Merci pour ces précisions . J'avais l'impression qu'il y avait une dimension spirituelle à tes propos sur ce sujet-là, voilà pourquoi ça m'interpelait.R2D2 a écrit : ↑16 nov.22, 04:14 Oh c'est tout simple, dans les évangiles on a l'exemple de la veuve aux deux piécettes qu'elle donne alors que cela lui est nécessaire pour vivre.
Elle a usé de sa liberté de se sacrifier ou, du moins, de sacrifier quelque chose d'important pour elle.
Maintenant, est-ce qu'elle aurait pu faire le même choix en ayant un enfant ?
Non parce que dans ce cas là, elle aurait eu la responsabilité de cet enfant et n'aurait pas pu faire ce choix.
De la même façon, le bon samaritain paye l'hôtel au blessé et promet de l'argent supplémentaire si nécessaire mais là, encore, si on imagine un père de famille ayant peu d'argent, on comprend facilement que sa liberté de donner aurait été conditionnée au nécessaire de sa famille.
C'est pour cela que je parle de liberté partielle puisqu'on ne peut être totalement libre d'agir, de se sacrifier qu'à la seule condition que cela n'implique que nous seuls.
Et sinon, qui es-tu, R2D2 ? Je veux dire, où en es-tu dans ta quête de la vérité ? As-tu pris connaissance du premier message de cette discussion ? As-tu un avis sur ce que j'ai écrit ?
Désolé de toutes ces questions, mais un personnage tel que le tien, si attachant de prime abord, ne manque pas de piquer ma curiosité.
Ajouté 6 minutes 16 secondes après :
Comme je te l'ai dit, je ne sais pas, car je n'en ai pas encore fait l'expérience. Tout ce que je sais, c'est que mon "moi véritable" est éternel. Je le ressens, je le vis, tout comme je peux affirmer "j'existe".ronronladouceur a écrit : ↑16 nov.22, 04:58 Que t'arrivera-t-il à ta mort? Continueras-tu de te délecter?
C'est une hypothèse parmi d'autres. Sophia avait évoqué des cas d'EMI où ça ne s'était pas très bien passé, du genre cauchemardesque. À part ces témoignages parfois discordants, nous n'avons rien qui puisse attester de ce qu'il se passe à la mort physique. Il ne s'agit donc que de "croyances".J'avais cru comprendre qu'en mourant, on laisse là le personnage, l'Ego, tel qu'en nous-même l'on redécouvre qui l'on est vraiment, éternels, joyeux et heureux d'un bonheur indescriptible, etc.