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Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 04:22
par toutatis
Moi, je me demande TRÈS sérieusement pourquoi Dieu n'a pas utilisé un prophète pour dire aux hébreux de ne pas enlevé le nom sacré de Dieu. Et de plus, Dieu aurait expliqué qu'il permettait d'utiliser son nom mais pas pour des conneries. Et si les hébreux avaient SI PEUR de prononcer ce nom, à cause des probable conséquences, c'était tout simplement à Dieu d'être moins sévère et un peu plus gentil. Après tout, tout le monde fait des erreurs non ? Dieu a bien regretté d'avoir fait l'homme au déluge. C'était pas une erreur ça ?????

Toutatis

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 04:30
par clovis
Faut-il compter sur des experts pour savoir si oui ou non le tétragramme figurait dans le NT ou faut-il simplement lire le texte tel qu'il nous est parvenu ? Vous vous rendez compte des recherches qu'il faut effectuer pour vérifier si oui ou non le tétragramme se trouvait dans le NT ? Personnellement j'ai lu des choses sur le sujet et je ne pourrai pas être catégorique, ni dans un sens, ni dans l'autre. Alors je préfère me fier aux manuscrits grecs.

Une petite anecdote :

Hier soir j'ai lu avec mon épouse la première épître de Jean dans la TMN. Je n'y ai pas lu une seule fois le tétragramme, pourquoi ? J'ai assisté à un discours à leur salle du royaume quelques heures plus tôt et j'y ai entendu Jéhovah des dizaines de fois*.

Qu'en pense les TJ de ce forum ? :interroge:

* J'ai fait un deal avec mon épouse. Nous lisons la Bible deux fois par semaines en alternant AT et NT et en échange je vais au discours hebdomadaire.

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 04:33
par BenFis
Gnosis a écrit :Tu confonds tous BenFis,


Les spécialistes indiquent que le Nom n’était pas prononcé par respect, car les juifs ne se considéré pas assez saint pour prononcé un Nom aussi sacré.

C'est pour cela que le Talmud nous indique qu'il était interdit de l'effacer, car l'effacer était considéré comme un sacrilège.
Le fait de le reporté dans les écrits renferme le fait d’honoré sa sainteté.

Demande à un juif aujourd'hui, d'effacer le nom des saintes écritures, pourtant ce Nom n'est pas prononcé.
Que te répondrait-il?

L'effacer dans les ecrits serait synonyme de sacrilège.

Alors explique moi pourquoi chaque foi, tu associes le fait de ne pas le prononcer avec le fait de ne pas l’écrire dans les textes.

Comprends tu, que quand tu dis de ne pas le prononcé par respect cela est en total contradiction avec le fait de ne pas le reporter dans les écrits?

Je t'invite à méditer sur la mentalité ou est né le NT , une culture ou le Nom est un hymne à Dieu, que son Nom soit célébré, qu'il soit loué, qu'il soit Béni et commémoré, tu connais très bien ces expressions, fies-toi à la parole de Dieu et non pas aux traditions humaines.
Contrairement en Egypte ou il était blasphème que Dieu puisse avoir un NOM.
Tu ne peux effacer un nom que s'il a déjà été écrit au préalable. Ce qui a pu évidemment être le cas dans l'AT.
Mais le NT était une production nouvelle.

En tant que telle, les auteurs des Evangiles n'avaient pas à dupliquer le Tétragramme, mais simplement à coucher par écrit ce qu'ils voyaient et entendaient.
Et puisqu'en Judée on ne prononçait pas le Tétragramme, ils n'avaient donc pas à le reproduire par écrit.

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 04:57
par medico
Jéhovah
Nom propre de Dieu dans l'Ancien Testament
* Publié par Encyclopédie Press, 1913.
Jéhovah , le nom propre de Dieu dans l'Ancien Testament; d'où les Juifs appelaient le nom par excellence, le grand nom, le seul nom, le nom glorieux et terrible, le nom caché et mystérieux, le nom de la substance, le nom propre, et le plus souvent hammephorash Shem , à savoir l'explicite ou le nom séparés, bien que le sens précis de cette dernière expression est un sujet de discussion (cf. Buxtorf, "Lexicon", Bâle, 1639, col. 2432 sqq.). Jéhovah se produit plus souvent que tout autre nom divin. Les Concordances de Furst ("Vet test Concordantiae..", Leipzig, 1840) et Mandelkern ("Vet test Concordantiae..", Leipzig, 1896) ne exactement accepter de ne pas quant au nombre de ses occurrences; mais en chiffres ronds, il se trouve dans l'Ancien Testament 6000 fois, soit seul, soit en conjonction avec un autre nom divin. La Septante et la Vulgate rendent le nom généralement par "Seigneur" ( kurios, dominus ), une traduction de Adonaï habituellement substitué à l'Eternel en lecture.

I. prononciation Jéhovah-Les Pères et les écrivains rabbinique d'accord dans la représentation de Jéhovah comme un nom ineffable. Quant aux pères, nous ne devons attirer l'attention sur les expressions suivantes: onoma Arreton, aphraston, alekton, aphthegkton, anekphonton, aporreton kai me rethenai dunamenon, mustikon . Leusden ne pouvait pas induire un certain Juif, en dépit de sa pauvreté, de prononcer le nom réel de Dieu, mais il a tenu les promesses les plus séduisantes. La conformité du Juif avec les souhaits de Leusden ne serait pas en effet avoir été d'aucun avantage réel à ce dernier; pour les juifs modernes sont aussi incertaines du réel prononciation du nom sacré que leurs contemporains chrétiens. Selon une tradition rabbinique la prononciation réelle de l'Eternel a cessé d'être utilisé au moment de Siméon le Juste, qui était, selon Maïmonide, un contemporain d'Alexandre le Grand. En tout cas, il semble que le nom a été plus prononcé après la destruction du Temple. La Mishna se réfère à notre question plus d'une fois: Berahot, ix, 5, permet l'utilisation du nom divin par voie de salut; Sanhédrin, x, 1, Abba Shaul refuse toute part dans le monde futur à ceux qui le prononcer comme il est écrit; selon Thamid, vii, 2, les prêtres dans le Temple (ou peut-être à Jérusalem) pourraient employer le vrai nom divin, tandis que les prêtres dans le pays (en dehors de Jérusalem) ont dû se contenter du nom Adonaï; selon Maïmonide ("Plus Neb.", i, 61, et "Chasaka Yad", xiv, 10) le vrai nom divin a été utilisé seulement par les prêtres dans le sanctuaire qui donnait la bénédiction, et par le grand-prêtre sur le Jour de l'Expiation. Philo ["De mut. Nom.", N. (.. Ed Marg, i, 580) 2; "Vita Mos.", Iii, 25 (ii, 166)] semble maintenir que même à ces occasions les prêtres devaient parler à voix basse. Jusqu'à présent, nous avons suivi la tradition juive post-chrétienne sur l'attitude des Juifs avant Siméon le Juste.

Quant à la tradition antérieure, Josèphe (. Antiq, II, xii, 4) déclare qu'il n'a pas le droit de traiter du nom divin; dans un autre endroit (Antiq., XII, v, 5), il dit que les Samaritains érigés sur le mont Garizim un ieron de anonumon . Cette vénération extrême pour le nom divin doit avoir généralement prévalu au moment de la version des Septante a été faite, pour les traducteurs toujours substitution kurios (Seigneur) pour l'Eternel. Ecclus., Xxiii, 10, semble interdire seulement l'utilisation délibérée du nom divin, mais il ne peut pas nier que l'Eternel est pas employé aussi souvent dans les livres canoniques plus récentes de l'Ancien Testament que dans les livres anciens. Il serait difficile de déterminer à quel moment cette vénération pour le nom divin origine chez les Hébreux. Auteurs rabbiniques tirent l'interdiction de prononcer le tétragramme , le nom de l'Éternel est appelé, à partir de Lev, xxiv, 16:. "Et celui qui blasphème le nom du Seigneur, en mourant le laisser mourir". Le participe hébreu noqedh , traduit ici par "blasphème", est traduit onomason dans la Septante, et semble avoir le sens de "déterminer", "pour désigner" (au moyen de son bon voyelles) en général, xxx, 28; Num, i, 17.; Is., Lxii, 2. Pourtant, le contexte de Lev., XXIV, 16 (cf. versets 11 et 15), favorise le sens de «blasphémer». Exégètes rabbiniques tirent également l'interdiction de Ex, iii, 15.; mais cet argument ne peut pas résister à l'épreuve des lois de l'herméneutique sobres (cf. Drusius, "Tétragramme", 8-10, dans "Critici Sacri», Amsterdam, 1698, I, p ii, col 339-42;. ". De nomine divino », ibid, 512-16;. Drach," Harmonie Entre l'Eglise et la Synagogue ", I, Paris, 1844, pp 350-53, et à la note 30, pp 512-16)... Qu'est-ce qui a été dit, explique la soi-disant qeri perpetuum , selon laquelle les consonnes de Jéhovah sont toujours accompagnés dans le texte hébreu par les voyelles d'Adonaï, sauf dans les cas où Adonaï est en apposition à l'Eternel: dans ces cas, les voyelles de Elohim sont substitués. L'utilisation d'un simple, shewa dans la première syllabe de l'Eternel, à la place de l'shewa composé dans la syllabe correspondante de Adonaï Elohim et est exigé par les règles de la grammaire hébraïque régissant l'utilisation de shewa. D'où la question: Quels sont les véritables voyelles du mot Jéhovah?

Il a été maintenu par certains savants récents que le mot Jéhovah ne date que de l'année 1520 (cf. Hastings, "Dictionnaire de la Bible", II, 1899, p 199;.. Gesenius-Buhl, "Handworterbuch", 13ème ed, 1899, p. 311). Drusius (loc. Cit., 344) représente Peter Galatinus comme l'inventeur du mot Jéhovah, et Fagius comme son propagateur dans le monde des savants et des commentateurs. Mais les auteurs du XVIe siècle, catholique et protestante (par exemple, Cajetan et Théodore de Bèze), sont parfaitement familier avec le mot. Se Galatinus ("Cathol Arcana. Veritatis", I, Bari, 1516, a, p. 77) représente la forme comme il est connu et a reçu en son temps. En outre, Drusius (loc. Cit., 351) a découvert dans Porchetus, un théologien du XIVe siècle. Enfin, le mot est trouvé, même dans le "Pugio fidei» de Raymond Martin, un ouvrage écrit à propos de 1270 (éd. Paris, 1651, pt. III, dist. Ii, cap. III, p. 448, et note, p. 745). Probablement l'introduction du nom de Jéhovah est antérieure même R. Martin.

Pas étonnant alors que cette forme a été considérée comme la vraie prononciation du nom divin par des universitaires tels Michaelis ("Supplementa annonce lexiques hebraica", I, 1792, p. 524), Drach (loc. Cit., I, 469- 98), Stier (Lehrgebaude der hebr. Sprache, 327), et d'autres. (A) l'Eternel est composé des formes abrégées de l'imparfait, le participe, et le parfait du verbe hébreu "être" ( vous = yehi ,; ho = howeh; wa = Hawah ). Selon cette explication, le sens de l'Eternel serait, "celui qui sera, est, et a été". Mais une telle formation des mots n'a pas d'analogie dans la langue hébraïque. (B) La forme abrégée Jeho suppose la pleine forme Jéhovah. Mais la forme Jéhovah ne peut pas expliquer les abréviations jahu et Jah tandis que l'abréviation Jeho peut être dérivé d'un autre mot. (C) Le nom divin est dit être paraphrasée dans Apoc., I, 4, et iv, 8, par l'expression o sur kai o en kai o erchomenos , dans lequel o erchomenos est considéré comme équivalent à o esomenos "une ce sera "; mais cela signifie vraiment «celui qui vient», de sorte que, après la venue du Seigneur, Apoc., XI, 17, ne conserve que sur kai o o fr . (D) La comparaison de l'Eternel avec le latin Jupiter, Jovis . Mais il néglige totalement les formes plus pleines des noms latins Diespiter, Diovis . Toute connexion de Jéhovah avec le nom divin égyptien composé des sept voyelles je eeooua , a été rejetée par Hengstenberg (Beiträge zur Einleitung ins Alte Testament, II, 204 sqq.) et Tholuck (Vermischte Schriften, I, 349 sqq.).

Pour reprendre les auteurs anciens: Diodore de Sicile écrit Jao (I, 94); Irénée ("Adv Haer de..", II, XXXV, 3, PG, VII, 840 col.), Jaoth; les hérétiques Valentinien, Jao (Ir, "Adv h..", I, IV, 1, PG, VII, col 481..); Clément d'Alexandrie ("Strom"., V, 6, PG, IX, 60 col.), Jaou; Origène ("Dans Joh.", II, 1, PG, XIV, 105 col.), Jao; Porphyre (Eus, I, ix, PG, XXI, 72 col. "Praep evang.".), Jeuo; Epiphane ("Adv hr..", I, III, 40, PG, XLI, col 685.), Ja ou Jabe; Pseudo-Jérôme ("Breviarium dans Pss.", En PL, XXVI, 828), Jaho; les Samaritains (Théodoret, dans, xv, PG, LXXX, col 244 "Ex qust..".), Jabe; James d'Édesse (cf. Lamy, "La Science catholique", 1891, p 196.), Jehjeh; Jérôme ("Ep. Ad xxv Marcell.", Dans. L., XXII, col. 429) parle de certains écrivains grecs ignorants qui ont transcrit le nom hébreu Divine III II I. Le lecteur judicieux percevra que la prononciation Samaritain Jabe approches probablement le son réel du nom divin plus proche; les autres écrivains début ne transmettent que des abréviations ou des corruptions du nom sacré. Insertion des voyelles de Jabe dans le texte original hébreu consonne, on obtient la forme Jahveh (Yahweh), qui a été généralement acceptée par les savants modernes comme la vraie prononciation du nom divin. Il est non seulement étroitement liée à la prononciation de l'ancienne synagogue au moyen de la tradition samaritaine, mais il permet également la dérivation légitime de toutes les abréviations du nom sacré de l'Ancien Testament.

JE JE. SENS DE LA DIVINE NAME.-Jahvé (Yahvé) est l'un des noms hébreux archaïques, comme Jacob, Joseph, Israël, etc. (cf. Ewald, "Lehrbuch der hebr. Sprache", 7e éd., 1863, p. 664), dérivée de la troisième personne imparfaite de manière à attribuer à une personne ou une chose l'action ou la qualité exprimée par le verbe à la manière d'un adjectif ou un participe verbal. Furst a recueilli la plupart de ces noms, et invite la forme forma participialis imperfectiva . Comme le nom divin est une forme imparfaite du verbe hébreu archaïque "être", Jahvé signifie «Celui qui est», dont la caractéristique la note consiste à être, ou l'Être tout simplement.

Ici, nous sommes confrontés à la question de savoir si Jahvé est le hiphil imparfaite ou l'qal imparfaite. Calmet et Le Clerc croient que le nom divin est une forme hiphil; par conséquent, il signifie, selon Schrader (Die Keilinschriften et das Alte Testament, 2e éd., p. 25), celui qui vient à l'existence. le créateur; et selon Lagarde (Psalterium Hieronymi, 153), lui qui fait d'arriver, qui réalise ses promesses, le Dieu de la Providence. Mais cette opinion ne sont pas en accord avec Ex, iii, 14, et il n'y a aucune trace en hébreu d'un formulaire de hiphil du verbe qui signifie «être». En outre, cette forme hiphil est fourni dans les langues apparentées par le formulaire de pi'el, sauf en syriaque où le hiphil est rare et d'apparition tardive.

D'autre part, Jahvé peut être un qal imparfaite d'un point de vue grammatical, et l'exégèse traditionnelle de Ex., III, 6-16, semble nécessiter la forme Jahvé. Moïse demande à Dieu: "Si ils devraient me disent:? Quel est son nom [de Dieu] que vais-je leur dire" En réponse, Dieu retourne trois à plusieurs reprises à la détermination de son nom. Tout d'abord, il utilise la première personne imparfaite du verbe hébreu "être"; ici la Vulgate, la Septante, Aquila, Theodotion, et la version arabe supposent que Dieu utilise le qal imparfaite; seuls les Targums de Jonathan et de Jérusalem implique l'hiphil imparfaite. Nous avons donc les rendus: «Je suis celui qui suis», «Je suis celui qui est» (sept), "je serai [qui] doit être" (Aquila, Theodotion), "l'Eternel qui ne fonctionne pas (Vulg.) cesser "(Ar.); seulement les Targums mentionnés ci-dessus voir toute référence à la création du monde. La deuxième fois, Dieu utilise à nouveau la première personne imparfaite du verbe hébreu "être"; ici le syriaque, le Samaritain, les versions persans et les Targums de Onkelos et Jérusalem conservent le mot hébreu, de sorte que l'on ne peut pas dire si elles considèrent l'imparfait comme qal ou une forme hiphil; la version arabe omet toute clause; mais la Septante, la Vulgate, et le Targum de Jonathan supposons ici l'qal imparfaite: «Celui qui est, m'a envoyé pour vous" au lieu de "I Am, m'a envoyé pour vous" (Vulg.); "6 6v m'a envoyé vers vous» (sept); «Je suis celui qui suis, et qui sera, m'a envoyé pour vous" (Targ. Jon.). Enfin, la troisième fois, Dieu utilise la troisième personne de l'imparfait, ou la forme du nom sacré lui-même; ici la version samaritaine et le Targum Onkelos conservent la forme hébraïque; la Septante, la Vulgate, et la version syriaque rendre «Seigneur», bien que, selon l'analogie des deux premiers passages, ils auraient traduit, "il est, le Dieu de vos pères, ... m'a envoyé pour vous »; la version arabe remplace «Dieu». L'exégèse classique, donc, concerne Jahvé comme qal imparfait du verbe hébreu "être".

Voici une autre question se pose: Est-ce que l'être de Dieu repose en son nom, l'être métaphysique dénotant rien, mais l'existence même, ou est-il un être historique, une manifestation de passage de Dieu dans le temps? La plupart des écrivains protestants considérer les cours impliqués dans le nom Jahvé comme l'un historique, même si certains ne entièrement exclut pas ces idées métaphysiques que l'indépendance de Dieu, constance absolue, et la fidélité (cf. Oehler, «Théologie des Alten d'examen"., 1882, p . 142), ou encore l'indéfinissable, absolue de la cohérence, de la fidélité à ses promesses, et l'immutabilité de Dieu dans Ses plans (cf. pilote, "Tenses hébreux", 1892, p. 17). Voici les raisons alléguées pour la signification historique de la "étant" implicite dans le nom divin: (a) Le sens métaphysique de l'être était un concept trop abscons pour les temps primitifs. Pourtant, certaines des spéculations égyptiens des premiers temps sont presque aussi abscons; d'ailleurs, il ne fallait pas que les Juifs de l'époque de Moïse devrait comprendre la signification implicite au nom de Dieu. Le développement scientifique de son sens pourrait être laissée aux futurs théologiens chrétiens. (B) Le verbe hébreu hayah signifie plutôt "pour devenir" que "d'être" en permanence. Mais les bonnes autorités nient que le verbe hébreu désigne étant en mouvement plutôt que d'être dans un état ​​permanent. Il est vrai que le participe aurait exprimé un état ​​permanent plus clairement; mais alors, le participe du verbe hayah se trouve uniquement dans Ex., ix, 3, et quelques noms propres en hébreu sont dérivées du participe. (C) L'imparfait exprime essentiellement l'action de celui qui entre à nouveau sur la scène. Mais ce ne sont pas toujours le cas; l'imparfait hébreu est une véritable aoriste, abstraction faite de temps et, par conséquent, le mieux adapté pour les principes généraux (pilote, p. 38). (D) «Je suis celui qui suis» semble faire référence à «Je serai avec toi» de 12 v.; les deux textes semblent être fait allusion dans Os., i, 9, "je ne vais pas être le vôtre". Mais si cela est vrai, "Je suis celui qui suis» doit être considéré comme une ellipse: «Je suis celui qui suis avec vous», ou «Je suis celui qui suis fidèle à mes promesses". Ceci est assez sévère; mais il devient tout à fait inadmissible dans la clause, «Je suis celui qui suis, m'a envoyé".

Depuis lors, l'hébreu est imparfaite certes pas être considéré comme un futur, et puisque la nature de la langue ne nous forcez pas à voir en elle l'expression de transition ou de devenir, et depuis, d'ailleurs, la tradition début est assez fixe et la caractère absolu du verbe hayah a induit même les clients les plus ardents de son sens historique d'admettre dans les textes une description de la nature de Dieu, les règles de l'herméneutique nous inciter à prendre les expressions Ex., III, 13-15, pour ce ils valent la peine. Jahvé est lui qui est, à savoir, sa nature est mieux caractérisée par Être, si tant est qu'elle doit être désigné par un nom propre personnel, distinct du terme Dieu (Revue biblique, 1893, p. 338). Les théories scolaires quant à la profondeur du sens latent dans Jahvé (Yahweh) reste donc sur une base solide. Les êtres finis sont définis par leur essence: Dieu ne peut être défini que par l'être, pure et simple, rien de moins et rien de plus; non par abstraite étant commun à tout, et caractéristique de rien en particulier, mais en être concret, être absolu, l'océan de tout être substantiel, indépendante de toute cause, incapable de changer, dépassant toute durée, parce qu'Il est infini: "Alpha et l'Oméga, le commencement et la fin, ... qui est, et qui était, et qui vient, le Tout-Puissant "(Apoc., i, 8). Cf. St. Thomas, I, qu. xiii, a. 14; Franzelin, "De Deo Uno" (3e éd., 1883), thèse XXIII, pp. 279-86.

III. ORIGINE DU NOM Jahvé (Yahweh) .- L'opinion que le nom Jahvé a été adopté par les Juifs de la Cananéens, a été défendu par von Bohlen (Genèse, 1835, p. Civ), Von der Alm (Theol. Briefe, je 1862, pp. 524-27), Colenso (Le Pentateuque, V, 1865, pp. 269-84), Goldziher (Der Mythus bei den Hebraern, 1867, p. 327), mais a été rejeté par Kuenen ("De Godsdienst van Israël », je Haarlem, 1869, pp. 379-401) et Baudissin (Studien, I, pp. 213-18). Il est improbable que antécédemment Jahvé, l'ennemi irréconciliable de la Cananéens, devrait être à l'origine un dieu Cananéens.

Il a été dit par Vatke (Die Religion des Alten Test., 1835, p. 672) et JG Mailer (Die Semiten dans ihrem Verhaltniss zu Chamiten et Japhetiten, 1872, p. 163) que le nom Jahvé est d'origine indo-européenne . Mais la transition de la racine sanscrite div -le latine Jupiter-Jovis (Diovis ), le Grec Zeus-Dios , l'indo-européenne Dyaus -dans la forme hébreu Jahvé n'a jamais été expliqué de façon satisfaisante. (La bibl fibre Vorlesungen. Theol., P. 38) affirmation de Hitzig que les Indo-Européens meublé au moins l'idée contenue dans le nom Jahvé, même si elles ne sont pas originaires du nom lui-même, est sans valeur.

La théorie que Jahvé est d'origine égyptienne peut avoir une certaine quantité de probabilité a priori, que Moïse fut instruit en Egypte. Pourtant, les preuves ne sont pas convaincantes: (a) Roth (... Die Aegypt et mourir Zoroastr Glaubenslehre, 1846, p 175) dérive le nom hébreu de l'antique dieu-lune ou Ih Ioh. Mais il n'y a aucun lien entre le Jahvé hébreu et la lune (cf. Pierret, "Vocabul. Hierogl.", 1875, p. 44). (B) Plutarque (De Iside, 9) nous dit que la statue d'Athéna (Neith) à Saïs portait l'inscription: «Je suis tout ce qui a été, est, et sera". Mais Tholuck (op. Cit., 1867, pp. 189-205) montre que le sens de cette inscription est totalement différente de celle du nom Jahvé. (C) Les patrons de l'origine égyptienne du nom sacré appel à la formule égyptienne commune, Nuk pu nuk mais si sa signification littérale est «je suis moi», son sens réel est "Il est moi qui" (cf. Le Page Renouf, "Hibbert Lectures pour 1879», p. 244).

Quant à la théorie que Jahvé a une chaldéenne ou une origine akkadienne, sa fondation est pas très solide: (a) Jahvé est dit être une forme artificielle simplement présenter à mettre sens dans le nom du dieu national (Delitzsch, "Wo lag das Paradies ", 1881, pp.158-64); le nom commun et populaire de Dieu est dit avoir été Yahu ou Yah , la lettre I étant l'élément divin essentiel dans le nom. Cette affirmation, si elle est vraie, ne prouve pas l'origine chaldéenne ou Accadian du nom hébreu Divin; en plus de la forme Yah est rare et exclusivement poétique; Yahu jamais apparaît dans la Bible, tandis que la forme ordinaire complète du nom divin se retrouve même dans l'inscription de Mesa (ligne 18) datant du neuvième siècle avant JC (b) Yahu et Yah étaient connus en dehors d'Israël; les formes entrent dans la composition des noms propres étrangers; d'ailleurs, la variation du nom d'un certain roi de Hamath montre que Ilu est équivalent à Yau , et que Yau est le nom d'un dieu (Schrader, "Bibl BL.", II, pp 42, 56;. Sargon, " Cylindre ", xxv; Keil," Fastes ", 1. 33). Mais les noms propres étrangers contenant Yah ou Yahu sont extrêmement rares et douteux, et peuvent être expliqués sans admettre dieux dans les pays étrangers, portant le nom sacré. Encore une fois, le panthéon babylonien est assez bien connue à l'heure actuelle, mais le dieu Yau ne semble pas en elle. (C) Parmi les Babyloniens pré-sémitiques, je est un synonyme de Ilu , le dieu suprême; maintenant je avec la fin nominative assyrienne ajoutée devient Yau (cf. Delitzsch, "Lesestiicke", 3e éd., 1885, p. 42, Syllab. A, col. I, 13-16). Hommel (Altisrael. Ueberlieferung, 1897, pp. 144, 225) se sent sûr qu'il a découvert ce dieu chaldéenne Yau. Il est le dieu qui est représenté idéographiquement ( ilu ) Aa, mais habituellement prononcée Malik , si l'expression doit être lue Ai ou la (Ya). La famille patriarcale utilisé ce nom, et Moïse emprunté et transformé. Mais Lagrange souligne que les Juifs ne crurent qu'ils offraient leurs enfants à Jahvé, quand ils les sacrifiés à Malik (Religion soi mitique, 1905, pp. 100 sqq.). Jér., XXXII, 35, et Soph., I, 5, la distinction entre Malik et le Dieu hébreu.

Cheyne (.. Traditions et les croyances de l'ancienne Israël, 1907, pp 63 sqq) relie l'origine de Jahvé avec son Yerahme'el théorie; mais même les critiques les plus avancés considèrent la théorie de Cheyne comme un discrédit de la critique moderne. Autres opinions singulières quant à l'origine du nom sacré peuvent être omises en toute sécurité. La vue que Jahvé est d'origine hébraïque est la plus satisfaisante. Arguant Ex., Vi, 2-8, ces commentateurs comme Nicolas de Lyra, Tostatus, Cajetan, Bonfrere, etc., soutiennent que le nom a été révélé pour la première fois à Moïse sur le mont Horeb. Dieu déclare dans cette vision qu'il "est apparu à Abraham ... par le nom de Dieu Tout-Puissant, et mon nom Adonai [Jahvé] je ne suis pas leur montrer ". Mais l'expression «à comparaître par un nom" ne signifie pas nécessairement la première révélation de ce nom; elle signifie plutôt l'explication du nom, ou une manière d'agir conforme à la signification du nom (cf. Robiou en 1888, pp 618-24 "La Science Cathol.";.. Delattre, ibid, 1892, pp. 673-87;. van Kasteren, ibid, 1894, pp 296-315;. Robert dans "Revue biblique", 1894, pp 161-81).. Sur Mt. Horeb Dieu dit à Moïse qu'il n'a pas agi avec les Patriarches comme le Dieu de l'Alliance, Jahvé, mais comme Dieu Tout-Puissant.

Peut-être il est préférable de dire que le nom sacré, quoique peut-être sous une forme quelque peu modifiée, avait été en usage dans la famille patriarcale avant l'époque de Moïse. Sur Mt. Horeb Dieu révélé et expliqué la forme exacte de son nom, Jahvé. (A) Le nom sacré se produit dans la Genèse environ 156 fois; cette apparition fréquente peut difficilement être une simple prolepsis. (B) en., Iv, 26, stipule que Enos "a commencé à invoquer le nom du Seigneur [Jahvé]", ou comme le texte hébreu indique, "a commencé à se dire après le nom de Jahvé". (C) Jochabed, la mère de Moïse, a en son nom une forme abrégée Jo (Yo) de Jahvé. L'existence pré-mosaïque du nom divin chez les Hébreux représente de ce fait plus facilement que la supposition que l'élément divin a été introduite après la révélation du nom. (D) Parmi les 163 noms propres qui portent un élément du nom sacré dans leur composition, 48 ont Yeho ou yo au début, et 115 ont yahu ou yah à la fin, alors que la forme Jahvé ne se produit jamais dans une telle composition. Peut-être que l'on peut supposer que ces formes raccourcies Yeho, yo, yahu, yah , représentent le nom divin tel qu'il existait parmi les Israélites avant le nom complet Jahvé a été révélé sur le mont Horeb. D'autre part, Driver (Studia biblica, I, 5) a montré que ces formes courtes sont les abréviations régulières du nom complet. En tout cas, alors qu'il est pas certain que Dieu a révélé son nom à Moïse sacrée pour la première fois, sûrement Il a révélé sur le mont Horeb que Jahvé Son nom est incommunicable, et a expliqué sa signification.

AJ MAAS

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 05:10
par Gnosis
Tu ne peux effacer un nom que s'il a déjà été écrit au préalable. Ce qui a pu évidemment être le cas dans l'AT.
Mais le NT était une production nouvelle.
Tu penses que Jésus et ses disciples lisait le NT? ah bon je ne savais pas!!!
Tu penses que le NT efface l’identité de Dieu?
Peux tu m'indiquer ces nouveauté dans les écritures?
Allons BenFis
En tant que telle, les auteurs des Evangiles n'avaient pas à dupliquer le Tétragramme, mais simplement à coucher par écrit ce qu'ils voyaient et entendaient.
Et puisqu'en Judée on ne prononçait pas le Tétragramme, ils n'avaient donc pas à le reproduire par écrit.
D'ou tu sort cela?

Les chrétiens en Palestine jusqu’à l'an 70 étaient considérés comme des juifs, les judeo-chrétiens continuèrent à pratiquer la circoncision et d'autre coutumes de la loi, il n'y a aucune raison de penser que dans les écrits ils ne puisse continuer à utiliser le nom divin. Le NT est né dans cette culture avec des bases très fortes ou l’incorporation du Nom c'est d'ailleurs poursuivi à travers les siècles dans ce lieu géographique.

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 09:17
par RT2
bonjour gnosis,

Une question très simple; la Loi fut donnée par des anges, et Moïse fut l'intermédiaire vis à vis du peuple pour faire connaitre la Loi. Si des hommes n'étant pas assez saints pour prononcer le nom de Dieu selon l'avis des rabbins vers le premier siècle ou même plus tard l'ont quand même prononcé parce que des anges l'ont dit, combien plus n'est-ce pas l'ange gabriel l'a prononcé lui qui n'était pas sous la Loi car rappelons le la Loi fut donné pour rendre les transgressions manifestes parce que tout homme est conçu dans le péché.

Alors Gabriel et Jésus étaient-il dans le péché ? Et de fait n'étaient-ils pas assez saints pour prononcer le nom de leur Dieu ou marchaient-ils dans des commandements d'hommes ?

Je pose cette question au cas où et question curieusement occultée par les opposants sur le sujet...

RT2

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 09:48
par Philadelphia
Mais alors pourquoi Jésus et ses disciples ne prononçaient-ils jamais le nom divin en public ?

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 10:07
par Gnosis
Salut RT2, que les juifs n’étaient pas assez saints pour prononcer le nom de Dieu, est une tradition humaine
qui n'a rien à voir avec les saintes écritures.

Jésus connaissais bien les écritures , le nom de son père y était inscrit quasi 7000 fois, Pourquoi ne devait t-il pas prononcé le nom de son père? lui qui était dans les cieux avec son Père et observé les prophètes et les serviteurs du Dieu puissant qui l'utilisait librement tout en maintenant la bénédiction du créateur. Je suis d'accord avec toi. Jésus n'avait t-il pas la bouche assez sainte pour le prononcer également?

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 10:12
par Philadelphia
Gnosis a écrit :
Jésus connaissais bien les écritures , le nom de son père y était inscrit quasi 7000 fois, Pourquoi ne devait t-il pas prononcé le nom de son père?
S'il l'avait fait, cela n'aurait pas manqué de provoquer des querelles et d'énormes controverses avec les Pharisiens. Or, cette controverse est totalement absente des évangiles. (Voir mon topic "une controverse fantôme")

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 20:09
par BenFis
Gnosis a écrit :Tu penses que Jésus et ses disciples lisait le NT? ah bon je ne savais pas!!!
Tu penses que le NT efface l’identité de Dieu?
Peux tu m'indiquer ces nouveauté dans les écritures?
Allons BenFis
Le NT n'efface pas l'identité de Dieu mais la complémente.

La nouveauté concerne à la fois la forme et le fond.
Le message divin est livré par écrit directement en Grec donc a priori dépourvu de caractères hébreux.
Le contenu nous apprend, entre autre, que la Divinité s'étend à la Parole de Dieu et aussi que le titre "Kurios" concerne soit Dieu soit le Christ.
D'ou tu sort cela?

Les chrétiens en Palestine jusqu’à l'an 70 étaient considérés comme des juifs, les judeo-chrétiens continuèrent à pratiquer la circoncision et d'autre coutumes de la loi, il n'y a aucune raison de penser que dans les écrits ils ne puisse continuer à utiliser le nom divin. Le NT est né dans cette culture avec des bases très fortes ou l’incorporation du Nom c'est d'ailleurs poursuivi à travers les siècles dans ce lieu géographique.
Si les judéo-chrétiens ont effectivement continué à suivre quelques coutumes juives pendant un certain temps, il faut se rappeler que la non-prononciation du Tétragramme en faisait partie.

Le Nom divin pouvait certainement être reproduit, par ex. dans les copies de l'AT. Je ne nie pas cela.
Mais concernant son utilisation orale, il y a au contraire des raisons de penser que le Nom divin n'était pas prononcé en Palestine.
«Par ex. l'historien juif, Heinrich Graetz , qui mentionnait dans son livre "L'histoire des Juifs", que «l’usage s’était établi depuis plusieurs siècles de ne pas prononcer le tétragramme Iahveh». Il parlait bien dans ce cas de la Judée et non de l'Egypte. »
Voir aussi le "Le livre juif du pourquoi" écrit par le Rabbin Alfred Jacob Kolatch.

Le NT n'étant pas une reproduction de l'AT mais une production nouvelle, il est le reflet des évènements de la vie de Jésus tel qu'enregistré dans la mémoire des disciples puis couché par écrit par certains d'entre eux.
Et puisque Le Nom n'a pas été prononcé, il n'a pas été entendu par les disciples, il n'a pas été mémorisé par eux, et finalement n'a donc pas été reproduit dans le NT.
C'est probablement pour cette simple raison qu'on n'en trouve aucune trace dans les milliers de Mss du NT à notre disposition.

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 20:27
par Gnosis
La nouveauté concerne à la fois la forme et le fond.
Peux tu m'indiquer ces nouveauté dans les écritures?
Peux tu m'indiquer ou dans les écritures on indique que se Nom ne devait pas être traité comme l'AT?
Sur quel base aurait on pris cette liberté?
«Par ex. l'historien juif, Heinrich Graetz , qui mentionnait dans son livre "L'histoire des Juifs", que «l’usage s’était établi depuis plusieurs siècles de ne pas prononcer le tétragramme Iahveh». Il parlait bien dans ce cas de la Judée et non de l'Egypte. »
Voir aussi le "Le livre juif du pourquoi" écrit par le Rabbin Alfred Jacob Kolatch.
OK cela veut veut dire que les juifs on effacé le Nom dans leurs écrits?
Et puisque Le Nom n'a pas été prononcé, il n'a pas été entendu par les disciples, il n'a pas été mémorisé par eux, et finalement n'a donc pas été reproduit dans le NT.
Selon quel précepte biblique et quel preuve Jésus et les disciples n'on pas prononcé le Nom?
Quel raison avait-il de ne pas le prononcer?
Suivre une tradition humaine contre l'enseignement des écritures?

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 20:40
par Philadelphia
Gnosis a écrit :
Selon quel précepte biblique et quel preuve Jésus et les disciples n'on pas prononcé le Nom?
Déjà répondu :
S'ils l'avaient fait, cela n'aurait pas manqué de provoquer des querelles et d'énormes controverses avec les Pharisiens. Or, cette controverse est totalement absente des évangiles. (Voir mon topic "une controverse fantôme")

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 21:31
par BenFis
Gnosis a écrit :Peux tu m'indiquer ces nouveauté dans les écritures?
Peux tu m'indiquer ou dans les écritures on indique que se Nom ne devait pas être traité comme l'AT?
Sur quel base aurait on pris cette liberté?
...
OK cela veut veut dire que les juifs on effacé le Nom dans leurs écrits?
...
Selon quel précepte biblique et quel preuve Jésus et les disciples n'on pas prononcé le Nom?
Quel raison avait-il de ne pas le prononcer?
Suivre une tradition humaine contre l'enseignement des écritures?
Je t'ai déjà répondu que la nouveauté consistait à écrire (et non plus à copier depuis l'AT) un message directement dans la langue grecque dépourvue de caractères hébraïques. Les auteurs du NT n'ont donc aucune raison de faire un copier-coller d'un Tétragramme pour exprimer le Nom de Dieu dans cette langue.

Il ne s'agit pas d'affirmer ici que les Juifs ont effacé le Nom divin de leurs écrits en hébreu ou effacé le Tétragramme de l'AT mais qu'ils ne l'ont pas écrit en grec dans le Nouveau Testament.

Je trouve que ton argument le plus pertinent est de rechercher la preuve que Jésus et les disciples n'ont pas prononcé le Nom.
La seule réponse que je puisse apporter est que selon les historiens Juifs, Le Nom n'était pas prononcé en Judée à l'époque du Christ. Cela n'est évidemment pas suffisant pour affirmer que Jésus n'a jamais prononcé le Tétragramme. Mais étant donné que les Evangélistes n'ont jamais rapporté que Jésus aurait prononcé Le Nom lorsqu'il parlait de Dieu Le Père, je vois là un élément suffisant qui corrobore l'avis des historiens.

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 21:50
par Gnosis
Je t'ai déjà répondu que la nouveauté consistait à écrire (et non plus à copier depuis l'AT) un message directement dans la langue grecque dépourvue de caractères hébraïques. Les auteurs du NT n'ont donc aucune raison de faire un copier-coller d'un Tétragramme pour exprimer le Nom de Dieu dans cette langue. Il ne s'agit pas d'affirmer ici que les Juifs ont effacé le Nom divin de leurs écrits en hébreu ou effacé le Tétragramme de l'AT mais qu'ils ne l'ont pas écrit en grec dans le Nouveau Testament.
Sur quel base peux-tu faire un tel raisonnement puisque tous les mss écrit en grecque de la LXX à la même période de Jésus et au même environnement on conservé le tétragramme?
Alors je te répète, Sur quel base aurait on pris cette liberté en écrivant en grecque dans le NT , si cela n'a était fait en aucun cas sur la LXX?
Si aucun écrivain au I siècle a pris cette liberté pour la LXX écrite en grecque, sur quel base aurait on prit cette liberté pour le NT écrit au I siècle en grecque et surtout le même lieu géographique?
Je trouve que ton argument le plus pertinent est de rechercher la preuve que Jésus et les disciples n'ont pas prononcé le Nom.
La seule réponse que je puisse apporter est que selon les historiens Juifs, Le Nom n'était pas prononcé en Judée à l'époque du Christ. Cela n'est évidemment pas suffisant pour affirmer que Jésus n'a jamais prononcé le Tétragramme.
Es-tu sur que les juifs ne l'utilisé pas dans toutes circonstances et situation?
Sur quel base peut-tu dire cela?
Tu vois Jésus suivre une tradition humaine contre l'enseignement des écritures?
Ton raisonnement est très fragile BenFis
Mais étant donné que les Evangélistes n'ont jamais rapporté que Jésus aurait prononcé Le Nom lorsqu'il parlait de Dieu Le Père, je vois là un élément suffisant qui corrobore l'avis des historiens.
Sur quel mss du NT du I siècle et de la Palestine tu te base pour dire cela?

Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.

Posté : 12 juil.15, 22:14
par Philadelphia
Gnosis a écrit :tous les mss écrit en grecque de la LXX à la même période de Jésus et au même environnement on conservé le tétragramme
Je rappelle que Gnosis contredit ici l'enseignement officiel des Témoins de Jéhovah. (Voir la note de 1 Pierre 2:3 dans la Traduction du Monde Nouveau).