Hajer a écrit :Penser vous que Jésus est vraiment le fils de dieu ?
Moi je ne pense pas.
Marie devrait avoir un amant qui leurs relation a abouti a la naissance de Jésus.
Donc Jésus est un enfant batard.
S'il est question de science,il faut voir aussi du coté d'Adam comment il a été créé!.
Au fait pour celui qui est de confession chrétienne pourra nous donné un aperçu du pretre MElshisedek qui n'a ni père ni mère!.
Bref sur ce qui est du cas de Jésus il faut revenir vers la source d'origine chrétienne qui est naturellement le Judaisme dont faisait parti Jésus.
Que la naissance de Jésus n'est rien à Dieu alors que le cas de Adam est plus compliqué,ni père ni mère.Il ne faut pas oublier Eve qui est bien venue de quelque chose!.
En conclusion comme le dit les juifs:
Le commandement de croire en l’unité absolue de Dieu a été donné
spécialement aux enfants d’Israël, c’est-à-dire au peuple juif, comme indiqué dans le Chema’ : « Ecoute Israël : L’Eternel est notre Dieu,
l’Eternel est Un » (Deutéronome 6:4). Le principe exprimé dans ce verset
rejette non seulement la pluralité de dieux, mais affirme aussi que Dieu est la seule véritable existence.
Selon les textes bibliques, Dieu est non seulement infini, mais Il transcende le temps, l’espace et la matière. Il n’a ni commencement ni fin, comme il est écrit : « Je suis le premier et Je suis le dernier, hors Moi point de Dieu ! » (Isaïe 44:6). Si le judaïsme croit que Dieu Se manifeste à Ses créatures, et donc à l’humanité, de multiples manières, c’est-à-dire comme juge et comme protecteur, Son essence elle même est indivisible et échappe par conséquent à toute possibilité de définition.
Ce qui transcende le temps et l’espace ne peut pas être décrit comme consistant en trois aspects différents. Dès l’instant où l’on attribue
de telles distinctions à l’essence de Dieu, on nie Son unité absolue.
Les versets suivants de la Bible hébraïque, si on les traduit correctement,
apportent des précisions supplémentaires à ce principe de base et à
la conviction fondamentale et cruciale du judaïsme en l’unité de Dieu :
« Reconnaissez maintenant que c’est Moi qui suis Dieu, Moi seul, et nul
dieu à côté de Moi » (Deutéronome 32:39) et : « Il n’est pas d’autre que
Dieu » (Deutéronome 4:35).
2) Il est également interdit aux Juifs d’envisager que Dieu puisse
avoir « aucune ressemblance avec quoi que ce soit au monde ». Les versets
4:15 à 19 et 5:8 à 9 du Deutéronome ne sont qu’une partie des nombreuses références bibliques qui font défense aux Juifs de croire que Dieu réside dans une forme physique, comme le fait le Nouveau Testament.