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Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 17 oct.15, 23:21
par marco ducercle
bienvenue au club :mains:

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 17 oct.15, 23:46
par chrétien2
:lol: :lol: :lol:

Ce n'est pas que tu as oublié, c'est que tu me sors de l'ignoré pour voir ce que j'écris, mais tu oublies de me REMETTRE en ignoré... :lol:

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 18 oct.15, 03:04
par papy
pm page 127 édité par la WT
Les “soixante-dix ans” mentionnés par l’ange nous rappellent le même nombre d’années annoncé par le prophète Jérémie. Au cours de cette période, les nations de Juda et d’Israël devaient servir la dynastie babylonienne, après quoi Jéhovah devait punir le roi de Babylone et les Chaldéens à cause de leur comportement (Jérémie 25:11-13). L’ange de Jéhovah voulait-il donc dire que ces soixante-dix ans n’étaient pas encore arrivés à leur terme, ou bien qu’ils venaient de s’achever? Historiquement, cela aurait été inexact. Pourquoi? Parce qu’une vingtaine d’années auparavant (en 539), Jéhovah, par l’entremise de Cyrus le Grand, roi de Perse, avait renversé la Puissance mondiale babylonienne, et à peu près deux ans plus tard, en 537, il avait incité Cyrus, devenu roi de Babylone, à laisser les exilés juifs sortir de cette ville et rentrer à Jérusalem, pour y reconstruire le temple. — Esdras 1:1 à 2:2; II Chroniques 36:20-23.

Pourquoi l'ange s'est trompé ?
Parcequ'il n'est pas en phase avec les calculs de la WT ! :tap: :tap: :tap:

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 18 oct.15, 03:26
par Liberté 1
papy a écrit : Pourquoi l'ange s'est trompé ?
Parcequ'il n'est pas en phase avec les calculs de la WT ! :tap: :tap: :tap:
Si même les anges se trompent, où va-t-on ? :shock: Heureusement que l'EFA ne se trompe pas :lol:

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 18 oct.15, 05:15
par marco ducercle
Liberté 1 a écrit : Si même les anges se trompent, où va-t-on ? :shock:
On peut être un ange et être mauvais en math. C'est comme les rédacteurs de la bible. On apprend que trois temps et demi fois 2= 2 520 jours, alors que pourtant Daniel nous dit que ça represente 1 290 jours multiplier par 2= 2580.

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 18 oct.15, 05:32
par Liberté 1
marco ducercle a écrit : On peut être un ange et être mauvais en math. C'est comme les rédacteurs de la bible. On apprend que trois temps et demi fois 2= 2 520 jours, alors que pourtant Daniel nous dit que ça represente 1 290 jours multiplier par 2= 2580.
Si tu parles de Daniel 12:11, je ne suis pas sur de te suivre, dans ce verset, il n'est nullement parlé de trois temps et demi.

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 18 oct.15, 05:57
par marco ducercle
Liberté 1 a écrit : Si tu parles de Daniel 12:11, je ne suis pas sur de te suivre, dans ce verset, il n'est nullement parlé de trois temps et demi.
Depuis le temps où cessera le sacrifice perpétuel, et où sera dressée l'abomination du dévastateur, il y aura mille deux cent quatre-vingt-dix jours.

Cela correspond aux trois ans et demi de l'occupation de Jérusalem et de la profanation du temple par Antiochus Epiphane.

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 18 oct.15, 08:18
par Liberté 1
D'accord, mais avec quel verset le mes-tu en confrontation ? (j'avoue que je suis perdu :interroge: )

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 18 oct.15, 11:08
par VENT
« L'Europe ne doit pas oublier les enseignements de 1914 »

Le 28 juin 1914, les télégraphes répandaient la nouvelle de l'assassinat de l'héritier d'Autriche-Hongrie à Sarajevo. Cinq semaines plus tard, la première guerre mondiale éclatait. A ce conflit se superposent souvent, dans la mémoire collective allemande, la seconde guerre mondiale et le crime contre l'humanité que fut la Shoah.

Elle reste néanmoins gravée en lettres de feu dans la mémoire de nombre de nos voisins témoins sur leur sol des sanglants combats et de la mort horrible dans les tranchées. En France, on l'appelle aujourd'hui encore simplement la « Grande Guerre ». Selon le diplomate et historien américain George Kennan (1904-2005), c'est la « catastrophe originelle » du XXe siècle.

L'histoire de ces cinq semaines, de l'attentat commis dans une région agitée de la périphérie de l'Empire austro-hongrois au début de la guerre qui opposa les grandes puissances européennes, a déjà fait couler beaucoup d'encre.

UN ÉCHEC DES ÉLITES

A l'occasion du 100e anniversaire de la catastrophe, de nombreuses études ont été publiées qui tentent de nous expliquer l'inconcevable. Elles retracent minutieusement les calculs des acteurs dans les capitales européennes, les prévisions irréfléchies d'une campagne rapide et glorieuse, la définition d'objectifs de guerre aventureux, ainsi que les erreurs d'appréciation concernant l'attitude des adversaires comme des partenaires.

L'histoire du début de la guerre il y a cent ans, l'effondrement du fragile équilibre entre les puissances européennes à l'été 1914, est l'histoire aussi impressionnante qu'angoissante d'un échec des élites, du militaire, mais aussi de la diplomatie. Les journées funestes de juillet 1914 ne sont pas les seules en cause.

Les relations entre les grandes puissances du continent et leurs dynasties, souvent même apparentées, vacillaient bien longtemps avant que ne s'enclenche l'engrenage funeste des erreurs politiques et des mobilisations militaires. Les schémas de pensée du congrès de Vienne ne correspondaient plus à l'Europe aux liens complexes du début du XXe siècle dans laquelle s'amorçait la mondialisation de ses économies.

La politique étrangère d'alors ne disposait ni de la volonté ni des instruments nécessaires pour instaurer la confiance et assurer un équilibre pacifique des intérêts. Elle était empreinte d'une profonde méfiance réciproque, se fiait aux moyens de la diplomatie secrète et n'avait pas peur de régler les rivalités de pouvoir au détriment des autres. Elle n'a pas donné naissance à des institutions viables de règlement des conflits par la négociation.

MANQUE DE HAUTEUR DE VUE POLITIQUE

Que les documents des belligérants attestent très clairement l'omniprésence de faux jugements et un manque de hauteur de vue politique n'est pas une raison pour nous, Allemands, pour relativiser l'échec de la politique étrangère allemande en ces semaines funestes.

Au lieu de tabler sur l'apaisement et la compréhension, Berlin opta pour l'escalade. Dix-sept millions de personnes ont trouvé la mort au cours de la première guerre mondiale, et innombrables sont ceux qui ont souffert et sont restés marqués à vie.

Sur les champs de bataille d'hier, nous commémorerons cette année les victimes de la guerre, en Alsace, en Flandre, dans la Marne et dans la Somme, près d'Ypres et à l'est. Il semble inconcevable aujourd'hui qu'une guerre puisse éclater au cœur de l'Europe et c'est une grande chance.

Après la rupture de civilisation que fut la seconde guerre mondiale déclenchée par l'Allemagne, nous avons remplacé l'équilibre toujours précaire des alliances changeantes entre Etats qui marquait notre continent il y a un siècle par une communauté de droit européenne. L'Union européenne nous a permis de trouver une voie pour régler pacifiquement nos divergences d'intérêts.

Au lieu de la loi du plus fort, c'est désormais la force de la loi qui régit les rapports entre les Européens. D'aucuns jugent trop pénible, trop lente et trop lourde la recherche de compromis à la table de négociation commune à Bruxelles. Cette année commémorative nous rappelle quelle avancée de civilisation cela représente lorsque de petits et grands Etats, adversaires hier dans d'innombrables guerres sur notre continent déchiré, recherchent aujourd'hui pendant des nuits entières, de façon paisible et civilisée, des solutions communes.

La perte de confiance dans le projet européen qui est apparue pendant les dernières années de la crise économique européenne, en particulier chez les jeunes qui, dans une grande partie de l'Union, souffrent du chômage et du manque de perspectives d'avenir, renferme de grands dangers. Un tel climat est propice à la renaissance d'accents nationalistes, emballés dans la mélodie facile de la critique européenne. L'Histoire nous commande de nous y opposer résolument.

DES FOYERS DE CRISE PERSISTENT

Dans de nombreuses régions du monde, le système fragile de l'équilibre des forces n'appartient toujours pas au passé. Vingt-cinq ans après la chute du Mur et l'ouverture du rideau de fer, de nombreux foyers de crise persistent.

Au Proche-Orient et dans de nombreuses régions d'Afrique, il manque une architecture de sécurité régionale et stable. En Extrême-Orient, des courants nationalistes et des ambitions rivales menacent de peser sur la paix et la stabilité de la région, et bien au-delà.

Le début de la guerre en 1914 a mis fin à la première mondialisation. Les liens entre les économies et les cultures européennes étaient tels que nombre de contemporains de l'époque jugeaient la guerre impossible, irrationnelle et contraire à leurs intérêts. Et, pourtant, elle a eu lieu.

Aujourd'hui, notre monde est plus interdépendant que jamais. Il en résulte de nombreuses possibilités, ainsi que la prospérité et des espaces de liberté. Mais notre univers est également vulnérable et plein de points de friction et de conflits d'intérêts.

La raison et l'habileté diplomatiques y jouent un rôle plus important que jamais. Afin de maintenir la paix, il est indispensable de considérer calmement non seulement nos propres intérêts, mais aussi ceux de nos voisins et partenaires, d'agir de façon responsable et de songer objectivement aux conséquences.

La sagesse diplomatique repose sur deux grands principes : éviter les décisions précipitées et explorer sans cesse les possibilités de compromis. L'année 1914 est un riche exemple de ce qui arrive quand nous ignorons ces principes.

La crise de juillet devait-elle à cette époque inexorablement mener à la catastrophe ? Sûrement pas. Et, pourtant, l'exaltation et la prétendue audace avaient plus de poids à l'époque que la courageuse et laborieuse recherche d'équilibre entre les intérêts en présence. Est-il exclu de voir aujourd'hui se reproduire la même chose ? Cela dépend de nous seuls, les responsables, et des leçons que nous tirons de l'Histoire.

http://www.lemonde.fr/idees/article/201 ... _3232.html

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 18 oct.15, 17:33
par Philadelphia
La Tour de Garde du 15 avril 1976, page 249, déclare:
D’après une étude, la Première Guerre mondiale aurait été sept fois plus importante que l’ensemble des 901 guerres principales qui ont eu lieu au cours des 2 400 ans précédents.
De même, le fameux manuel d'étude le la Bible des Témoins de Jéhovah "Vous pouvez vivre éternellement sur une terre qui deviendra un paradis" édité en 1982 reprend la même information:

Image

Pourtant, au cours de la même année, dans le Réveillez-vous ! du 22 juin 1982, on pouvait lire:
Un exemple frappant nous est fourni par la rébellion des Taiping en Chine (1850-1864), révolte qui eut lieu à une époque où sévissaient l’oppression étrangère et la corruption à l’intérieur du pays. (...) On a appelé cette rébellion “le plus grand mouvement de masse précontemporain de l’Histoire”. Sa chute aurait entraîné la mort de quarante millions de personnes.
Selon Wikipédia, la première guerre mondiale a fait 18,6 millions de morts.
Dans ce cas comment les Témoins de la Watchtower peuvent-ils affirmer que cette guerre a fait sept fois plus de victimes que toutes les autres guerres cumulées sur 2400 ans, alors que le seul conflit chinois du 19è siècle a fait plus du double de morts ?

Ne doit-on pas en conclure que les publications de la Watchtower sont trompeuses et mensongères, en voulant donner à un événement l'importance qu'il n'a pas, allant jusqu'à avancer des chiffres erronés et historiquement faux ?

Philadelphia.

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 18 oct.15, 19:14
par chrétien2
C'est tout à fait cela, Philadelphia : donner de l'importance à un événement là où il n'y en a pas, à part pour les 20 millions de morts qu'on subit les familles lors de la première guerre mondiale.

Comme la présence du Christ est invisible et qu'ils ne peuvent pas le prouver, ils s'acharnent sur 1914 et amplifient les choses de manière à ce que chacun croit qu'il s'agit vraiment du retour du Christ cette année là...

mais les perspicaces, eux, cherchent et trouvent, si bien qu'ils constatent que rien n'est vrai dans tout cela...

1 Jean 4:1: "Bien-aimés, ne croyez pas toute parole inspirée, mais éprouvez les paroles inspirées pour voir si elles viennent de Dieu, parce que beaucoup de faux prophètes sont sortis dans le monde."

Combien cette parole écrite il y a environ 2000 ans est encore vraie aujourd'hui. C'est là qu'on voit que c'est la Parole de Dieu...

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 19 oct.15, 00:52
par marco ducercle
Liberté 1 a écrit :D'accord, mais avec quel verset le mes-tu en confrontation ? (j'avoue que je suis perdu :interroge: )
Daniel 7.25 ...............et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps.
Révélation 11.2 ...........il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois
Révélation 11.3 Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours.

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 19 oct.15, 03:47
par papy
marco ducercle a écrit :Daniel nous dit que ça représente 1 290 jours
???

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 19 oct.15, 05:17
par medico
Certains comptent que les militaires tuer et d'autres statiques comptent les civils avec c'est pour quoi les chiffres varient .

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 19 oct.15, 05:20
par marco ducercle
papy a écrit :"marco ducercle" Daniel nous dit que ça représente 1 290 jours
???
Période de 3temps et demi. Daniel 12.11