Posté : 29 sept.06, 05:13
J'ai une femme , ça compte ?
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
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oui, car cela fait de toi son animal de compagniefelix a écrit :J'ai une femme , ça compte ?
tu habite sur bagdad septour?septour a écrit :je sais maintenant ou se trouve l'arche de nuage..euh de noé.
nous avions 3chats,il n'en reste qu'un:toufou,alias drac,alias,frank,le pauvre est handicapé et legerement retardé,mais il est tellement affectueux.nous avons des visiteurs sauvages ,une famille de ratons laveurs,qui renversent nos poubelles.un élan d'amerique ,haut sur patte,passe regulierement derriere la maison,des cerfs de virginie passent en trombe et en groupe serré,nous sommes sur leur chemin qui mene au ravage.les colibris viennent de nous faire leurs adieux,il n'y a plus de fleurs au jardin....les érables rougissent,l'automne est arrivé.
Un chat qui aime le thon ? J'ai peut-être une petite idée, pour la race.Saladin1986 a écrit :Moi j'ai une chatte,par contre la race je sais pas trop
Elle aime beaucoup le thon.
http://www.senat.fr/rap/l97-429/l97-4292.html1. L'animal, élément de la qualité de vie
L'animal permet tout d'abord à l'homme de conserver, voire de renouer un lien avec la nature.
La cohabitation de l'animal et de l'homme fournit à celui-ci l'occasion de se rapprocher de la nature. Elle oblige l'homme à respecter les rythmes naturels du cycle de vie chez l'animal, ainsi que les besoins d'exercice, de communication et d'alimentation.
Par ailleurs, l'animal et l'homme peuvent entretenir des relations équilibrées à tous les âges de la vie.
Chacun peut facilement faire l'expérience des relations ludiques et affectives développées au contact d'un animal familier.
Bruce R. Fogle, praticien vétérinaire exerçant en Angleterre, a cependant tenté de clarifier l'étendue de nos liens affectifs avec les animaux de compagnie : " Les animaux familiers assurent une forme irrationnelle d'attachement qui est calmante et rassurante. Ils donnent une surabondance d'amour sous une forme qui n'a existé que dans notre première enfance, oubliée depuis longtemps, quand la mère, pendant les premiers mois de la vie, représentait la consolation et la protection. Cet attachement instinctif, dans lequel l'animal n'est pas seulement un objet à soigner sinon un donneur de soins extra-humains, est à l'origine des sentiments de réconfort, de sécurité et de fidélité qu'éprouvent de nombreux propriétaires dans leurs rapports avec leur chien ou chat "3( *).
L'animal est source d'affection, de réconfort et de divertissement.
La richesse des relations enfant-animal a fait l'objet de nombreuses études. Les enfants trouvent auprès de leur compagnon une source de réconfort et d'échange inépuisable.
De plus, les capacités olfactives, auditives et musculaires rassurent l'homme et accroissent le sentiment de sécurité vis-à-vis de l'extérieur.