jesus nous a laissé libre de juger les actes, mais pas les personnes (juger quelqu'un, c'est se sentir supérieur, c'est donc aller à l'opposé du but d'union avec l'autre).Si on suis le modele de Jésus, il y aura tout un bordel dans la societe.
La personne qui vole ou qui tue dira pourquoi me juge tu ? toi aussi tu es suceptible de faire une telle faute.
Et sa finira jamais.
quand au mal, on ne peut pas dire que les punitions islamistes ont réussir à en finir avec lui. on voit suffisamment en pays islamistes des gens faire exploser des bombes sur des civils innocents (même dans les mosquées !!) donc même avec le Coran, "ça ne finira jamais"
Le coran est plus realiste
oui, il est en partie de niveau humain, contrairement à l'Evangile qui s'élève au-dessus en étant essentiellement spirituel (c'est à dire tourné vers l'amour de dieu et du prochain), il ne nous donne pratiquement aucune consigne matérielle, ni juridique car Dieu nous laisse libre de nous organiser sur terre. (respect de Dieu pour sa création)
c'est d'ailleurs ce niveau très humain qui m'a troublé quand j'ai lu le Coran;
oui, c'est peut-être utile, compte tenu du coeur dur de l'homme,Donc il faut qu'il est un jugement et une justice si non et si on suit le modele de jesus il aura tout une guerre dans la societe et le plus fort est celui qui va imposer sa loi.
d'autant plus que le pardon ne se fait pas à "un" mais à "deux", car il est réconciliation. le pardon ne peut être totalement réalisé que si l'autre désire revenir (ce qui est le cas dans l'enfant prodigue, le pere n'intervient que quand son fils revient, le pardon n'est pas imposé au fils)
il est donc en effet naïf de croire que le pardon va résoudre matériellement le problème si l'autre le refuse.
pas sur, des gens comme Gandhi (pourtant hindou), ont évité bien des tueries en appliquant la méthode de jésus. Jésus, lui-même en acceptant la non-violence jusqu'à mourir sur la croix a une influence beaucoup plus forte que si il avait été violent.Jesus est un gentil homme et ses notions sont irrealisables et imaginaires
je crois que la violence peut aussi entraîner la violence, et qu'ainsi on en finit jamais aussi.