medico a écrit :Je te cite un commentaire d'une bible catholique sur Marc16.
Je te le dis une fois encore, inutile de chercher je ne sais quel commentaire gros boulet, tu consultes les originaux, point barre. La fin longue de Marc est absente dans le codex
Vaticanus (hihi
. ) car c'est encore pour les TJ se rapprocher des sources du Vatican, ce qui est locace, n'est-il point ?
L'autre codex qui n'a pas la fin longue de Marc est le Sinaiticu. Le Bezae a été brûlé par ce dingue de Théodore de Bèze, grand pervers sexuel et amant notoire de Jean Calvin, en incendiant avec ses amis Huguenots le monastère de St Irénée de Lyon. Extraordinaire ! Il ne reste que seulement un seul évangile intact, celui de Luc, bien curieux du reste...
Et pour le reste, on a des copistes qui ont fait le choix, soit d'un final long, soit d'un final court.
Pourquoi ? Parce que l'évangile selon St Marc ne contient rien sur la résurrection ! Pourquoi ? La Bible en l'état ne le dit pas, mais la tradition Apostolique le dit par écrit ! Pierre annonce toujours sa Bonne Nouvelle, Evangile en grec, en laissant son assemblée sur le mystère Pascal : le tombeau vide ! Il n'a jamais enseigné directement la résurrection, pour que ses assemblées le concluent naturellement. Un grand, St Pierre ! Il n'y a donc jamais de fin rédigée par avance chez lui, et Marc nota sa prédication en latin avec cette fin... sans final. Il fallait bien pour l'écriture une fin, et c'est selon, soit courte, soit longue, deux sortes qu'utilisait St Pierre, selon.
Le codex du Vatican, le Vaticanus en latin, eut un copiste qui choisit de... ne rien choisir du tout. Cette option possible en effet n'annule en rien les deux autres fins, puisque St Pierre s'adaptait avec chaque auditoire. Je trouve effectivement bien mieux comme fait la TMN 1974 qui conserve les trois possibilités pour que chaque lecteur fasse selon son envie : soit rien, soit la fin longue, soit la fin courte.
Je défends donc ici encore la rigueur de la TMN 1974, tandis que tu défends le codex du Vatican. Un comble !
En ataraxie avec toi