Posté : 27 juil.07, 03:55
Vous avez tous donné des réponses concluantes. Je vous demandais votre avis et vous avez donné votre avis sans essayer d'attaquer mes croyances. Vous ne vous êtes pas définis par rapport aux croyants, mais vous avez essayez de démontrer votre identité propre.
Je remarque qu'il y a autant de croyances différentes chez les athées que chez les croyants. Tout le monde a sa propre philosophie de vie et c'est probablement du à l'éducation et expériences passées. Le fait est que tout le monde a des croyances devrait vous forcer à admettre qu'il n'y a rien de ridicule à croire en Dieu, car vous même vous basez vos vies sur des croyances qui ne sont pas prouvables.
Pour vous le bien et le mal est en soi relatif, mais se défini généralement comme dans la loi. C'est à dire que tout est permis tant que cela n'empiète pas sur la liberté du prochain. En sommes, sur le plan humain cela fait beaucoup de sens à première vue. Toutefois en comprenant la nature de l'homme on se rend vite compte que c'est un jeu dangereux que de prendre en compte que cela pour diriger nos actions.
Tout le monde est d'avis que la démocratie et la liberté culturelle est essentielle à une société idéale. C'est ce que nous retrouvons dans plusieurs pays. Malheureusement la démocratie est dans tous les pays du monde loin d'être efficace. La diversité de penser et des valeurs des gens amènent à prendre tellement de direction différentes, qu'il n'y a jamais de consensus et la société avance que très lentement. Seul ceux qui ne respectent pas les autres arrivent à faire avancer leur point de vue.
Pour ce qui est de la diversité culturelle, elle a le même impact que la religion sur les gens soi qu'elle unit ou sépare profondément les gens. Une société qui tendrait vers un seul idéal et avec un chef incontestable serait à mon avis possible, mais aussi vraiment idéal.
Pour être clair, je suis ni pour la dictature et ni raciste ou quoique ce soi que mes propos pourraient laisser croire. La réalité dont je parle est à peine concevable dans un monde ou tout le monde se créé sa propre vérité. C'est en mon sens ce que je constate chez les athées et chez de plus en plus de croyants malheureusement.
Vous me dites tous qu'il y a plus ou moins un sens à la vie. En fait, pour vous il est important de vivre le plus de plaisir possible et de tout faire pour amener la société à une situation qui permet de profiter un maximum de la vie. En d'autre termes, la souffrance est de trop et il faut s'en débarrasser à tout prix ou presque. Il est vrai que cela fait beaucoup de sens quand on ne voit dans l'être humain un animal complexe et rien d'autre.
Je ne vais pas tenter de vous convaincre que vous êtes dans l'erreur parce que j'ai rien pour faire cela, mais je peux vous confirmer que je ne partage pas vos avis.
L'absence de vie après la mort et de conséquences aux-delà des répercussions directes de nos actions posent pour moi un problème. Une personne naissant avec un désavantage important, un homme vivant entouré de personnes frustrées finissent tous par se créer une vérité qui souvent amène à commettre des actes criminels. Tout comme vous, ils revendiquent leur droit au bonheur et aux plaisirs de la seul vie qu'ils ont. Ils vont tout faire, mais au détriment des autres pour l'avoir de leur vivant. Pourquoi chercherait-il à respecter les autres si cela veut dire être malheureux tout leur vie.
Vous ne trouvez pas cela correct, mais le monde n'est pas parfait il est injuste. Un monde injuste est intolérable et personne ne pourra jamais le rendre juste. En amenant Dieu dans le décor et le vie après la mort, la justice devient possible et il devient plus facile pour une personne qui est désavantagée des sa naissance d'accepter son sort. Si vous voulez avoir plus de détail là-dessus, je répondrai plus en détail sur demande.
La notion du bien et du mal je me fis au catéchisme catholique:
La moralité des actes humains
1749 La liberté fait de l’homme un sujet moral. Quand il agit de manière délibérée, l’homme est, pour ainsi dire, le père de ses actes. Les actes humains, c’est-à-dire librement choisis par suite d’un jugement de conscience, sont moralement qualifiables. Ils sont bons ou mauvais.
I. Les sources de la moralité
1750 La moralité des actes humains dépend :
– de l’objet choisi ;
– de la fin visée ou l’intention ;
– des circonstances de l’action.
L’objet, l’intention et les circonstances forment les " sources ", ou éléments constitutifs, de la moralité des actes humains.
1751 L’objet choisi est un bien vers lequel se porte délibérément la volonté. Il est la matière d’un acte humain. L’objet choisi spécifie moralement l’acte du vouloir, selon que la raison le reconnaît et le juge conforme ou non au bien véritable. Les règles objectives de la moralité énoncent l’ordre rationnel du bien et du mal, attesté par la conscience.
1752 Face à l’objet, l’intention se place du côté du sujet agissant. Parce qu’elle se tient à la source volontaire de l’action et la détermine par la fin, l’intention est un élément essentiel dans la qualification morale de l’action. La fin est le terme premier de l’intention et désigne le but poursuivi dans l’action. L’intention est un mouvement de la volonté vers la fin ; elle regarde le terme de l’agir. Elle est la visée du bien attendu de l’action entreprise. Elle ne se limite pas à la direction de nos actions singulières, mais peut ordonner vers un même but des actions multiples ; elle peut orienter toute la vie vers la fin ultime. Par exemple, un service rendu a pour fin d’aider le prochain, mais peut être inspiré en même temps par l’amour de Dieu comme fin ultime de toutes nos actions. Une même action peut aussi être inspirée par plusieurs intentions, comme de rendre service pour obtenir une faveur ou pour en tirer vanité.
1753 Une intention bonne (par exemple : aider le prochain) ne rend ni bon ni juste un comportement en lui-même désordonné (comme le mensonge et la médisance). La fin ne justifie pas les moyens. Ainsi ne peut-on pas justifier la condamnation d’un innocent comme un moyen légitime de sauver le peuple. Par contre, une intention mauvaise surajoutée (ainsi la vaine gloire) rend mauvais un acte qui, de soi, peut être bon (comme l’aumône ; cf. Mt 6, 2-4).
1754 Les circonstances, y compris les conséquences, sont les éléments secondaires d’un acte moral. Elles contribuent à aggraver ou à diminuer la bonté ou la malice morale des actes humains (par exemple le montant d’un vol). Elles peuvent aussi atténuer ou augmenter la responsabilité de l’agent (ainsi agir par crainte de la mort). Les circonstances ne peuvent de soi modifier la qualité morale des actes eux-mêmes ; elles ne peuvent rendre ni bonne, ni juste une action en elle-même mauvaise.
II. Les actes bons et les actes mauvais
1755 L’acte moralement bon suppose à la fois la bonté de l’objet, de la fin et des circonstances. Une fin mauvaise corrompt l’action, même si son objet est bon en soi (comme de prier et de jeûner " pour être vu des hommes ").
L’objet du choix peut à lui seul vicier l’ensemble d’un agir. Il y a des comportements concrets – comme la fornication – qu’il est toujours erroné de choisir, parce que leur choix comporte un désordre de la volonté, c’est-à-dire un mal moral.
1756 Il est donc erroné de juger de la moralité des actes humains en ne considérant que l’intention qui les inspire, ou les circonstances (milieu, pression sociale, contrainte ou nécessité d’agir, etc.) qui en sont le cadre. Il y a des actes qui par eux-mêmes et en eux-mêmes, indépendamment des circonstances et des intentions, sont toujours gravement illicites en raison de leur objet ; ainsi le blasphème et le parjure, l’homicide et l’adultère. Il n’est pas permis de faire le mal pour qu’il en résulte un bien.
Je crois avoir fait ma part dans le partage de mon opinion et de mes valeurs. Si vous voulez plus de détail, je suis prêt à y répondre.
Je remarque qu'il y a autant de croyances différentes chez les athées que chez les croyants. Tout le monde a sa propre philosophie de vie et c'est probablement du à l'éducation et expériences passées. Le fait est que tout le monde a des croyances devrait vous forcer à admettre qu'il n'y a rien de ridicule à croire en Dieu, car vous même vous basez vos vies sur des croyances qui ne sont pas prouvables.
Pour vous le bien et le mal est en soi relatif, mais se défini généralement comme dans la loi. C'est à dire que tout est permis tant que cela n'empiète pas sur la liberté du prochain. En sommes, sur le plan humain cela fait beaucoup de sens à première vue. Toutefois en comprenant la nature de l'homme on se rend vite compte que c'est un jeu dangereux que de prendre en compte que cela pour diriger nos actions.
Tout le monde est d'avis que la démocratie et la liberté culturelle est essentielle à une société idéale. C'est ce que nous retrouvons dans plusieurs pays. Malheureusement la démocratie est dans tous les pays du monde loin d'être efficace. La diversité de penser et des valeurs des gens amènent à prendre tellement de direction différentes, qu'il n'y a jamais de consensus et la société avance que très lentement. Seul ceux qui ne respectent pas les autres arrivent à faire avancer leur point de vue.
Pour ce qui est de la diversité culturelle, elle a le même impact que la religion sur les gens soi qu'elle unit ou sépare profondément les gens. Une société qui tendrait vers un seul idéal et avec un chef incontestable serait à mon avis possible, mais aussi vraiment idéal.
Pour être clair, je suis ni pour la dictature et ni raciste ou quoique ce soi que mes propos pourraient laisser croire. La réalité dont je parle est à peine concevable dans un monde ou tout le monde se créé sa propre vérité. C'est en mon sens ce que je constate chez les athées et chez de plus en plus de croyants malheureusement.
Vous me dites tous qu'il y a plus ou moins un sens à la vie. En fait, pour vous il est important de vivre le plus de plaisir possible et de tout faire pour amener la société à une situation qui permet de profiter un maximum de la vie. En d'autre termes, la souffrance est de trop et il faut s'en débarrasser à tout prix ou presque. Il est vrai que cela fait beaucoup de sens quand on ne voit dans l'être humain un animal complexe et rien d'autre.
Je ne vais pas tenter de vous convaincre que vous êtes dans l'erreur parce que j'ai rien pour faire cela, mais je peux vous confirmer que je ne partage pas vos avis.
L'absence de vie après la mort et de conséquences aux-delà des répercussions directes de nos actions posent pour moi un problème. Une personne naissant avec un désavantage important, un homme vivant entouré de personnes frustrées finissent tous par se créer une vérité qui souvent amène à commettre des actes criminels. Tout comme vous, ils revendiquent leur droit au bonheur et aux plaisirs de la seul vie qu'ils ont. Ils vont tout faire, mais au détriment des autres pour l'avoir de leur vivant. Pourquoi chercherait-il à respecter les autres si cela veut dire être malheureux tout leur vie.
Vous ne trouvez pas cela correct, mais le monde n'est pas parfait il est injuste. Un monde injuste est intolérable et personne ne pourra jamais le rendre juste. En amenant Dieu dans le décor et le vie après la mort, la justice devient possible et il devient plus facile pour une personne qui est désavantagée des sa naissance d'accepter son sort. Si vous voulez avoir plus de détail là-dessus, je répondrai plus en détail sur demande.
La notion du bien et du mal je me fis au catéchisme catholique:
La moralité des actes humains
1749 La liberté fait de l’homme un sujet moral. Quand il agit de manière délibérée, l’homme est, pour ainsi dire, le père de ses actes. Les actes humains, c’est-à-dire librement choisis par suite d’un jugement de conscience, sont moralement qualifiables. Ils sont bons ou mauvais.
I. Les sources de la moralité
1750 La moralité des actes humains dépend :
– de l’objet choisi ;
– de la fin visée ou l’intention ;
– des circonstances de l’action.
L’objet, l’intention et les circonstances forment les " sources ", ou éléments constitutifs, de la moralité des actes humains.
1751 L’objet choisi est un bien vers lequel se porte délibérément la volonté. Il est la matière d’un acte humain. L’objet choisi spécifie moralement l’acte du vouloir, selon que la raison le reconnaît et le juge conforme ou non au bien véritable. Les règles objectives de la moralité énoncent l’ordre rationnel du bien et du mal, attesté par la conscience.
1752 Face à l’objet, l’intention se place du côté du sujet agissant. Parce qu’elle se tient à la source volontaire de l’action et la détermine par la fin, l’intention est un élément essentiel dans la qualification morale de l’action. La fin est le terme premier de l’intention et désigne le but poursuivi dans l’action. L’intention est un mouvement de la volonté vers la fin ; elle regarde le terme de l’agir. Elle est la visée du bien attendu de l’action entreprise. Elle ne se limite pas à la direction de nos actions singulières, mais peut ordonner vers un même but des actions multiples ; elle peut orienter toute la vie vers la fin ultime. Par exemple, un service rendu a pour fin d’aider le prochain, mais peut être inspiré en même temps par l’amour de Dieu comme fin ultime de toutes nos actions. Une même action peut aussi être inspirée par plusieurs intentions, comme de rendre service pour obtenir une faveur ou pour en tirer vanité.
1753 Une intention bonne (par exemple : aider le prochain) ne rend ni bon ni juste un comportement en lui-même désordonné (comme le mensonge et la médisance). La fin ne justifie pas les moyens. Ainsi ne peut-on pas justifier la condamnation d’un innocent comme un moyen légitime de sauver le peuple. Par contre, une intention mauvaise surajoutée (ainsi la vaine gloire) rend mauvais un acte qui, de soi, peut être bon (comme l’aumône ; cf. Mt 6, 2-4).
1754 Les circonstances, y compris les conséquences, sont les éléments secondaires d’un acte moral. Elles contribuent à aggraver ou à diminuer la bonté ou la malice morale des actes humains (par exemple le montant d’un vol). Elles peuvent aussi atténuer ou augmenter la responsabilité de l’agent (ainsi agir par crainte de la mort). Les circonstances ne peuvent de soi modifier la qualité morale des actes eux-mêmes ; elles ne peuvent rendre ni bonne, ni juste une action en elle-même mauvaise.
II. Les actes bons et les actes mauvais
1755 L’acte moralement bon suppose à la fois la bonté de l’objet, de la fin et des circonstances. Une fin mauvaise corrompt l’action, même si son objet est bon en soi (comme de prier et de jeûner " pour être vu des hommes ").
L’objet du choix peut à lui seul vicier l’ensemble d’un agir. Il y a des comportements concrets – comme la fornication – qu’il est toujours erroné de choisir, parce que leur choix comporte un désordre de la volonté, c’est-à-dire un mal moral.
1756 Il est donc erroné de juger de la moralité des actes humains en ne considérant que l’intention qui les inspire, ou les circonstances (milieu, pression sociale, contrainte ou nécessité d’agir, etc.) qui en sont le cadre. Il y a des actes qui par eux-mêmes et en eux-mêmes, indépendamment des circonstances et des intentions, sont toujours gravement illicites en raison de leur objet ; ainsi le blasphème et le parjure, l’homicide et l’adultère. Il n’est pas permis de faire le mal pour qu’il en résulte un bien.
Je crois avoir fait ma part dans le partage de mon opinion et de mes valeurs. Si vous voulez plus de détail, je suis prêt à y répondre.