Posté : 04 juil.06, 08:06
Il y a un proverbe qui dit:
Il m'a frappé puis s'est mis à pleurer ***puis il m'a devancé et aller se plaindre.
« Dans le monde à venir aucune nation n'a de place à l'exception d'Israël » affirme le grand mystique Moshe Luzzatto (1706-1746).
Shneur Zalman (1745-1813), fondateur du mouvement Habad, mouvement qui a pris un extraordinaire essor dans le monde juif et particulièrement dans l'État moderne d'Israël où il se range à l'extrême droite de l'échiquier politique, ne comparait-il pas « les âmes des nations à celles des porcs, les Juifs ayant seuls une âme divine » ?
En 1974, Menahem Barash dans le journal Yediot Aharonot peut ainsi parler des Palestiniens : « Cette peste déjà dénoncée dans la Bible [...] Pour nous emparer de la terre promise par Dieu à Abraham, nous devons suivre l’exemple de Josué pour conquérir la terre d’Israël et nous y installer, comme le commande la Bible [...] Il n’y a pas de place, en cette terre, pour d’autres peuples que celui d’Israël. Ce qui signifie que nous devons en expulser tous ceux qui y vivent [...] C’est une guerre sainte exigée par la Bible ».
Moshe Zimmermann (chef du département d'études germaniques à l'Université hébraïque de Jérusalem) n'hésite pas à parler d'un « judéo-nazisme populaire » sévissant parmi les Juifs d'Israël et de certains pays anglo-saxons : « Il y a un secteur entier de la population juive que je définis, sans hésitation, comme une copie des nazis allemands. Regardez les enfants des colons juifs d'Hébron, ils ressemblent exactement à la jeunesse hitlérienne.
Depuis leur enfance, on les imprègne de l'idée que tout Arabe est mauvais, et que tous les non-Juifs sont contre nous. On en fait des paranoïaques : ils se considèrent comme une race supérieure, exactement comme les jeunesses hitlériennes ».
Sans oublier Le mépris Comme l’écrit Taguieff, les métaphores « bestialisantes : « vermine », « rats », « virus », « bacilles », « coucous », « ténias » sont largement utilisées dans la littérature judéophobe.
les Palestiniens ne sont-ils pas pour Eytan (ex-chef d'état-major israélien) des "cafards", pour Menahem Beghin (ex-Premier ministre) des "bêtes féroces", pour le grand rabbin Yossef (responsable du parti religieux Shass) des "serpents", pour Ehoud Barak (ex-Premier ministre) des "crocodiles", des "vers de terre" (pour Yehiel Hazan député du Likoud …)?
Il m'a frappé puis s'est mis à pleurer ***puis il m'a devancé et aller se plaindre.
« Dans le monde à venir aucune nation n'a de place à l'exception d'Israël » affirme le grand mystique Moshe Luzzatto (1706-1746).
Shneur Zalman (1745-1813), fondateur du mouvement Habad, mouvement qui a pris un extraordinaire essor dans le monde juif et particulièrement dans l'État moderne d'Israël où il se range à l'extrême droite de l'échiquier politique, ne comparait-il pas « les âmes des nations à celles des porcs, les Juifs ayant seuls une âme divine » ?
En 1974, Menahem Barash dans le journal Yediot Aharonot peut ainsi parler des Palestiniens : « Cette peste déjà dénoncée dans la Bible [...] Pour nous emparer de la terre promise par Dieu à Abraham, nous devons suivre l’exemple de Josué pour conquérir la terre d’Israël et nous y installer, comme le commande la Bible [...] Il n’y a pas de place, en cette terre, pour d’autres peuples que celui d’Israël. Ce qui signifie que nous devons en expulser tous ceux qui y vivent [...] C’est une guerre sainte exigée par la Bible ».
Moshe Zimmermann (chef du département d'études germaniques à l'Université hébraïque de Jérusalem) n'hésite pas à parler d'un « judéo-nazisme populaire » sévissant parmi les Juifs d'Israël et de certains pays anglo-saxons : « Il y a un secteur entier de la population juive que je définis, sans hésitation, comme une copie des nazis allemands. Regardez les enfants des colons juifs d'Hébron, ils ressemblent exactement à la jeunesse hitlérienne.
Depuis leur enfance, on les imprègne de l'idée que tout Arabe est mauvais, et que tous les non-Juifs sont contre nous. On en fait des paranoïaques : ils se considèrent comme une race supérieure, exactement comme les jeunesses hitlériennes ».
Sans oublier Le mépris Comme l’écrit Taguieff, les métaphores « bestialisantes : « vermine », « rats », « virus », « bacilles », « coucous », « ténias » sont largement utilisées dans la littérature judéophobe.
les Palestiniens ne sont-ils pas pour Eytan (ex-chef d'état-major israélien) des "cafards", pour Menahem Beghin (ex-Premier ministre) des "bêtes féroces", pour le grand rabbin Yossef (responsable du parti religieux Shass) des "serpents", pour Ehoud Barak (ex-Premier ministre) des "crocodiles", des "vers de terre" (pour Yehiel Hazan député du Likoud …)?