medico a écrit : ↑03 août24, 04:00
Et toi c'est quoi ta conception de l'enfer ?
L'intention que nous avons au fond de nous fait tout.
Même égaré (ou égaré par) il y a toujours une chance de s'en sortir.
C'est pourquoi, je croit au purgatoire, c'est un lieu de transition.
L'enfer, donc, est la purge des souffrances que nous avons infligé a nous même et donc aux autres car pour moi, une personne qui ne s'aime pas ne peux pas aimer vraiment mais plutôt se jouer la comédie.
Cela pour le mal indirect mais pour le mal causé en tout état de conscience de le faire (je parle d'esclavagiste, de gens qui pousse au suicide, enfin, des chose grave), ça doit etre une autre paire de manche pour en sortir.
L'enfer, c'est les autres si nous ne trouvons pas de l'amour de soi.
Quand on s'aime, nous déplorons de constater l'état des autres autour de soi. (ne disons nous pas "il a l'air bête mais heureux" ?)
Cela me rappelle un livre qui m'avais fait réfléchir sur la nécessité d'avoir un ennemi dans les société. cela m'avait bouleversé, car effectivement quand je me défini un ennemi, quelque par je me sent beaucoup mieux ! c'est assez libérateur.
Alors attention a quel ennemi vous choisissez, car on peut etre de bonne foi et se tromper.
Je choisi un ennemi imaginaire pour éviter de faire cette erreur, donc le diable me semble un ennemi invisible qui ne peut pas faire de mal (si je puis dire! )