Hajer a écrit :
Ce verset parle du coran et pas de la bible.
La bible a été ecrite par des gens qui connaissent meme pas jesus.
Elle etait ecrite par des gens qui cherchent la gloire.. elle n'est meme pas ecrite pour le peuple.
Luc 1.1Plusieurs ayant entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous,
1.2suivant ce que nous ont transmis ceux qui ont été des témoins oculaires dès le commencement et sont devenus des ministres de la parole,
1.3 il m'a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d'une manière suivie, excellent Théophile,
1.4 afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus.
Comme tu remarque bien Luc lui a semblé bon un certain moment d'Ecrire a Theophile des recits racontés par des gens.
Il n'a meme pas ecrit ceci pour le peuple, et le peire c'Est qu'il reconnait qu'il ecrit apres que plusieurs autre personnes ont ecris avant lui. ( On dirait une compettion ).
Ou sont ces ecrits ??? et qui sont ???
Ce qu'on sait et d'apres les experts chretiens c'est que la bible comporte plusieurs fautes et contradictions et qu'elle est l'ecris de l'homme et pas la parole de dieu.
C'est le Livre (dhalika al-kitab) au sujet duquel il n'y a aucun doute, c'est un guide pour les pieux . Sourate 2:2
La mention "C'est le Livre" (dhalika al-kitab), au lieu de "Ceci est le Livre" (hadha al-kitab), signifie que le Coran fait référence à un autre Livre que lui même, qui doit être la Torah et/ou l'Evangile. Ceci est vue du fait, que l'emploie du terme "dhalika" indique que le Livre dont fait sujet la Sourate 2:2 est une entité en dehors du Coran. Toutes les fois que le Coran se cite en tant que Livre Divin, il emploie l'expression "ceci" ou "voici", jamais "dhalika".
Des musulmans ne retiennent pas cette interprétation et prétendent que la Sourate 2:2 fait référence au Coran, non à un autre livre. Un exemple est Ibn Kathir:
"C'est le le livre en lequel il y n'y aucun doute" a été interprété par certains comme la Torah et l'Evangile, ce qui est une élaboration fortement peu probable et inutile sur une question à laquelle ils ne connaissent rien. L'interprétation correcte est que ça se réfère au Coran. Tafsir Ibn Kathir
Intéressant, Ibn Kathir, enregistre que des musulmans ont cru que la Sourate 2:2 désigne la Torah et l'Evangile. Ensuite, Ibn Kathir balaye cette interprétation, en arguant que c'est une interprétation peu probable et affirme que ce passage se réfère au Coran.
Le problème avec l'exégèse d'Ibn Kathir, est qu'il ne donne aucune justification. Si des musulmans ont cru que ce passage se réfère à la Torah et/ou l'Evangile, c'est parce que c'est ce suggère l'emploie du terme dhalika, celui indiquant que le livre qu'il désigne, est un livre en dehors du Coran. Aussi, il faut expliquer pourquoi des musulmans ont cru ce passage se rapporte à la Bible, s'il était vrai que c'est une interprétation fortement peu probable.
La seule raison qui pousse Ibn Kathir à nier cette interprétation, est que celle-ci constitue un témoignage coranique que la Bible est authentique.
Seulement, il n'y a rien dans le contexte qui éliminerait que l'expression, "C'est le livre où sujet duquel il n'y a aucun doute", se rapporte à la Torah et/ou à l'Evangile. L'allégation que ce passage ne se réfère pas à la Torah et/ou l'Evangile est issue d'une présupposition, à savoir que la Bible serait falsifiée. Mais si nous sommes libres de cette polarisation, la compréhension la plus normale basée sur l'utilisation grammaticale de "dhalika" est que celui-ci se rapporte à une entité en dehors du Coran. Dans ce cas "le Livre au sujet duquel il n'y a aucun doute", et qui ''est un guide pour les pieux" doit faire référence aux Ecritures juives et chrétiennes.