Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Posté : 16 juin13, 04:54
pour celui qui l'applique avec la bonne compréhension...
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
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Maried a écrit :Tu veux dire avec la bonne soumission n'est ce pas
personnellement j'en sais rien et ne sachant pas ce que signifie ce mot "djihad" en dehors de ce que l'on dit (la guerre sainte c'est ça?)je ne saurait pas te contredireElimélec a écrit :Le djihad, c'est la conquête de territoires non-musulmans.
Il est interdit aux musulmans de recourir à des méthodes scrupuleuses c'est toi même qui le dismirtelle32 a écrit :Le mot « Jihâd » ne signifie pas « guerre sainte ». Il désigne la lutte et l’effort. Les mots utilisés pour la guerre dans le Coran sont « Harb » et « Qitâl ». Le Jihâd quant à lui désigne la lutte sérieuse et sincère aussi bien au niveau individuel qu’au niveau social. C’est la lutte pour accomplir le bien et éradiquer l’injustice, l’oppression et le mal dans son ensemble de la société. Cette lutte doit être aussi bien spirituelle que sociale, économique et politique. Le Jihâd consiste à œuvrer de son mieux pour accomplir le bien.
si j'apprends le coran par coeur c'est un djihad car c'est un gros effort à faire,se lever tot pour prier c'est un djihad,pardonner à son ennemi c'est un djihad,Lutter contre le mal de n’importe quelle sorte dans la société est une forme de djihad.
Se lever chaque jour pour aller travailler afin de contribuer à la société et afin d’améliorer votre vie et celle de vos enfants est une forme de jihad.
Donner de votre temps dans le bénévolat pour aider les gens dans le besoin est une forme de jihad.
Une autre forme de djihad (celle dont les médias ont tendance à parler le plus) est le droit aux musulmans à se défendre contre l’occupation.
Il est interdit aux musulmans de recourir à des méthodes scrupuleuses, à piller et à tuer sans discernement, à tuer des civils ou ceux qui ne participent pas directement à la guerre, à prendre les armes contre les femmes, les enfants, les vieillards et les blessés, de mutiler les cadavres des ennemis, ou de détruire des champs et le bétail. Les prisonniers doivent être traités avec humanité. La destruction des terres, des arbres fruitiers, des animaux, des villes et villages sont également interdits. Les musulmans doivent être enclins à la paix si l'ennemi est véritablement disposé à faire la paix.
Maried a écrit :L'islam n'interdit pas la guerre bien au contraire il existe des dizaines de versets qui la recommandent
je ne vais pas me fatiguer à les citer puisque tu dois les connaitre toi aussi
Occidental a écrit :Bonjour,
Je ne sais où me présenter ni s'il y a une file de présentation. Ce n'est sans doute pas la file idoine, mais tant pis.
Universitaire, plus proche de 60a que de 50, je me suis toujours senti très profondément concerné par la réflexion religieuse et spirituelle, depuis mon adolescence lointaine. Catholique, après un peu de philo, de théologie et d'apologétique, j'ai aussi recherché, et lu, et questionné les autres religions. Mes nbx voyages au Maghreb m'ont amené à potasser l'Islam, à lire le Coran, puis les thèses de philo et de théologie sur le sujet pdt une qzn d'années. J'ai cessé mntt. Estimant que j'en avais fait le tour, et préférant revenir à l'étude de l'Ancien Testament, et surtout de la Torah, d'Isaïe et des Proverbes salomoniens. Pas de catholicisme sans enracinement solide dans le judaïsme, selon moi. "Je ne suis pas venu pour abolir la loi mosaïque, mais pour l'accomplir."
Le sujet lui-même: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Et se répand encore par l'épée.
L'Histoire ne permet pas de le nier. Pas seulement les massacres des oasis juifs.
La conquête de la Kabylie, islamisée de force au cours de 6 massacres, puisque les habitants revenaient à leur foi passée après le départ des nomades arabes...
L'état économique des richesses et de la puissance économique et culturelle de la Tunisie AVANT l'Islam et 50 ans après l'islamisation atteste de la violence du choc et de l'amplitude du recul.
D'autre part, la religion des Mahométans est une hérésie parmi d'autres, celle qui porte le n°100 dans l'Hérésiologue de Saint-Jérôme. Qui en compte tant.
D'autre part, en 1921, quand on a voulu faire comprendre aux Français ce qu'était le communisme, suite à la Révolution russe, un livre est paru intitulé: "Le communisme, ce nouvel islam." Je fournirai les références (auteur, éditeur). Les rapprochements actuels de Zemmour & Co n'en sont que des plagiats. Pour dire que l'Islam est d'abord un système mondialiste, conquérant et dictatorial, sous couverture religieuse (ou de religion). La couverture religieuse étant postérieure, et la 1° mention du nom "Mohamed" n'apparaissant dans un document commercial qu'à la fin du 1° tiers du VIII° siècle, soit vers 730, soit plus de 100 ans après la date "officielle" de l'Hégire.
(A comparer avec Jésus, plus de 600 ans avant!!! dont on a davantage de preuves de l'existence (par des Romains, des Juifs et des Chrétiens) que de celle de Jules César.)
Ce que confirme l'étymologie. Le préfixe "mou-" est un collectif: sharf: la feuille; et mou'shraf: le cahier (ensemble de feuilles). On sait historiquement qu'il existait un chef de bande, un chef de pillards qui s'appelait Ahmed. Qui a poussé aux pires exactions (tortures, viols, massacres de femmes, de vieillards et d'enfants) ses hommes sur les tribus juives des oasis sur les routes commerciales. La bande d'Ahmed, l'armée d'Ahmed... mou-ahmed.
Car il s'est ensuite agi de justifier les actes commis et de déculpabiliser les assassins; ce qu'on appelle justification préjudicielle. Ca doit finir par peser, le massacre à répétition...
Les Juifs avaient Moïse; les Chrétiens avaient Jésus. Et là, il n'y avait personne... D'où la création par les lettrés DES Coran (livre des récitations) et la destruction par Othman de toutes les versions de Coran différentes, avant adoption de la version définitive, et arrangée, selon les intérêts de l'époque. On retrouve les traces des interpolations postérieures dans de nombreux versets.
les autres incohérences de fond, pas détectées à l'époque: le goût prononcé du "prophète" pour les poissons frais et les fruits de mer: il s'en faisait livrer tous les jours (nombreux hadiths) LoooL Regardez les cartes. Impossible s'il s'agit de La Mecque comme on veut nous le faire croire. Possible s'il s'agit d'un petit village de pêcheurs qui à l'époque s'appelait Mekka, au nord de la Syrie. Et que l'Hégire ait été l'exil de Médine à Mekka, non loin des routes commerciales de l'époque, c'est plus que probable, bien loin de la "vérité" musulmane, répétée par les manuels scolaires, sans l'ombre de la moindre preuve (sujet tabou).
Philosophiquement, je développerai un autre jour, et ds le post le plus approprié.
Même s'il y a, comme dans tous les partis et toutes les religions, des "honnêtes croyants", sages et mesurés, l'Islam lui-même est d'abord une aventure de conquête du monde sédentaire par des nomades, une aventure guerrière et violente, qui prône aussi la "takya" (l'hypocrisie quand ils ne sont pas en position de force); et à mon avis la plus grosse imposture du monde, leur "guide" Mohamed n'ayant pas existé sous ce nom et à cette époque; et la Mecque n'ayant pas existé à cette époque. Histoire des inondations et de la géologie de cette région à l'appui.
Une imposture sémantique également, car il s'agit de prendre les mots des autres et de leur attribuer un sens différent; l'utilisation d'un mot comme "prophète" (mot français qui ne traduit ni rassoul' ni nabii)) par les Mahométans pour désigner Mohamed, Jésus, Noé et même Adam! est révélateur de l'imposture sémantique et on en déduit aisément les immenses difficultés d'un dialogue entre Catholiques et Musulmans, vu l'usage qu'ils font des mots qui les intéressent, en les vidant d'une part de leur contenu sémantique pour leur en accorder un autre.
La violence de l'islam est aussi une violence langagière, voire un véritable viol des mots. Un abus de langue et de langage.
L'autre difficulté insurmontable d'un dialogue constructif, c'est qu'un catholique ou un Juif ou un Bouddhiste peut avoir lu la Torah, les Evangiles, le Coran et les Hadith en dehors de ses lectures religieuses propres; mais un Mahométan trouvant TOUT dans le Coran ne lira rien d'autre. Pas rencontré parmi mes amis marocains un seul avec qui l'on puisse discuter d'un passage du Deutéronome ou de sa compréhension, son interprétation, d'une parabole de l'Evangile.
Travail de détournement sémantique permanent + monopole des lectures imposé + violences physiques (menaces, coups, massacres...); c'est bien là les caractéristiques d'une tyrannie de type bolchevique, non?