yacoub a écrit :La laïcité vaut 1000 fois mieux que la théocratie mahométane
dont tout le monde souffre, y compris les enfants et les femmes.
Excision Circoncision
Les catholiques n'ont pas un jugement aussi positif sur la laïcité, et le contraire est aussi vrai :
les Droits de l'Homme n'ont aucun sens avant la fin du XVIIIe siècle. Ces fameux droits de l’Homme ne s’inscrivent-ils pas en réaction aux abus de l’Église ? Ces mêmes auteurs se plaignent de la haine anticléricale :
Ex. : « Le cléricalisme, voilà l'ennemi ! » lance Léon Gambetta à la Chambre, le 4 mai 1877. Jules Ferry souhaite une humanité « sans roi et sans Dieu ». Des instituteurs se donnent pour but de « libérer les consciences de l'emprise de l'Eglise » (Jean Macé, instituteur fondateur de la Ligue de l'enseignement). Cette volonté se traduit dans les manuels.
« On donne ce nom d’Illuminés à ces hommes coupables qui osèrent de nos jours concevoir et même organiser en Allemagne, par la plus criminelle association, l’affreux projet d’éteindre en Europe le christianisme et la souveraineté. »
Joseph de Maistre
Maréchal Lyautey tout français doit lire ce livre
Il y a encore des catholiques libéraux qui se laissent piper par les formules maçonniques. Ils se réclament de la déclaration des droits de l'homme.
La Révolution, je le répète, est détestable en tout ; elle l'est dans ses excès sanglants, mais elle l’est beaucoup plus dans ses principes, à commencer par les immortels principes de 89.
Sous sa phraséologie pédantesque, la déclaration des droits de l'homme est antichrétienne et par suite antisociale. Elle ignore les droits de Dieu ; elle prétend ouvrir l'ère de la justice et de la vérité, comme si l'Évangile n'existait pas ; elle s'inspire du Contrat social qui est une insanité ; elle n'admet pas d'autre autorité que celle qui émane de la nation et par là même rejette celle de l'Église.
En réalité, la Révolution, contrairement à la thèse libérale, fut dirigée beaucoup plus contre la religion que contre la monarchie. Elle n'attaqua la monarchie que parce que celle-ci était catholique, et pour se faire la main en vue d'une guerre plus formidable contre le christianisme. Les abus de l'ancien régime ne furent pour elle qu'un prétexte. Elle en voulait à Dieu. Elle a été le grand frémissement luciférien, prédit dans l'Écriture, contre le Seigneur et contre son Christ.
STÉPHEN COUBÉ
« L'histoire est le plus souvent un complot contre la vérité. »
« La Révolution est satanique », avait dit, le premier, Joseph de Maistre
Du fond de sa prison, Jacques Molay aurait déjà créé quatre loges-mères : pour l'Orient, tapies; pour l'Occident, Edimbourg; pour le Nord, Stockholm, et pour le Midi, Paris (Tomb. de J. Molay, p. a3). Aussitôt après la mort du Grand-Maître, les quatre Loges s'organisent et tous les membres y prêtent serment : a d'exterminer tous les rois et la race des Capé- tiens, de détruire la puissance du pape, de prêcher la liberté des peuples et de fonder une République Universelle )) (id., p. 26)
Les paléo-Jaccobins DAESHIEN qui acquirent très tôt l’art de la terreur, offrirent à leurs héritiers en poste en Syrie matière à exercer leur philanthropie : « Les brigands, disait-on, arrivent, ils pillent les demeures, incendient les récoltes, égorgent les femmes et les enfants... »
« Le roi est captif au Temple et l'élite du clergé français en exil ou à l'Abbaye. Le canon tonnait sur le Pont-Neuf et des écriteaux menaçants proclamaient la Patrie en danger. Alors des hommes inconnus organisèrent le massacre. Un personnage hideux, gigantesque, à longue barbe, était partout où il y avait des prêtres à égorger. « Tiens, leur disait-il avec un ricanement sauvage, voilà pour les Albigeois et les Vaudois ! « VOILA POUR LES TEMPLIERS. Voilà pour la Saint-Barthélemy. Voilà pour les proscrits des Cévennes! »
Et il frappait avec rage, et il frappait avec le sabre, avec le couperet, avec la massue. Les armes se brisaient et se renouvelaient dans ses mains ; il était rouge de sang de la tête aux pieds, sa barbe en était toute collée, et il jurait avec des blasphèmes épouvantables qu'il ne la laverait qu'avec du sang.
http://www.liberius.net/livres/La_Revol ... 000318.pdf
https://archive.org/stream/lafrancmacon ... 4/mode/2up
Disciples de J.-J. Rousseau, les Conventionnels de 1792 donnèrent pour fondement au nouvel édifice ce principe, que l'homme est bon par nature; là-dessus, ils élevèrent la trilogie maçonnique : liberté, égalité, fraternité. Liberté à tous et pour tout, puisqu'il n'y en l'homme que de bons instincts ; égalité, parce que, également bons, les hommes ont des droits égaux en tout; fraternité, ou rupture de toutes les barrières entre individus, familles, nations, pour laisser le genre humain s'embrasser dans une République universelle.
Pie IX, en 1849 : « La Révolution est inspirée par Satan lui-même; son but est de détruire de fond en comble l'édifice du christianisme, et de reconstruire sur ses ruines l'ordre social du paganisme. »
Léon XIII : « Le dessein suprême de la franc-maçonnerie est de RUINER DE FOND EN COMBLE toute la discipline religieuse et sociale qui est née des institutions chré- tiennes, ET DE LUI EN SURSTITUER UNE NOUVELLE fa- çonnée à son idée, et dont les principes fondamentaux et les lois sont empruntés au NATURALISME » Encyclique du 20 avril 1884.
le secret de la Franc-Maçonnerie consiste en ceci : Tous les hommes sont égaux et libres, tous les hommes sont frères. »
Dans son récent ouvrage, M. Gustave Bord confirme cette manière de voir. D'après lui aussi, la première suggestion lancée dans le monde par la Franc-Maçonnerie pour préparer les voies à la Jérusalem de nouvel ordre, le Temple que les francs-maçons veulent élever sur les ruines de la civilisation chrétienne, ce fut l'idée d'égalité.
L’égalité parfaite ne doit se trouver que dans la liberté totale, dans l'indépendance de chacun, à l'égard de tous, après la rupture définitive des liens sociaux. Plus de maître, plus de magistrats, plus de pontifes ni de souverains; tous égaux sous le niveau maçonnique, et libres de suivre leurs instincts, — telle était la signification totale des mots : égalité, liberté.
il n'est pas facile de suggérer à une nation qu'elle doit détruire ses traditions, c'est-à-dire se détruire elle-même. On ne peut atteindre un pareil résultat qu'en procédant par suggestions successives, ménagées avec une extrême habileté et une prodigieuse hypocrisie ; une hypocrisie dont la mesure est donnée par ce fait que la devise liberté, égalité et fraternité qu'on n'a cessé de présenter, tant qu'il s'agissait de séduire la nation, comme une charte d'émancipation et d'universelle félicité, manifesta son venin dès qu'on fut arrivé à dominer cette nation, par la terreur et la guillotine.
http://livres-mystiques.com/partieTEXTE ... tionT1.pdf