Re: Jésus est il mort pour seulement les 144M?
Posté : 25 mars15, 23:19
Le sujet n'est pas la personne petit rappel.
*** w89 15/8 p. 30-31 Questions des lecteurs ***
Questions des lecteurs
□ En 1 Timothée 2:5, 6, Jésus est appelé le “médiateur” qui “s’est donné lui-même en rançon correspondante pour tous”. Par conséquent, est-il le Médiateur pour les chrétiens oints de l’esprit seulement ou pour tous les humains?
La Bible contient à la fois des enseignements élémentaires et des vérités profondes, qui constituent une nourriture spirituelle solide. L’une de ces vérités concerne le rôle de Médiateur que joue Jésus Christ. L’apôtre Paul écrit: “Il y a un seul Dieu et un seul médiateur entre Dieu et les hommes, un homme: Christ Jésus, qui s’est donné lui-même en rançon correspondante pour tous... voilà ce qu’il faut attester en ses propres temps.” — 1 Timothée 2:5, 6.
Pour bien saisir le sens de ces paroles, il nous faut tout d’abord comprendre que selon la Bible deux destinées s’ouvrent aux humains fidèles: 1) la vie parfaite dans un paradis rétabli sur la terre et 2) la vie au ciel, réservée au “petit troupeau” du Christ, qui compte 144 000 membres (Luc 12:32; Révélation 5:10; 14:1-3). La chrétienté, pour sa part, enseigne que tous les bons vont au ciel. Cette doctrine non biblique ayant influencé les esprits, Jésus est considéré comme un intermédiaire pour tous les bons. Mais que dit la Bible?
Le mot grec mésitês, rendu par “médiateur”, désigne ‘quelqu’un qui se trouve entre deux corps, ou parties’. Il s’agissait d’un ‘terme technique à plusieurs facettes relevant de la langue juridique hellénistique’. Selon le professeur Albrecht Oepke (Dictionnaire théologique du Nouveau Testament [angl.]), mésitês était “l’un des termes techniques les plus diversifiés du vocabulaire de la législation hellénistique”.
Mais pourquoi la Bible utilise-t-elle un terme juridique pour parler du rôle médiateur de Jésus? Pour répondre à cette question, considérons ce que Paul déclare à propos de la Loi de Dieu, qui fut donnée à la nation d’Israël rassemblée devant le mont Sinaï: “Elle a été transmise par des anges, par la main d’un médiateur.” (Galates 3:19, 20). Ce médiateur était Moïse. Il servit d’intermédiaire entre Jéhovah et l’Israël selon la chair. Dans quel but? Pour conclure une alliance, ou contrat légal, entre Dieu et cette nation.
Faut-il en déduire que Jésus est Médiateur dans un sens juridique bien précis? Effectivement. En Hébreux 8:6, après avoir parlé du tabernacle et d’autres représentations typiques qui existaient sous l’alliance de la Loi, Paul ajoute: “Jésus a obtenu un service public plus excellent, de sorte qu’il est aussi le médiateur d’une alliance bien meilleure, qui a été légalement établie sur des promesses meilleures.” Cette “alliance bien meilleure” est la nouvelle alliance, qui a remplacé l’alliance dont Moïse était le médiateur (Hébreux 8:7-13). La nouvelle alliance fut “légalement établie”. Elle permit à certains des disciples du Christ, à commencer par les apôtres, d’avoir “accès au lieu saint”, le ciel même. — Hébreux 9:24; 10:16-19.
D’autres indices montrent le caractère légal du rôle que Jésus joue en qualité de Médiateur de la “nouvelle alliance”. À propos de la promesse divine consignée en Psaume 110:4, Paul fait ce commentaire: “Dans cette mesure aussi Jésus est devenu celui qui a été donné comme gage [énguos] d’une alliance meilleure.” (Hébreux 7:22). C’est le seul verset biblique où le mot énguos est employé. Le Nouveau Dictionnaire international de théologie du Nouveau Testament (angl.) écrit: “L’énguos garantissait l’exécution d’une obligation légale.” Le rôle de Médiateur de la nouvelle alliance joué par Jésus constitue donc un gage légal qu’“une espérance meilleure” serait réalisée. — Hébreux 7:19.
Dans un autre passage, Paul emploie encore un autre mot juridique, arrabôn, lui aussi rendu par “gage”. Le dictionnaire cité plus haut dit: “Le mot grec arrabôn (...) est un vocable juridique issu de la langue des affaires et du commerce.” Considérons dans quel contexte Paul utilisa ce terme juridique: “Celui qui garantit que nous appartenons vous et nous à Christ et celui qui nous a oints, c’est Dieu. Il a mis aussi son sceau sur nous et nous a donné le gage de ce qui est à venir, à savoir l’esprit, dans nos cœurs.” (2 Corinthiens 1:21, 22). Les deux autres emplois du mot arrabôn se rapportent également aux chrétiens qui sont oints de l’esprit de Dieu et qui reçoivent ‘une récompense ou héritage éternel dans les cieux’ comme fils spirituels de Dieu. — 2 Corinthiens 5:1, 5; Éphésiens 1:13, 14; voir les Écritures grecques — Traduction interlinéaire du Royaume (angl.).
À l’évidence, donc, la nouvelle alliance n’est pas une disposition accessible à tous les humains. Il s’agit d’un pacte légal soigneusement élaboré qui concerne Dieu et les chrétiens oints.
Voilà qui devrait nous aider à comprendre 1 Timothée 2:5, 6. Le mot “médiateur” qui y apparaît avait déjà été utilisé cinq fois dans des lettres que Paul avait écrites précédemment. Timothée devait donc comprendre que la médiation de Jésus était le rôle juridique qu’Il jouait dans le cadre de la nouvelle alliance. Dans leur livre Les épîtres pastorales (angl.), Dibelius et Conzelmann admettent qu’en 1 Timothée 2:5 ‘le terme “médiateur” revêt un sens juridique’. Ils ajoutent: “Contrairement à Hébreux 8:6, ce passage ne mentionne pas [l’alliance], mais, comme l’indique le contexte, il faut présupposer qu’il est question du ‘médiateur de l’alliance’.” Le professeur Oepke fait observer qu’en 1 Timothée 2:5 Jésus est présenté comme “l’avocat et le négociateur”.
Voici une illustration qui vous aidera à mieux comprendre ce point, surtout si vous n’êtes pas un chrétien oint de l’esprit: Prenez le cas d’une affaire juridique dont s’occupe un avocat. Son rôle n’est peut-être pas tant de plaider en justice que de servir de médiateur ou de proposer un contrat légal acceptable et utile à deux parties. Bien sûr, vous n’êtes pas impliqué dans cette affaire et donc, en ce sens, il n’est pas votre avocat. Mais peut-être est-il un ami intime qui vous apporte une aide précieuse dans d’autres domaines.
Il arrive que le travail accompli par un avocat ait des conséquences bénéfiques pour beaucoup d’autres personnes. Il en va de même pour ce que Jésus a réalisé sur le plan légal en qualité de Médiateur de la nouvelle alliance, qui produit ce que l’alliance de la Loi n’a pas produit: “un royaume de prêtres” céleste (Exode 19:6; 1 Pierre 2:9). Dans le Royaume, au ciel, les chrétiens oints uniront par la suite leurs efforts à ceux de Jésus pour bénir “toutes les nations de la terre”. — Genèse 22:18.
Les gens de toutes les nations qui ont l’espérance de vivre éternellement sur terre retirent dès à présent des bienfaits de l’action de Jésus. Bien que Jésus ne soit pas leur Médiateur légal, puisqu’ils ne sont pas admis dans la nouvelle alliance, il est l’intermédiaire par lequel ils s’adressent à Jéhovah. Christ a dit: “Je suis le chemin, et la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.” (Jean 14:6). Tous ceux qui veulent obtenir la vie sur la terre doivent adresser leurs prières à Jéhovah par l’entremise de Jésus (Jean 14:13, 23, 24). Jésus est aussi un Grand Prêtre compatissant qui est en mesure de leur appliquer les bienfaits de son sacrifice, ce qui leur permet d’obtenir le pardon et, finalement, le salut. — Actes 4:12; Hébreux 4:15.
Par conséquent, 1 Timothée 2:5, 6 n’emploie pas le mot “médiateur” dans le sens large que lui donnent de nombreuses langues. Ce verset ne dit pas que Jésus est médiateur entre Dieu et tous les humains. Il présente plutôt Christ comme le Médiateur (ou l’“avocat”) légal de la nouvelle alliance, ce qui correspond au sens restreint que la Bible donne à ce terme. Jésus est aussi une rançon correspondante pour tous ceux qui sont admis dans cette alliance, tant les Juifs que les Gentils, et qui recevront la vie immortelle au ciel. L’apôtre Jean parle d’eux en 1 Jean 2:2, mais il dit que d’autres personnes aussi profiteront des bienfaits du sacrifice du Christ. Il déclare en effet: “Il est, lui, un sacrifice propitiatoire pour nos péchés, et pas seulement pour les nôtres, mais encore pour ceux du monde entier.”
Ces gens du “monde entier” obtiendront la vie éternelle dans le Paradis rétabli sur la terre. Il existe aujourd’hui des millions de ces serviteurs de Dieu agréés qui nourrissent cette espérance terrestre. Ils considèrent Jésus comme leur Grand Prêtre et leur Roi par l’entremise de qui ils peuvent chaque jour s’adresser à Jéhovah. Ils ont confiance en la rançon de Jésus, qui s’applique à eux, de même qu’elle s’appliquera à des hommes comme Abraham, David et Jean le baptiseur quand ils seront ressuscités (Matthieu 20:28). Ainsi, le sacrifice du Christ permettra à tous les humains obéissants d’obtenir la vie éternelle.
*** w89 15/8 p. 30-31 Questions des lecteurs ***
Questions des lecteurs
□ En 1 Timothée 2:5, 6, Jésus est appelé le “médiateur” qui “s’est donné lui-même en rançon correspondante pour tous”. Par conséquent, est-il le Médiateur pour les chrétiens oints de l’esprit seulement ou pour tous les humains?
La Bible contient à la fois des enseignements élémentaires et des vérités profondes, qui constituent une nourriture spirituelle solide. L’une de ces vérités concerne le rôle de Médiateur que joue Jésus Christ. L’apôtre Paul écrit: “Il y a un seul Dieu et un seul médiateur entre Dieu et les hommes, un homme: Christ Jésus, qui s’est donné lui-même en rançon correspondante pour tous... voilà ce qu’il faut attester en ses propres temps.” — 1 Timothée 2:5, 6.
Pour bien saisir le sens de ces paroles, il nous faut tout d’abord comprendre que selon la Bible deux destinées s’ouvrent aux humains fidèles: 1) la vie parfaite dans un paradis rétabli sur la terre et 2) la vie au ciel, réservée au “petit troupeau” du Christ, qui compte 144 000 membres (Luc 12:32; Révélation 5:10; 14:1-3). La chrétienté, pour sa part, enseigne que tous les bons vont au ciel. Cette doctrine non biblique ayant influencé les esprits, Jésus est considéré comme un intermédiaire pour tous les bons. Mais que dit la Bible?
Le mot grec mésitês, rendu par “médiateur”, désigne ‘quelqu’un qui se trouve entre deux corps, ou parties’. Il s’agissait d’un ‘terme technique à plusieurs facettes relevant de la langue juridique hellénistique’. Selon le professeur Albrecht Oepke (Dictionnaire théologique du Nouveau Testament [angl.]), mésitês était “l’un des termes techniques les plus diversifiés du vocabulaire de la législation hellénistique”.
Mais pourquoi la Bible utilise-t-elle un terme juridique pour parler du rôle médiateur de Jésus? Pour répondre à cette question, considérons ce que Paul déclare à propos de la Loi de Dieu, qui fut donnée à la nation d’Israël rassemblée devant le mont Sinaï: “Elle a été transmise par des anges, par la main d’un médiateur.” (Galates 3:19, 20). Ce médiateur était Moïse. Il servit d’intermédiaire entre Jéhovah et l’Israël selon la chair. Dans quel but? Pour conclure une alliance, ou contrat légal, entre Dieu et cette nation.
Faut-il en déduire que Jésus est Médiateur dans un sens juridique bien précis? Effectivement. En Hébreux 8:6, après avoir parlé du tabernacle et d’autres représentations typiques qui existaient sous l’alliance de la Loi, Paul ajoute: “Jésus a obtenu un service public plus excellent, de sorte qu’il est aussi le médiateur d’une alliance bien meilleure, qui a été légalement établie sur des promesses meilleures.” Cette “alliance bien meilleure” est la nouvelle alliance, qui a remplacé l’alliance dont Moïse était le médiateur (Hébreux 8:7-13). La nouvelle alliance fut “légalement établie”. Elle permit à certains des disciples du Christ, à commencer par les apôtres, d’avoir “accès au lieu saint”, le ciel même. — Hébreux 9:24; 10:16-19.
D’autres indices montrent le caractère légal du rôle que Jésus joue en qualité de Médiateur de la “nouvelle alliance”. À propos de la promesse divine consignée en Psaume 110:4, Paul fait ce commentaire: “Dans cette mesure aussi Jésus est devenu celui qui a été donné comme gage [énguos] d’une alliance meilleure.” (Hébreux 7:22). C’est le seul verset biblique où le mot énguos est employé. Le Nouveau Dictionnaire international de théologie du Nouveau Testament (angl.) écrit: “L’énguos garantissait l’exécution d’une obligation légale.” Le rôle de Médiateur de la nouvelle alliance joué par Jésus constitue donc un gage légal qu’“une espérance meilleure” serait réalisée. — Hébreux 7:19.
Dans un autre passage, Paul emploie encore un autre mot juridique, arrabôn, lui aussi rendu par “gage”. Le dictionnaire cité plus haut dit: “Le mot grec arrabôn (...) est un vocable juridique issu de la langue des affaires et du commerce.” Considérons dans quel contexte Paul utilisa ce terme juridique: “Celui qui garantit que nous appartenons vous et nous à Christ et celui qui nous a oints, c’est Dieu. Il a mis aussi son sceau sur nous et nous a donné le gage de ce qui est à venir, à savoir l’esprit, dans nos cœurs.” (2 Corinthiens 1:21, 22). Les deux autres emplois du mot arrabôn se rapportent également aux chrétiens qui sont oints de l’esprit de Dieu et qui reçoivent ‘une récompense ou héritage éternel dans les cieux’ comme fils spirituels de Dieu. — 2 Corinthiens 5:1, 5; Éphésiens 1:13, 14; voir les Écritures grecques — Traduction interlinéaire du Royaume (angl.).
À l’évidence, donc, la nouvelle alliance n’est pas une disposition accessible à tous les humains. Il s’agit d’un pacte légal soigneusement élaboré qui concerne Dieu et les chrétiens oints.
Voilà qui devrait nous aider à comprendre 1 Timothée 2:5, 6. Le mot “médiateur” qui y apparaît avait déjà été utilisé cinq fois dans des lettres que Paul avait écrites précédemment. Timothée devait donc comprendre que la médiation de Jésus était le rôle juridique qu’Il jouait dans le cadre de la nouvelle alliance. Dans leur livre Les épîtres pastorales (angl.), Dibelius et Conzelmann admettent qu’en 1 Timothée 2:5 ‘le terme “médiateur” revêt un sens juridique’. Ils ajoutent: “Contrairement à Hébreux 8:6, ce passage ne mentionne pas [l’alliance], mais, comme l’indique le contexte, il faut présupposer qu’il est question du ‘médiateur de l’alliance’.” Le professeur Oepke fait observer qu’en 1 Timothée 2:5 Jésus est présenté comme “l’avocat et le négociateur”.
Voici une illustration qui vous aidera à mieux comprendre ce point, surtout si vous n’êtes pas un chrétien oint de l’esprit: Prenez le cas d’une affaire juridique dont s’occupe un avocat. Son rôle n’est peut-être pas tant de plaider en justice que de servir de médiateur ou de proposer un contrat légal acceptable et utile à deux parties. Bien sûr, vous n’êtes pas impliqué dans cette affaire et donc, en ce sens, il n’est pas votre avocat. Mais peut-être est-il un ami intime qui vous apporte une aide précieuse dans d’autres domaines.
Il arrive que le travail accompli par un avocat ait des conséquences bénéfiques pour beaucoup d’autres personnes. Il en va de même pour ce que Jésus a réalisé sur le plan légal en qualité de Médiateur de la nouvelle alliance, qui produit ce que l’alliance de la Loi n’a pas produit: “un royaume de prêtres” céleste (Exode 19:6; 1 Pierre 2:9). Dans le Royaume, au ciel, les chrétiens oints uniront par la suite leurs efforts à ceux de Jésus pour bénir “toutes les nations de la terre”. — Genèse 22:18.
Les gens de toutes les nations qui ont l’espérance de vivre éternellement sur terre retirent dès à présent des bienfaits de l’action de Jésus. Bien que Jésus ne soit pas leur Médiateur légal, puisqu’ils ne sont pas admis dans la nouvelle alliance, il est l’intermédiaire par lequel ils s’adressent à Jéhovah. Christ a dit: “Je suis le chemin, et la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.” (Jean 14:6). Tous ceux qui veulent obtenir la vie sur la terre doivent adresser leurs prières à Jéhovah par l’entremise de Jésus (Jean 14:13, 23, 24). Jésus est aussi un Grand Prêtre compatissant qui est en mesure de leur appliquer les bienfaits de son sacrifice, ce qui leur permet d’obtenir le pardon et, finalement, le salut. — Actes 4:12; Hébreux 4:15.
Par conséquent, 1 Timothée 2:5, 6 n’emploie pas le mot “médiateur” dans le sens large que lui donnent de nombreuses langues. Ce verset ne dit pas que Jésus est médiateur entre Dieu et tous les humains. Il présente plutôt Christ comme le Médiateur (ou l’“avocat”) légal de la nouvelle alliance, ce qui correspond au sens restreint que la Bible donne à ce terme. Jésus est aussi une rançon correspondante pour tous ceux qui sont admis dans cette alliance, tant les Juifs que les Gentils, et qui recevront la vie immortelle au ciel. L’apôtre Jean parle d’eux en 1 Jean 2:2, mais il dit que d’autres personnes aussi profiteront des bienfaits du sacrifice du Christ. Il déclare en effet: “Il est, lui, un sacrifice propitiatoire pour nos péchés, et pas seulement pour les nôtres, mais encore pour ceux du monde entier.”
Ces gens du “monde entier” obtiendront la vie éternelle dans le Paradis rétabli sur la terre. Il existe aujourd’hui des millions de ces serviteurs de Dieu agréés qui nourrissent cette espérance terrestre. Ils considèrent Jésus comme leur Grand Prêtre et leur Roi par l’entremise de qui ils peuvent chaque jour s’adresser à Jéhovah. Ils ont confiance en la rançon de Jésus, qui s’applique à eux, de même qu’elle s’appliquera à des hommes comme Abraham, David et Jean le baptiseur quand ils seront ressuscités (Matthieu 20:28). Ainsi, le sacrifice du Christ permettra à tous les humains obéissants d’obtenir la vie éternelle.