Posté : 22 déc.07, 07:00
Voulant faire pénétrer sa pensée par la leçon éloquente des faits, avant de l’enseigner explicitement, Jésus a parlé et agi en Dieu, afin qu’en l’entendant parler et en le voyant agir, les témoins en concluent sa divinité.
a) Jésus se dit supérieur à tous les prophètes, à Moïse, à Elie à Jean-Baptiste, aux anges. La raison de cette supériorité, I la donne dans la parabole des Vignerons homicides (Mt. 21:33-34) Dans cette parabole, le fils tué par les vignerons (Jésus tué par les Juifs) est opposé aux serviteurs venus antérieurement et repoussés. Or, ces serviteurs de Dieu envoyés aux Juifs, sont les prophètes, appelés ailleurs « fils de Dieu » à cause de leur mission (sens large et figuré). Le fils (Jésus), Lui, qui leur est opposé, l’est donc au sens strict et véritable. Il est Dieu comme le Père.
b) Jésus se proclame à maintes reprises le maître de la loi, du sabbat, du Temple. Or, ce maître qui a institué la loi et le sabbat, qui est adoré au Temple, c’est Dieu.
c) Jésus s’attribue des œuvres proprement divines :
1) Il fait des miracles en son nom propre : « Je te le dis, lève-toi », « Je le veux, sois guéri ».
2) Il donne des enseignements d’une sagesse miraculeuse, Il fait preuve d’autorité divine dans la législation religieuse et morale : « Il a été dit aux anciens » ; « Moi, je vous le dis. »
3) En son nom, Il remet les péchés : « Tes péché te sont remis ».
4) Il revendique pour Lui des attributs divins, science, puissance infinie, éternité : »Avant qu’Abraham fût, Je suis. »
d) Jésus se donne pour terme et fin dernière des actes :
1) De foi : « Croyez au Père, et croyez en moi. » (Jn. 14:1)
2) De vision béatifique : « C’est la vie éternelle que les hommes vous connaissent, ô mon Père, et Jésus-Christ que vous avez envoyé.
3) De religion, d’espérance, de charité, Il veut être aimé par-dessus tout : « Si quelqu’un aime son père ou sa mère plus que moi, il n’est pas digne de moi. » Or, tous ces actes n’ont que Dieu pour objet propre. Dieu, seul, peut être aimé par-dessus tout.
Donc, Jésus a parlé et agi en Dieu, ce qui faisait dire à ses auditeurs ; « Quel est donc celui qui commande au vent et à la mer et ils Lui obéissent ? » (Lc. 8:22-25) « Qui est celui qui ose remettre même les péchés ? (Lc. 7:49) Qui peut remettre les péchés, si ce n’est Dieu seul ? » (Mc. 2:1-7) Ce raisonnement était celui-là même que désirait Jésus. (Abbé A. Texier)
On ne peut pas comprendre le Nouveau Testament si on ne refuse la Trinité. C’est foi absurde ? Nous ne sommes pas capable de nous représenter notre univers, comment pourrions-nous expliquer la Divinité.
a) Jésus se dit supérieur à tous les prophètes, à Moïse, à Elie à Jean-Baptiste, aux anges. La raison de cette supériorité, I la donne dans la parabole des Vignerons homicides (Mt. 21:33-34) Dans cette parabole, le fils tué par les vignerons (Jésus tué par les Juifs) est opposé aux serviteurs venus antérieurement et repoussés. Or, ces serviteurs de Dieu envoyés aux Juifs, sont les prophètes, appelés ailleurs « fils de Dieu » à cause de leur mission (sens large et figuré). Le fils (Jésus), Lui, qui leur est opposé, l’est donc au sens strict et véritable. Il est Dieu comme le Père.
b) Jésus se proclame à maintes reprises le maître de la loi, du sabbat, du Temple. Or, ce maître qui a institué la loi et le sabbat, qui est adoré au Temple, c’est Dieu.
c) Jésus s’attribue des œuvres proprement divines :
1) Il fait des miracles en son nom propre : « Je te le dis, lève-toi », « Je le veux, sois guéri ».
2) Il donne des enseignements d’une sagesse miraculeuse, Il fait preuve d’autorité divine dans la législation religieuse et morale : « Il a été dit aux anciens » ; « Moi, je vous le dis. »
3) En son nom, Il remet les péchés : « Tes péché te sont remis ».
4) Il revendique pour Lui des attributs divins, science, puissance infinie, éternité : »Avant qu’Abraham fût, Je suis. »
d) Jésus se donne pour terme et fin dernière des actes :
1) De foi : « Croyez au Père, et croyez en moi. » (Jn. 14:1)
2) De vision béatifique : « C’est la vie éternelle que les hommes vous connaissent, ô mon Père, et Jésus-Christ que vous avez envoyé.
3) De religion, d’espérance, de charité, Il veut être aimé par-dessus tout : « Si quelqu’un aime son père ou sa mère plus que moi, il n’est pas digne de moi. » Or, tous ces actes n’ont que Dieu pour objet propre. Dieu, seul, peut être aimé par-dessus tout.
Donc, Jésus a parlé et agi en Dieu, ce qui faisait dire à ses auditeurs ; « Quel est donc celui qui commande au vent et à la mer et ils Lui obéissent ? » (Lc. 8:22-25) « Qui est celui qui ose remettre même les péchés ? (Lc. 7:49) Qui peut remettre les péchés, si ce n’est Dieu seul ? » (Mc. 2:1-7) Ce raisonnement était celui-là même que désirait Jésus. (Abbé A. Texier)
On ne peut pas comprendre le Nouveau Testament si on ne refuse la Trinité. C’est foi absurde ? Nous ne sommes pas capable de nous représenter notre univers, comment pourrions-nous expliquer la Divinité.