abdel12 a écrit :
tu dit n'mporte quoi, c'est adam qui a construit la kaaba, puis au fil du temp elle disparut jusqu'a sa reconstruction par abraham puis sa restauration au temp de mohamed
il est vrai que les arabes apres au temp de mohamed etait corrompu, mais mohamed a rendu pur le temple comme au temp d'abraham
Je pense que tu aimera plus te fermer les yeux que lire ce texte .
La Mecque, haut lieu de paganisme
La direction de la prière (la kiblah) répond à des règles très strictes énoncées par Mahomet dans le Coran. Au début, la kiblah correspond à la direction de Jérusalem (s.2, v.36), pour satisfaire les convertis d’origine juive ou chrétienne. Puis, afin d’asseoir définitivement son autorité tout en contentant la masse des nouveaux fidèles d’origine païenne, la kiblah se tourne vers la Mecque, haut lieu ancestral d’un culte païen. L’importance de ce lieu chez les musulmans s’affirme avec le pèlerinage de la Mecque (le hadj), un des cinq piliers de l’Islam. Dans cette ville fondamentale de l’Islam, le saint des saints réside dans la Kaaba, cette construction cubique drapée de noir autour de laquelle les pèlerins doivent effectuer sept révolutions. Cette course autour du Kaaba répond à un rite d’origine païenne, et correspond très probablement aux révolutions des sept astres alors connus du système solaire. Les quatre révolutions à pas lent représentent les planètes externes (Mars, Jupiter, Saturne, Lune) tandis que les trois révolutions à pas rapide s’identifient aux astres internes (Soleil, Mercure, Vénus). Cette attachement rituel à la course des astres dans le ciel demeure une constante chez les peuples païens.
La mystérieuse pierre noire
Mais pourquoi la Mecque présentait autant d’importance pour les arabes païens ? Pourquoi les musulmans, dignes héritiers d’un rite séculaire, tournent-ils avec tant de dévotion autour de la Kaaba ? Quels mystérieux pouvoirs étaient associés à cette construction, et notamment à la mystérieuse pierre noire incorporée à son angle que doivent embrasser les pèlerins ?
Il faut bien garder à l’esprit que les arabes païens adoraient autrefois des idoles de pierre. Les pierres sont alors représentatifs de divinités, comme l’explique déjà Clément d’Alexandrie en 190, donc quatre siècle avant l’avènement de l’Islam. De nombreux historiens attestent que ces pierres étaient rectangulaires ou vaguement anthropomorphes. Par sa forme cubique, la Kaaba est donc une récupération d’un vieux rite païen, bien que la présence de la divinité au sein de la Kaaba ait été effacée des esprits.
La mystérieuse pierre noire servant d’angle à la Kaaba semble très intéressante. Selon le Coran, Adam construisit une première fois la Kaaba, puis Ismaël une seconde fois, et à c’est à ce dernier que l’ange Gabriel donna cette pierre d’angle. A ce niveau, les mythes fondateurs de l’Islam reconnaissent donc une origine céleste à la pierre noire. De plus l’intervention supposée d’Ismaël dans l’acquisition de la pierre noire, donc plusieurs siècles avant notre ère, prouve très clairement que cette pierre était connue bien avant l’arrivée de Mahomet, et que son culte préexistait à son message monothéiste. De toute évidence, la pierre noire faisait l’objet d’un culte païen avant l’émergence de l’Islam, et son incorporation forcée dans la religion islamique souligne toute l’habilité politique de Mahomet qui arrive à se concilier les masses païennes en reprenant l’enveloppe de leurs vieilles croyances.
Pour la science moderne toutefois, la couleur noire et l’origine céleste de la pierre trahissent une nature météoritique. La pierre noire serait en fait une météorite comme il en existe des dizaines d’autres qui tombent chaque année dans le désert, et très probablement des arabes païens ont assisté à sa chute dans une gerbe de flammes et d’étincelles, ce qui a dû fortement les impressionner. Bien entendu, une analyse scientifique de cette pierre noire s’impose pour vérifier cette thèse concernant son origine météoritique.
Allah serait-il le dieu Hubal ?
Mais la pierre noire n’était pas la seule idole adorée à la Mecque, ni la plus importante. A ses côtés en effet, se trouvait une ancienne idole en cornaline rouge du dieu Hubal, importante divinité tutélaire des mecquois. En association avec la pierre noire, la représentation du dieu Hubal jouait donc un rôle capital dans l’imaginaire des arabes païens, et son emplacement antique, à l’endroit exact de l’actuelle Kebba, suggère son rôle clef dans l’élaboration conceptuelle de dieu des musulmans, Allah.
Wellhaussen note que dans le Coran, Dieu est appelé « Seigneur de la région de la Mecque » ou encore « Seigneur de la Kaaba ». Ce dernier qualificatif, d’une flagrance éclatante, suggère l’origine idolâtre d’Allah, car rappelons-le les arabes païens croyaient que leurs dieux habitaient les pierres, et la Kaaba reprenait justement la forme des vieilles idoles païennes. Wellhaussen en déduisit que Allah et Hubal ne faisaient qu’un, et que la facilité avec laquelle les païens se convertirent à l’Islam tient justement dans cette confusion originelle entre ces deux dieux.
D’ailleurs sur le plan de la recherche historique, le nom d’Allah correspond à une divinité préislamique chez les arabes païens. Allah était également un nom propre chez les arabes du nord et les nabatéens, ce qui prouve l’importance de cette personnalité divine dans la culture des peuples préislamiques.
Enfin détail troublant, le père de Mahomet s’appelait Abd Allah. Orphelin depuis son plus jeune âge, Mahomet aurait peut-être établi un vague lien entre la disparition prématurée de son père et la transcendance divine de son message reçu au Mont Hira. Certes Mahomet ne se prenait pas explicitement pour le "fils de Dieu", mais il demeure possible que, dans son esprit porté aux confusions et aux raccourcis, Allah était le père de tout homme.
D’abord dieu local, Allah devint donc un dieu universel à la faveur des changements initiés par Mahomet, bien qu’on ne connaisse pas encore précisément le mécanisme conceptuel à l’origine de ce changement d’échelle. Que s’est-il donc passé ? Mahomet a-t-il décidé de rebaptiser le dieu Hubal en l’appelant Allah, afin de se concilier à la fois les mecquois et les arabes du nord ? Comme chez les romains qui voyaient la même divinité sous plusieurs noms, pensait-il que les dieux des arabes païens ne faisaient qu’un ? Son monothéisme si admiré en Occident ne serait-il qu’une forme de paganisme unifié, un recyclage habile de vieux dieux criants de paganisme ? Ce monothéisme religieux ne se comprend-t-il pas à l’aune de son panarabisme politique, de sa volonté multiforme d’unifier les arabes ? Allah serait-il une idole barbare qui aurait réussi ?
Pour donner un début de réponse à ces questions fondamentales, la science moderne doit résoudre les trois points suivants :
1) Quelle divinité était adorée en la pierre noire ? Quel était son nom ? Quel lien présentait-elle avec le dieu Hubal ?
2) Qu’est-il advenu de l’idole du dieu Hubal ? Comment expliquer que la Kebba occupe exactement son emplacement antique ?
3) Qui était réellement le dieu Allah des préislamiques ? Quel lien, quelle affinité présentait-il avec le dieu Hubal ?
Des fouilles devront être effectuées sur le site de la Mecque pour préciser la réponse exacte à ces questions. Que les religieux le veuillent ou non, il est scandaleux que l’archéologie ni la science ne puissent répondre à des questions aussi fondamentales pour l’humanité que l’origine historique de L’Islam. Il est vrai que des fouilles à la Mecque pourraient déboucher sur des découvertes d’une porte inouïe pour les musulmans, car si l’on découvre les débris du dieu Hubal sous la Kebba, tout leur monothéisme savant risque de s’effondrer comme une vieille ruine reposant sur des fondations moribondes. Probablement la Kabba ressemble à une marmite explosive pour l’Islam, probablement que les religieux s’en doutent plus ou moins consciemment, de sorte qu’un interdit perpétuel entoure ces pierres mystérieuses. Le côté explosif de la vieille météorite, ou pierre noire, ne s’est probablement pas encore entièrement manifesté…
Et pourtant, à chaque fois que les islamistes éructent « Allah akbar ! » du haut de leurs minarets, peut-être veulent-ils juste nous dire que « leur dieu Hubal est le plus grand » !
S.Augustin
Et le coran est un plagiat pas seulement de la Bible mais de la religion zoroastrisme
Les autres influences religieuses : le zoroastrisme
Depuis des temps immémoriaux, la région du Proche Orient servit de terreau fertile à de nombreuses croyances religieuses, qu’il s’agisse de la révolution monothéiste initiée en Egypte par le pharaon Aménophis IV, de l’avènement du judaïsme avec Moïse traversant le Sinaï, ou encore le zoroastrisme qui essaima en Perse.
Fondé par un fils de prêtre païen répondant au nom de Zorastre plusieurs siècles avant notre ère, le zoroastrisme est une religion monothéiste qui croit en l'existence du dieu céleste Ahura-Mazda. Ce dieu unique est associé à la lumière, de sorte que les zoroastriens lui rendent hommage en adorant des feux. Zorastre aurait reçu cette nouvelle religion de l'ange Vohu-Manah (remarquez le parallèle avec l'ange Gabriel de l'Islam) avant de convertir le roi Vishtapa, père de Darius I le Grand. Tout comme le Allah des musulmans, Ahura-Mazda aurait expressément demandé à Zoroastre de lutter vigoureusement contre le polythéisme. Précisons que les concepts hébraïques de la Genèse, d’Adam et Eve, du Déluge se retrouvent dans le zoroastrisme, reliques de très anciens mythes mésopotamiens.
Sur le plan historique, la victoire des musulmans sur les perses sassanides en 636 contribua à la mise en relation directe de l’Islam avec le zoroastrisme. A cette époque de cristallisation progressive du Coran dont la version définitive n’apparaît que bien plus tard, une pénétration des dogmes musulmans par les concepts zoroastriens s’est nécessairement effectuée. N’oublions pas que les musulmans ne s’étaient pas privé d’emprunter au judaïsme nombre de leurs croyances et rites, de sorte que leur réceptivité au zoroastrisme ait déjà un précédent. Argument plus convaincant encore, il faut imaginer l’intrusion des arabes grossièrement barbares et analphabètes dans cette zone de haute culture et de raffinement qu’est la Perse. Ce changement de décor a dû fortement impressionner ces nomades descendus de leurs montagnes désertiques, favorisant leur perméabilité culturelle aux croyances zoroastriennes.
Or l’influence du zoroastrisme perse sur l’Islam est évidente, notamment dans le nombre de prières quotidiennes que doit effectuer le fidèle musulman, ou encore la croyance eschatologique en le mizan, ou plateau sur lequel les âmes des morts sont jugées (Coran : s.21, v.47). D’ailleurs le Coran place les zoroastriens au même niveau que les juifs, les sabéens et les chrétiens.
Selon la tradition musulmane, l’âme du défunt doit emprunter un pont fin et tranchant comme une lame pour accéder au paradis. Les justes le franchissent avec succès, les injustes trébuchent et tombent en enfer. Cette idée se retrouve dans le zoroastrisme, et sa trace ressurgit même chez les hindous, du fait des influences croisées que nourrirent les peuples perses et indiens.
Autre exemple, les houris réservées aux guerriers supposés méritants de l’Islam, ou vierges célestes offertes à leurs fantasmes sexuels, suggèrent une ascendance zoroastrienne. Dans le zoroastrisme en effet, les anges sont de sexe féminin, et on imagine sans mal la confusion mentale qu’a dû opéré ces créatures charmantes sur ces barbares conquérants loin de leur foyer, en cette Mésopotamie heureuse où tout respire sexe et volupté…
Le substrat païen
De nombreux rites, coutumes, croyances musulmans découlent directement d’un fort substrat païen. Le pèlerinage à la Mecque et ses révolutions autour de la kebba reprennent un ancien culte païen, la pierre noire embrassée par les pèlerins représente en fait une idole archaïque, et même le nom d’Allah correspond à une antique divinité adorée chez les arabes du nord, de sorte que le doute subsiste quant aux croyances idolâtres de Mahomet (voir dans ce site : L’origine païenne de l’Islam). De même le chant du muezzin est d’origine animiste. Les djinns, ou esprits de la nature, demeurent récurrents dans le Coran. Ce terme signifie « voilé, caché, obscure » et traduit la crainte qu’éprouvaient les arabes païens à l’encontre de ces esprits supposés malfaisants. Mahomet croyait personnellement aux djinns (s.37, v.158), preuve de la persistance de ses mœurs assez frustres malgré son monothéisme affiché. Soulignons que la sourate 72 s’intitule « le djinn ». Or ce détail présente une importance capitale, car si vraiment le Coran a été réellement révélé par Dieu, alors il faut se rendre à l’évidence que Dieu est païen lui aussi., et que Dieu lui-même croit aux djinns… D’ailleurs l’Islam reconnaît sans rire l’existence de ces êtres aussi folkloriques que les sept nains ou les schtroumpfs.