a écrit :omar13
ni toi, ni personne autre pourra démontrer que le noble coran, parole d'Allah a été falsifié, si tu pense être capable de le faire, et je te défie de nous le prouver comme je l'ai fait avec la bible, c'est a dire que je démontre la falsification de la bible a partir de ce qui est écrit dans la bible, sans citer des histoire de tel ou tel personne.
trouves moi, si tu es capable, des contradictions dans le livre d'Allah, le noble coran, et éventuellement des contradictions qui pourront exister????
je ne vais pas m'éterniser tellement il y a des exemples
premièrement: as tu lu mon lien, es tu allé à la rubrique 2. Si oui qu'as tu lu . Si non pourquoi refuses tu de t'instruire .
Deuxièmement : la contradiction la plus outrancière du coran, étant " ce fameux au non de dieu le Clement " que l'on retrouve dans l'introduction de touts les sourates (sauf la 9), qui la plus part du temps est suivie d'appel à la guerre, à tuer l'infidèle, etc etc . Ce n'est pas la peine de me donner une explication, au travers des interprétations douteuses . La (cette), contradiction est flagrante sur les 113 sourates .
a écrit :je suis sur que tu ne trouveras jamais une seule défaillance comme les centaines que j'ai rencontrer en regardant la bible
je viens de t'en montrer une qui se reproduit 113 fois dans le fameux Coran .
Je confirme ce que je te disais au début de mon intervention, les fondamentalistes intégristes de toutes les religions veulent prouver aux autres que seule leurs religion est vérité .
et cela est très dangereux , et surtout destructif .
Essaye de prendre conscience qu'aucune religion ne détient de vérité universelle .
que le coran te convienne on peut le comprendre,( tu as été formaté pour cela depuis la naissance souvent ) Mais essaye juste de comprendre ,ce que j'essaye de t'expliquer . c'est pourtant simple .
Dernier point l'Islam est la dernière grande religion imaginée par l'homme, pourquoi !!!
Amicalement .
Ajouté 10 minutes 58 secondes après :
j'ai quelques doute sur la volonté de notre cher Omar , de vouloir se renseigner d'une façon précsie
de fait je te soumet cet article que tu trouveras dans mon lien
Bonne lecture ::
Les recherches récentes montrent que le Coran n'est pas la transcription directe de la parole de Mahomet ; avant d'arriver à sa forme actuelle canonique, il est passé par plusieurs phases d'écriture et de réécriture
L'histoire de son élaboration
Il n'existe pas de Coran « original » remontant à l'époque de Mahomet. Certains chercheurs essaient de cerner les conditions de formation et la période de la rédaction du texte ou des textes : pendant ou après la vie de Mahomet, voire – pour certains extraits – avant, ainsi que le suggère Christoph Luxenberg dans l'un de ses ouvrages
Le Coran inclut des parties récitées, selon la tradition, par Mahomet rejoignant des passages de la Bible hébraïque, du Talmud, du Nouveau Testament que le Coran cite explicitement comme des livres révéléstout en affirmant qu'ils contiennent des erreurs citations ; et le Coran présente certaines ressemblances notables avec d'autres sources plus légendaires telle que les Sept Dormants d'Éphèse ou le Roman d'Alexandre Ainsi, de nombreux commentateurs du Coran ont voulu reconnaître en Dhû-l-Qarnayn de la sourate 18, Alexandre le Grand ou Cyrus le Grand d'autres personnages historiques ont été repris par les savants musulmans dans le cadre d'une exégèse du Coran Le Coran
reprend de nombreux récits des apocryphes chrétiens concernant la vie de Marie et l’enfance de Jésus
Concernant la composition du Coran par Mahomet, Maxime Rodinson écrit : « … comme (Mahomet) était doué d'une personnalité singulièrement plus riche et plus puissante que celle des Kâhin ordinaires, cette insatisfaction le poussait aussi à réfléchir. Toute une élaboration intellectuelle se déroulait parallèlement aux répercussions de son tempérament inné de son histoire personnelle sur le plan nerveux. Et cette élaboration intellectuelle était d'une rare qualité… Petit à petit, son esprit s'avançait sur une voie qui devait le mener à dépasser l'horizon de son pays et de son temps. » Après une longue comparaison, sur une quarantaine de pages, de Mahomet avec certains mystiques comme Thérèse d'Ávila et appuyé l'idée que Mahomet croyait sincèrement à la Voix qui lui dictait des choses, Rodinson conclut : « Mohammed dut aussi éliminer, trier, inconsciemment sans doute, et ne retenir que ce qui édifiait, exortait, consolait. Ses plus beaux poèmes n'ont sans doute jamais été écrits. Il attendait de Dieu des messages dans un sens donné et son attente modelait le verbe qui cherchait, en vain, à se montrer plus fort que lui. Au-delà des glossalistes chrétiens, il découvrait la démarche des grands prophètes d'Israël »
De sa compilation à sa canonisation
Chercheurs contemporains
Le philologue et islamologue Manfred Kropp explique que la langue du Coran aurait été retravaillée par des grammairiens en un texte en arabe populaire qui déjà avait de nombreux emprunts au syriaqueSelon le traducteur Maurice Gloton et Mahmoud Azabnotes 1, le Coran comporte certaines irrégularités grammaticales par rapport à la grammaire simplifiée de l'arabe moderne, qui seraient des artéfacts de l'ancienne grammaire arabe de l'époque de Mahomet
L'opinion la plus partagée dans le monde des chercheurs est que « l'initiative de constitution d'un codex coranique officiel, commencée apparemment sous le califat de Uthman semble avoir trouvé son achèvement sous le règne d'Abd al-Malik (685-705) ou un peu plus tard41 ». L'absence d'uniformité de lecture due à l'absence de voyelles [réf. nécessaire], créant des variations grammaticales et sémantiques, engendre différentes traditions locales de lectures (qira'at) dont quatorze [réf. nécessaire] seront autorisées à partir du Xe siècle. Les lectures non autorisées demeureront cependant débattues par les savants musulmans. Une lecture dite de Hafs ou Coufique sera imposée à tout l'Empire ottoman au XVIe siècle et reste la plus répandue de nos jours. Quelques lectures ont subsisté à la périphérie de l'empire dont la version dite de Warsh ou Médinoise, la seule encore imprimée, en Afrique de l'Ouest et du Nord-Ouest. Comme le souligne Manfred Kropp, actuellement, une collection de lectures (mu'jam al qira'ât) est répertoriée comme des variantes par rapport à la lecture hafs, tandis que point de vue scriptural, le rasm de toutes ces variantes (sans les voyelles et les hurûf al 'illah) reste uniforme et similaire aux quelque trente-mille fragments de textes coraniques remontant au Ier siècle hégirien
La tradition musulmane
Selon la tradition musulmane, Mahomet récitera le Coran en entier par cœur à chaque ramadan en présence de Gabriel, et plusieurs compilations intégrales du Coran seront faites par des disciples de Mahomet à titre personnel du vivant de Mahomet. Après Mahomet, ce sera Abu Bakr qui fera rédiger une compilation intégrale officielle à Zayd ibn Thâbit, qui sera conservée chez lui, mais ni diffusée ni multipliée D'après certaines traditions musulmanes, le calife Uthman réunira une seconde fois tous les chapitres du Coran en une édition définitive et détruira toutes les autres variantes du Coran, dont certaines variantes figureront dans les livres d'exégèses et de hadith, selon les règles de la transmission des hadiths
La tradition situe la mise en forme orthographique du Coran (avec les voyelles, la ponctuation et l'usage systématique des points diacritiques) sous le règne de Abd al-Malik (685-705), ou un peu plus tard.
La tradition rapporte une destruction massive de manuscrits de corans, afin d'homogénéiser les manuscrits sous le califat d'Uthman ibn Affan, et la destruction de la variante d'ibn Mas'ud jusqu'en 1007 à Bagdad Bukhari rapporte les réticences d'Abdullah ibn Mas'ud sur le canon d'Uthman et ses encouragements aux Irakiens à utiliser sa propre compilation plutôt que le canon d'Uthman composée par Zayd ibn Thâbit, et les plus anciens manuscrits disponibles du Coran remontent à la seconde moitié du premier siècle hégirien d'après les techniques de datation modernes
Du côté chiite duodécimain, le livre de Mohammad ibn Yaqub Kolayni (? - 940) intitulé Usûl al-Kâfî, est le premier livre chiite connu à affirmer que le Coran possédait certains passages évoquant l'imamat de Ali et qu'il a été falsifié Une affirmation désormais généralement abandonnée par ceux-ci (à l'exception de rares réticences) dans le désir de se conformer à la version orthodoxe
Parole de Dieu ?
Des écrivains contemporains comme Karen Armstrong basent leur critique de Mahomet et de sa religion sur la contestation d'une des idées centrales de l'islam : le Coran représenterait la parole littérale de Dieu.
Armstrong et d'autres préfèrent parler en de vagues formules de la nature transcendantale des visions et perceptions de Mahomet dès qu'il est question de la nature divine ou non du texte du Coran.
Ces formulations n'en restent pas moins considérées hérétiques par les musulmans pieux, comme le furent, en leur temps, les travaux des chercheurs universitaires sur le problème synoptique ou la quête du Jésus historique par diverses autorités religieuses du christianisme
Cela confirme mes propos le Coran comme les evangiles sont sujets à caution dans de nombreux domaines
désolé de te l'apprendre
Bien amicalement