Parcequ il est trop grand, donc incalculable pour nous.pauline.px a écrit :Pourquoi le nombre serait-il incalculable ?
C est en partie vrai mais le nombre d experiences est egalement tres important, c est grace a ce grand nombre que les experiences peuvent etre reexperimentees pour creer des formes plus complexes. La ou une experience s est arrete a l acide a l acide cyanhydrique, et le nombre incalculable d autres similaires, certaines se sont combinees avec d autres pour generer des formes plus complexes pour aboutir finalement a un acide amine. Je suis etonne si toutefois tu ne l avais pas compris.pauline.px a écrit :Et ce n'est pas le nombre d'expériences qui importe mais leur variété, que sait-on de la variété spontanée de ces expériences ?
Il est vrai que j aurais du mieux m exprimer et je m en excuse. La raison pour laquelle j ai mis des guillements sous entendait que ma conception du hasard n est pas la conception qui lui est donne en general. En verite, je ne crois pas au hasard mais plutot au determinisme. Le hasard pur, s il existait, serait synonyme de magie, car forcement issu de rien. Qu un Dieu existe ou pas, le hasard ne peut exister car il doit etre genere et le simple fait d etre generer fait de lui un non hasard.pauline.px a écrit :Pourquoi croire au hasard et non pas au divin créateur ? Quel est l'avantage épistémologique ?
C est pourquoi le determinisme est plus convenable car la ligne de conduite respecte le concept scientifique et la logique. De me dire maintenant que la physique quantique pourrait etre en mesure de refuter le determinisme, je ne le crois pas. Meme si de memes "causes" generent differents effets, cela n a pas beaucoup de sens parle simple fait que la cause n est plus vraiment ce qu elle est a cette echelle, je crois donc en un determinisme global a la hauteur de l equation universelle qui genere notre univers et (ou) plus. Je crois donc au "hasard" si on admet celui ci comme phenomene non mesurable pour le moment, d ou nombre incalculable d experience dans le non mesurable, le non quantifiable, le non observable car trop complexe.
Maintenant que les cartes sont posees, je vais repondre a ta question.
D un point de vue epistemologique, seules les théories potentiellement réfutables (celles associables à des expériences dont l'échec en prouverait l'erreur) font partie du domaine scientifique.
De la, je peux dire: le hasard car celui ci est refutable s il on prouve le determinisme.
Et differemment du hasard, je peux dire: Dieu n existe pas car l idee de son existence n est pas refutable.
Donc meme si le hasard n existe pas, en emettre l hypothese est admis d un point de vue epistemologique, ce qui n est pas le cas de Dieu.
Ainsi, l avantage epistemologique va au hasard, et parceque le hasard ne peut, a mon sens, naitre de nulle part, je pense que d un point de vue epistemolgique on peut lui prefer le determinisme.