l'islam s'est répandu par l'épée ?
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 18 sept.13, 01:50Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 08 déc.13, 04:15- Nigéria : De plus en plus de chrétiens se convertissent à l’Islam
Dans une région chrétienne qui autrefois semblait inexpugnable au monothéisme pure, un nombre croissant de chrétiens a récemment embrassé l’Islam, la définissant comme la plus authentique religion.
Accroissement du nombre de convertis
Dans l’une des trois grandes nations du Nigeria où la population est majoritairement chrétienne, on recense une augmentation notable du nombre de personnes, âgées entre 25 et 35 ans, revenant à l’Islam. Ces conversions font parfois l’objet de controverses, accusés pour certains d’avoir été « hypnotisés ». Un monarque chrétien, converti un peu plus tôt dans l’année à l’Islam, dément ces dires : « Je ne dois d’explication à personne, qu’à mon Créateur. »
Biographie du Prophète comme véritable exemple
Uchenna, ancien monarque chrétien, raconte que sa conversion s’est faite après s’être davantage renseigné sur les années qui ont précédé la migration du prophète Mohammed (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) de la Mecque et les incidents qui ont conduit à la première confrontation militaire entre les musulmans et la tribu mecquoise : «J’ai découvert à ma grande surprise que la guerre n’était pas à la demande de Mohammed (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui). L’histoire impartiale montre que la bataille de Badr fut une bataille de survie pour le musulman » a t-il dit. Abubakar Sideeq, un imam adjoint à la mosquée nationale, a confirmé que les convertis ont relaté les mêmes histoires concernant leur cheminement vers l’Islam.
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- ami de la verite
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Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 09 déc.13, 03:22C'est un peu curieux comme réflexion vu qu'effectivement dans l'Islam Jésus est bien un prophète, ceci dit dans la bible aussi Jésus est un prophète; difficile donc d'être à la fois, en même temps prophète [envoyé par Dieu] et Dieu n'est-ce pas?Occidental a écrit : MDR!
Même moi qui combats cette hérésie, je mets une majuscule à Islam. L'orth, c'est du respect; c'est le respect de l'autre.
Jésus, avec accent aigu
prophète
l'
Islam
ps : le minimum de respect me semble devoir être dédié d'abord à la vérité et ensuite à l'orthographe, non ? Question de priorité sans doute même si le dernier point a son importance, ce que je reconnais aussi.
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Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 09 déc.13, 03:28Bonjour yacoub,yacoub a écrit :Le français est la langue des koufars, des infidèles, un bon mahométan n'a pas à respecter cette langue, seule la langue d'Allah, la langue du Paradis mérite sa considération.
Donc toute la planète non-mahométane parle français ?
Ceci dit, on parlait quelle langue dans le paradis, la langue arabe, vraiment ?
- Georges_09
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Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 26 déc.13, 23:14Deux des principaux mythes de l’historiographie islamique
Deux des principaux mythes de l’historiographie islamique
Deux des principaux mythes de l’historiographie islamique
"Rien n'est plus dangereux au monde que la véritable ignorance et la stupidité consciencieuse".
Martin Luther King
Martin Luther King
Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 17 juin16, 23:53Allah-Hebdo. Les appels au massacre dans le Coran : agression ou légitime-défense ?
Allah-Hebdo. Les appels au massacre dans le Coran : agression ou légitime-défense ?
David Belhassen·samedi 18 juin 2016
Parmi les arguments les plus sophistiqués de propagandistes musulmans comme Tariq Ramadan et compères, l'on trouve le suivant :
" Tous les "appels au meurtre" consignés dans le Coran, ne sont rien d'autre que de la légitime-défense, et au pire des représailles consécutives aux agressions commises par les polythéistes et mécréants mecquois, puis par les juifs médinois, à l'encontre de Mahomet et de son groupe de fidèles. C'est pourquoi, "sortir ces versets de leur contexte" est une malhonnêteté intellectuelle qui incite à la haine contre l'islam et font de Mahomet un chef de bande sanguinaire alors qu'il n'était qu'un homme pacifique en butte à l'animosité de ses compatriotes parce qu'il voulait leur apporter la "bonne parole" de la foi en Allah."
C'est en substance, le leitmotiv qu'on peut trouver sur les plateaux TV, les articles d'internet, les forums et les sites musulmans.
Nous allons tacher de répondre à cet argumentaire, point par point :
1. Afin de déterminer s'il s'agit "d'agression" ou de "légitime-défense", il faut tout d'abord entreprendre la "chronologie" de tout conflit et savoir qui a "ouvert les hostilités" ?
2. Pour cela, il faut s'imprégner du contexte historique de ce conflit, afin de déterminer qui avait volonté et intérêt à ouvrir les hostilités, et qui n'en avait pas.
3. Il faut également ne pas se fier uniquement aux déclarations des belligérants, chacun pouvant auto-justifier son agression et se prétendre agressé alors qu'en réalité il est l'agresseur (même Hitler s'est déclaré "agressé"), mais analyser les déclarations pour y détecter les failles et les contradictions internes.
Tout d'abord, il nous faut remarquer que l'anachronisme règne dans le Coran. D'ailleurs, il nous est présenté dénué de toute chronologie interne. Les sourates sont placées plus ou moins selon un ordre de longueur et non d'après leur chronologie. Comment dans ce cas déterminer qui a été l'agresseur et qui a été l'agressé ?
Certes, des efforts ont été entrepris par certains chercheurs, comme Sami Al Deeb, afin de replacer les sourates dans un ordre chronologique, mais ce sont des suppositions plus ou moins convaincantes. A ce jour, aucun parchemin du Coran n'a été retrouvé dans son présumé "ordre chronologique".
S'il en est ainsi, il n'y a pas d'autre choix que de relever les versets belliqueux et tentez de les re-situer et les restituer dans leur contexte. En voici quelques-uns :
Sourate 2, verset 193 :
وَقَاتِلُوهُمْ حَتَّى لَا تَكُونَ فِتْنَةٌ وَيَكُونَ الدِّينُ لِلَّهِ فَإِنِ انْتَهَوْا فَلَا عُدْوَانَ إِلَّا عَلَى الظَّالِمِينَ
et tuez-les jusqu'à qu'il n'y ait plus de dévoiement et que soit la religion à dieu et si ils cessent alors pas d'hostilité hormis contre les idolâtres
Sourate 2, verset 244 :
وَقَاتِلُوا فِي سَبِيلِ اللَّهِ وَاعْلَمُوا أَنَّ اللَّهَ سَمِيعٌ عَلِيمٌ
et tuez dans le sentier d'allah et sachez qu'allah est audient savant
Sourate 4, verset 84 :
فَقَاتِلْ فِي سَبِيلِ اللَّهِ لَا تُكَلَّفُ إِلَّا نَفْسَكَ وَحَرِّضِ الْمُؤْمِنِينَ عَسَى اللَّهُ أَنْ يَكُفَّ بَأْسَ الَّذِينَ كَفَرُوا وَاللَّهُ أَشَدُّ بَأْسًا وَأَشَدُّ تَنْكِيلًا
et tue dans le sentier d'allah tu n'es responsable que de toi même et incite les croyants allah fera cesser le malheur de ceux qui sont des mécréants et allah est le plus dur en malheur et le plus dur en supplice
Sourate 4, verset 89 :
وَدُّوا لَوْ تَكْفُرُونَ كَمَا كَفَرُوا فَتَكُونُونَ سَوَاءً فَلَا تَتَّخِذُوا مِنْهُمْ أَوْلِيَاءَ حَتَّى يُهَاجِرُوا فِي سَبِيلِ اللَّهِ فَإِنْ تَوَلَّوْا فَخُذُوهُمْ وَاقْتُلُوهُمْ حَيْثُ وَجَدْتُمُوهُمْ وَلَا تَتَّخِذُوا مِنْهُمْ وَلِيًّا وَلَا نَصِيرًا
et ils voudraient que vous soyez des mécréants comme ils sont mécréants et que vous soyez pareils ne prenez donc pas parmi eux des alliés jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah et s'ils se tournent saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez et vous ne prendrez parmi eux ni alliés ni protecteurs
Sourate 8, verset 39 :
وَقَاتِلُوهُمْ حَتَّى لَا تَكُونَ فِتْنَةٌ وَيَكُونَ الدِّينُ كُلُّهُ لِلَّهِ فَإِنِ انْتَهَوْا فَإِنَّ اللَّهَ بِمَا يَعْمَلُونَ بَصِيرٌ
et tuez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait pas de dévoiement et que soit toute la religion à dieu et s'ils cessent alors certes allah en ce qu'ils œuvrent observe
Sourate 8, verset 65 :
يَا أَيُّهَا النَّبِيُّ حَرِّضِ الْمُؤْمِنِينَ عَلَى الْقِتَالِ إِنْ يَكُنْ مِنْكُمْ عِشْرُونَ صَابِرُونَ يَغْلِبُوا مِائَتَيْنِ وَإِنْ يَكُنْ مِنْكُمْ مِائَةٌ يَغْلِبُوا أَلْفًا مِنَ الَّذِينَ كَفَرُوا بِأَنَّهُمْ قَوْمٌ لَا يَفْقَهُونَ
ô et ohé prophète incite les croyants à la tuerie s'il se trouve parmi vous vingt endurants ils vaincront deux cents et s'il s'en trouve cent ils vaincront mille de ceux qui ont mécru car ce sont une communauté qui ne comprennent pas
Sourate 9, verset 29 :
قَاتِلُوا الَّذِينَ لَا يُؤْمِنُونَ بِاللَّهِ وَلَا بِالْيَوْمِ الْآخِرِ وَلَا يُحَرِّمُونَ مَا حَرَّمَ اللَّهُ وَرَسُولُهُ وَلَا يَدِينُونَ دِينَ الْحَقِّ مِنَ الَّذِينَ أُوتُوا الْكِتَابَ حَتَّى يُعْطُوا الْجِزْيَةَ عَنْ يَدٍ وَهُمْ صَاغِرُونَ
tuez ceux qui ne croient ni en allah et ni au jour dernier et qui n'interdisent pas ce qu'a interdit allah et son envoyé et qui ne jugent pas selon le jugement de la loi parmi ceux à qui ont été données les écritures jusqu'à ce qu'ils payent la capitation de leurs mains et soient humiliés
Sourate 47, verset 4 :
فَإِذَا لَقِيتُمُ الَّذِينَ كَفَرُوا فَضَرْبَ الرِّقَابِ حَتَّى إِذَا أَثْخَنْتُمُوهُمْ فَشُدُّوا الْوَثَاقَ فَإِمَّا مَنًّا بَعْدُ وَإِمَّا فِدَاءً حَتَّى تَضَعَ الْحَرْبُ أَوْزَارَهَا ذَلِكَ وَلَوْ يَشَاءُ اللَّهُ لَانْتَصَرَ مِنْهُمْ وَلَكِنْ لِيَبْلُوَ بَعْضَكُمْ بِبَعْضٍ وَالَّذِينَ قُتِلُوا فِي سَبِيلِ اللَّهِ فَلَنْ يُضِلَّ أَعْمَالَهُمْ
et lorsque vous rencontrez ceux qui ont mécru frappez-en les nuques jusqu'à ce que vous les ayez dominés et saisissez-vous d'eux et enchaînez-les ensuite soit la grâce soit la rançon jusqu'à ce que l'épée rejoint son fourreau il en est ainsi car si voulait allah il triompherait d'eux mais c'est pour vous mettre à l'épreuve chacun de vous et ceux qui tueront dans le chemin d'allah il ne dépréciera pas leurs actes
Contentons-nous de ces exemples car s’il y a bien d’autres versets du même cru, il serait fastidieux de tous les énumérer.
A présent, leur contexte :
A cette époque au Hedjaz (Arabie saoudite de nos jours), juifs, chrétiens et judéo-nazaréens s’affrontaient dans des joutes verbales interminables sous le regard amusé et narquois des polythéistes mecquois. Ces polythéistes étaient si ouverts et tolérants, qu’ils n’ont jamais agressé un juif ou un chrétien pour leur prosélytisme. Parfois même ce prosélytisme judaïque et chrétien, non seulement faisait des adeptes parmi eux, mais mettait à mal leurs propres croyances. Mais là encore, aucune réaction irascible ou belliqueuse de la part de ces polythéistes mecquois. Pourquoi en aurait-il été autrement pour ce troisième monothéisme naissant qu’était l’islam ?
Le judaïsme et le christianisme, en tant que monothéismes, heurtaient les croyances polythéistes des Mecquois non moins que l'islam de Mahomet qu’ils considéraient d’ailleurs comme un médiocre plagiat. Souvent, ils raillaient Mahomet en lui lançant : “Hé Muhammad cesse de nous bassiner les oreilles en nous répétant les fables que tu as entendues chez les juifs et les chrétiens !”.
Cela signifie que les polythéistes mecquois laissaient les juifs et les chrétiens “répandre leurs bobards” le plus librement du monde ! Et cela évidemment, tant que juifs et chrétiens ne faisaient pas usage de coercition et de violences physiques à leur encontre pour les convertir. Leur tolérance et leur ouverture d’esprit n’ont certainement pas dues être bien différentes que celles qu’ils adoptèrent à l’égard de Mahomet et son islam. Certes, ils se moquèrent gentiment de lui, mais ils raillaient aussi juifs et chrétiens. Persuadés qu’au grand jamais Mahomet et sa bande ne feraient usage de coercition et de violences à leur détriment, ils les ont laissé faire et propager leur propagande à l’intérieur même de l’enceinte de la Ka’abah ! Et c’est alors que Mahomet et sa bande ont exploité leur naïve tolérance pour les agresser ! Les Mecquois ont alors réagi, mais s’il y a eu “légitime-défense”, elle se trouve justement dans leur camp et non dans celui de Mahomet et sa bande.
Conclusion : les hostilités guerrières ont été déclenchées par l’islam intolérant, agressif, belliqueux, totalitaire et les polythéistes en ont été les victimes !
Certes, les propagandistes islamiques répliquent par d’autres versets qui affublent Mahomet et sa bande armée de “pacifisme” et les mettent en posture de “victimes” pour justifier l’argument de “légitime-défense” ou de “non contrainte religieuse”. Mais cela “ne tient pas la route” face à la réalité historique, le contexte religieux de l’époque, et l’analyse de l’ensemble des versets du Coran. Il n’est qu’un stratagème parmi d’autres.
On peut donc à juste raison accuser l’islam d’agression et d’avoir ouvert les hostilités contre les polythéistes mecquois. Et d’ailleurs, il ne s’est pas contenté d’eux. Plus tard, il a agressé les juifs et les chrétiens et il a poursuivi son champ d’action par des conquêtes sanguinaires vers d’autres pays, contrées, peuples, religions !
Face à cette vérité indubitable, on découvre 4 catégories de musulmans :
- le musulman malgré lui. Celui qui ne connait rien à l'islam et au Coran, et qui continue à vivre sans se préoccuper de savoir si son voisin est athée, juif, chrétien, shintoïste, ou animiste etc…. Il se comporte donc suivant des principes humanistes innés, guidé simplement par sa moralité d'humain. Il n’a de musulman que le titre.
- le musulman qui connaît un peu le Coran et est rebuté par les appels au crime qu'il y trouve, mais n'a pas le courage de les critiquer, de les dénoncer et d’exiger leur abolition et leur abrogation. Il vit donc dans le déni. Il n’en est pas parfois moins dangereux.
- le musulman qui connaît l'islam, sa genèse et ses dogmes, et se comporte en suivant méticuleusement les précepts du Coran, et en mettant en pratique les appels au crime de Muhammad contre les “mécréants”. Ce sont les adeptes de Daesh et de tous les mouvements islamistes.
- et enfin, le musulman propagandiste du genre Tariq Ramadan qui est un islamiste non moins virulent qu’un jihadiste, qui connaît parfaitement le Coran, et qui pour lui “la fin (l’islamisation de l’humanité), justifie les moyens” (la roublardise, la taqyah, le mensonge , la simulation, la posture de victime etc...).
Les deux seules catégories de musulmans avec qui il est important d’avoir un débat, sont les deux premières. Pour les deux autres, peine perdue ! Seul le combat armé sera effectif . Exactement comme contre le nazisme.
Allah-Hebdo. Les appels au massacre dans le Coran : agression ou légitime-défense ?
David Belhassen·samedi 18 juin 2016
Parmi les arguments les plus sophistiqués de propagandistes musulmans comme Tariq Ramadan et compères, l'on trouve le suivant :
" Tous les "appels au meurtre" consignés dans le Coran, ne sont rien d'autre que de la légitime-défense, et au pire des représailles consécutives aux agressions commises par les polythéistes et mécréants mecquois, puis par les juifs médinois, à l'encontre de Mahomet et de son groupe de fidèles. C'est pourquoi, "sortir ces versets de leur contexte" est une malhonnêteté intellectuelle qui incite à la haine contre l'islam et font de Mahomet un chef de bande sanguinaire alors qu'il n'était qu'un homme pacifique en butte à l'animosité de ses compatriotes parce qu'il voulait leur apporter la "bonne parole" de la foi en Allah."
C'est en substance, le leitmotiv qu'on peut trouver sur les plateaux TV, les articles d'internet, les forums et les sites musulmans.
Nous allons tacher de répondre à cet argumentaire, point par point :
1. Afin de déterminer s'il s'agit "d'agression" ou de "légitime-défense", il faut tout d'abord entreprendre la "chronologie" de tout conflit et savoir qui a "ouvert les hostilités" ?
2. Pour cela, il faut s'imprégner du contexte historique de ce conflit, afin de déterminer qui avait volonté et intérêt à ouvrir les hostilités, et qui n'en avait pas.
3. Il faut également ne pas se fier uniquement aux déclarations des belligérants, chacun pouvant auto-justifier son agression et se prétendre agressé alors qu'en réalité il est l'agresseur (même Hitler s'est déclaré "agressé"), mais analyser les déclarations pour y détecter les failles et les contradictions internes.
Tout d'abord, il nous faut remarquer que l'anachronisme règne dans le Coran. D'ailleurs, il nous est présenté dénué de toute chronologie interne. Les sourates sont placées plus ou moins selon un ordre de longueur et non d'après leur chronologie. Comment dans ce cas déterminer qui a été l'agresseur et qui a été l'agressé ?
Certes, des efforts ont été entrepris par certains chercheurs, comme Sami Al Deeb, afin de replacer les sourates dans un ordre chronologique, mais ce sont des suppositions plus ou moins convaincantes. A ce jour, aucun parchemin du Coran n'a été retrouvé dans son présumé "ordre chronologique".
S'il en est ainsi, il n'y a pas d'autre choix que de relever les versets belliqueux et tentez de les re-situer et les restituer dans leur contexte. En voici quelques-uns :
Sourate 2, verset 193 :
وَقَاتِلُوهُمْ حَتَّى لَا تَكُونَ فِتْنَةٌ وَيَكُونَ الدِّينُ لِلَّهِ فَإِنِ انْتَهَوْا فَلَا عُدْوَانَ إِلَّا عَلَى الظَّالِمِينَ
et tuez-les jusqu'à qu'il n'y ait plus de dévoiement et que soit la religion à dieu et si ils cessent alors pas d'hostilité hormis contre les idolâtres
Sourate 2, verset 244 :
وَقَاتِلُوا فِي سَبِيلِ اللَّهِ وَاعْلَمُوا أَنَّ اللَّهَ سَمِيعٌ عَلِيمٌ
et tuez dans le sentier d'allah et sachez qu'allah est audient savant
Sourate 4, verset 84 :
فَقَاتِلْ فِي سَبِيلِ اللَّهِ لَا تُكَلَّفُ إِلَّا نَفْسَكَ وَحَرِّضِ الْمُؤْمِنِينَ عَسَى اللَّهُ أَنْ يَكُفَّ بَأْسَ الَّذِينَ كَفَرُوا وَاللَّهُ أَشَدُّ بَأْسًا وَأَشَدُّ تَنْكِيلًا
et tue dans le sentier d'allah tu n'es responsable que de toi même et incite les croyants allah fera cesser le malheur de ceux qui sont des mécréants et allah est le plus dur en malheur et le plus dur en supplice
Sourate 4, verset 89 :
وَدُّوا لَوْ تَكْفُرُونَ كَمَا كَفَرُوا فَتَكُونُونَ سَوَاءً فَلَا تَتَّخِذُوا مِنْهُمْ أَوْلِيَاءَ حَتَّى يُهَاجِرُوا فِي سَبِيلِ اللَّهِ فَإِنْ تَوَلَّوْا فَخُذُوهُمْ وَاقْتُلُوهُمْ حَيْثُ وَجَدْتُمُوهُمْ وَلَا تَتَّخِذُوا مِنْهُمْ وَلِيًّا وَلَا نَصِيرًا
et ils voudraient que vous soyez des mécréants comme ils sont mécréants et que vous soyez pareils ne prenez donc pas parmi eux des alliés jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah et s'ils se tournent saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez et vous ne prendrez parmi eux ni alliés ni protecteurs
Sourate 8, verset 39 :
وَقَاتِلُوهُمْ حَتَّى لَا تَكُونَ فِتْنَةٌ وَيَكُونَ الدِّينُ كُلُّهُ لِلَّهِ فَإِنِ انْتَهَوْا فَإِنَّ اللَّهَ بِمَا يَعْمَلُونَ بَصِيرٌ
et tuez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait pas de dévoiement et que soit toute la religion à dieu et s'ils cessent alors certes allah en ce qu'ils œuvrent observe
Sourate 8, verset 65 :
يَا أَيُّهَا النَّبِيُّ حَرِّضِ الْمُؤْمِنِينَ عَلَى الْقِتَالِ إِنْ يَكُنْ مِنْكُمْ عِشْرُونَ صَابِرُونَ يَغْلِبُوا مِائَتَيْنِ وَإِنْ يَكُنْ مِنْكُمْ مِائَةٌ يَغْلِبُوا أَلْفًا مِنَ الَّذِينَ كَفَرُوا بِأَنَّهُمْ قَوْمٌ لَا يَفْقَهُونَ
ô et ohé prophète incite les croyants à la tuerie s'il se trouve parmi vous vingt endurants ils vaincront deux cents et s'il s'en trouve cent ils vaincront mille de ceux qui ont mécru car ce sont une communauté qui ne comprennent pas
Sourate 9, verset 29 :
قَاتِلُوا الَّذِينَ لَا يُؤْمِنُونَ بِاللَّهِ وَلَا بِالْيَوْمِ الْآخِرِ وَلَا يُحَرِّمُونَ مَا حَرَّمَ اللَّهُ وَرَسُولُهُ وَلَا يَدِينُونَ دِينَ الْحَقِّ مِنَ الَّذِينَ أُوتُوا الْكِتَابَ حَتَّى يُعْطُوا الْجِزْيَةَ عَنْ يَدٍ وَهُمْ صَاغِرُونَ
tuez ceux qui ne croient ni en allah et ni au jour dernier et qui n'interdisent pas ce qu'a interdit allah et son envoyé et qui ne jugent pas selon le jugement de la loi parmi ceux à qui ont été données les écritures jusqu'à ce qu'ils payent la capitation de leurs mains et soient humiliés
Sourate 47, verset 4 :
فَإِذَا لَقِيتُمُ الَّذِينَ كَفَرُوا فَضَرْبَ الرِّقَابِ حَتَّى إِذَا أَثْخَنْتُمُوهُمْ فَشُدُّوا الْوَثَاقَ فَإِمَّا مَنًّا بَعْدُ وَإِمَّا فِدَاءً حَتَّى تَضَعَ الْحَرْبُ أَوْزَارَهَا ذَلِكَ وَلَوْ يَشَاءُ اللَّهُ لَانْتَصَرَ مِنْهُمْ وَلَكِنْ لِيَبْلُوَ بَعْضَكُمْ بِبَعْضٍ وَالَّذِينَ قُتِلُوا فِي سَبِيلِ اللَّهِ فَلَنْ يُضِلَّ أَعْمَالَهُمْ
et lorsque vous rencontrez ceux qui ont mécru frappez-en les nuques jusqu'à ce que vous les ayez dominés et saisissez-vous d'eux et enchaînez-les ensuite soit la grâce soit la rançon jusqu'à ce que l'épée rejoint son fourreau il en est ainsi car si voulait allah il triompherait d'eux mais c'est pour vous mettre à l'épreuve chacun de vous et ceux qui tueront dans le chemin d'allah il ne dépréciera pas leurs actes
Contentons-nous de ces exemples car s’il y a bien d’autres versets du même cru, il serait fastidieux de tous les énumérer.
A présent, leur contexte :
A cette époque au Hedjaz (Arabie saoudite de nos jours), juifs, chrétiens et judéo-nazaréens s’affrontaient dans des joutes verbales interminables sous le regard amusé et narquois des polythéistes mecquois. Ces polythéistes étaient si ouverts et tolérants, qu’ils n’ont jamais agressé un juif ou un chrétien pour leur prosélytisme. Parfois même ce prosélytisme judaïque et chrétien, non seulement faisait des adeptes parmi eux, mais mettait à mal leurs propres croyances. Mais là encore, aucune réaction irascible ou belliqueuse de la part de ces polythéistes mecquois. Pourquoi en aurait-il été autrement pour ce troisième monothéisme naissant qu’était l’islam ?
Le judaïsme et le christianisme, en tant que monothéismes, heurtaient les croyances polythéistes des Mecquois non moins que l'islam de Mahomet qu’ils considéraient d’ailleurs comme un médiocre plagiat. Souvent, ils raillaient Mahomet en lui lançant : “Hé Muhammad cesse de nous bassiner les oreilles en nous répétant les fables que tu as entendues chez les juifs et les chrétiens !”.
Cela signifie que les polythéistes mecquois laissaient les juifs et les chrétiens “répandre leurs bobards” le plus librement du monde ! Et cela évidemment, tant que juifs et chrétiens ne faisaient pas usage de coercition et de violences physiques à leur encontre pour les convertir. Leur tolérance et leur ouverture d’esprit n’ont certainement pas dues être bien différentes que celles qu’ils adoptèrent à l’égard de Mahomet et son islam. Certes, ils se moquèrent gentiment de lui, mais ils raillaient aussi juifs et chrétiens. Persuadés qu’au grand jamais Mahomet et sa bande ne feraient usage de coercition et de violences à leur détriment, ils les ont laissé faire et propager leur propagande à l’intérieur même de l’enceinte de la Ka’abah ! Et c’est alors que Mahomet et sa bande ont exploité leur naïve tolérance pour les agresser ! Les Mecquois ont alors réagi, mais s’il y a eu “légitime-défense”, elle se trouve justement dans leur camp et non dans celui de Mahomet et sa bande.
Conclusion : les hostilités guerrières ont été déclenchées par l’islam intolérant, agressif, belliqueux, totalitaire et les polythéistes en ont été les victimes !
Certes, les propagandistes islamiques répliquent par d’autres versets qui affublent Mahomet et sa bande armée de “pacifisme” et les mettent en posture de “victimes” pour justifier l’argument de “légitime-défense” ou de “non contrainte religieuse”. Mais cela “ne tient pas la route” face à la réalité historique, le contexte religieux de l’époque, et l’analyse de l’ensemble des versets du Coran. Il n’est qu’un stratagème parmi d’autres.
On peut donc à juste raison accuser l’islam d’agression et d’avoir ouvert les hostilités contre les polythéistes mecquois. Et d’ailleurs, il ne s’est pas contenté d’eux. Plus tard, il a agressé les juifs et les chrétiens et il a poursuivi son champ d’action par des conquêtes sanguinaires vers d’autres pays, contrées, peuples, religions !
Face à cette vérité indubitable, on découvre 4 catégories de musulmans :
- le musulman malgré lui. Celui qui ne connait rien à l'islam et au Coran, et qui continue à vivre sans se préoccuper de savoir si son voisin est athée, juif, chrétien, shintoïste, ou animiste etc…. Il se comporte donc suivant des principes humanistes innés, guidé simplement par sa moralité d'humain. Il n’a de musulman que le titre.
- le musulman qui connaît un peu le Coran et est rebuté par les appels au crime qu'il y trouve, mais n'a pas le courage de les critiquer, de les dénoncer et d’exiger leur abolition et leur abrogation. Il vit donc dans le déni. Il n’en est pas parfois moins dangereux.
- le musulman qui connaît l'islam, sa genèse et ses dogmes, et se comporte en suivant méticuleusement les précepts du Coran, et en mettant en pratique les appels au crime de Muhammad contre les “mécréants”. Ce sont les adeptes de Daesh et de tous les mouvements islamistes.
- et enfin, le musulman propagandiste du genre Tariq Ramadan qui est un islamiste non moins virulent qu’un jihadiste, qui connaît parfaitement le Coran, et qui pour lui “la fin (l’islamisation de l’humanité), justifie les moyens” (la roublardise, la taqyah, le mensonge , la simulation, la posture de victime etc...).
Les deux seules catégories de musulmans avec qui il est important d’avoir un débat, sont les deux premières. Pour les deux autres, peine perdue ! Seul le combat armé sera effectif . Exactement comme contre le nazisme.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 07 oct.16, 03:06Une Europe qui porte des fruits chrétiens : 7 octobre 1571… la bataille de Lépante…
Signe du Ciel : le 7 octobre est l'anniversaire de la bataille de Lépante - la plus formidable raclée jamais infligée aux Ottonans - mais aussi l'anniversaire de la naissance du président Vladimir Poutine ! Difficile de ne voir là qu'une simple coïncidence ! Ayons Confiance !
7 octobre 1571… Bataille de Lépante… Le Monde chrétien, réunissant les flottes vénitiennes, espagnoles et papales autour de la Sainte Ligue, affronte l’Empire ottoman et sa puissante flotte…
Pour une Europe qui porte des fruits chrétiens
Crucifix qui ornait la proue
de la galère de Don Juan d’Autriche
lors de la bataille de Lépante, le 7 octobre 1571
La Basilique Notre Dame de la Victoire à Saint-Raphaël — devenue à présent Notre Dame du Rosaire — tout comme la fête liturgique instituée par le pape saint Pie X commémorent la victoire de Lépante.
Au XVI° siècle, le Souverain Pontife Pie V avait demandé aux catholiques de confier à la Vierge Marie l’issue de cette bataille navale. La victoire de Lépante, le 7 octobre 1571, est un jalon incontournable dans l’histoire de l’unité européenne.
Fort de ce patrimoine historique qui n’est pas sans résonance contemporaine, l’Association les Amis de la Basilique Notre Dame de la Victoire, créée en 2010, veut développer une réflexion et une action sur divers thèmes afin d’apporter sa modeste contribution à la compréhension des enjeux culturels et religieux de l’Europe du XXI° siècle.
LA BATAILLE DE LÉPANTE
d'après "Le grand dictionnaire historique ou Le mélange curieux de l’histoire sacrée" par Louis Moreri
Cette bataille est la plus célèbre que les Chrétiens aient jamais gagnée sur mer. Elle fut donnée dans le détroit qui est entre les petites îles de Cursolari, autrefois les Échinades, et la terre ferme, environ à soixante milles du promontoire…
Les Turcs ayant mouillé à Lépante apprirent que les Chrétiens en quittant Corfou, venaient sur eux à pleines voiles. Ils avaient si mauvaise opinion de la flotte Chrétienne, qu’ils ne s’imaginèrent pas qu’elle eût assez de hardiesse pour leur présenter le combat.
Leurs généraux néanmoins alarmés par ce bruit, envoyèrent en diligence des barques dans tous les ports de ce golfe pour y chercher des matelots et des soldats, et firent embarquer ce qu’ils avaient de cavaliers. Bientôt après, on leur rapporta que la flotte Chrétienne avait déjà gagné au-dessus de l’île de Céphalonie. Les Turcs levèrent promptement les ancres, pour fermer le passage aux Chrétiens. La flotte Ottomane commandée par Ali Bâcha, était composée de deux cens galères, et de près de soixante-dix frégates et brigantins. Celle des Chrétiens était composée de deux cent dix galères, de vingt-huit grands navires d’équipage, et de six galéasses garnies de grosse artillerie. La fleur de la noblesse d’Italie était dans cette armée, et plusieurs d’entre eux s’étaient déjà signalés à la guerre…
D. Juan d’Autriche, frère naturel de Philippe II roi d’Espagne, était généralissime de l’armée ; et Marc-Antoine Colonne, général de la flotte du Saint-Siège, avec pouvoir de commander absolument en l’absence de D. Juan. Venieri était général de la flotte Vénitienne. Les Chrétiens sortirent du port Alexandrin le 2 du mois d’octobrev1571 et s’élargirent dans le golfe de Lépante. Les barbares qui avaient pendant la nuit gagné au-delà du golfe, mouillèrent à Galengo ; les Chrétiens qui s’étaient plus avancés, jetèrent les ancres entre Pelata et les îles Cursolaires. Les deux flottes quittèrent leurs postes au point du jour du lendemain, sans le savoir de part ni d’autre. Ainsi elles se trouvèrent engagées à donner bataille. Les Chrétiens partagèrent leur armée en quatre corps. L’aile droite était composée de cinquante-quatre galères, et commandée par André Doria. Augustin Barbarigo était à la tête de l’aile gauche, avec un pareil nombre de galères. D. Juan d’Autriche s’était réservé le corps de la bataille, composé de soixante-et-un vaisseaux, et avait à ses côtés Venieri. Le fils du duc d’Urbin joignit la capitane de la flotte du Saint-Siège, monté sur celle du duc de Savoie ; et Alexandre de Parme joignit celles des Vénitiens, sur la capitane de la république de Gênes. Pierre Justsniani, qui commandait les galères de Malte, et Paul Jourdain, étaient aux deux extrémités de cette ligne, Le marquis de Sainte-Croix avait un corps de réserve de soixante voilés, pour soutenir ceux qui plieraient les premiers. Jean de Cordoue précédait toute l’armée avec une escadre, de dix vaisseaux, pour aller à la découverte ; et les six galéasses Vénitiennes étaient une espèce d’avant-garde. Les deux armées se trouvèrent séparées par les îles Cursolaires à soleil levé. Quelque temps après les Infidèles parurent à peu près dans le même ordre de bataille, sinon qu’ils n’avaient point de corps de réserve, et qu’ils avaient plus étendu leur ligne, qui était, selon leur coutume, courbée en forme de croissant. Hali était au milieu de l’armée, monté sur la capitane opposée directement à celle de D. Juan d’Autriche. Pertau était à côté d’Ali sur une autre galère. Louchali et Siroch, qui commandaient les deux ailes, avaient en tête Doria et Barbarigo.
Les deux armées n’étant éloignées que de douze milles, D. Juan fit donner le signal pour combattre, en faisant arborer l’étendard qu’il avait reçu à Naples de la part de Sa Sainteté. L’image de Jésus-Christ sur la Croix, brodée sur cet étendard, ne fut pas sitôt déployée, que toute l’armée la salua avec de grands cris de joie. Alors tous les officiers donnèrent le signal de la prière, et toute l’armée à genoux adora l’image sacrée de Jésus-Christ. C’était un spectacle assez surprenant de voir tous ces soldats armés pour combattre, et ne respirant que le carnage, se prosterner devant le Crucifix, et demander à Dieu la grâce de vaincre les Infidèles. Cependant les deux flottes s’approchaient, et celle des Turcs était poussée par un vent favorable, mais qui tomba un peu avant qu’on eût commencé le combat. Aussitôt il se releva tant soit peu en faveur des Chrétiens, et porta la fumée de leur artillerie dans l’armée Ottomane : de sorte qu’on regarda ce changement comme une espèce de miracle, et comme un secours envoyé du Ciel. Le 7 d’Octobre les deux armées étant à la portée du canon, on fit un si grand feu de part et d’autre, que l’air fut tout obscurci. Après qu’on se fut vaillamment battu pendant trois heures avec un avantage égal, la victoire commença de favoriser l’aile gauche des Chrétiens, commandée par Barbarigo, qui coula à fond la galère de Sirocho, lequel fut tué en se défendant comme un lion. Sa mort jeta la consternation dans les galères qu’il commandait, qui vivement pressées par celles de Venise, s’enfuirent vers la côte. Le bruit de la victoire répandu dans l’armée des Chrétiens, parvint jusqu’à dom Juan d’Autriche, qui se battait contre le gênerai Hali, et qui commençait à remporter l’avantage. Les Espagnols ayant quelque jalousie de ce que les Vénitiens avaient donné le branle à la victoire, firent à nouveau feu sur la capitane, tuèrent Hali, montèrent dans sa galère, et en arrachèrent l’étendard. Dom Juan fit alors crier Victoire ; et ce ne fut plus là un combat, mais un horrible massacre des Turcs, qui se laissaient égorger sans se défendre. Dork qui commandait l’aile droite, n’ayant pas assez de vaisseaux pour faire un front égal à ceux de Louchali, gagna la mer avec toutes ses galères. Louchali le poursuivant, invertit quelques vaisseaux Vénitiens dont il se rendit maître, et voulut ensuite attaquer le gros de l’armée Chrétienne ; mais ayant aperçu que Doria et le marquis de Sainte-Croix s’efforçaient de tenir sur lui, il s’enfuit à toutes voiles suivi de trente galères : le reste de ses vaisseaux fut pris ou coulé à fond. Pertau, sans être connu, s’échappa dans un esquif au travers des galères Chrétiennes.
Les Turcs perdirent plus de trente mille hommes dans cette bataille, une des plus sanglantes pour eux qu’ils eussent donnée depuis le rétablissement de leur empire. Les Chrétiens firent cinq mille prisonniers, entre lesquels se trouvèrent les deux fils de Hali, et se rendirent maîtres de cent trente galères Ottomanes : plus de quatre-vingt-dix-sept se brisèrent contre la terre, ou furent coulées à fond, ou consumées par le feu. Près de vingt mille esclaves Chrétiens recouvrirent la liberté ; et le butin fut très considérable, parce que ces barbares venaient de piller les îles et de prendre plusieurs vaisseaux marchands. Les Chrétiens y perdirent huit mille hommes, dont le plus considérable fut Barbarigo, commandant de l’aile gauche, lequel après avoir enfoncé l’aile droite des ennemis, reçut un coup de flèche dans l’œil, dont il mourut quelque temps après. Le combat dura depuis cinq heures du matin jusqu’au soir. L’obscurité et la mer qui devint grosse, obligea les vainqueurs à se retirer dans les ports les plus proches, d’où on envoya des courriers au Pape, à la République de Venise, et à tous les princes Chrétiens, pour leur faire part d’une si heureuse nouvelle.
* * *
7 octobre 1571 : bataille de Lépante,
les flottes espagnole et vénitienne anéantissent la flotte turque
Bataille navale de Lépante, à proximité du golfe de Patras en Grèce.
La Sainte Ligue composée de l'Espagne, de Venise et des États pontificaux du pape Pie V, et à une échelle moindre de Gênes et de d'autres États italiens, ainsi que des chevaliers de Malte, bat les turcs à Lépante, près de Corinthe. La flotte de plus de 200 navires est sous le commandement de Don Juan d'Autriche, frère du roi d'Espagne Philippe II et fils naturel de Charles Quint. Ce sont près de 100 000 hommes qui s'affrontent dans les deux camps. Les Turcs du Sultan d'Istanbul, Selim II Mast, sont écrasés. L'amiral Ali Pacha est fait prisonnier et décapité. Cette défaite marque un coup d'arrêt à l'avancée turque sur la Méditerranée. Un jeune soldat espagnol est blessé au combat et perd sa main gauche. Il s'agit d'un certain Cervantès.
Cette bataille marque un tournant dans la stratégie navale. En effet, c'est la première fois que les galères sont opposées (à grande échelle) à une flotte plus manœuvrante et armée de canons. La démesure de l'affrontement en fait un événement inouï : on dénombre 7 500 morts chez les chrétiens, 30 000 morts ou blessés et 8 000 prisonniers chez les Turcs, 15 000 forçats chrétiens libérés de leurs fers ; 117 navires, 450 canons et 39 étendards sont pris aux Turcs.
Paul Véronèse : Bataille de Lépante
* * *
La fête catholique de Notre-Dame du Rosaire a été instituée pour célébrer la victoire à Lépante en 1571. Elle est fixée au 7 octobre depuis 1913.
Notre Dame du Rosaire est une des dénominations de la Vierge Marie, ce nom a été notamment donné à la Vierge Marie lors des événements de Fatima en 1917.
Le rosaire est une variante de chapelet utilisée par les catholiques. C'est un grand chapelet consacré à la Vierge. Il tire son nom du latin ecclésiastique rosarium, qui désignait la guirlande de roses dont la Vierge était couronnée. Une légende veut que le rosaire ait été donné à Saint Dominique (1175-1221) par la Vierge Marie. Le chapelet utilisé est un collier composé de cinq dizaines de petits grains appelés Ave, précédées chacune d'un grain plus gros appelé Pater. Partant de l'un des grains plus gros, une branche terminale comporte trois petits grains (Ave), un gros (Pater) et un crucifix. Les appellations Ave et Pater correspondent au premier mot de la version latine des prières récit
Le roi d'Espagne Philippe II pratiquait beaucoup la dévotion du Rosaire, à laquelle il attribuait sa victoire contre les musulmans lors de la bataille de Lépante en 1571. À la suite de cette victoire, attribuée à l'intercession de la Vierge, la fête de Notre-Dame de la Victoire fut localement fixée au 7 octobre, date anniversaire de la bataille de Lépante. En 1913, le pape saint Pie X l'étendit à l'église universelle. Cette fête se nomme à présent Notre-Dame du Rosaire.
Signe du Ciel : le 7 octobre est l'anniversaire de la bataille de Lépante - la plus formidable raclée jamais infligée aux Ottonans - mais aussi l'anniversaire de la naissance du président Vladimir Poutine ! Difficile de ne voir là qu'une simple coïncidence ! Ayons Confiance !
7 octobre 1571… Bataille de Lépante… Le Monde chrétien, réunissant les flottes vénitiennes, espagnoles et papales autour de la Sainte Ligue, affronte l’Empire ottoman et sa puissante flotte…
Pour une Europe qui porte des fruits chrétiens
Crucifix qui ornait la proue
de la galère de Don Juan d’Autriche
lors de la bataille de Lépante, le 7 octobre 1571
La Basilique Notre Dame de la Victoire à Saint-Raphaël — devenue à présent Notre Dame du Rosaire — tout comme la fête liturgique instituée par le pape saint Pie X commémorent la victoire de Lépante.
Au XVI° siècle, le Souverain Pontife Pie V avait demandé aux catholiques de confier à la Vierge Marie l’issue de cette bataille navale. La victoire de Lépante, le 7 octobre 1571, est un jalon incontournable dans l’histoire de l’unité européenne.
Fort de ce patrimoine historique qui n’est pas sans résonance contemporaine, l’Association les Amis de la Basilique Notre Dame de la Victoire, créée en 2010, veut développer une réflexion et une action sur divers thèmes afin d’apporter sa modeste contribution à la compréhension des enjeux culturels et religieux de l’Europe du XXI° siècle.
LA BATAILLE DE LÉPANTE
d'après "Le grand dictionnaire historique ou Le mélange curieux de l’histoire sacrée" par Louis Moreri
Cette bataille est la plus célèbre que les Chrétiens aient jamais gagnée sur mer. Elle fut donnée dans le détroit qui est entre les petites îles de Cursolari, autrefois les Échinades, et la terre ferme, environ à soixante milles du promontoire…
Les Turcs ayant mouillé à Lépante apprirent que les Chrétiens en quittant Corfou, venaient sur eux à pleines voiles. Ils avaient si mauvaise opinion de la flotte Chrétienne, qu’ils ne s’imaginèrent pas qu’elle eût assez de hardiesse pour leur présenter le combat.
Leurs généraux néanmoins alarmés par ce bruit, envoyèrent en diligence des barques dans tous les ports de ce golfe pour y chercher des matelots et des soldats, et firent embarquer ce qu’ils avaient de cavaliers. Bientôt après, on leur rapporta que la flotte Chrétienne avait déjà gagné au-dessus de l’île de Céphalonie. Les Turcs levèrent promptement les ancres, pour fermer le passage aux Chrétiens. La flotte Ottomane commandée par Ali Bâcha, était composée de deux cens galères, et de près de soixante-dix frégates et brigantins. Celle des Chrétiens était composée de deux cent dix galères, de vingt-huit grands navires d’équipage, et de six galéasses garnies de grosse artillerie. La fleur de la noblesse d’Italie était dans cette armée, et plusieurs d’entre eux s’étaient déjà signalés à la guerre…
D. Juan d’Autriche, frère naturel de Philippe II roi d’Espagne, était généralissime de l’armée ; et Marc-Antoine Colonne, général de la flotte du Saint-Siège, avec pouvoir de commander absolument en l’absence de D. Juan. Venieri était général de la flotte Vénitienne. Les Chrétiens sortirent du port Alexandrin le 2 du mois d’octobrev1571 et s’élargirent dans le golfe de Lépante. Les barbares qui avaient pendant la nuit gagné au-delà du golfe, mouillèrent à Galengo ; les Chrétiens qui s’étaient plus avancés, jetèrent les ancres entre Pelata et les îles Cursolaires. Les deux flottes quittèrent leurs postes au point du jour du lendemain, sans le savoir de part ni d’autre. Ainsi elles se trouvèrent engagées à donner bataille. Les Chrétiens partagèrent leur armée en quatre corps. L’aile droite était composée de cinquante-quatre galères, et commandée par André Doria. Augustin Barbarigo était à la tête de l’aile gauche, avec un pareil nombre de galères. D. Juan d’Autriche s’était réservé le corps de la bataille, composé de soixante-et-un vaisseaux, et avait à ses côtés Venieri. Le fils du duc d’Urbin joignit la capitane de la flotte du Saint-Siège, monté sur celle du duc de Savoie ; et Alexandre de Parme joignit celles des Vénitiens, sur la capitane de la république de Gênes. Pierre Justsniani, qui commandait les galères de Malte, et Paul Jourdain, étaient aux deux extrémités de cette ligne, Le marquis de Sainte-Croix avait un corps de réserve de soixante voilés, pour soutenir ceux qui plieraient les premiers. Jean de Cordoue précédait toute l’armée avec une escadre, de dix vaisseaux, pour aller à la découverte ; et les six galéasses Vénitiennes étaient une espèce d’avant-garde. Les deux armées se trouvèrent séparées par les îles Cursolaires à soleil levé. Quelque temps après les Infidèles parurent à peu près dans le même ordre de bataille, sinon qu’ils n’avaient point de corps de réserve, et qu’ils avaient plus étendu leur ligne, qui était, selon leur coutume, courbée en forme de croissant. Hali était au milieu de l’armée, monté sur la capitane opposée directement à celle de D. Juan d’Autriche. Pertau était à côté d’Ali sur une autre galère. Louchali et Siroch, qui commandaient les deux ailes, avaient en tête Doria et Barbarigo.
Les deux armées n’étant éloignées que de douze milles, D. Juan fit donner le signal pour combattre, en faisant arborer l’étendard qu’il avait reçu à Naples de la part de Sa Sainteté. L’image de Jésus-Christ sur la Croix, brodée sur cet étendard, ne fut pas sitôt déployée, que toute l’armée la salua avec de grands cris de joie. Alors tous les officiers donnèrent le signal de la prière, et toute l’armée à genoux adora l’image sacrée de Jésus-Christ. C’était un spectacle assez surprenant de voir tous ces soldats armés pour combattre, et ne respirant que le carnage, se prosterner devant le Crucifix, et demander à Dieu la grâce de vaincre les Infidèles. Cependant les deux flottes s’approchaient, et celle des Turcs était poussée par un vent favorable, mais qui tomba un peu avant qu’on eût commencé le combat. Aussitôt il se releva tant soit peu en faveur des Chrétiens, et porta la fumée de leur artillerie dans l’armée Ottomane : de sorte qu’on regarda ce changement comme une espèce de miracle, et comme un secours envoyé du Ciel. Le 7 d’Octobre les deux armées étant à la portée du canon, on fit un si grand feu de part et d’autre, que l’air fut tout obscurci. Après qu’on se fut vaillamment battu pendant trois heures avec un avantage égal, la victoire commença de favoriser l’aile gauche des Chrétiens, commandée par Barbarigo, qui coula à fond la galère de Sirocho, lequel fut tué en se défendant comme un lion. Sa mort jeta la consternation dans les galères qu’il commandait, qui vivement pressées par celles de Venise, s’enfuirent vers la côte. Le bruit de la victoire répandu dans l’armée des Chrétiens, parvint jusqu’à dom Juan d’Autriche, qui se battait contre le gênerai Hali, et qui commençait à remporter l’avantage. Les Espagnols ayant quelque jalousie de ce que les Vénitiens avaient donné le branle à la victoire, firent à nouveau feu sur la capitane, tuèrent Hali, montèrent dans sa galère, et en arrachèrent l’étendard. Dom Juan fit alors crier Victoire ; et ce ne fut plus là un combat, mais un horrible massacre des Turcs, qui se laissaient égorger sans se défendre. Dork qui commandait l’aile droite, n’ayant pas assez de vaisseaux pour faire un front égal à ceux de Louchali, gagna la mer avec toutes ses galères. Louchali le poursuivant, invertit quelques vaisseaux Vénitiens dont il se rendit maître, et voulut ensuite attaquer le gros de l’armée Chrétienne ; mais ayant aperçu que Doria et le marquis de Sainte-Croix s’efforçaient de tenir sur lui, il s’enfuit à toutes voiles suivi de trente galères : le reste de ses vaisseaux fut pris ou coulé à fond. Pertau, sans être connu, s’échappa dans un esquif au travers des galères Chrétiennes.
Les Turcs perdirent plus de trente mille hommes dans cette bataille, une des plus sanglantes pour eux qu’ils eussent donnée depuis le rétablissement de leur empire. Les Chrétiens firent cinq mille prisonniers, entre lesquels se trouvèrent les deux fils de Hali, et se rendirent maîtres de cent trente galères Ottomanes : plus de quatre-vingt-dix-sept se brisèrent contre la terre, ou furent coulées à fond, ou consumées par le feu. Près de vingt mille esclaves Chrétiens recouvrirent la liberté ; et le butin fut très considérable, parce que ces barbares venaient de piller les îles et de prendre plusieurs vaisseaux marchands. Les Chrétiens y perdirent huit mille hommes, dont le plus considérable fut Barbarigo, commandant de l’aile gauche, lequel après avoir enfoncé l’aile droite des ennemis, reçut un coup de flèche dans l’œil, dont il mourut quelque temps après. Le combat dura depuis cinq heures du matin jusqu’au soir. L’obscurité et la mer qui devint grosse, obligea les vainqueurs à se retirer dans les ports les plus proches, d’où on envoya des courriers au Pape, à la République de Venise, et à tous les princes Chrétiens, pour leur faire part d’une si heureuse nouvelle.
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7 octobre 1571 : bataille de Lépante,
les flottes espagnole et vénitienne anéantissent la flotte turque
Bataille navale de Lépante, à proximité du golfe de Patras en Grèce.
La Sainte Ligue composée de l'Espagne, de Venise et des États pontificaux du pape Pie V, et à une échelle moindre de Gênes et de d'autres États italiens, ainsi que des chevaliers de Malte, bat les turcs à Lépante, près de Corinthe. La flotte de plus de 200 navires est sous le commandement de Don Juan d'Autriche, frère du roi d'Espagne Philippe II et fils naturel de Charles Quint. Ce sont près de 100 000 hommes qui s'affrontent dans les deux camps. Les Turcs du Sultan d'Istanbul, Selim II Mast, sont écrasés. L'amiral Ali Pacha est fait prisonnier et décapité. Cette défaite marque un coup d'arrêt à l'avancée turque sur la Méditerranée. Un jeune soldat espagnol est blessé au combat et perd sa main gauche. Il s'agit d'un certain Cervantès.
Cette bataille marque un tournant dans la stratégie navale. En effet, c'est la première fois que les galères sont opposées (à grande échelle) à une flotte plus manœuvrante et armée de canons. La démesure de l'affrontement en fait un événement inouï : on dénombre 7 500 morts chez les chrétiens, 30 000 morts ou blessés et 8 000 prisonniers chez les Turcs, 15 000 forçats chrétiens libérés de leurs fers ; 117 navires, 450 canons et 39 étendards sont pris aux Turcs.
Paul Véronèse : Bataille de Lépante
* * *
La fête catholique de Notre-Dame du Rosaire a été instituée pour célébrer la victoire à Lépante en 1571. Elle est fixée au 7 octobre depuis 1913.
Notre Dame du Rosaire est une des dénominations de la Vierge Marie, ce nom a été notamment donné à la Vierge Marie lors des événements de Fatima en 1917.
Le rosaire est une variante de chapelet utilisée par les catholiques. C'est un grand chapelet consacré à la Vierge. Il tire son nom du latin ecclésiastique rosarium, qui désignait la guirlande de roses dont la Vierge était couronnée. Une légende veut que le rosaire ait été donné à Saint Dominique (1175-1221) par la Vierge Marie. Le chapelet utilisé est un collier composé de cinq dizaines de petits grains appelés Ave, précédées chacune d'un grain plus gros appelé Pater. Partant de l'un des grains plus gros, une branche terminale comporte trois petits grains (Ave), un gros (Pater) et un crucifix. Les appellations Ave et Pater correspondent au premier mot de la version latine des prières récit
Le roi d'Espagne Philippe II pratiquait beaucoup la dévotion du Rosaire, à laquelle il attribuait sa victoire contre les musulmans lors de la bataille de Lépante en 1571. À la suite de cette victoire, attribuée à l'intercession de la Vierge, la fête de Notre-Dame de la Victoire fut localement fixée au 7 octobre, date anniversaire de la bataille de Lépante. En 1913, le pape saint Pie X l'étendit à l'église universelle. Cette fête se nomme à présent Notre-Dame du Rosaire.
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Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 07 oct.16, 07:35Sujet: l'islam s'est répandu par l'épée ?
c'est évident et certainement pas avec des aiguilles à tricoter (ou alors pas pour le même usage )
c'est évident et certainement pas avec des aiguilles à tricoter (ou alors pas pour le même usage )
Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 07 oct.16, 08:39PBSL a dit dans une belle envolée lyrique.
Je suis le Prophète du carnage. Je suis le Rieur Sanglant.
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Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 07 oct.16, 22:53On peut y ajouter
J'ai vaincu par la terreur
Allah m'a légitimité le vol (butin)
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Allah m'a légitimité le vol (butin)
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Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 07 oct.16, 23:30Perso je pense qu' ils ont propagé l'Islam a travers toute l'Afrique du nord et le sud de l'Europe en distribuant des dattes , du lait de brebis et du miel
Moi c'est mon humble avis après chacun aura bien entendu sont avis .
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14 Si vous me demandez quelque chose en mon nom, je le ferai
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Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 07 oct.16, 23:54l'islam s'ets répandu par l'épée? vus avez oublié les chameaux ! c'ets patique dans le désert les chameaux...
http://www.lire-des-livres.com/alice-au ... erveilles/ ( celui là se commence au commencement )
http://www.lire-des-livres.com/de-lautr ... du-miroir/ ( celui là se commence par la fin )
Constater que de l'autre coté du miroir le style change légèrement.
http://www.lire-des-livres.com/de-lautr ... du-miroir/ ( celui là se commence par la fin )
Constater que de l'autre coté du miroir le style change légèrement.
Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 08 oct.16, 05:57chameaux ou dromadaires ? une bosse ou deux ?
c'est très important de savoir
c'est très important de savoir
Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 08 oct.16, 06:58la réponse la plus objective qui soit aurait été de dénoncé les faits des trois communautés à une période ou des despotes avaient utilisé la religion pour assouvir leurs désirs de conquête.
Charlemagne était un génocidaire des plus implacable, soigneusement formaté par le Vatican, il avait fait massacré, empalé et mis sur le bûcher des dizaines de tribus gauloises, germaniques et surtout scandinaves, mais l’opération militaire qui restera à jamais dans les anales de ses biographies fut le massacre de toute l'italie du nord, ville détruite et pillée, femme violée, enfant tué afin d’élargir les frontières du Vatican pour ainsi dire, avoir une prééminence sur toute l'italie sans avoir de concurrent adjacent.
finalement, quand on regarde l’histoire d'un peu plus prés de Charlemagne, c'etait le nettoyeur attitré du Vatican, un tueur à gage: vous tuez pour l'expansion du christianisme, alors vous et vos soldats auront l'absolution de tous vos péchés et vous irez au paradis.
aujourd'hui encore, les scandinaves le maudissent.
Le génocide des Saxons par le boucher Charlemagne
http://lalitteratureetlepaganisme.haute ... erden.html
http://anti-mythes.blogspot.com/2012/11 ... ucher.html
Charlemagne était un génocidaire des plus implacable, soigneusement formaté par le Vatican, il avait fait massacré, empalé et mis sur le bûcher des dizaines de tribus gauloises, germaniques et surtout scandinaves, mais l’opération militaire qui restera à jamais dans les anales de ses biographies fut le massacre de toute l'italie du nord, ville détruite et pillée, femme violée, enfant tué afin d’élargir les frontières du Vatican pour ainsi dire, avoir une prééminence sur toute l'italie sans avoir de concurrent adjacent.
finalement, quand on regarde l’histoire d'un peu plus prés de Charlemagne, c'etait le nettoyeur attitré du Vatican, un tueur à gage: vous tuez pour l'expansion du christianisme, alors vous et vos soldats auront l'absolution de tous vos péchés et vous irez au paradis.
aujourd'hui encore, les scandinaves le maudissent.
Le génocide des Saxons par le boucher Charlemagne
http://lalitteratureetlepaganisme.haute ... erden.html
http://anti-mythes.blogspot.com/2012/11 ... ucher.html
Re: l'islam s'est répandu par l'épée ?
Ecrit le 08 oct.16, 07:22Charlemagne a été très influencé par l'islam et donc a adopté les moyens préconisés par PBSL pour la conversion des saxons au christianisme. Il y a une étude intéressante à lire à ce sujet de l'historien belge Mahomet et Charlemagne
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