dan26 a écrit : ↑14 janv.21, 04:52
merci de donner ta source précise , et neutre surtout
pour les liens de EV, ce ne sont que des liens d'origine chrétienne , ou de l'ECR étrange !!!
Alors que l'ECR ne veut toujours pas reconnaitre l'authenticité !!!
De plus tu n'as même pas vu que le dernier lien est une conférence organisée par des ..............religieux!!!
Je ne pensais pas que ta crédulité puisse atteindre ce niveau de trop bonne foi
amicalement
Essayez d'être impartial et neutre concernant les liens que j'ai fourni et d'analyser en tant que tel..
Depuis cette histoire de datation au carbone 14, une partie de la communauté scientifique, qu'elle soit croyante ou pas, a depuis le début émis des doutes sur la manière dont se sont déroulés les choses. Cela ne s'est pas fait dans les règles de l'art, il est ressorti de nombreuses anomalies concernant le protocole qui devait être appliqué. Je rappelle au passage qu'il y a un échantillon (le 3) qui donne une fourchette de 11-> 64 après JC.. avec une fiabilité à 95%. Il y avait donc dans les échantillons une pièce qui date du temps de Jésus de Nazareth. J'ai donné la source et pas des moindres, sur cette discussion, retrouvez-là par vous-même.
Ceci dit venons-en à Hall et à Tite.
Hall (1924-2001) était convaincu qu'au 14ème siècle existait une fabrique de faux, un business qui générait plusieurs millions de livres. Son grand rêve voir obsession était de convaincre le monde entier que le suaire était un faux.. fabriqué au 14ème siècle. Au début des années 70 apparu la datation au carbone 14.
L'orientation était pliée d'avance d'autant que Hall se rêvait en démystificateur.
Quelques extrait de l'historique (en vert) de Hall :
Source ici
À la fin des années 1970, il a rapidement compris la valeur de la nouvelle méthode révolutionnaire de datation au radiocarbone alors en cours de développement (appelée spectrométrie de masse par accélérateur ou datation AMS) et s'est pleinement engagé à établir la méthode à Oxford. Dans les premiers jours de la mise en place de l'installation AMS à Oxford, on pouvait le trouver en train de ramper à l'intérieur du réservoir de l'accélérateur, de discuter de modifications de conception ou même de balayer le sol. Cette implication totale a été récompensée notamment par sa participation à la datation du Suaire de Turin en 1988. Le cardinal Anastasio Ballestrero, l'archevêque de Turin, avait autorisé le prélèvement d'échantillons du linceul pour les tests par trois laboratoires: en Arizona, Zurich - et Oxford. Le laboratoire de Hall a daté son échantillon entre 1260 et 1390.
Le mélange d'une bonne science, d'une instrumentation complexe, de l'attention de la presse mondiale, de l'ambivalence des autorités religieuses et de la simple importance du résultat pour tant de gens l'attirait énormément; il prenait également plaisir, à son avis, à démystifier toute conviction qui ne pouvait être rationnellement démontrée. "Il y avait une entreprise de plusieurs millions de livres dans la fabrication de faux au 14ème siècle", a-t-il déclaré sans détour lors d'une conférence de presse au British Museum. "Quelqu'un vient de recevoir un morceau de linge, il l'a truqué et fouetté." Et encore une fois, "Certaines personnes peuvent continuer à se battre pour l'authenticité du linceul, comme la Flat Earth Society, mais cela règle tout en ce qui nous concerne."
Oui tout a été réglé en 2 temps 3 mouvements avec l'aide de Tite..
Depuis ses débuts, il a dirigé le laboratoire à sa manière inimitable pendant environ 35 ans jusqu'à sa retraite en 1989. Et en plus, avant sa retraite, il a joué un rôle déterminant dans la levée des fonds nécessaires pour doter une chaire en science archéologique, qui a depuis a été nommé professeur Edward Hall.
Le choix de son laboratoire de l'Université d'Oxford (qui a été pendant de nombreuses années financé par Teddy Hall personnellement), l'un des rares à être chargé de l'analyse du fragment du Suaire de Turin, était une véritable distinction. Il soupçonnait quelle serait la réponse, étant un non-croyant ferme, mais les préjugés ne pouvaient jamais interférer avec la science. La poursuite de la vérité telle que révélée par la science était un principe ferme pour lui.
En 1989, Tite l'ouvrier de la substitution des échantillons, a été nommé à la tête de cette nouvelle chaire.
Le communiqué du Telegraph annonçait la nouvelle le lendemain, Samedi saint 25 mars, en précisant que cette somme assurerait la succession du « professeur de Turin » qui atteignait l'âge de la retraite. Ce dernier déclara que son intention était d'investir le “ prix du sang ” (Mt 27, 6) dans la création d'une nouvelle chaire de science archéologique à Oxford.
Vérifiez ceci par vous-même. Archives du
Telegraph.
Les pieds nickelés de gauche à droite : Hall, Tite et Hedges.
L'arrogance et le mépris de Hall qui s'est uniquement fait plaisir à lui-même avec son joujou à dater des artéfacts, la suffisance de Tite, ... Tout cela est une vaste mascarade que dis-je, une supercherie.
Maintenant, vous dan26, vous allez répondre à ceci : il y avait l'échantillon 3 dont la datation donnait 11-> 64 après JC.
Comment l'expliquez-vous avec le sérieux, la rigueur et la neutralité que vous demandez aux autres ?