Re: Le devoir d'aimer
Posté : 08 févr.18, 00:50
Message pour le général :
En vue de ce que vous m'ecrivez, tous, je n'ai d'autre choix que de vous livrez quelque chose de tout sauf concis.
L'opinion du public que vous semblez vouloir refléter, voudrait que l'amour ne doit pas être lié à un devoir et une obligation, mais au contraire à notre liberté.
Il se voudrait effectivement que cela soit incompatible.
Or qu'est ce que le devoir ?
Le devoir est, selon vos mots, l'obligations, la restrictions auquel nous devons nous soumettre. Toutefois, le devoir n'a pour simple fin de fixer une restriction, mais bien en améliorer le bien être( Mdr ! Farore 97, qu'est ce que tu nous raconte on vient de te dire que tu nous entravais avec ton devoir de l'amour ! Ou est ton amélioration, ici ?). Attendez ...
Car le devoir accorde le droit ! Oui, tout devoir accorde un droit messieurs, si celui-ci est reconnu par les autres comme nécessaire à la vie en société (Oui Farore 97, encore faut il que ton droit de l'amour soit UTILE !!!! ) Patience, messieurs, j'arrive... Qu'est ce que le droit, messieurs ?
Le droit est ce qui nous permet d'assurer le fait que notre liberté sera respecter. C'est la limite messieurs dont la liberté d'autrui n'est pas autoriser à s'affranchir, à moins d'en arriver à un accord commun ne débouchant pas sûr des évènements risquant d'être dramatiques...
Mais quoi qu'il en soit, le droit est là pour garantir cette liberté. Et le droit est respecté par le devoir.
Conclusion, la liberté s'obtient par le devoir ; sinon elle n'est pas restreinte et peut rentrer en conflit avec celle d'autre individu. La liberté messieurs est notre essence : notre meilleur atout, mais aussi notre pire ennemi.
Face à elle, comme nous le dit Jankélévitch dans "l'aventure, l'ennui, le sérieux" nous sommes comme des "semi-dieu". Nous faisons nos choix avec espoir qu'il nous amène à ce que nous souhaitons... ce n'est effectivement pas toujours le cas ! Car nous nous devons de faire face à n'importe qu'elle situations : il s'agit de la conséquences de nos actes. Donc d'une certaine manière messieurs, la liberté a souvent raison de nous ...
Le droit nous permet justement de jouir une liberté totale : il nous permet de prendre notre destin à deux mains. On maitrise le présent et le futur.
C'est ce qui pourrait s'appeler en d'autre termes, "les portes s'ouvrant sur le bonheur et la plénitude".
Maintenant que je viens de définir cela, je vais revenir sur le devoir d'amour.
Les arguments de l'opposition sont les suivants: ...
L'amour ne peut pas être fixé comme un devoir car l'homme est libre d'aimer qui il souhaite, tout comme sa pensée. Nul ne peut contrôlé son esprit. Et d'ailleurs qui le pourrait puisque nous ne sommes pas dans la tête des autres. Cela serai vain, et la seule manière de régler le problème de tuer tout le monde, autant donc dire que c'est plus qu'absurde de chez absurde (c'est toutefois ce comment aurait réagit une machine...).
A partir de ça, il semble légitime de dire qu'il est, n'ont pas nuisible mais totalement absurde de poser une obligation d'aimer que nul ne peux contrôlé puisque on ne contraint pas l'homme à penser d'une certaine façon,... surtout quand il connaît d'autre chemin qui selon lui vaillent mieux la peine d'être suivi.
D'autre part, le devoir d'aimer fait appel bien entendu à la notion de subjectivité : on ne choisi pas ce qu'on aime après tout. On aime ce qui nous touche et ce qui nous rapproche de ce que Platon appelerai '' L'harmonie"... Un Homme ou un Femme ne choisissent pas s'ils auront tels amis ou tels amis dans leur entourage, ou si ils tomberont amoureux de tel ou tel type d'individu, etc... A chacun son accord musical, lui permettant de bien sincéré dans la musique du bonheur. On ne choisi pas ce qu' l'on aime au même titre que l'on imbrique pas des pièce dans un puzzle de force (sous peine d'obtenir une image immonde à la fin).
Alors comment comptons nous nous imposer un devoir sur le fait d'aimer obligatoirement ce qui est déjà or de tout contrôle ?
****Eh Bien ! Ai je paru convainquant pour un contre argumentaire que je me fait à moi même (cela dit je me suis aidez de beaucoup de critique provenant de vous) ?
Mais permettez moi d'amorcer une transition à tout cela une transition pour nuancer tout cela ...
Tout d'abord je reviendrai sur les opposé de l'amour.
Le premier d'entre eux est bien connu : je le nomme haine. Certains ne seront pas d'accords avec moi ( à cela je leur dis ne vous inquiétez, il ne sera pas le seul de ma liste...). La Haine est paradoxalement très semblable à l'amour et pourtant s'oppose à ce dernier sur un point bien précis. Car la haine est un amour desperer, un amour qui ne comprends parce qu'il est confronté à une réalité qui selon lui n'a de justification que la simple phrase "je suis libre". Ce sentiment de haine se retourne en général contre l'individu lui même si ce dernier réalise que le choix en question était en réalité totalement légitime... L'individu par la suite est amener à aimer parce qu'il concentra cette fois là, à admettre qu'il ne sait pas tous et que le choix submerge chaque individu, qu'il soit facile ou difficile... Mais souvent il se détruit à travers cela, car il n'existe qu'à travers cette voie. Le jour où tout s'arrête, la personne ne trouve plus de but dans la vie et se retrouve errante ... autant très difficil de se reconstruire par la suite....
En deuxième lieu, (mais bien de loin le plus important) : la peur ! Issue de l'incompréhension, elle nous pousse à nos retranchement et nous lance dans une spiral infernal, paranoiaque,... Alors que la haine, elle cherchce sans arrêt la confrontation et d'une certaine manière sans nourri, la peur cherche l'élimination et l'éradication ! La pitié, et la compassion y sont entièrement etranger, (je vous laisse imaginer de ce qu'il reste de la raison....). Elle est la folie meurtrière de l'Humanité ; l'instinct résiduel de notre ancienne part animal enfouit dans notre subconscient.
Le seul moyen de la combattre, est de l'ignorer, soit par la témérité s'acquérant par la résilience juste après etre tomber dans le désespoir (grossomodo, j'ai plus rien à perdre donc j'y vais), soit à travers l'autre afin d'acquérir de l'estime pour soi, et de savoir que l'on a une chance face à ses démons ! La seconde voie me semble bien moins douleureuse et bien plu efficace pour le faire comprendre (encore faudrait il que l'autre vous aime...)
Et enfin, le plus crapuleux de tous et le plus répandu. Il nait en général de l'excès, le bon comme le mauvais. Le bonheur le plus haut comme le malheur le plus grand, il nait de la déformation que provoque cet excès et rends tout le reste, du point de vue de la personne, entièrement négligeable. Un excès qui nous a permis de nous oublier nous même et de vivre dans un monde à part du réel.
C'est l'indifférence messieurs ! Mais que fait elle de mal au juste ?
Pour cela, nous allons prendre l'exemple très concret dans l'Odyssée de Homère : les Lotophages !
Un peuple qui envouta l'équipage d'Ulysse grâce à ce miel produit par une fleur permettant l'oublie, la perte d'indentité, et ainsi le renouveau !... Mais à cela est aussi à associer l'abandon, la faiblesse, la résignation à ne plus vouloir se battre pour retrouver sa femme qui l'attends chaque jour et espere, et son/sa fils/fille qu'ils n'auront jamais vu de leur vie !
C'est ça l'indifférence ! C'est un manque de sensibilité, ennemi à l'amour ! C'est ce qui te pousse à décider de lâcher prise sur la corde avant d'arriver à ton point de rupture, sans te préoccuper de savoir qui tu as laissé tomber lâchement. C'est le sourire méprisant peu soucieux de l'effet qu'il produit, les yeux fuyant sur l'obstacle, ou encore le regard de dédain sur quelqu'un. C'est de jeter l'éponge au premier regard, estimer que cela est vain d'être combattu ou de pouvoir aider. L'indifférence, c'est le fait de mépriser l'espoir que qu'apporte le potentiel de notre liberté à toute situation.
C'est la démission à toute forme d'amour envers l'autre !
Ainsi, Voici donc selon moi les 3 ennemi de l'Amour. Et vous savez tous comme moi, que ces trois là à eux seuls sont responsables de la plupart du chaos qui frappent ce monde.
Ce sont des fléaux de l'humanité.
Et vous parler de rendre l'amour libre ! Mais voilà le problème messieurs : si l'amour est libre alors l'amour est un droit. Et parce qu'il n'est (pour l'instant) assuré par aucun devoir, il est un droit naturel : pour être plus précis je dirai que c'est une faculté de la liberté !
Et le droit de faire quelque chose, (ici d'aimer) commence par le fait de ne pas être reproché de ne pas en faire usage. Cependant, si vous n'en faite pas usage, c'est alors les 3 autres fléaux qui prennent le relais.
Comment pouvez vous etonnez que des atrocité dans ce monde ont lieu puisque vous leur donner la liberté d'apparaitre et de meurtrir l'Humain ? En quoi est ce si choquant ?
D'ailleurs, j'aurais envie de vous dire, que si vous combattez l'instoration de ce devoir d'aimer, et que vous vous réservez ce droit d'aimer pour vous, c'est donc aussi pour vous reserver le droit d'utiliser ces trois fléaux en toutes legitimités (haine, peur et indifférence) puisque techniquement, sauf erreur de ma part, rien d'autre en plus n'existe. Me tromperais-je ?
Comment donc pouvez, en ayant la moindre once d'honneur, venir me parler d'amour si vous même vous êtes la cause de sa constante destruction ?
Vous voyez bien que c'est un manque total de cohérence qui est ici et que si vous auriez voulu que l'amour triomphe de tout le reste, alors vous auriez fait en sorte que la place ne soit laisser à rien d'autre qu'à l'amour lui même
Mais je vois d'ici, un argument qui vient ; celui de la defense de soi même face à l'autre.
A cet imbécil je lui répond sans scrupul par la chose suivante : "pauvre enfant a celui qui te jette une pière dans la figure, fait de même en réponse à cela et il ramènera ses potes pour te tabasser la gueule, ou va lui parler, lui montrer à quel point qu'il est bête et mechant et il arrêtera".
On ne commet pas le mal pour se défendre du mal, car la fin ne justifie jamais les moyens.
De la même manière que l'on se doit de supprimer le port d'armes dans un pays pour limiter le nombre de morts, on supprime ce qui est ennemi à l'amour pour le préserver.
Et la seule manière de le faire, c'est par le devoir.
Mais cela ne résout toujours pas mon problème principal, qui est que nous ne pouvons pas forcément nous correspondre tous, selon ce que vous me dite.
Et bien permettez moi d'en démontrez le contraire de suite. Aussi simplement que cela :
Nous avons tous un point commun : c'est la liberté. Et je vous avais dit à ce moment là que l'homme en fonction de la personne, avait une notion différente de l'harmonie dans laquelle il envisage vivre. Mais en vérité ce n'est pas tout à fait vrai...
Car l'essence même de l'harmonie est de s'accorder avec tout ce qui est autour de soi dans le but de créer la beauté. L'harmonie est donc éternelle... Mon raisonnement concistera donc à montrer qu'il n'y a qu'une seule et unique harmonie et que l'Homme, et que, pour celui qui n'aime pas, il ne créer pas son harmonie, mais au contraire derange cette harmonie ultime !
Losqu'un conflit nait entre deux personnes, les deux ensemble se font opposition. Il n'y a qu'un nombre limité de fin a cette histoire.
Les deux camp se détruisent ou tentent de coexister. Dans l'un des deux cas l n'y a lusd'harmonie, pusiqu'il n'y a plus aucun élément present, et dans l'autre es element s'accorde ; donc UNE harmonie. Mais dans tout les cas, le conflit prendra fin.
Eh oui ! Parce que chacun sait (ou decouvre) que le conflit engendre la souffrance de l'autre mais aussi de soi même. Il est dès lors destiné a prendre fin puisque chacun va utiliser des moyens de plus en plus évolué, qui engendreront a bout la rupture soit des deux ensembles soit la rupture de l'univers duquel il depende. Donc la destruction de l'harmonie.
La guerre froide en a été le parfait exemple et la crise de cuba illustre parfaitement ces deux issues.
Mais par extension, même dans la vie quotidienne on peut observer cela. Soit il y a paix, soit il y a meurtre.
Dans tout les cas les deux corps ne peuvent pas coexister éternellement sur une longueure différente. Et comme nous sommes doué de raison, nous reprehendons le meurtre puisqu'il nuit a notre potentiel. Nous optons donc pour la solution qui cherche la conciliation afin que l'harmonie existe : elle seul nous permet d'exister.
Ainsi il n'y a plus de doute ; il n'y a bien qu'une seule harmonie ! Et nos différences (non pas physique) interieur ne la serve pas ! Ou du moins, le fait de les clamer gaut et fort, n'engendre que le conflit ! Au contraire elle l'ecartel, la fragilise, jusqu'au final pour la detruire.
Et vous, vous n'en avez que cure. Vous le cherchez ce conflit, puisque vous voulez a tout pris conservé le droit d'etre et de ce comportez de manière différente !
Vous n'y gagnez rien, si ce n'est le fait de se faire remarquer ! Est dont cela que vous recherchez ? C.est ainsi que se comporte des collégiens. Est ce la même chose chez les adultes ?
Le devoir d'amour exige d'aller au delà de ces differences, de les ignorer et d'y voir ce en quoi on se ressemble, afin de coopéré pour ne laisser place a aucun des fléau dont je vous ai parlé (indifférence, haine et peur).
POUR CONCLURE !
Le devoir d'amour ne pourra jamais etre vérifié amr qui que se soit d'autre que vous même. Il appartient donc a vous messieurs de bien vouloir ou non aimer. Mais il appartient a vous messieurs de decider si en l'autre ou non et surtout en vous, de savoir si voulez être habité par l'amour ou l'un de ces fléau !
C'est un devoir A S'IMPOSER A SOI MÊME.
Aimez l'autre ne peut que le protéger de ces vis, et donc vous proteger de ses reactions, puisqu'il finira par vous aimez. Il n'y a aucune chance qu'il vous haisse (ou cela n'est qu'éphémère).
Voyez ici ce que vous souhaitez.
Bonne journée !
En vue de ce que vous m'ecrivez, tous, je n'ai d'autre choix que de vous livrez quelque chose de tout sauf concis.
L'opinion du public que vous semblez vouloir refléter, voudrait que l'amour ne doit pas être lié à un devoir et une obligation, mais au contraire à notre liberté.
Il se voudrait effectivement que cela soit incompatible.
Or qu'est ce que le devoir ?
Le devoir est, selon vos mots, l'obligations, la restrictions auquel nous devons nous soumettre. Toutefois, le devoir n'a pour simple fin de fixer une restriction, mais bien en améliorer le bien être( Mdr ! Farore 97, qu'est ce que tu nous raconte on vient de te dire que tu nous entravais avec ton devoir de l'amour ! Ou est ton amélioration, ici ?). Attendez ...
Car le devoir accorde le droit ! Oui, tout devoir accorde un droit messieurs, si celui-ci est reconnu par les autres comme nécessaire à la vie en société (Oui Farore 97, encore faut il que ton droit de l'amour soit UTILE !!!! ) Patience, messieurs, j'arrive... Qu'est ce que le droit, messieurs ?
Le droit est ce qui nous permet d'assurer le fait que notre liberté sera respecter. C'est la limite messieurs dont la liberté d'autrui n'est pas autoriser à s'affranchir, à moins d'en arriver à un accord commun ne débouchant pas sûr des évènements risquant d'être dramatiques...
Mais quoi qu'il en soit, le droit est là pour garantir cette liberté. Et le droit est respecté par le devoir.
Conclusion, la liberté s'obtient par le devoir ; sinon elle n'est pas restreinte et peut rentrer en conflit avec celle d'autre individu. La liberté messieurs est notre essence : notre meilleur atout, mais aussi notre pire ennemi.
Face à elle, comme nous le dit Jankélévitch dans "l'aventure, l'ennui, le sérieux" nous sommes comme des "semi-dieu". Nous faisons nos choix avec espoir qu'il nous amène à ce que nous souhaitons... ce n'est effectivement pas toujours le cas ! Car nous nous devons de faire face à n'importe qu'elle situations : il s'agit de la conséquences de nos actes. Donc d'une certaine manière messieurs, la liberté a souvent raison de nous ...
Le droit nous permet justement de jouir une liberté totale : il nous permet de prendre notre destin à deux mains. On maitrise le présent et le futur.
C'est ce qui pourrait s'appeler en d'autre termes, "les portes s'ouvrant sur le bonheur et la plénitude".
Maintenant que je viens de définir cela, je vais revenir sur le devoir d'amour.
Les arguments de l'opposition sont les suivants: ...
L'amour ne peut pas être fixé comme un devoir car l'homme est libre d'aimer qui il souhaite, tout comme sa pensée. Nul ne peut contrôlé son esprit. Et d'ailleurs qui le pourrait puisque nous ne sommes pas dans la tête des autres. Cela serai vain, et la seule manière de régler le problème de tuer tout le monde, autant donc dire que c'est plus qu'absurde de chez absurde (c'est toutefois ce comment aurait réagit une machine...).
A partir de ça, il semble légitime de dire qu'il est, n'ont pas nuisible mais totalement absurde de poser une obligation d'aimer que nul ne peux contrôlé puisque on ne contraint pas l'homme à penser d'une certaine façon,... surtout quand il connaît d'autre chemin qui selon lui vaillent mieux la peine d'être suivi.
D'autre part, le devoir d'aimer fait appel bien entendu à la notion de subjectivité : on ne choisi pas ce qu'on aime après tout. On aime ce qui nous touche et ce qui nous rapproche de ce que Platon appelerai '' L'harmonie"... Un Homme ou un Femme ne choisissent pas s'ils auront tels amis ou tels amis dans leur entourage, ou si ils tomberont amoureux de tel ou tel type d'individu, etc... A chacun son accord musical, lui permettant de bien sincéré dans la musique du bonheur. On ne choisi pas ce qu' l'on aime au même titre que l'on imbrique pas des pièce dans un puzzle de force (sous peine d'obtenir une image immonde à la fin).
Alors comment comptons nous nous imposer un devoir sur le fait d'aimer obligatoirement ce qui est déjà or de tout contrôle ?
****Eh Bien ! Ai je paru convainquant pour un contre argumentaire que je me fait à moi même (cela dit je me suis aidez de beaucoup de critique provenant de vous) ?
Mais permettez moi d'amorcer une transition à tout cela une transition pour nuancer tout cela ...
Tout d'abord je reviendrai sur les opposé de l'amour.
Le premier d'entre eux est bien connu : je le nomme haine. Certains ne seront pas d'accords avec moi ( à cela je leur dis ne vous inquiétez, il ne sera pas le seul de ma liste...). La Haine est paradoxalement très semblable à l'amour et pourtant s'oppose à ce dernier sur un point bien précis. Car la haine est un amour desperer, un amour qui ne comprends parce qu'il est confronté à une réalité qui selon lui n'a de justification que la simple phrase "je suis libre". Ce sentiment de haine se retourne en général contre l'individu lui même si ce dernier réalise que le choix en question était en réalité totalement légitime... L'individu par la suite est amener à aimer parce qu'il concentra cette fois là, à admettre qu'il ne sait pas tous et que le choix submerge chaque individu, qu'il soit facile ou difficile... Mais souvent il se détruit à travers cela, car il n'existe qu'à travers cette voie. Le jour où tout s'arrête, la personne ne trouve plus de but dans la vie et se retrouve errante ... autant très difficil de se reconstruire par la suite....
En deuxième lieu, (mais bien de loin le plus important) : la peur ! Issue de l'incompréhension, elle nous pousse à nos retranchement et nous lance dans une spiral infernal, paranoiaque,... Alors que la haine, elle cherchce sans arrêt la confrontation et d'une certaine manière sans nourri, la peur cherche l'élimination et l'éradication ! La pitié, et la compassion y sont entièrement etranger, (je vous laisse imaginer de ce qu'il reste de la raison....). Elle est la folie meurtrière de l'Humanité ; l'instinct résiduel de notre ancienne part animal enfouit dans notre subconscient.
Le seul moyen de la combattre, est de l'ignorer, soit par la témérité s'acquérant par la résilience juste après etre tomber dans le désespoir (grossomodo, j'ai plus rien à perdre donc j'y vais), soit à travers l'autre afin d'acquérir de l'estime pour soi, et de savoir que l'on a une chance face à ses démons ! La seconde voie me semble bien moins douleureuse et bien plu efficace pour le faire comprendre (encore faudrait il que l'autre vous aime...)
Et enfin, le plus crapuleux de tous et le plus répandu. Il nait en général de l'excès, le bon comme le mauvais. Le bonheur le plus haut comme le malheur le plus grand, il nait de la déformation que provoque cet excès et rends tout le reste, du point de vue de la personne, entièrement négligeable. Un excès qui nous a permis de nous oublier nous même et de vivre dans un monde à part du réel.
C'est l'indifférence messieurs ! Mais que fait elle de mal au juste ?
Pour cela, nous allons prendre l'exemple très concret dans l'Odyssée de Homère : les Lotophages !
Un peuple qui envouta l'équipage d'Ulysse grâce à ce miel produit par une fleur permettant l'oublie, la perte d'indentité, et ainsi le renouveau !... Mais à cela est aussi à associer l'abandon, la faiblesse, la résignation à ne plus vouloir se battre pour retrouver sa femme qui l'attends chaque jour et espere, et son/sa fils/fille qu'ils n'auront jamais vu de leur vie !
C'est ça l'indifférence ! C'est un manque de sensibilité, ennemi à l'amour ! C'est ce qui te pousse à décider de lâcher prise sur la corde avant d'arriver à ton point de rupture, sans te préoccuper de savoir qui tu as laissé tomber lâchement. C'est le sourire méprisant peu soucieux de l'effet qu'il produit, les yeux fuyant sur l'obstacle, ou encore le regard de dédain sur quelqu'un. C'est de jeter l'éponge au premier regard, estimer que cela est vain d'être combattu ou de pouvoir aider. L'indifférence, c'est le fait de mépriser l'espoir que qu'apporte le potentiel de notre liberté à toute situation.
C'est la démission à toute forme d'amour envers l'autre !
Ainsi, Voici donc selon moi les 3 ennemi de l'Amour. Et vous savez tous comme moi, que ces trois là à eux seuls sont responsables de la plupart du chaos qui frappent ce monde.
Ce sont des fléaux de l'humanité.
Et vous parler de rendre l'amour libre ! Mais voilà le problème messieurs : si l'amour est libre alors l'amour est un droit. Et parce qu'il n'est (pour l'instant) assuré par aucun devoir, il est un droit naturel : pour être plus précis je dirai que c'est une faculté de la liberté !
Et le droit de faire quelque chose, (ici d'aimer) commence par le fait de ne pas être reproché de ne pas en faire usage. Cependant, si vous n'en faite pas usage, c'est alors les 3 autres fléaux qui prennent le relais.
Comment pouvez vous etonnez que des atrocité dans ce monde ont lieu puisque vous leur donner la liberté d'apparaitre et de meurtrir l'Humain ? En quoi est ce si choquant ?
D'ailleurs, j'aurais envie de vous dire, que si vous combattez l'instoration de ce devoir d'aimer, et que vous vous réservez ce droit d'aimer pour vous, c'est donc aussi pour vous reserver le droit d'utiliser ces trois fléaux en toutes legitimités (haine, peur et indifférence) puisque techniquement, sauf erreur de ma part, rien d'autre en plus n'existe. Me tromperais-je ?
Comment donc pouvez, en ayant la moindre once d'honneur, venir me parler d'amour si vous même vous êtes la cause de sa constante destruction ?
Vous voyez bien que c'est un manque total de cohérence qui est ici et que si vous auriez voulu que l'amour triomphe de tout le reste, alors vous auriez fait en sorte que la place ne soit laisser à rien d'autre qu'à l'amour lui même
Mais je vois d'ici, un argument qui vient ; celui de la defense de soi même face à l'autre.
A cet imbécil je lui répond sans scrupul par la chose suivante : "pauvre enfant a celui qui te jette une pière dans la figure, fait de même en réponse à cela et il ramènera ses potes pour te tabasser la gueule, ou va lui parler, lui montrer à quel point qu'il est bête et mechant et il arrêtera".
On ne commet pas le mal pour se défendre du mal, car la fin ne justifie jamais les moyens.
De la même manière que l'on se doit de supprimer le port d'armes dans un pays pour limiter le nombre de morts, on supprime ce qui est ennemi à l'amour pour le préserver.
Et la seule manière de le faire, c'est par le devoir.
Mais cela ne résout toujours pas mon problème principal, qui est que nous ne pouvons pas forcément nous correspondre tous, selon ce que vous me dite.
Et bien permettez moi d'en démontrez le contraire de suite. Aussi simplement que cela :
Nous avons tous un point commun : c'est la liberté. Et je vous avais dit à ce moment là que l'homme en fonction de la personne, avait une notion différente de l'harmonie dans laquelle il envisage vivre. Mais en vérité ce n'est pas tout à fait vrai...
Car l'essence même de l'harmonie est de s'accorder avec tout ce qui est autour de soi dans le but de créer la beauté. L'harmonie est donc éternelle... Mon raisonnement concistera donc à montrer qu'il n'y a qu'une seule et unique harmonie et que l'Homme, et que, pour celui qui n'aime pas, il ne créer pas son harmonie, mais au contraire derange cette harmonie ultime !
Losqu'un conflit nait entre deux personnes, les deux ensemble se font opposition. Il n'y a qu'un nombre limité de fin a cette histoire.
Les deux camp se détruisent ou tentent de coexister. Dans l'un des deux cas l n'y a lusd'harmonie, pusiqu'il n'y a plus aucun élément present, et dans l'autre es element s'accorde ; donc UNE harmonie. Mais dans tout les cas, le conflit prendra fin.
Eh oui ! Parce que chacun sait (ou decouvre) que le conflit engendre la souffrance de l'autre mais aussi de soi même. Il est dès lors destiné a prendre fin puisque chacun va utiliser des moyens de plus en plus évolué, qui engendreront a bout la rupture soit des deux ensembles soit la rupture de l'univers duquel il depende. Donc la destruction de l'harmonie.
La guerre froide en a été le parfait exemple et la crise de cuba illustre parfaitement ces deux issues.
Mais par extension, même dans la vie quotidienne on peut observer cela. Soit il y a paix, soit il y a meurtre.
Dans tout les cas les deux corps ne peuvent pas coexister éternellement sur une longueure différente. Et comme nous sommes doué de raison, nous reprehendons le meurtre puisqu'il nuit a notre potentiel. Nous optons donc pour la solution qui cherche la conciliation afin que l'harmonie existe : elle seul nous permet d'exister.
Ainsi il n'y a plus de doute ; il n'y a bien qu'une seule harmonie ! Et nos différences (non pas physique) interieur ne la serve pas ! Ou du moins, le fait de les clamer gaut et fort, n'engendre que le conflit ! Au contraire elle l'ecartel, la fragilise, jusqu'au final pour la detruire.
Et vous, vous n'en avez que cure. Vous le cherchez ce conflit, puisque vous voulez a tout pris conservé le droit d'etre et de ce comportez de manière différente !
Vous n'y gagnez rien, si ce n'est le fait de se faire remarquer ! Est dont cela que vous recherchez ? C.est ainsi que se comporte des collégiens. Est ce la même chose chez les adultes ?
Le devoir d'amour exige d'aller au delà de ces differences, de les ignorer et d'y voir ce en quoi on se ressemble, afin de coopéré pour ne laisser place a aucun des fléau dont je vous ai parlé (indifférence, haine et peur).
POUR CONCLURE !
Le devoir d'amour ne pourra jamais etre vérifié amr qui que se soit d'autre que vous même. Il appartient donc a vous messieurs de bien vouloir ou non aimer. Mais il appartient a vous messieurs de decider si en l'autre ou non et surtout en vous, de savoir si voulez être habité par l'amour ou l'un de ces fléau !
C'est un devoir A S'IMPOSER A SOI MÊME.
Aimez l'autre ne peut que le protéger de ces vis, et donc vous proteger de ses reactions, puisqu'il finira par vous aimez. Il n'y a aucune chance qu'il vous haisse (ou cela n'est qu'éphémère).
Voyez ici ce que vous souhaitez.
Bonne journée !