ajoutent que les enfants naissent
depuis toujours du péché.
(12) Je vois que la vision que vous avez d’Adam et Eve et du serpent, ainsi que de
toute la prophétie, ne dépasse pas celles des petits enfants que les religieux
éduquent avec des images, en leur faisant croire que l’Écriture se lit dans le sens de
la lettre. Pourrez-vous alors me suivre ou persisterez-vous dans vos croyances
insensées ? Écoutez ! Jusqu’à ce que Dieu appelle l’homme sur le soir, l’homme est nu
(c’est-à-dire qu’il ne sait rien) et n’en a point honte. Mais dès qu’il est instruit par
l’Éternel (que sa nudité est couverte) et que ses yeux s’ouvrent, il prend conscience
de la réalité. Il voit alors ce qu’il n’avait vu, parce qu’il naît une deuxième fois. C’est
pourquoi, lorsqu’il se lève, Adam marque à la fois l’achèvement du temps de
l’ignorance et le commencement du temps de la connaissance. Ainsi, et comme
l’Écriture en témoigne, on meurt en Adam et on renaît en Christ. Ce qui est le
changement de l’homme et du monde, ainsi que l’accomplissement de la prophétie.
Donc, d'aprés toi Mormon les apôtres de Jésus savaient que Jésus va mourir sur la croix pour nos péches...
Question : pourquoi les apôtres de Jésus l'ont abandonné et prirent la fuite ?
Alors tous les disciples l'abandonnèrent, et prirent la fuite. (Matt 26.56)
Si tu était l'un des apôtres de Jésus, tu l'abandonnes et tu fuis?
Quel est le commandement le plus important de tous? Jésus répondit:
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
25 Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine.
26 Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. »
27 Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui.
Jean n'est pas tout à fait raccord avec Matthieu, est-ce par ce que les femmes ne comptaient pas parmi les disciples et que Saint Jean était encore un adolescent?
Mais bref, tout le monde n'a pas abandonné le Christ en croix et c'est un indice capital pour répondre à ta question. D'un coté il y a 11 apôtres partis en déserrance pensant avoir été trompé par un faux messie qui n'avait pas répondu à leurs attentes
Luc 24:21 Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël.
ce qui montre bien que les disciples n'avaient compris ou voulu recevoir tout l'enseignement du Christ et s'étaient fourvoyés en l'érigeant en simple libérateur du peuple à la manière d'un nouveau Josué et passés à coté de la " bonne nouvelle". Pour les disciples, l'aventure s'arrêtait là, l'affaire était pliée et ils passaient à autre chose en se faisant discret en retournant si possible au statut antérieur.
Pour les femmes et Jean, C'est l'amour humain qui les réunit au pied de la Croix et probablement pas non plus l'espérance de la résurrection qu'elles "il" n'ont pas compris davantage que les disciples, elles souffrent simplement de l'agonie d'un être cher qu'elles (il) espèrent soutenir dans sa déréliction.
Seule Sainte Marie Madeleine, dans sa détresse amoureuse, se précipitera au tombeau à l'aube du dimanche, animée d'un espoir confus et plus qu'incertain. "Et si...?" a-t-elle peut-être oser penser sur le chemin mais rien n'est moins sûr. Car, ce quelle voit arrivée au tombeau c'est le la pierre roulée et le tombeau ouvert et plutôt que de faire le lien entre cette vision et à la résurrection promise, elle demande au premier venu (un jardiner)où l'on a déplacé le corps de son bien aimé. Ce qui est , vous en conviendrez avec moi, plutôt rationnel comme question.
Dans ces 2 attitudes face à la mort du Christ, on comprend, nous qui connaissons la suite, aisément que tous: peuple, disciples, grand prêtres et romains se sont trompés sur l'identité et le rôle du Christ. Tous amis ou ennemis l'on vu comme un libérateur agissant dans la matérialité du temps, de la société, des corps et peu encore dans les esprits, tous l'on vu comme un prophète venu établir un âge d'or propre à satisfaire leur ego individuel et collectif. Ils en avaient fait une idole au sens païen du terme c'est à dire un dieu à leur service.
Pierre aussi pleurera la fin du rêve ainsi que la trahison envers son ami au jeudi soir, mais en quoi cela aurait-il servi qu'il meurt aussi quand tout était perdu même l'honneur.
La résurrection va au sens propre du terme les bouleverser et de façon irrévocable imprimer dans leurs cœurs et dans leurs esprits toute la signification de l'incarnation de Dieu. le "Mon seigneur et mon Dieu" de Saint Thomas le dubitatif anéanti sonne comme une terrible prise de conscience de la petitesse de l'homme face à la grandeur de Dieu et en même temps qu'elle en proclame dans l’émerveillement le plus total l'incroyable proximité.
Jean 20
…28Thomas lui répondit: Mon Seigneur et mon Dieu! 29Jésus lui dit: Parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru!
Oui, il fallait ça pour que l'aventure continue!
11 Amour et vérité se rencontrent, justice et paix s'embrassent ; Psaume 84
Ce qui est surprenant est que cette doctrine du péché originel n’a aucun fondement ni dans la genèse qui relate l’histoire d’Adam et Eve ni dans les enseignements de jésus ; mais surprenant encore le fait jésus nie cette fausse doctrine inventé plus tard par Augustin !!
Voici les preuves que jésus nie cette fausse doctrine !
Preuve 1 :
Jésus dit : Matthieu (18 3- 4) : « Je vous le dis en vérité ; si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants ; vous n’entrez pas dans les royaumes des cieux. C’est pourquoi ; quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans les royaumes de des cieux. »
Selon jésus dans ce verset ; les petits enfants sont sans péché or les chrétiens nous disent
Les hommes en fait naissent naturellement pécheurs !!
Qui croire jésus ou ceux qui suivent l’enseignement d’Augustin ( les chrétiens égarés) ??
Avant de passer à d’autres preuves ; j’attends de vous une réponse claire et justifiée ??
Moi j'étais convaincu.
Et là encore plus.
Bref.
Raisonnement logico-physique que nul ne peut contrer.
Si la conséquence du péché d'Adam est la mort et si le rachat de ce péché est la mort expiatoire de Jésus sur la croix alors par conséquence mathématique la mort aurait disparu de la surface de la terre puisque racehté par la mort expiatoire de Jésus sur la croix.
Or depuis plus de 2000 ans on assiste à un nombre incalculable de guerres et de morts.
Quoi que certains disent qu'Elvis Presley et Michael Jackson ne sont pas morts...
Qu'un musulman pense qu'il est mortel ça se comprend.
Mais qu'un chrétien pense qu'il est mortel c'est fou.
Quoi un immortel penserait-il être finalement mortel?
Je suis allé fort désolé.
Je vois que le débat est clos.
ci après cela vous demeurez indifférents c'est que vous n etes pas du peuple élues de dieu !! voila pour quoi il vous faut lire le livre de vie et tout savoir pour demeurer dans ce jardin promis par le christ qui seras cette magnifique terre notre mère nourricière qui auras retrouver sa pureté d autre fois
musulman49 a écrit :
Si la conséquence du péché d'Adam est la mort et si le rachat de ce péché est la mort expiatoire de Jésus sur la croix alors par conséquence mathématique la mort aurait disparu de la surface de la terre puisque racehté par la mort expiatoire de Jésus sur la croix.
Ce n'est pas la mort qui est racheté, c'est le péché ... tu as écris : " la mort aurait disparu ... puisque racehté"
2/ la mort spirituelle (séparation d'avec Dieu et tentations de Satan)
Pour réparer la mort physique pour toute la création, la résurrection de Jésus suffit.
Pour la mort spirituelle, étant donné que l'homme est contaminé par le mal en venant dans un monde pécheur, chacun doit vaincre le péché définitivement pour être remis en présence de Dieu ; c'est pourquoi la mort a continué d'exister depuis Adam jusqu'à nos jours - elle aide à atteindre le but par son échéance.
La résurrection est inconditionnelle et définitive. mais la "vie spirituelle" (paradis) est sous condition d'obéissance jusqu'à la fin.
eric121 a écrit :
Ce n'est pas la mort qui est racheté, c'est le péché ... tu as écris : " la mort aurait disparu ... puisque racehté"
Vous dites la mort est la conséquence du péché d'Adam.
Or la prétendue mort expiatoire sur la croix a racheté ce péché.
Donc le péché n'est plus.
Donc la mort ne doit plus être.
Tu ne peux rien faire c'est mathématique.
Penses-tu être immortel?
musulman49 a écrit :
Vous dites la mort est la conséquence du péché d'Adam.
Or la prétendue mort expiatoire sur la croix a racheté ce péché.
Donc le péché n'est plus.
Donc la mort ne doit plus être.
Le péché d'Adam amena deux morts :
1/ la mort physique
2/ la mort spirituelle (séparation d'avec Dieu et tentations de Satan)
Pour réparer la mort physique pour toute la création, la résurrection de Jésus suffit.
Pour la mort spirituelle, étant donné que l'homme est contaminé par le mal en venant dans un monde pécheur, chacun doit vaincre le péché définitivement pour être remis en présence de Dieu ; c'est pourquoi la mort a continué d'exister depuis Adam jusqu'à nos jours - elle aide à atteindre le but par son échéance.
La résurrection est inconditionnelle et définitive. mais la "vie spirituelle" (paradis) est sous condition d'obéissance jusqu'à la fin.
Arrête baratiner.
Si le péché originelle a apporté la mort physique et spirituel.
Alors la mort expiatoire sur la croix aurait du faire disparaître ET la mort physique ET la mort spirituelle.
Or la mort physique est toujours et la tentation de Satan existe toujours.
Il faut arrêter de s'inventer des dogmes fallacieux pour couvrir une erreur.
Il faut admettre la Vérité.