Re: La vérité...
Posté : 04 déc.22, 09:18
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Tu perçois en effet dans ton rêve ce que je te dis, même si tu dors.ronronladouceur a écrit : ↑04 déc.22, 08:53 Écrit celle qui, dans mon rêve, me dit qu'elle est éveillée... Plutôt drôle que sérieux, en fin de compte...
Entre nous, pour vous éveiller, il a bien fallu que quelque chose vous pique au vif ou vous chatouille ...
Je ne le crois pas...
Et donc pourquoi nous-même en tant qu'âme éternelle et pure aurions-nous décidé de venir sur terre?
Me semble que ce n'est pas le cas de gzab ou même de tous les éveillés qui auraient précédé Christ...
Toujours à tenter de forcer le bouchon...SophiaSofia a écrit : ↑04 déc.22, 09:49 Les deux indications que je t'ai données, ça te parle ou rien, nada ?
Ça devient surréaliste...Tu perçois en effet dans ton rêve ce que je te dis, même si tu dors.
Juste merci d'avoir confirmé ce que je pensais...Oui bien sûr que quelque chose me piquait au vif pour que je m'éveille
Dit la fille...Un éveillé est un fils de Dieu,
Nous sommes tous prédestinés... Et puis même pas, vu que notre éternité est notre fait, notre essence même...Le mot prédestiné avant la fondation du monde, ça te parle ? le premier né ? l'assemblée des premiers nés ?
C'est ce qui explique que vous dites qu'il est né de nouveau quand il est né?Je n'ai pas dit précéder Jésus-Christ. En venant dans le monde, il s'est dépouillé de la gloire qu'il avait auprès de lui-même avant que le monde soit.
Pourquoi me répondre ça, alors que c'est toi qui m'a répondu ceci :
Les deux pointeurs que je t'ai indiqués répondaient à cela, je ne force rien, s'il n'y a aucun pointeur en toi, c'est que tu dors profond.ronronladouceur a écrit : ↑04 déc.22, 07:39 Pour moi, la nécessité consiste à prendre conscience du rêve en tant que pointeur vers la réalité, et ainsi de pouvoir expérimenter cette dernière de notre vivant...
ceci : "Un éveillé est un fils de Dieu, un né de nouveau de Dieu nait de l'Esprit Saint, Jésus-Christ avait pour Père l'Esprit Saint, Dieu".ronronladouceur a écrit : ↑04 déc.22, 10:08
C'est ce qui explique que vous dites qu'il est né de nouveau quand il est né?
Dit celle qui voit ce que j'avais vu...SophiaSofia a écrit : ↑04 déc.22, 10:16
Les deux pointeurs que je t'ai indiqués répondaient à cela, je ne force rien, s'il n'y a aucun pointeur en toi, c'est que tu dors profond.
Dit celle qui a déjà mentionné que l'on récolte ce que l'on sème...Un autre pointeur : la nécessité de prendre conscience de ce que nous faisons aux autres.
Lorsque tu me réponds, fait comme si tu t'écrivais à toi-même, et regarde si tu aimes (apprécies) la réponse que tu te fais à toi-même. C'est un très grand pointeur, parce que la naissance de nouveau se passe dans le coeur/conscience.
C'est tellement vrai, que chacun récolte ce qu'il sème, imparable.ronronladouceur a écrit : ↑04 déc.22, 10:32 Dit celle qui voit ce que j'avais vu...
Dit celle qui a déjà mentionné que l'on récolte ce que l'on sème...
Après vous, très chère, qui vous croyez au-delà de tout soupçon...
J'essaie de ne pas filtrer ce qui monte de mon coeur... Sinon c'est ''trop la tête étouffe le coeur''...
[Vous écrivez très bien, mais attention à certaines formes impératives : fais, lis...]
Vous ne savez juste pas vous y prendre...SophiaSofia a écrit : ↑04 déc.22, 10:44 C'est tellement vrai, que chacun récolte ce qu'il sème, imparable.
Ce que je t'écris, c'est exactement ce que j'aimerais qu'on m'écrive si j'étais dans ta situation : qu'on m'aide, qu'on m'indique des pointeurs.
Tu me l'as dit. Le "on" sous-entend plusieurs personnes, quelles sont les autres ? Comment pourrai-je prendre les gens où ils en sont à partir du moment où ils me jaugent, me positionnent à leur gré, au lieu de considérer mes réponses telles qu'elles sont ? Ils les considèrent telles qu'ils veulent les voir, c'est le constat que j'en fais, et non telles qu'elles sont, et encore, quand elles sont retenues dans leur totalité, ce qui est loin d'être le cas comme si elles n'étaient pas même lues entièrement.ronronladouceur a écrit : ↑04 déc.22, 11:21
On vous l'a dit, vous ne respectez pas le rythme de chacun, vous ne prenez pas les gens où ils en sont... Je connais le vocabulaire, j'ai vécu des expériences, mais vous n'avez montré aucun accueil véritable, qu'une fin de non-recevoir. Et je n'y reviendrai pas...
Exemple de toujours la poutre chez les autres...SophiaSofia a écrit : ↑04 déc.22, 12:32 Tu me l'as dit. Le "on" sous-entend plusieurs personnes, quelles sont les autres ? Comment pourrai-je prendre les gens où ils en sont à partir du moment où ils me jaugent, me positionnent à leur gré, au lieu de considérer mes réponses telles qu'elles sont ? Ils les considèrent telles qu'ils veulent les voir, c'est le constat que j'en fais, et non telles qu'elles sont, et encore, quand elles sont retenues dans leur totalité, ce qui est loin d'être le cas comme si elles n'étaient pas même lues entièrement.
C'est mon "je" qui parle, celui de mon coeur tel qu'il est, si mes propos sont jugés comme une fin de non recevoir, un non accueil, sous-entendant par cette manière de dire que mon coeur est fermé aux autres, alors tu l'as écrit : n'y revient pas, ce n'est pas moi qui ne t'accueille pas, mais toi, à cause de la parole de Dieu biblique.
Il en est en permanence ainsi, dans le monde des hommes naturels et leur manière d'être.