Tu parle du racisme ? tu trouve ça pertinent comme terme à utiliser ? racisme vient de mot « race » càd une haine pre-determinée et immodifiable liée à la naissance d’une race dite inferieure ! et là ce n’est pas de tout le cas ! le jour où tu va croire en Dieu (il viendra inchalla) je t’aimerai comme mon frère !
Le mot racisme recouvre un domaine beaucoup plus large que ta définition le laisse entendre, AK47. On parle de racismes anti-noirs, anti-blancs, anti-juifs mais aussi d'homophobie, de racisme anti-femmes, anti-jeunes, anti-vieux...qui sont tous la manifestation d'une opinion
a priori négative pour un
groupe social qu'on aime détester. La méconnaissance qu'on a de ce groupe est un élément essentiel de ce comportement. Il est connu que souvent le pire raciste a un ami qui appartient au groupe qu'il déteste. Quand on lui fait remarquer l'incohérence de leur attitude, il dit : "Lui, ce n'est pas pareil !". Pourtant, C'est souvent le seul de ce groupe qu'il connait vraiment !
J'ai été croyant, Kalachnikov. Tu me dis donc que tu aurais pu m'aimer comme un frère à ce moment là puis me laisser tomber le jour où je n'ai plus cru ? Pour ma part, ce n'est pas comme ça que j'aime mon frère et que je n'aimerais pas qu'il m'aimât !
Personnellement, il m'arrive de détester des gens pour ce qu'ils font, pas pour ce qu'ils disent. Toi, tu fais comme si mes opinions m'entrainaient obligatoirement vers une vie détestable pour mieux satisfaire tes sentiments automatiquement haineux pour le mécréant que je suis. Tu ne sais pas ni comment je vis, ni mon comportement social et tu arrives à me détester ! Nos conceptions morales divergent et je ne sais pas par quelle acrobatie tu rattaches la tienne à celle dictée par un Dieu d'amour. Tu donnes plutôt l'impression que le Dieu auquel tu crois, c'est celui de la Vengeance et du châtiment et que tu espères qu'un jour, il pourra soulager tes frustrations terrestres en punissant les méchants.
Salut tguiot !
Quand quelqu'un se pointe sur un forum et ne sait exprimer que par borborygmes et flatulences, une pensée sans structure et sans arguments, lâchée par bribes à peine compréhensibles et qui ne font qu'exprimer des sentiments, opinions et dégouts, sans le moindre respect pour ses interlocuteurs, je me soucie peu de l'opinion qu'il peut avoir de moi. Je lui conseillerais simplement, par pure charité athée, un Normogastryl avant chaque lecture, pour soulager les spasmes stomacaux et autres désagréments digestifs que pourrait lui occasionner ma prose.