gzabirji a écrit : ↑15 nov.22, 02:12
Oui, c'est tout à fait ça. Mais je peux être plus précis. En allant chercher la vérité de ton cœur, le cœur "divin", tu découvriras en même temps la nature illusoire de ton personnage. Tu verras ce qui a de la valeur, et ce qui en a beaucoup moins. Et tu feras ensuite le même constat chez autrui.
Tu n'écoute donc pas ce que je dis... Pourquoi ne lis-tu pas ce que j'écris ? Je viens de te dire que je me connaissais, que je n'avais pas de personnage comme toi. Tu fais la sourde oreille, et ne réponds pas à ce que je dis, tu ne me vois qu'au travers de ce que tu en dis, de ce que tu penses... Tu n'écoutes donc pas l'autre, et tu prétends l'aimer ? Je te le dis, si tu ne vois pas l'autre parce que tu ne le connais pas, tu ne l'aimes pas.
Ainsi donc, oui, ce que tu dis, s'adresse à toi. Car la personne qui se connaît pas dit des choses pour elle.
gzabirji a écrit : C'était une manière assez "soft" de ma part pour te faire comprendre que j'aurais pu tenir les mêmes propos que toi à ton endroit.
Non, tu ne peux pas dire les choses... car je te répète, il faut des faits pour ça, chez toi les faits sont absents, tu n'expliques pas les choses, sinon "tu es dans ton personnage" etc. sans donc nullement expliquer tes propos,
je te l'ai déjà dit, mais tu n'écoutes pas.
gzabirji a écrit :Jésus n'a jamais donné une telle explication, mais c'est ton mental qui le fait parler de cette manière. En as-tu conscience ?
J'ai très bien conscience d'avoir compris ce qu'a dit Jésus parce que je le vis moi-même en symbiose avec lui, toi qui ne connais pas Jésus personnellement parce que tu n'es pas mort crucifiés en croix avec lui (comme Sophia je crois pour qui elle c'est le cas) tu ne sauras pas vraiment ce qu'il a pu dire.
Grosso modo, cette "discussion" se passe dans la polémique suivante : ce que vous essayez de retrouver est votre nature d'antan, votre nature d'"enfant", ce que j'appelle une régression. Comme certains chrétiens qui disent qu'on doit revenir à comment étaient Adam et Eve avant le péché. C'est méconnaitre le sacrifice du Christ. Car en lui nous sommes bien plus excellents pour ce que nous devenons en lui après la résurrection.
gzabirji a écrit :J'aimerais tellement que ce soit le cas ! Ton "vrai toi" n'est pas susceptible, d6p7, et il ne soupçonne pas le mal, contrairement à ce que tu fais constamment.
Je ne suis pas susceptible, je reprends le mal là où il est pour vous, Sophia m'avait fait le même reproche ; et non, moi je ne suis pas comme vous, me connaissant je peux reprendre l'autre pour ce qu'il est sur la base de faits (comme tout l'heure à l'égard de la sincérité finalement tu étais d'accord avec moi reconnaissant implicitement ton mal donc) ce que toi tu ne fais pas, tu ne fais seulement qu'un jugement de principe pour te complaire en ta réalité illusoire. Ce n'est pas étonnant, car tu n'as pas de réalité, voulant te débarrasser de ton personnage je te dis, tu te crées un réalité factice qui ne prend nullement compte de la réalité des faits.
gzabirji a écrit :Bien entendu que c'est mon personnage qui écrit ce que tu es en train de lire. Mais mon personnage est sous l'autorité de mon "vrai moi", toute la différence est là.
Tu joue sur les mots, je sais qu'on communique avec un personnage dans la mesure où s'il est en rapport avec le mental ce sera avec les mots, et cela ne veut pas dire que c'est nous. Tu fais exprès de pas comprendre...
gzabirji a écrit : Je t'ai dit que je t'aime, d6p7, de l'amour d'en-haut. Et lorsque je te demande "et toi, m'aimes-tu ?", tu me réponds que ton amour n'est pas en moi. Avoue que ça paraît très mystérieux, comme formulation. Ne peux-tu pas être plus concret, plus direct ? Un simple "oui" ou "non" m'aurait suffit.
Non, si tu ne comprends pas mon propos dans ce que je viens de te dire, c'est que tu ne connais pas Dieu, et
je suis sûr que Sophia comprend très bien ce que je veux dire par là, elle m'aurait donner raison, et elle aurait été d'accord, donc si elle n'est pas été hypocrite elle le reconnaitra elle-même.
Car nous en avions déjà parlé ensemble, c'est pour ça que je dis ça avec un tel aplomb, et elle avait approuvé se réjouissant avec moi. C'est que Dieu nous connaît oui en notre for intérieur, au plus profond de nous-même, parce qu'il nous dit la vérité sur nous avant d'y installer sa demeure. Ainsi, il nous connaît oui, car nous avons une relation intime avec lui.
Donc, mon amour n'est pas en toi, non, car je ne te connais pas ; et ton amour n'est pas en moi, surtout pas.
gzabirji a écrit :J'entends bien, mais que pourrais-je faire de plus pour toi que te montrer la direction de ton cœur ?
Tu n'as rien à faire, tu es bien trop orgueilleux pour ne pas comprendre que tu n'as rien à faire pour moi.
gzabirji a écrit : Je perçois ta souffrance, d6p7. Et il n'y a pas 36 moyens pour la soulager.
Cette manière de psychanalyser est triste... elle m'a fait
rire au départ, car je suis surpris par tant de bêtises, puis elle m'a fait triste pour toi. Tu vois mon malheur, dis-tu, ou ma tristesse ? Tu es qui pour ça ? Où est-elle ? Qui t'as dit que tu pouvais faire quoi que ce soit ?
gzabirji a écrit : C'est dommage, tu rates quelque chose, je trouve. Lafrisée écrit d'une manière très honnête, elle est exemplaire dans ce domaine.
Si tu le dis...
gzabirji a écrit :J'ai ensuite précisé que le péché consiste à s'identifier à notre personnage, et par là-même à ignorer notre cœur. C'est précisément ce que tu es en train de faire.
Non, je ne fais pas ça... tu crois seulement que je fais ça, mais tu n'as rien pour le dire... sinon ton orgueil pour avancer des choses qui n'existent pas car tu n'as aucun faits pour les dire. Tu vis donc dans une fiction où tu t'imagines des choses, où tu es incapable de converser avec l'autre sans te complaire dans des allusions abstraites sans fondement qui te servent à juger l'autre sans aucune déclaration de faits. Je te le dis, tu vis dans une abstraction que tu t'es construite, et dans laquelle, bien entendu, tu te crois meilleur que les autres.
C'est exactement comme quand tu dis d'aimer sans le prouver par des actes, là tu condamnes l'autre sans le prouver par des actes.
De plus, si j'avais besoin d'aide, tu ne pourrais pas le dire comme ça sans être extrêmement intrusif, car je te rappelle (ou te fait découvrir) que le Christ a dit qu'il n'était là que pour ceux qui ont besoin de médecin, autrement dit pour ceux qui savent reconnaître leur malheur.
gzabirji a écrit : Tu m'as demandé ma définition du péché, je te l'ai donnée de la manière la plus concise possible, et en trois langues : la langue chrétienne occidentale, la langue athée et la langue orientale. J'ai insisté sur le terme "séparation".
Et ça ?
d6p7 a écrit : ↑14 nov.22, 06:33
Ce que fait gzabirji du péché est un péché "mental". C'est un état confusionnel donc d'une certaine manière, il pense effectivement qu'on est séparé de Dieu par le mental, et qu'après la guérison du mental s'opère comme un "miracle" on se retrouve comme étant uni à Dieu, et pire, comme étant Dieu.
Sophia ne serait pas d'accord avec ça.