si vous defendez l'intégralité du message bible et bien bravos.
mais ou trouve t'on le mot trinité dans la bible ?
vous devez savoir sa en tant que defenseur de la bible !
Antécédent trinitaire ?
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Re: Antécédent trinitaire ?
Ecrit le 26 août09, 05:47(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: Antécédent trinitaire ?
Ecrit le 26 août09, 12:24Je ne parle pas de Trinité notamment parce que c'est un terme théologique dont on peut se passer quand on n'est pas théologien.medico a écrit :si vous defendez l'intégralité du message bible et bien bravos.
mais ou trouve t'on le mot trinité dans la bible ?
vous devez savoir sa en tant que defenseur de la bible !
Dans les Très Saintes Écritures nous trouvons des énoncés qui rassemblent sur un même plan sémantique le Père, le Fils et le Saint-Esprit. J'ai déjà cité le début du livre de la Genèse, le Nouveau Testament peut être aisément mis à contribution.
Par exemple : 2 Corinthiens 13:14 (13-13) Que la grâce du Seigneur Jésus-Christ, l’amour de Dieu, et la communion du Saint-Esprit, soient avec vous tous.
Notons enfin que l'unité de D-ieu s'exprime parfois sous l'apparence de la multiplicité depuis Genèse 1.26 Puis Dieu dit : "Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance" .
Rien de tout cela n'est déterminant en soi.
Ce ne sont que des indices qui s'accumulent et qui compromettent définitivement une vision trop intuitive de D-ieu.
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Re: Antécédent trinitaire ?
Ecrit le 27 août09, 09:43le sujet et sur la trinité et sont origine .
petite réflection
Dans certaines traductions de la Bible, Jean 3:13 se lit comme suit: “Nul n’est monté au ciel hormis celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme qui est au ciel.” (Jérusalem [1955 On a débattu cette question pour savoir si Jésus avait ou non prononcé les mots écrits en italique.
Jésus expliquait qu’il était difficile à Nicodème, un chef juif, de comprendre les choses célestes que lui, Jésus, comprenait fort bien puisqu’il était descendu du ciel. Pensez-vous qu’il eût été logique que Jésus ajoutât qu’il ‘était alors au ciel’?
Les gens qui croient que Jésus était alors une partie d’une trinité ont soutenu que cette expression était appropriée ici et qu’elle indiquait la double nature de Jésus à la fois homme et Dieu. Cela voudrait dire que lorsqu’il était sur la terre, Jésus, bien qu’étant homme, appartenait toujours à la divinité céleste. Les personnes qui défendent ce point de vue renvoient le lecteur à quelques manuscrits grecs anciens ou à des versions anciennes où l’on trouve ces mots, justifiant ainsi leur maintien dans des traductions récentes.
Toutefois, de nombreux manuscrits grecs anciens ne renferment pas cette phrase. Citons, entre autres, deux manuscrits très appréciés: le Sinaiticus et le Vaticanus no 1209, l’un et l’autre du quatrième siècle. C’est pourquoi les biblistes Wescott et Hort ont écarté ces mots lorsqu’ils ont préparé leur texte grec sur lequel sont basées Les Écritures grecques chrétiennes — Traduction du monde nouveau. Commentant l’omission de ces mots dans une version anglaise récente (The Greek New Testament [3e édition, 1975], édité par l’United Bible Society), Bruce Metzger écrit: “La majorité du comité, impressionnée par la qualité des preuves externes justifiant la leçon la plus courte [qui omet la phrase en question], a jugé que les mots [“qui est au ciel”] étaient une glose interprétative qui reflète une évolution postérieure de la christologie.” En d’autres termes, ces mots ont de toute évidence été ajoutés plus tard par un copiste, peut-être après que l’on eut emprunté la doctrine de la trinité aux religions non chrétiennes.
C’est donc avec juste raison que beaucoup de traducteurs modernes de la Bible éliminent les mots en question ou les relèguent dans les notes en bas de page. C’est le cas pour les Bibles suivantes: Grosjean et Léturmy, Pirot-Clamer, Segond révisée, Traduction Œcuménique de la Bible et Crampon-Trico
petite réflection
Dans certaines traductions de la Bible, Jean 3:13 se lit comme suit: “Nul n’est monté au ciel hormis celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme qui est au ciel.” (Jérusalem [1955 On a débattu cette question pour savoir si Jésus avait ou non prononcé les mots écrits en italique.
Jésus expliquait qu’il était difficile à Nicodème, un chef juif, de comprendre les choses célestes que lui, Jésus, comprenait fort bien puisqu’il était descendu du ciel. Pensez-vous qu’il eût été logique que Jésus ajoutât qu’il ‘était alors au ciel’?
Les gens qui croient que Jésus était alors une partie d’une trinité ont soutenu que cette expression était appropriée ici et qu’elle indiquait la double nature de Jésus à la fois homme et Dieu. Cela voudrait dire que lorsqu’il était sur la terre, Jésus, bien qu’étant homme, appartenait toujours à la divinité céleste. Les personnes qui défendent ce point de vue renvoient le lecteur à quelques manuscrits grecs anciens ou à des versions anciennes où l’on trouve ces mots, justifiant ainsi leur maintien dans des traductions récentes.
Toutefois, de nombreux manuscrits grecs anciens ne renferment pas cette phrase. Citons, entre autres, deux manuscrits très appréciés: le Sinaiticus et le Vaticanus no 1209, l’un et l’autre du quatrième siècle. C’est pourquoi les biblistes Wescott et Hort ont écarté ces mots lorsqu’ils ont préparé leur texte grec sur lequel sont basées Les Écritures grecques chrétiennes — Traduction du monde nouveau. Commentant l’omission de ces mots dans une version anglaise récente (The Greek New Testament [3e édition, 1975], édité par l’United Bible Society), Bruce Metzger écrit: “La majorité du comité, impressionnée par la qualité des preuves externes justifiant la leçon la plus courte [qui omet la phrase en question], a jugé que les mots [“qui est au ciel”] étaient une glose interprétative qui reflète une évolution postérieure de la christologie.” En d’autres termes, ces mots ont de toute évidence été ajoutés plus tard par un copiste, peut-être après que l’on eut emprunté la doctrine de la trinité aux religions non chrétiennes.
C’est donc avec juste raison que beaucoup de traducteurs modernes de la Bible éliminent les mots en question ou les relèguent dans les notes en bas de page. C’est le cas pour les Bibles suivantes: Grosjean et Léturmy, Pirot-Clamer, Segond révisée, Traduction Œcuménique de la Bible et Crampon-Trico
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: Antécédent trinitaire ?
Ecrit le 28 août09, 01:33Bonjour Medico.
Vos italiques ne sont pas apparues chez moi donc je rappelle l’enjeu :
Il y a deux variantes :
Personne n’est monté au ciel, si ce n’est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme qui est dans le ciel.
Personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme.
La version longue que vous contestez a été reprise par des auteurs d’origines diverses :
En français : Bible Louis Segond 1910 ; Nouvelle Édition de Genève 1979 ; Bible Ostervald 1996 ; Bible Segond révisée (Colombe)
En latin Vulgate de saint Jérôme. Le codex Codex Palatinus de la Vetus Latinae (voir : http://arts-itsee.bham.ac.uk/AnaServer? ... +start.anv)
En grec Édition critique Tischendorf 1872 ; Texte Majorité Byzantine 1991 ; édition critique Nestle-Aland, 27th edition ; et le Textus Receptus
Au sujet du Texte Reçu (sous-entendu par la chrétienté), l'édition royale du Textus Receptus est le Texte de Stephanus 1550, et le Texte de Théodore de Bèze de 1588 est fondé sur ce dernier. On peut dire que le Texte Reçu Grec a été officiellement scellé avec l'édition de Scrivener de 1894 qui est une rééditions de Stephanus 1550. Aucune autre éditon critique du Textus Receptus ne parut après 1894. C'est la dernière et l'officielle. C'est pour cela que l'édition de Scrivener est connue comme celle qui est la finale et la officielle.
À cet égard je ne résiste pas à l’envie de vous communiquer un site absolument extraordinaire consacré à l’édition critique de Nestlé-Aland
http://nttranscripts.uni-muenster.de/
http://nttranscripts.uni-muenster.de/An ... +start.anv
Sur la base de ce site, contrairement à ce que vous affirmez, le Sinaïticus et l’Alexandrinus témoignent de la version longue, au même titre que le Vaticanus et les papyri Bodmer II et XIV-XV.
Mais il est tout à fait exact d’affirmer que les manuscrits portant la version courte sont très nombreux.
Vous posez là une des questions favorites de tous ceux qui contestent la Révélation des Très Saintes Écritures :
comment gérer les variantes ?
les variantes sont-elles la preuve que les Très Saintes Écritures ne sont que les fruits d’une vaste élaboration humaine opérée au fil du temps, au gré des circonstances, selon les intentions des copistes ?
En effet comment choisir ?
Est-il légitime de soupçonner les variantes d’un manque d’authenticité ?
La question de l’authenticité n’a guère de sens puisqu’il est clair que nous ne disposerons jamais des manuscrits originaux (pour ceux qui croient que Moïse a rédigé la Torah) et que la rédaction de tous les livres saints est toujours restée fluide pendant de longues années avant de se figer sur une leçon reconnue par la grande majorité.
Personnellement si j’ai le plus grand respect pour les objets, si un manuscrit du début du second siècle ne peut que m’émerveiller, il m’est néanmoins impossible de lui accorder l’autorité de l’âge, l’âge ici ne fait rien à l’affaire.
Aussi ai-je tendance à mettre plus volontiers ma confiance non pas dans l’objet matériel mais dans l’objet intellectuel, non pas dans tel ou tel papyrus mais dans ce discours en devenir, ce discours en maturation qui se stabilise au sein d’une communauté dont le Maître a promis le secours de l’Esprit Saint.
Pour savoir si tel ou tel passage trahit ou respecte les intentions de l’Inspirateur, c'est-à-dire de l’Esprit Saint, je ne vois pas d’autre moyen que de faire confiance à ceux qui m’ont transmis cet enseignement.
Je ne crois pas que D-ieu, béni soit-Il, nous demande d’être des exégètes et des papyrologues avertis, notre doux Seigneur nous a suffisamment prévenus contre l'idolâtrie.
Dans mon ignorance, je crois que l’Unique Enseignant nous demande exactement ce dont on fait preuve les premiers chrétiens : faire humblement confiance aux apôtres, aux envoyés par l’Église naissante, à tous ceux qui répandaient cette incroyable Bonne Nouvelle.
Bien sûr, il ne s’agit pas de faire une confiance aveugle, il y a sûrement eu des leçons traficotées, des leçons mal comprises et mal corrigées, parfois nous parviendrons peut-être à démêler l’inspiré de l’humain, mais tant qu’il n’existe pas d’indice fort d’interpolation il n’y a pas à pratiquer le soupçon.
L’Agapê ne soupçonne pas le mal.
La controverse arienne éclate vers l'an 300 à Alexandrie, la version longue connaît des témoins antérieurs (vetus latinae et Bodmer), je ne crois pas qu'il soit légitime d'affirmer l'interpolation.
L'interpolation serait très modeste (13 caractères) et ne paraitrait guère participer à un vaste complot de correction de l'évangile de saint Jean puisque le verset 3.13 présente plusieurs parallèles qui n'ont pas été amodiés dans le même sens :
Jean 6:33 Car le pain de Dieu, c’est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde.
Jean 6:38 car je suis descendu du ciel pour faire, non pas ma propre volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé.
Jean 6:51 « Je suis le pain vivant qui descend du ciel. Celui qui mangera de ce pain vivra pour l’éternité. Et le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour que le monde ait la vie. »
Jean 6:62 Et si vous voyiez le Fils de l’homme monter là où il était auparavant…?
Jean 8:42 Jésus leur dit : « Si Dieu était votre père, vous m’auriez aimé, car c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens ; je ne suis pas venu de mon propre chef, c’est Lui qui m’a envoyé.
Jean 13:3 sachant que le Père a remis toutes choses entre ses mains, qu’il est sorti de Dieu et qu’il va vers Dieu,
Jean 16:28 Je suis sorti du Père et je suis venu dans le monde ; tandis qu’à présent je quitte le monde et je vais au Père. »
Enfin pour ce qui est d'un enseignement sur la "Bilocation" du Seigneur, nous avons :
Marc 16:19 Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et il s’assit à la droite de Dieu. :20 Et ils s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la parole par les miracles qui l’accompagnaient.
Matthieu 28:20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.
Vos italiques ne sont pas apparues chez moi donc je rappelle l’enjeu :
Il y a deux variantes :
Personne n’est monté au ciel, si ce n’est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme qui est dans le ciel.
Personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme.
La version longue que vous contestez a été reprise par des auteurs d’origines diverses :
En français : Bible Louis Segond 1910 ; Nouvelle Édition de Genève 1979 ; Bible Ostervald 1996 ; Bible Segond révisée (Colombe)
En latin Vulgate de saint Jérôme. Le codex Codex Palatinus de la Vetus Latinae (voir : http://arts-itsee.bham.ac.uk/AnaServer? ... +start.anv)
En grec Édition critique Tischendorf 1872 ; Texte Majorité Byzantine 1991 ; édition critique Nestle-Aland, 27th edition ; et le Textus Receptus
Au sujet du Texte Reçu (sous-entendu par la chrétienté), l'édition royale du Textus Receptus est le Texte de Stephanus 1550, et le Texte de Théodore de Bèze de 1588 est fondé sur ce dernier. On peut dire que le Texte Reçu Grec a été officiellement scellé avec l'édition de Scrivener de 1894 qui est une rééditions de Stephanus 1550. Aucune autre éditon critique du Textus Receptus ne parut après 1894. C'est la dernière et l'officielle. C'est pour cela que l'édition de Scrivener est connue comme celle qui est la finale et la officielle.
À cet égard je ne résiste pas à l’envie de vous communiquer un site absolument extraordinaire consacré à l’édition critique de Nestlé-Aland
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Sur la base de ce site, contrairement à ce que vous affirmez, le Sinaïticus et l’Alexandrinus témoignent de la version longue, au même titre que le Vaticanus et les papyri Bodmer II et XIV-XV.
Mais il est tout à fait exact d’affirmer que les manuscrits portant la version courte sont très nombreux.
Vous posez là une des questions favorites de tous ceux qui contestent la Révélation des Très Saintes Écritures :
comment gérer les variantes ?
les variantes sont-elles la preuve que les Très Saintes Écritures ne sont que les fruits d’une vaste élaboration humaine opérée au fil du temps, au gré des circonstances, selon les intentions des copistes ?
En effet comment choisir ?
Est-il légitime de soupçonner les variantes d’un manque d’authenticité ?
La question de l’authenticité n’a guère de sens puisqu’il est clair que nous ne disposerons jamais des manuscrits originaux (pour ceux qui croient que Moïse a rédigé la Torah) et que la rédaction de tous les livres saints est toujours restée fluide pendant de longues années avant de se figer sur une leçon reconnue par la grande majorité.
Personnellement si j’ai le plus grand respect pour les objets, si un manuscrit du début du second siècle ne peut que m’émerveiller, il m’est néanmoins impossible de lui accorder l’autorité de l’âge, l’âge ici ne fait rien à l’affaire.
Aussi ai-je tendance à mettre plus volontiers ma confiance non pas dans l’objet matériel mais dans l’objet intellectuel, non pas dans tel ou tel papyrus mais dans ce discours en devenir, ce discours en maturation qui se stabilise au sein d’une communauté dont le Maître a promis le secours de l’Esprit Saint.
Pour savoir si tel ou tel passage trahit ou respecte les intentions de l’Inspirateur, c'est-à-dire de l’Esprit Saint, je ne vois pas d’autre moyen que de faire confiance à ceux qui m’ont transmis cet enseignement.
Je ne crois pas que D-ieu, béni soit-Il, nous demande d’être des exégètes et des papyrologues avertis, notre doux Seigneur nous a suffisamment prévenus contre l'idolâtrie.
Dans mon ignorance, je crois que l’Unique Enseignant nous demande exactement ce dont on fait preuve les premiers chrétiens : faire humblement confiance aux apôtres, aux envoyés par l’Église naissante, à tous ceux qui répandaient cette incroyable Bonne Nouvelle.
Bien sûr, il ne s’agit pas de faire une confiance aveugle, il y a sûrement eu des leçons traficotées, des leçons mal comprises et mal corrigées, parfois nous parviendrons peut-être à démêler l’inspiré de l’humain, mais tant qu’il n’existe pas d’indice fort d’interpolation il n’y a pas à pratiquer le soupçon.
L’Agapê ne soupçonne pas le mal.
La controverse arienne éclate vers l'an 300 à Alexandrie, la version longue connaît des témoins antérieurs (vetus latinae et Bodmer), je ne crois pas qu'il soit légitime d'affirmer l'interpolation.
L'interpolation serait très modeste (13 caractères) et ne paraitrait guère participer à un vaste complot de correction de l'évangile de saint Jean puisque le verset 3.13 présente plusieurs parallèles qui n'ont pas été amodiés dans le même sens :
Jean 6:33 Car le pain de Dieu, c’est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde.
Jean 6:38 car je suis descendu du ciel pour faire, non pas ma propre volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé.
Jean 6:51 « Je suis le pain vivant qui descend du ciel. Celui qui mangera de ce pain vivra pour l’éternité. Et le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour que le monde ait la vie. »
Jean 6:62 Et si vous voyiez le Fils de l’homme monter là où il était auparavant…?
Jean 8:42 Jésus leur dit : « Si Dieu était votre père, vous m’auriez aimé, car c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens ; je ne suis pas venu de mon propre chef, c’est Lui qui m’a envoyé.
Jean 13:3 sachant que le Père a remis toutes choses entre ses mains, qu’il est sorti de Dieu et qu’il va vers Dieu,
Jean 16:28 Je suis sorti du Père et je suis venu dans le monde ; tandis qu’à présent je quitte le monde et je vais au Père. »
Enfin pour ce qui est d'un enseignement sur la "Bilocation" du Seigneur, nous avons :
Marc 16:19 Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et il s’assit à la droite de Dieu. :20 Et ils s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la parole par les miracles qui l’accompagnaient.
Matthieu 28:20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.
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Re: Antécédent trinitaire ?
Ecrit le 28 août09, 03:441969 Henderson, Ian (1910- ?), Université de Glasgow. Encyclopédie Internationale. 20 vols. (New York : Grolier, 1969), « Trinité », p. 226. AE5 .E447 1968b / 69-010050.
La doctrine de la Trinité ne faisait pas partie intégrante de la prédication des apôtres, comme cela est rapporté dans le Nouveau Testament.
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