Coeur de Loi a écrit :Les enfants du mutant BB sont tous Bb (ce qui donne déjà une chance sur 2 de ne pas s'expimer), ils rencontrent d'autres partenaires normaux bb s'ils ne se fécondent pas ente eux dans la même fratrie.
Les enfants de BB seront tous Bb à l'unique condition que BB se soit accouplé avec bb.
Sachant qu'il y a énormement d'erreur négative pour une positive(1), la meilleur survit du groupe c'est de ne pas se féconder dans une fratrie(2).
Je vois pas le rapport entre (1) et (2), tu racontes n'importe quoi.
Les enfants des enfants du mutant sont :
50 % Bb
50 % bb
C'est le résultat d'un croisement entre Bb et bb, et dans ce cas les Bb auront plus de chance de survivre que bb.
Sachant qu'une mutation bénéfique n'est pas une révolution, mais un tres leger plus, c'est négligable pour la survit immédiate.
Faux. Une mutation bénéfique présente un avantage séléctif, par définition. Donc les individus dont le génotype présente le plus de B seront sélectionnés au fil des générations. Le nier de manière aussi gratuite ne fait en rien avancer ton point de vue, voir au contraire, tu fais preuve d'entêtement puéril.
Les erreurs dite "bénéfiques" le sont par rapport à l'environnement, si celui-ci change, ces bénifices peuvent changer en négatif.
Merci mais ça on le savait déjà. Et ça ne change rien au fait que :
_ La mutation bénéfique est transmissible.
_ Les individus ayant au sein de leur génome cette mutation bénéfique ont plus de chance de survivre, et seront sélectionné au fil des générations.
Donc la population qui survit est celle qui concerve le mieux ces gênes des erreurs.
Faux, dans la mesure où une mutation bénéfique augmente les chances de survie.
Voici d'ailleurs un document qui résume l'un des exemples les plus connus de la sélection naturelle, celui du phalène du boulot :
http://web.cgaspesie.qc.ca/bio/pdf/phalene_bouleau.pdf