Je vois que tu n'as pas compris homere, tu veux me faire croire que ces versions sont des révisions qui on réintroduit le tétragramme pour lutter contre les chrétiens. Mais comment peut tu penser qu'ils on « réintroduit » le tétragramme si tous les mss de la LXX on tous le tétragramme ? Tout au mieux tu peux dire qu'il on «préservé» le nom divin par rapport au copies chrétiennes qui avait remplacé celui-ci par Kurios.
Gnosis,
L'hébraïsation de la LXX par le judaisme palestinien est un FAIT HISTORIQUE qui ne fait pas l'objet de la moindre polémique.
Voici une citation du meilleur site sur la LXX, la plus complète te la plus savante:
"Les travaux consacrés à la LXX recourent au terme de « recension » à propos d'Aquila, de Symmaque et de Théodotion aussi bien que d'Origène, de Lucien et d'Hésychius. En fait, l'activité des premiers n'est pas comparable à celle des seconds. Aussi parlera-t-on dans un cas de «
révisions juives », dans l'autre de « recensions chrétiennes ».
Au-delà de leur diversité, il existe une relative continuité entre les révisions juives, au point qu'on doit probablement parler de « sur-révisions ». La LXX elle-même est une oeuvre juive, mais dès le début de notre ère
les Juifs ont maintes fois retravaillé une forme du texte. Celle-ci s'est ainsi progressivement
éloignée de l'original, auquel les réviseurs ne semblent plus avoir recours. Il se crée de la sorte un dédoublement de la transmission : il y a
la LXX, telle que le christianisme naissant l'a trouvée et adoptée ; elle se reproduit relativement correctement, à quelques gloses près. Cette adoption suscite probablement, de la part des
Juifs, un mouvement de repli :
ils se réapproprient la traduction en reprenant à leur compte une forme textuelle déjà révisée sur l'hébreu avant même la polémique antichrétienne (texte de type kaigé, voir infra p. 159) et en la retravaillant profondément."
(...)
"Mais il existe également dans les papyrus des modifications plus profondes ; elles répondent au souci de rendre le Vieux Grec plus conforme au texte hébreu proto-massorétique. L'entreprise du groupe kaigé s'inscrit donc dans un faisceau d'initiatives hébraïsantes. On se gardera de leur assigner un principe et une origine unifiés. Il s'agit plutôt de divers mouvements de réaction : « De telles modifications sporadiques correspondaient à la tentative des Juifs,
en lutte avec le christianisme naissant, de sauver la LXX pour leur propre compte vers 70 de notre ère."
http://fdier02140.free.fr/LXXCerf.pdf
Ta réponse ne veux strictement rien dire,
Tu penses que Dieu perdrait son nom car il s'adresse à une majorité? Peux tu me démontrer a travers les écritures que Dieu devait perdre son Nom uniquement car le message du christianisme devait être universelle. C'est un raisonnement helléniste et humain qui n'a strictement rien a voir avec la pensé de notre créateur .
C'est l'histoire de l'évolution du judaisme et de sa théologie qui le prouve. Le judaisme qui a couché par écit les livres de l'AT n'a plus rien à voir avec le judaisme rabbinique palestinien et encore moins avec le judaisme héllophone. La DIVERSITE du judaisme vous échappe et sa féçon différente de trater le tétragramme ( les livres d’Esther, de l’Ecclésiaste et du Cantique des Cantiques, n'utilisent pas le tétragramme pour désigner Dieu)
Il faudrait ranger du côté de l'"ouverture" ou de l'universalisme aussi bien l'initiative originelle de la "Septante" et la poursuite de la traduction en grec du corpus hébreu et araméen (bien au-delà du futur "canon" pharisien) jusqu'au Ier siècle apr. J.-C., avec la production d'une nouvelle littérature judéo-hellénistique écrite directement en grec (p. ex. la Sagesse ou 2-4 Maccabées), des commentaires philosophiques comme ceux d'Aristobule ou de Philon; et aussi la quasi-totalité des textes du Nouveau Testament, destinés non seulement à des juifs hellénophones mais surtout à des non-Juifs.
Par exemple Paul est le représentant d’un monde où le judaïsme est totalement imprégné par l’hellénisme. Ses contemporains sont Josèphe et Philon, et non les rabbins, qui ont vécu bien après et ont rejeté la culture grecque. En sa personne, le christianisme se montre l’héritier d’un monde judéo-hellénistique, avec sa Bible, la Septante, avec sa langue, le grec, et avec son souci pour la diffusion universelle du message divin. À cet égard, l’élan de Paul vers les Nations, dont il sera l’apôtre, confirme largement ces données.
Tu penses que les premiers chrétiens confondaient Jésus avec Jéhovah?
Gnosis,
Comprenez vous le sens de l'expression, "unité fonctionnelle" ou le mot "transfert" ?
Ce n'est plus le Tétragramme qui révèle Dieu mais c'est Jésus-Christ qui révélé un nouvel aspect de la personne de Dieu, Dieu est actualisée en la personne de Jésus. Dans le système de l'AT « Dieu sauve-moi par ton nom » (Ps 54, 1), dans le NT « C’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés » (Mt 1, 21). Il y a donc un TRANSFERT de compétences effectué par les christologie du NT.
Ce transfert explique l'absence du tétragramme. Cela n'a rien à voir avec la trinité.
Le christianisme se différencie du judaisme classique quand il affirme : « Il n’y a aucun salut ailleurs qu’en lui ; car aucun autre nom sous le ciel n’est offert aux hommes, qui soit nécessaire à notre salut », (Ac 4, 12).
Doréanvant c'est le NOM du SEIGNEUR JESUS qui sauve. Il n'est plus nécéssaire d'utiliser le tétragramme, car Jésus exprime à cette époque le sens du tétragramme.
Chouraqui, Tresmontant, Darby, tu veux que je continues la Liste
Moi qui pensais que vous alliez me citer des expert modernes, de réputation internationale
(John Nelson Darby (né le 18 novembre 1800 et mort le 29 avril 1882)
Les traductions "J", n'ont AUCUNE légitimité et ne reflètent que les croyances de ses traducteurs.
Chouraqui ne prétend pas avoir fait le travail d’un « traducteur » fidèle, je veux dire par là que, contrairement à la Watchtower, il ne prétend pas avoir fait une traduction absolument fidèle AU TEXTE, aux MOTS des rédacteurs, même s’il estime bien sûr avoir fait une traduction fidèle aux intentions et à la pensée des rédacteurs : il explique qu’il a essayé de reproduire la façon dont un rédacteur Judéo-chrétien « hébraïsant » du 1er siècle pensait en écrivant un texte qui, lui, était grec. Il a donc effectué un profond travail d’interprétation, de reformulation (pourrait-on aller jusqu’à dire « réécriture » ?), un profond travail avant tout LITTÉRAIRE, un travail érudit qui peut être tout à fait intéressant (au moins pour certains livres, comme l’évangile de Matthieu), mais qui n’a pas la prétention d’être le « vrai » texte du NT.
Chouraqui n’a, à ma connaissance, jamais affirmé que le nom Yhwh se trouvait dans le texte grec. Il savait parfaitement que le texte grec contient « Kurios », et il a tenté « d’imaginer » et de retranscrire comment un lecteur Juif de l’Antiquité pouvait LIRE ce mot « Kurios », ce que ça pouvait lui évoquer, comment, lorsqu’il rencontrait « Kurios » dans le texte, ce lecteur Juif imaginaire traduisait mentalement en pensant à l’Adonaï de l’Ancien Testament, qui remplaçait dans la lecture le nom divin YHWH.
Tu es loin des km de la réalité cher homere, Paul était un fanatique pharisiens, il a fait toutes ses études en Palestine, qu'il ai utilisé la LXX cela n'a strictement rien a voir, sa ne change rien du tout, car toute les copies durant le I siècle et bien avant de la LXX on tous le tétragramme, je ne vois pas ou tu veux en venir.
Paul est le représentant d’un monde où le judaïsme est totalement imprégné par l’hellénisme, avec sa Bible, la Septante, avec sa langue, le grec, et avec son souci pour la diffusion universelle du message divin. Le judaïsme qui a précédé Jésus et Paul était un judaïsme déjà hellénisé. Paul pense, parle et écrit en grec.
« son utilisation de la langue grecque montre non seulement une bonne formation hellénistique et une certaine dépendance par rapport aux philosophes et rhétoriciens populaires de son époque, mais également sa formation juive (…) Son écriture n’est pas saturée de sémitismes (araméens ou hébraïques) » - J. Fitzmyer, Romans, Doubleday : New York 1993, 90.
O. Cullman, dans une critique de la thèse de J. Daniélou sur cette ‘hellénisation’, montre bien qu’avec la reconnaissance des judaïsmes variés, l’hellénisme comme le judaïsme sont déjà présents chez les premiers disciples de Jésus bien avant Paul : « Le judaïsme palestinien renferme en même temps des éléments marqués par un certain syncrétisme hellénistique, et il ne faut pas croire que les membres de la première communauté chrétienne se soient recrutés uniquement parmi les tenants d’un seul courant de ce judaïsme si varié » - O. Cullman, « Courants multiples dans la communauté primitive », RSR, 60 (1972) 56.
Le judaïsme du premier siècle fut également très soucieux de l’universalité de son message. Paul, comme AVANT lui Philon, remet en question la circoncision.
La littérature juive en langue grecque — la Septante, les apocryphes et la littérature exégétique et philosophique du judaïsme hellénistique — est indiscutablement la source la plus importante pour comprendre Paul et les lettres pauliniennes. Paul a utilisé seulement des versions grecques de l’Ancien Testament.
Une des seules citations philosophiques du Nouveau Testament est attribuée à Paul, dans son discours aux philosophes d’Athènes (Ac 17,28).
Bornkamm relève des influences stoïciennes dans la pensée paulinienne sous une forme bien vulgarisée. Selon lui, Paul maîtrise « les artifices de la rhétorique antique et des formes didactiques » - G. Bornkamm, Paul, 43.
dans cet environnement géographique ou les judeo-chrétiens était des juif jusqu’à l'an 70 et ou les copistes traité le Nom d'une toute autre manière.
Tous les courants actuels du judaïsme enseignent que le Tétragramme, Nom de Dieu en quatre lettres, ne peut être prononcé que par le Grand Prêtre dans le Temple. Selon une tradition, celui-ci ne le prononçait généralement qu'à Yom Kippour, et l'orchestre liturgique jouait plus fort à ce moment, de façon que le Grand Prêtre ne soit pas entendu.
Ce Nom n'est jamais prononcé par les Juifs lors de rituels religieux, ni lors de conversations privées. Dans la prière, le Tétragramme est remplacé par Adonaï, et dans la conversation courante par Hashem