Re: pour des gens qui méditent
Posté : 20 juin09, 06:14
« Re: pour des gens qui méditent » ?... Tiens ?... Qui ça ?...
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Pour Marie,
Vous lire, vous et vos contradicteurs, m’a entraîné loin, dans les brumes de ma mémoire.
Des visages inconnus, croisés lorsque l’avenir s’ouvrait sur des précipices ; souvenir perdurant d’un présent figé dans un sentiment d’impuissance qui se noie dans le désespoir.
Des inconnus qui deviennent « le geste », « le mot », « l’aide inattendue » qui subitement donnent aux événements une évolution surprenante, qui fait qu’après avoir cillé des yeux, l’espace est ouvert.
Un instant de surprise … Il est inutile de vouloir remercier ces êtres pudiques, car ils ne sont plus là !
Lorsque je considère ma vie, aussi loin que me le permet ma mémoire (et vous ne me croiriez pas de savoir jusqu’où vont mes souvenirs !) ; j’ai le sentiment d’avoir toujours reçu, sans jamais donner.
C’est donc en connaissance que je considère ce qui peut se dire ici ou là de cette notion noble de « gratuité ».
Je pense, Marie, qu’il vous manque encore un bout de voyage pour vous préoccuper du salut des autres.
En fait, vu de ma « normalité », je pense que vous n’avez pas assez reçu pour « croire » à la gratuité.
Alors … Demandez … Demandez …
… Mais pour vous-même, Marie, pour vous-même … Et vous recevrez …
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Pour Marie,
Vous lire, vous et vos contradicteurs, m’a entraîné loin, dans les brumes de ma mémoire.
Des visages inconnus, croisés lorsque l’avenir s’ouvrait sur des précipices ; souvenir perdurant d’un présent figé dans un sentiment d’impuissance qui se noie dans le désespoir.
Des inconnus qui deviennent « le geste », « le mot », « l’aide inattendue » qui subitement donnent aux événements une évolution surprenante, qui fait qu’après avoir cillé des yeux, l’espace est ouvert.
Un instant de surprise … Il est inutile de vouloir remercier ces êtres pudiques, car ils ne sont plus là !
Lorsque je considère ma vie, aussi loin que me le permet ma mémoire (et vous ne me croiriez pas de savoir jusqu’où vont mes souvenirs !) ; j’ai le sentiment d’avoir toujours reçu, sans jamais donner.
C’est donc en connaissance que je considère ce qui peut se dire ici ou là de cette notion noble de « gratuité ».
Je pense, Marie, qu’il vous manque encore un bout de voyage pour vous préoccuper du salut des autres.
En fait, vu de ma « normalité », je pense que vous n’avez pas assez reçu pour « croire » à la gratuité.
Alors … Demandez … Demandez …
… Mais pour vous-même, Marie, pour vous-même … Et vous recevrez …