Re: Le véritable évangile du Salut par la Foi en Jésus SEULEMENT
Posté : 12 déc.18, 20:40
Je modifie mon dernier message en conséquence :
Il s'agit-là d'une position philosophique que je ne partage pas. Je ne me suis jamais senti aussi libre que depuis que j'ai accepté la Grâce. Comme l'a très clairement affirmé mon Seigneur Jésus-Christ :
"Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres." - Jean 8:32. (Bible Segond 21)
Avec plaisir. Durant les 25 ans où j'étais Témoin de Jéhovah, je connaissais la "fausse" grâce, c'est à dire que je croyais connaître la vérité, mais une vérité corrompue par le faux-évangile du Salut par les oeuvres. Comme tout Témoin de Jéhovah, et plus globalement comme tout religieux que je considère comme faussement chrétien, je pensais que mon Salut dépendait de mes propres oeuvres. Comme j'étais conscient de ma condition de pécheur, je ne savais jamais si mon niveau de bonne conduite était suffisant pour être digne de la vie éternelle ou non. Il y a des jours où je me sentais approuvé par Dieu, par exemple après avoir passé une après-midi entière à faire du porte à porte. Mais si le lendemain je me montrais moins zélé, ou que je commettais un péché, je me sentais alors désapprouvé et indigne de la faveur de Dieu. C'est somme toute assez angoissant, comme tu peux l'imaginer.
Je n'ai connu la véritable Grâce et la véritable liberté chrétienne que lorsque j'ai enfin Cru, c'est à dire lorsque j'ai reçu la conviction profonde et indéfectible que mon Seigneur Jésus-Christ avait déjà porté à la Croix tous mes péchés, passés, présents et à venir. C'est à ce moment-là que je suis devenu réellement Croyant, au sens biblique du terme. Je suis devenu quelqu'un d'autre : un homme nouveau, un enfant de Dieu. C'est à ce moment précis que je suis "passé de la mort à la vie". Il m'est alors apparu évident que mes propres oeuvres n'ont strictement rien à voir dans mon Salut : quel soulagement ! Depuis lors, je ressens l'amour de mon Père céleste comme jamais auparavant. Je baigne dans son amour, pour ainsi dire.
Bien entendu, dans cette nouvelle condition d'enfant de Dieu, on peut considérer que ma liberté n'est pas complète, du moins sur un plan philosophique. En tout état de cause, je suis désormais "esclave" de Dieu, mais un esclavage si délicieux que je ne voudrais y renoncer pour rien au monde.
Cordialement.
Il s'agit-là d'une position philosophique que je ne partage pas. Je ne me suis jamais senti aussi libre que depuis que j'ai accepté la Grâce. Comme l'a très clairement affirmé mon Seigneur Jésus-Christ :
"Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres." - Jean 8:32. (Bible Segond 21)
peux tu m'expliquer la différence entre la grace, et la vraie grâce . Avec des mots simples STP.
Avec plaisir. Durant les 25 ans où j'étais Témoin de Jéhovah, je connaissais la "fausse" grâce, c'est à dire que je croyais connaître la vérité, mais une vérité corrompue par le faux-évangile du Salut par les oeuvres. Comme tout Témoin de Jéhovah, et plus globalement comme tout religieux que je considère comme faussement chrétien, je pensais que mon Salut dépendait de mes propres oeuvres. Comme j'étais conscient de ma condition de pécheur, je ne savais jamais si mon niveau de bonne conduite était suffisant pour être digne de la vie éternelle ou non. Il y a des jours où je me sentais approuvé par Dieu, par exemple après avoir passé une après-midi entière à faire du porte à porte. Mais si le lendemain je me montrais moins zélé, ou que je commettais un péché, je me sentais alors désapprouvé et indigne de la faveur de Dieu. C'est somme toute assez angoissant, comme tu peux l'imaginer.
Je n'ai connu la véritable Grâce et la véritable liberté chrétienne que lorsque j'ai enfin Cru, c'est à dire lorsque j'ai reçu la conviction profonde et indéfectible que mon Seigneur Jésus-Christ avait déjà porté à la Croix tous mes péchés, passés, présents et à venir. C'est à ce moment-là que je suis devenu réellement Croyant, au sens biblique du terme. Je suis devenu quelqu'un d'autre : un homme nouveau, un enfant de Dieu. C'est à ce moment précis que je suis "passé de la mort à la vie". Il m'est alors apparu évident que mes propres oeuvres n'ont strictement rien à voir dans mon Salut : quel soulagement ! Depuis lors, je ressens l'amour de mon Père céleste comme jamais auparavant. Je baigne dans son amour, pour ainsi dire.
Bien entendu, dans cette nouvelle condition d'enfant de Dieu, on peut considérer que ma liberté n'est pas complète, du moins sur un plan philosophique. En tout état de cause, je suis désormais "esclave" de Dieu, mais un esclavage si délicieux que je ne voudrais y renoncer pour rien au monde.
Cordialement.