Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.
Posté : 25 juin15, 02:22
Le jour que tu enlèveras tes liens et tu auras le même état d'esprit que BenFis je te répondrai,
pour le moment oubli moi.
pour le moment oubli moi.
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
https://forum-religion.org/
Désolée mais nous sommes sur un espace public de discussion. Si tu veux parler à des gens en particulier, tu peux utiliser la messagerie privée, c'est fait pour ça. Tu peux également utiliser la fonction "ignorer" de façon à ne plus voir mes messages, je ne t'en voudrai pas le moins du monde.Gnosis a écrit :Le jour que tu enlèveras tes liens et tu auras le même état d'esprit que BenFis je te répondrai,
pour le moment oubli moi.
Dans Romains 10 (citation de Joël), il est tout à fait clair que kurios désigne Jésus: si tu confesses Jésus Seigneur, tu seras sauvé, CAR le même est Seigneur de tous, (et) CAR "quiconque invoque le nom de Seigneur sera sauvé". Donc le Nom qui sauve est celui du Seigneur Jésus (à la différence de 'AT, ou c'est YHWH).Le fait que dans certains cas le fils puisse prendre le Nom de son Père car il est son représentant par excellence, cela ne signifie pas que le vrai nom du fils soit celui de Jéhovah
Le message de GNOSIS est destiné à HOMERE.Désolée mais nous sommes sur un espace public de discussion. Si tu veux parler à des gens en particulier, tu peux utiliser la messagerie privée, c'est fait pour ça. Tu peux également utiliser la fonction "ignorer" de façon à ne plus voir mes messages, je ne t'en voudrai pas le moins du monde.
"Le" Tanakh ... masculin.Gnosis a écrit :cette fameuse tanak, ou texte hébreux de l'AT.
Tanakh ... pas de doublement de la consonne, car c'est l'initiale de Nevi'im (les prophètes)le texte inspiré (tannak) par Dieu
Gnosis,N'on t'il pas commis une erreur en reportant un "kurios" que le texte inspiré (tannak) par Dieu n'avait pas?
Anche in italiano il Tanakh è un nome maschile.Gnosis a écrit :Vu que je suis de langue Italienne, la tanak est la translittération de l' hébreux à l'italien
ah non désolé mais les manuscrit ne servent à démontrer aucunement que le tétragramme ou le nom divin n'est pas présent. On fait juste le constat que les copies qui sont parvenues ne le contiennent pas. mais ce n'est pas la preuve qu'il ne devait pas être présent au départ.BenFis a écrit : Les manuscrits servant à démontrer que le NT ne contient pas le Tétragramme restent évidemment ceux du NT en grec. A commencer par l'Evangile de Jean au IIème siècle puis des milliers d'autres fragments du NT qui ont suivi.
J'ai ma petite idée concernant ces livres là, mais quoi qu'il en soit concernant l'AT dans son unité, le nom est présent quasi 7000 fois.Même à l'intérieur de l'AT (version hébraïque, dit TM), le tétragramme subit une tratement différent, par exemple, si le Nom divin apparait de très nombreuse fois, plusieurs milliers d’occurrences dans le texte hébreu de l’Ancien Testament, il est TOTALEMENT absent des livres d’Esther, de l’Ecclésiaste et du Cantique des Cantiques ... Pourquoi un tel contraste ?
Les auteurs de ces livres devaient apprehender le Nom divin, d'une manière différente des autres auteurs.
Surtout que dans le NT on cite abondamment l'AT, alors l'ange Gabriel aurait-il été enseigné par des rabbins superstitueux ?Gnosis a écrit : C'est l'AT, qui fait autorité pour le NT concernant le Nom,
C'est un élément dont il faut tenir compte. Mais on ne peut pas dire non plus qu'il existe une relation de cause à effet systématique dans ce domaine. Aquila de Sinope par ex., qui était issu d'une culture helléniste, aurait soi-disant opté pour la conservation du Tétragramme dans sa traduction grecque de l'AT.Gnosis a écrit : Conviens tu également que si les mss du II siècles que nous avons proviendraient d'un contexte n'on pas hellénistes comme le P66 d'Egypte pour n'en cité un, mais proviendraient d'un contexte judeo-chrétiens ils seraient beaucoup plus significatif? Comprends tu que nous sommes face à deux cultures opposés concernant le Nom. Des copistes d'un lieu géographique hellénistes qui proclamé le refus d'un Nom ayant comme leader Philon et des copistes d'un lieu géographique palestiniens ou la tanak le reporté quasi 7000 fois. Deux opposé concernant la façon dont le Nom était traité. Es-tu d'accord avec cela?
Mais ce n'est pas parce que Jésus a la bouche assez sainte pour prononcer le Nom divin qu'il faudrait le lui faire prononcer pour palier à cet éventuel manquement.Néanmoins si nous nous fions au bon sens, Jésus connaissais bien les écritures , le nom de son père y était inscrit quasi 7000 fois, Pourquoi ne devait t-il pas prononcé le nom de son père? lui qui était dans les cieux avec son Père et observé les prophètes et les serviteurs du Dieu puissant qui l'utilisait librement tout en maintenant la bénédiction du créateur. N'avait t-il pas la bouche assez sainte pour le prononcer également?
Ce sont 2 données qui peuvent conduire à formuler 2 hypothèses, mais celles-ci ne sont pas équiprobables.Oui, mais tu as conclu précédemment que concernant le NT il s'agit d'une hypothèse, ce qui en découle concernant la prononciation que celle-ci également n'est qu'une autre hypothèse, car nous n'avons aucun manuscrit du I siècle qui à le tétragramme et ceux du II siècles proviennent d'une culture complètement différentes de celle de la culture Palestinienne.
Si A est une hypothèse automatiquement il en découle que B l'est également. Est tu d'accord avec cela?
Je ne pense pas non plus que le mot "Père" soit un substitut au Tétragramme, mais que le Christ s'est simplement appesanti sur cette appellation là plutôt que d'y adjoindre le Tétragramme (contrairement à l'attente des lecteurs de l'AT ).Ce que je veux dire, c'est qu'on temps de Jésus, les juifs substitués le tétragramme en prononçant seigneur (malgré qu'il n' y avait pas d’enseignement officiel qui l'interdisait, sauf durant un tribunal). Les chrétiens ensuite rédigèrent le NT, si Père était le nouveau substitut du tétragramme proposé par Jésus, les écrivains du NT en citant les passages de l'AT ou il y avait le tétragramme dans les textes hébreux ou la LXX selon les copies antérieur et du I siècle qui contenait que le tétragramme, ces écrivains l'auraient substitué avec ce nouvel attribut, mais ce n'est pas le cas.
…
Ce qui veu dire que Père n'est pas un substitut du nom, c' est un nouvel aspect de la divinité à qui Jésus a donné un accent particulier, Père n'est pas un nom propre, mais c'est une qualité de Jehovah. Jéhovah est le Nom personnel qui identifie Dieu. Il ne faut pas confondre ces deux aspects très différents.
La Trinité est un concept intéressant, mais qui se décline en de nombreuses définitions, quelquefois antagonistes.Ce qui veut dire que pour toi, dans les cieux à ce moment il n'y avait que le Père et l’esprit saint?
Selon le concept de la trinité, le Père et le fils ne se sont jamais séparé, pendant que le fils est sur terre il est également dans les cieux, nul ne peut contenir la divinité de Dieu le fils et certainement pas un corps humain, selon l'enseignement du clergé.
Benfis avec cet argument, ton hypothèse tomberai à l'eau, puisque ton raisonnement précédent n'est pas celui de la trinité, du moins celui du catholicisme.
Qu'en pense tu?
Pourtant les chrétiens vont utiliser exclusivement certainses versions de la LXX et très peu le TM (texte hébreu).La LXX est au service des hommes mais n'est en aucun cas inspiré par Dieu, c'est un outil pour rendre le texte de l' hébreux au grecque.