a écrit :bon. Tout le monde est énervé . Un bon weekend nous fera du bien .
agécanonix,
Lorsque l'on vous cite des textes clairs, explicites et qui ne présentent aucune difficulté de compréhension, VOUS les occultez ou déformez.
Exemple concret :
"Bien plus, il en fut ainsi de Rébecca, qui conçut d'un seul homme, Isaac, notre père ; les enfants, en effet, n'étaient pas encore nés et ils n'avaient encore fait ni bien ni mal, et pourtant — afin que demeure le projet de Dieu qui est selon son choix, relevant, non pas des œuvres, mais de celui qui appelle — il fut dit à Rébecca : Le plus grand sera l'esclave du plus petit, ainsi qu'il est écrit : J'ai aimé Jacob et j'ai détesté Esaü. Que dirons-nous donc ? Y a-t-il en Dieu de l'injustice ? Jamais de la vie ! Car il dit à Moïse : J'aurai compassion de qui j'aurai compassion, et je serai magnanime envers qui je serai magnanime. .Ainsi donc, cela ne dépend ni de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu, qui a compassion. Car l'Ecriture dit au pharaon : Je t'ai suscité tout exprès pour montrer en toi ma puissance et pour que mon nom soit annoncé par toute la terre. Ainsi donc, il a compassion de qui il veut, et il fait s'obstiner qui il veut" (Rm 9,10-18).
ce texte est limpide … Pour peu que l'on accepte son sens … Alors que Jacob et Esaü "n'étaient pas encore nés et ils n'avaient encore fait ni bien ni mal", Dieu a choisi d'aimer Jacob et de haïr Esaü "selon son choix , relevant, non pas des œuvres, mais de celui qui appelle" … Le texte ne peut pas être plus explicite, le choix de Dieu ne relève pas des œuvres mais de son choix souverain effectué AVANT la naissance des enfants, sans que ces enfants aient accompli la moindre œuvres.
Le texte ajoute que la compassion de Dieu "ne dépend ni de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu", d'ailleurs Dieu "fait s'obstiner qui il veut".
Je n'ai rien inventé, j'ai repris mot pour mot le texte … Il suffit de l'accepter.