c'est pas faute de tenter l'invasion de l'Europe pas tous les moyensProphètedel'éternel a écrit :ouias dommage le turc d'aujourd'hui l'a oublié cet enseignement...
Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zanaz
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 20 oct.16, 22:59Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 20 oct.16, 23:33« L'islam retournera en Europe en conquérant et en vainqueur, après en avoir été expulsé deux fois...
Je soutiens que cette fois la conquête ne se fera pas par l’épée mais par la prédication et l'idéologie. »
Youssouf Qaradawi
Je soutiens que cette fois la conquête ne se fera pas par l’épée mais par la prédication et l'idéologie. »
Youssouf Qaradawi
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 24 oct.16, 00:26yacoub a écrit :
il est à peine parti que les fous reviennent au moyen âge
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 24 oct.16, 00:32La Turquie d’Erdogan du kémalisme et au néo-ottomanisme
23 Oct 2016 | 9:47 A LA UNE, POLITIQUE 2
Un colloque au Gicpa à Paris a étudié la politique de la Turquie d’Erdogan et son basculement du laïcisme kémalisme à l’islamisme néo-ottoman.
Par Troudi Mohamed *
Le 15 octobre dernier, notre centre le Centre international de géopolitique et de prospective analytique (Gicpa), a organisé son deuxième colloque depuis sa recentre création intitulé «Les conséquences de la politique turque sur les mutations géopolitiques et les grands défis stratégiques contemporains».
Ce colloque, organisé à l’hôtel particulier de la Société d’encouragement pour l’industrie nationale, à Paris, a été l’occasion pour nombre d’orateurs d’analyser la politique interne et externe de la Turquie et les enjeux d’un retour éventuel d’une forme de néo-ottomanisme turque.
Autoritarisme islamiste et dérive despotique
Mezri Haddad, président du Cigpa, a ouvert le colloque en rappelant le but de la rencontre qui n’est pas de stigmatiser la Turquie en tant que pays et en tant que peuple mais de dévoiler la nature exacte du régime mis en place par Recep Tayyip Erdogan. Il rappelle le rôle régional de la Turquie et le développement d’une forme d’autoritarisme islamiste et d’une dérive despotique chez ce dernier. «En réunissant des spécialistes, des universitaires, des hommes politiques, des diplomates et des journalistes européens et arabes, nous avons voulu étudier de façon objective la situation politique en Turquie et surtout conjecturer l’avenir immédiat, aussi bien sur le plan interne que géopolitique», a insisté Haddad.
Le colloque a cherché, de manière objective et indépendante, à poser certaines questions d’ordre politique, religieux et géopolitique autour de la Turquie d’Erdogan en y apportant des esquisses de réponse sans aucune stigmatisation et loin de toute forme d’aliénation idéologique, comme l’a rappelé Haddad: la Turquie a-t-elle basculé du kémalisme à l’islamisme? Qu’est-ce que le néo-ottomanisme? L’homme malade du XIXe siècle est-il à nouveau un facteur d’instabilité autant pour le monde arabe que pour l’Europe? Quels risquent encourent les Européens en cas de rejet définitif de la candidature de la Turquie à l’Union européenne (UE)? Le régime turc utilisera-t-il l’arme du déferlement migratoire? Les pays européens reviendront-ils sur leur accord sur les réfugiés? Eu égard aux relations troubles de la Turquie avec l’organisation terroriste de l’Etat islamique (Daech), aussi bien en Syrie qu’en Irak ou en Libye – une convergence objective d’intérêts devenue un peu trop visible – qu’en sera-t-il de la guerre globale que l’Occident livre contre le terrorisme? Étant la seule puissance à combattre sérieusement et indistinctement Daech, Al-Qaïda, Al-Nosra et autres rebelles dits «modérés» en Syrie, la Russie parviendra-t-elle à faire infléchir la position du régime turc dans le conflit syrien et, par-delà, dans le combat contre le terrorisme international? Comment conjecturer l’évolution des relations turco-américaines? Quelle sera l’issue de la concurrence entre la Turquie, l’Iran, l’Égypte et l’Arabie Saoudite pour pour le leadership du monde musulmans?
Les ambitions néo-ottomanes et néo-califales d’Erdogan
Animé et modéré par José Manuel Lamarque, journaliste à Radio France Inter, le premier panel comptait Hassan Asfour, ancien ministre de l’Autorité palestinienne qui est venu de Jordanie. Sa communication, en arabe et simultanément traduite au français, portait le titre «La Turquie des Frères musulmans est bien néo-ottomane». Il a remarquablement démontré que, même si Recep Tayyip Erdogan vient de la ramification turque des Frères musulmans, c’est un homme qui n’a aucune contrainte idéologique du moment où le but fixé est la restauration d’un empire néo-ottoman.
David Rigoulet-Roze (France), rédacteur en chef de la revue ‘‘Orients Stratégiques’’, spécialisé en stratégie militaire et chercheur associé au sein de l’ Institut Prospective & Sécurité en Europe (Ipse), évoquant «Les ambitions néo-califales de Recep Tayyip Erdogan».
François Compagnola (France), ancien chargé de mission au ministère de la Défense, juriste et chercheur associé à l’Ipse, a mis en avant le basculement de la Turquie d’une république kémaliste à une république islamiste, ou encore le tunisien Mohamed Troudi, docteur en droit et en géopolitique, chercheur en relations internationales et stratégiques, associé à l’Institut international d’études stratégiques (IIES) et membre de CIGPA , qui a visité l’histoire belliqueuses et les rivalités vieilles de plus de 500 ans entre les deux grands empires turque et russe et les questions actuelles que posent cette rivalité notamment autour de la Syrie et d’un éventuel rapprochement stratégique entre les deux ennemis historiques.
Dans la deuxième partie de ce colloque, Caroline Galactéros (France), docteur en science politique, polémologue et directeur du cabinet de conseil en intelligence stratégique Planeting, a rappelé la volonté de la Turquie de jouer sur tous les tableaux et de peser durablement sur l’échiquier régional et mondial.
Abdellatif El-Menawy (Egypte), écrivain et journaliste, fondateur de Middle East Media Center For Studies et président de la TV d’information Al-Ghad, a évoqué le rôle de la Turquie en Égypte, mettant en exergues les liens très forts entre Erdogan et les Frères musulmans égyptiens.
Michel Raimbaud (France), ambassadeur de France, professeur au Centre d’études diplomatiques et stratégiques (CEDS) et membre de Cigpa a, quant à lui, analysé les ramifications et le lien étroit que joue la Turquie en Syrie.
Quant à Zohra Mansour (Libye), docteur en droit, ex-professeure de sciences-politiques à l’Université de Tripoli et ex-haut cadre du ministère libyen des Affaires féminines, a rappelé le rôle de la Turquie pendant et après la chute du régime libyen en insistant sur le côté interventionnisme turque et le scénario machiavélique de la destruction de la Libye auquel la Turquie d’Erdogan a vaillamment apporté son concours.
Turbulences des relations entre la Turquie et l’Occident
La troisième séance du colloque a été l’occasion d’aborder la thématique des turbulences dans les relations entre la Turquie et le monde occidental. On a enregistré l’intervention d’orateurs de marque parmi lesquels Charles Million, ancien ministre français de la défense, ancien vice-président de l’Assemblée nationale, ancien ambassadeur de France aux Nations-Unies, fondateur de l’Institut Thomas Moore. Son intervention a porté sur le sens d’une intégration de la Turquie à l’UE aujourd’hui, considérant qu’elle n’est guère à l’ordre du jour du fait du changement en cours de l’ordre mondial prédominant.
Jean Marcou (France), professeur à l’Institut d’études politiques de Grenoble, directeur des relations internationales et chercheur associé à l’Institut français d’études anatoliennes (Ifea) a parlé des enjeux contemporains des relations turco-américaines.
Bernard Godard (France), ancien haut cadre des renseignements généraux, spécialiste des réseaux islamistes et membre de Cigpa, a insisté, de son côté, sur les liens et ramifications des réseaux des Frères musulmans de la Turquie en Europe, prenant pour exemple le cas de la ville de Strasbourg.
Younous Omarjee (France), député européen au sein du Groupe confédéral de la gauche unitaire européenne, a fait une intervention portant sur le chantage turque autour de la crise migratoire qui frappe l’Europe aujourd’hui.
Andrea Corvo (Italie), docteur en droit, ancien représentant de la délégation permanente d’Italie auprès de l’UE à Bruxelles et professeur à l’Institut supérieur de sciences administratives de l’Université de Bologne, a présenté une rétrospective du processus d’adhésion de la Turquie à l’UE.
Pour conclure ce deuxième colloque du Cigpa, Pierre Berthelot, responsable des études méditerranéennes de l’Ipse, a rappelé quelques éléments de la politique d’Erdogan sur les plans intérieur et extérieur, mettant en avant certains aspects qui laissent présager la consolidation du néo-ottomanisme turc, une tendance lourde que conforte aujourd’hui les différents aspects de la politique d’Ankara.
Ce colloque riche par la qualité des différentes interventions a été l’occasion de poser en toute objectivité des questions d’importance capitale pour le devenir non seulement de la Turquie mais aussi du Moyen-Orient, de la Méditerranée et du monde en général, dont les réponses peuvent rapidement évoluer dans un sens ou dans un autre dans une région poudrière par excellence et à une période où la tentation du retour des empires, de la diplomatie canonnière, conjuguée à la montée en puissance du religieux, sont plus que jamais d’actualité.
Mezri Haddad a pris la parole pour remercier tous les conférenciers et invités d’honneurs, dont le doyen des ambassadeurs africains en France et ambassadeur du Tchad à Paris, Hissein brahim Taha, l’ambassadeur djiboutien Rached Farah, l’attaché naval à l’ambassade de Russie en France, Mikhail Ermakov, le président de la communauté grecque et chypriote en Europe, Evagoras Mavrommatis. Le président du Gicpa a clôturé le colloque par un message très diplomatique et subliminal: «Avec la nouvelle tournure dans les relations turco-russes, ont peut espérer que, par l’influence de Vladimir Poutine, le président turc changera sa politique à l’égard des pays arabes et renoncera à son ambition néo-califale dans la région».
* Docteur en droit, chercheur en relations internationales et stratégiques, analyste en politique étrangère, membre du Centre international de géopolitique et de prospective analytique (Cigpa), membre de l’Académie de géopolitique de Paris (AGP) et du Centre d’analyse de la politique européenne (Cape), Paris.
23 Oct 2016 | 9:47 A LA UNE, POLITIQUE 2
Un colloque au Gicpa à Paris a étudié la politique de la Turquie d’Erdogan et son basculement du laïcisme kémalisme à l’islamisme néo-ottoman.
Par Troudi Mohamed *
Le 15 octobre dernier, notre centre le Centre international de géopolitique et de prospective analytique (Gicpa), a organisé son deuxième colloque depuis sa recentre création intitulé «Les conséquences de la politique turque sur les mutations géopolitiques et les grands défis stratégiques contemporains».
Ce colloque, organisé à l’hôtel particulier de la Société d’encouragement pour l’industrie nationale, à Paris, a été l’occasion pour nombre d’orateurs d’analyser la politique interne et externe de la Turquie et les enjeux d’un retour éventuel d’une forme de néo-ottomanisme turque.
Autoritarisme islamiste et dérive despotique
Mezri Haddad, président du Cigpa, a ouvert le colloque en rappelant le but de la rencontre qui n’est pas de stigmatiser la Turquie en tant que pays et en tant que peuple mais de dévoiler la nature exacte du régime mis en place par Recep Tayyip Erdogan. Il rappelle le rôle régional de la Turquie et le développement d’une forme d’autoritarisme islamiste et d’une dérive despotique chez ce dernier. «En réunissant des spécialistes, des universitaires, des hommes politiques, des diplomates et des journalistes européens et arabes, nous avons voulu étudier de façon objective la situation politique en Turquie et surtout conjecturer l’avenir immédiat, aussi bien sur le plan interne que géopolitique», a insisté Haddad.
Le colloque a cherché, de manière objective et indépendante, à poser certaines questions d’ordre politique, religieux et géopolitique autour de la Turquie d’Erdogan en y apportant des esquisses de réponse sans aucune stigmatisation et loin de toute forme d’aliénation idéologique, comme l’a rappelé Haddad: la Turquie a-t-elle basculé du kémalisme à l’islamisme? Qu’est-ce que le néo-ottomanisme? L’homme malade du XIXe siècle est-il à nouveau un facteur d’instabilité autant pour le monde arabe que pour l’Europe? Quels risquent encourent les Européens en cas de rejet définitif de la candidature de la Turquie à l’Union européenne (UE)? Le régime turc utilisera-t-il l’arme du déferlement migratoire? Les pays européens reviendront-ils sur leur accord sur les réfugiés? Eu égard aux relations troubles de la Turquie avec l’organisation terroriste de l’Etat islamique (Daech), aussi bien en Syrie qu’en Irak ou en Libye – une convergence objective d’intérêts devenue un peu trop visible – qu’en sera-t-il de la guerre globale que l’Occident livre contre le terrorisme? Étant la seule puissance à combattre sérieusement et indistinctement Daech, Al-Qaïda, Al-Nosra et autres rebelles dits «modérés» en Syrie, la Russie parviendra-t-elle à faire infléchir la position du régime turc dans le conflit syrien et, par-delà, dans le combat contre le terrorisme international? Comment conjecturer l’évolution des relations turco-américaines? Quelle sera l’issue de la concurrence entre la Turquie, l’Iran, l’Égypte et l’Arabie Saoudite pour pour le leadership du monde musulmans?
Les ambitions néo-ottomanes et néo-califales d’Erdogan
Animé et modéré par José Manuel Lamarque, journaliste à Radio France Inter, le premier panel comptait Hassan Asfour, ancien ministre de l’Autorité palestinienne qui est venu de Jordanie. Sa communication, en arabe et simultanément traduite au français, portait le titre «La Turquie des Frères musulmans est bien néo-ottomane». Il a remarquablement démontré que, même si Recep Tayyip Erdogan vient de la ramification turque des Frères musulmans, c’est un homme qui n’a aucune contrainte idéologique du moment où le but fixé est la restauration d’un empire néo-ottoman.
David Rigoulet-Roze (France), rédacteur en chef de la revue ‘‘Orients Stratégiques’’, spécialisé en stratégie militaire et chercheur associé au sein de l’ Institut Prospective & Sécurité en Europe (Ipse), évoquant «Les ambitions néo-califales de Recep Tayyip Erdogan».
François Compagnola (France), ancien chargé de mission au ministère de la Défense, juriste et chercheur associé à l’Ipse, a mis en avant le basculement de la Turquie d’une république kémaliste à une république islamiste, ou encore le tunisien Mohamed Troudi, docteur en droit et en géopolitique, chercheur en relations internationales et stratégiques, associé à l’Institut international d’études stratégiques (IIES) et membre de CIGPA , qui a visité l’histoire belliqueuses et les rivalités vieilles de plus de 500 ans entre les deux grands empires turque et russe et les questions actuelles que posent cette rivalité notamment autour de la Syrie et d’un éventuel rapprochement stratégique entre les deux ennemis historiques.
Dans la deuxième partie de ce colloque, Caroline Galactéros (France), docteur en science politique, polémologue et directeur du cabinet de conseil en intelligence stratégique Planeting, a rappelé la volonté de la Turquie de jouer sur tous les tableaux et de peser durablement sur l’échiquier régional et mondial.
Abdellatif El-Menawy (Egypte), écrivain et journaliste, fondateur de Middle East Media Center For Studies et président de la TV d’information Al-Ghad, a évoqué le rôle de la Turquie en Égypte, mettant en exergues les liens très forts entre Erdogan et les Frères musulmans égyptiens.
Michel Raimbaud (France), ambassadeur de France, professeur au Centre d’études diplomatiques et stratégiques (CEDS) et membre de Cigpa a, quant à lui, analysé les ramifications et le lien étroit que joue la Turquie en Syrie.
Quant à Zohra Mansour (Libye), docteur en droit, ex-professeure de sciences-politiques à l’Université de Tripoli et ex-haut cadre du ministère libyen des Affaires féminines, a rappelé le rôle de la Turquie pendant et après la chute du régime libyen en insistant sur le côté interventionnisme turque et le scénario machiavélique de la destruction de la Libye auquel la Turquie d’Erdogan a vaillamment apporté son concours.
Turbulences des relations entre la Turquie et l’Occident
La troisième séance du colloque a été l’occasion d’aborder la thématique des turbulences dans les relations entre la Turquie et le monde occidental. On a enregistré l’intervention d’orateurs de marque parmi lesquels Charles Million, ancien ministre français de la défense, ancien vice-président de l’Assemblée nationale, ancien ambassadeur de France aux Nations-Unies, fondateur de l’Institut Thomas Moore. Son intervention a porté sur le sens d’une intégration de la Turquie à l’UE aujourd’hui, considérant qu’elle n’est guère à l’ordre du jour du fait du changement en cours de l’ordre mondial prédominant.
Jean Marcou (France), professeur à l’Institut d’études politiques de Grenoble, directeur des relations internationales et chercheur associé à l’Institut français d’études anatoliennes (Ifea) a parlé des enjeux contemporains des relations turco-américaines.
Bernard Godard (France), ancien haut cadre des renseignements généraux, spécialiste des réseaux islamistes et membre de Cigpa, a insisté, de son côté, sur les liens et ramifications des réseaux des Frères musulmans de la Turquie en Europe, prenant pour exemple le cas de la ville de Strasbourg.
Younous Omarjee (France), député européen au sein du Groupe confédéral de la gauche unitaire européenne, a fait une intervention portant sur le chantage turque autour de la crise migratoire qui frappe l’Europe aujourd’hui.
Andrea Corvo (Italie), docteur en droit, ancien représentant de la délégation permanente d’Italie auprès de l’UE à Bruxelles et professeur à l’Institut supérieur de sciences administratives de l’Université de Bologne, a présenté une rétrospective du processus d’adhésion de la Turquie à l’UE.
Pour conclure ce deuxième colloque du Cigpa, Pierre Berthelot, responsable des études méditerranéennes de l’Ipse, a rappelé quelques éléments de la politique d’Erdogan sur les plans intérieur et extérieur, mettant en avant certains aspects qui laissent présager la consolidation du néo-ottomanisme turc, une tendance lourde que conforte aujourd’hui les différents aspects de la politique d’Ankara.
Ce colloque riche par la qualité des différentes interventions a été l’occasion de poser en toute objectivité des questions d’importance capitale pour le devenir non seulement de la Turquie mais aussi du Moyen-Orient, de la Méditerranée et du monde en général, dont les réponses peuvent rapidement évoluer dans un sens ou dans un autre dans une région poudrière par excellence et à une période où la tentation du retour des empires, de la diplomatie canonnière, conjuguée à la montée en puissance du religieux, sont plus que jamais d’actualité.
Mezri Haddad a pris la parole pour remercier tous les conférenciers et invités d’honneurs, dont le doyen des ambassadeurs africains en France et ambassadeur du Tchad à Paris, Hissein brahim Taha, l’ambassadeur djiboutien Rached Farah, l’attaché naval à l’ambassade de Russie en France, Mikhail Ermakov, le président de la communauté grecque et chypriote en Europe, Evagoras Mavrommatis. Le président du Gicpa a clôturé le colloque par un message très diplomatique et subliminal: «Avec la nouvelle tournure dans les relations turco-russes, ont peut espérer que, par l’influence de Vladimir Poutine, le président turc changera sa politique à l’égard des pays arabes et renoncera à son ambition néo-califale dans la région».
* Docteur en droit, chercheur en relations internationales et stratégiques, analyste en politique étrangère, membre du Centre international de géopolitique et de prospective analytique (Cigpa), membre de l’Académie de géopolitique de Paris (AGP) et du Centre d’analyse de la politique européenne (Cape), Paris.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- Prophètedel'éternel
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 1274
- Enregistré le : 15 sept.16, 01:01
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 27 oct.16, 01:33yacoub a écrit :
c'est pas les fous, c'est les saints d'allah le seigneur tout puissant et sage..jipe a écrit :
il est à peine parti que les fous reviennent au moyen âge
( z'apprendront peut être à lire la première sourate.. s'ils comprennent pas : il y a le passage 9;
ton peuple salomon, ton peuple.... ( version chefs d'ismaël.... )
http://www.lire-des-livres.com/alice-au ... erveilles/ ( celui là se commence au commencement )
http://www.lire-des-livres.com/de-lautr ... du-miroir/ ( celui là se commence par la fin )
Constater que de l'autre coté du miroir le style change légèrement.
http://www.lire-des-livres.com/de-lautr ... du-miroir/ ( celui là se commence par la fin )
Constater que de l'autre coté du miroir le style change légèrement.
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 12 nov.16, 03:28Réformer l’islam, un mensonge français
L’essayiste algérien Hamid Zanaz réagit au point de vue de Seydi Diamil Niane intitulé “Le monde musulman a besoin d’un Voltaire” (DNA du 27 août).
« La seule perspective est le retour au réel. Les musulmans devraient tôt ou tard composer avec la modernité, mettre fin à la fonction politique de leur religion. Je ne polémique jamais avec les fondamentalistes. En revanche, je discute toujours les thèses des réformistes, ceux qui essayent de nous vendre un “islam modéré”. Ceux qui classent “islamique” ce qui les arrange dans l’islam. Et dans “l’intégrisme” ce qui ne les arrange pas comme le djihad, le niqab, la polygamie, la lapidation, la violence, et d’autres aspects de la charia.
Qui parmi les musulmans oserait appeler à abroger les versets hostiles aux juifs, athées et chrétiens ?
Ces réformistes sont plus dangereux parce qu’ils avancent masqués. Ces pseudos modernistes musulmans n’ont jamais essayé de porter un regard critique sur l’islam mais seulement sur des interprétations supposées fausses de l’islam. L’intégrisme est le fils légitime de l’islam, on ne peut réformer sans toucher quelque chose de fondamental dans cette religion. Un islam réformé, c’est la fin de l’islam. Exemple : qui parmi les musulmans intégristes ou modérés oserait appeler à abroger les versets hostiles aux juifs, aux athées et aux chrétiens ? Et tant d’autres qui n’ont rien de sensé aujourd’hui ? Le Coran est vu par les musulmans comme un texte dicté, non comme un texte inspiré, et cela rend problématique toute interprétation, tout dépassement.
Personnellement, je n’aime pas le mot “réforme”. Car accepter la ruse de la “réforme”, de “l’actualisation”, “l’acclimatation”, c’est accepter que l’islam est valable en tout temps et en tout lieu comme “Religion et État”. Dire aujourd’hui que l’intégrisme est une déviation de l’islam et que les islamistes n’ont pas compris l’islam est devenu une blague qui ne fait rire personne. L’islam n’est rien d’autre que la passéification du présent.
Par leurs analyses apologétiques et surréalistes de l’islam, les “nouveaux penseurs de l’islam”, comme les nomme une certaine presse française, trompent la vigilance laïque des Occidentaux et confortent les musulmans dans leur sommeil dogmatique. »
L’essayiste algérien Hamid Zanaz réagit au point de vue de Seydi Diamil Niane intitulé “Le monde musulman a besoin d’un Voltaire” (DNA du 27 août).
« La seule perspective est le retour au réel. Les musulmans devraient tôt ou tard composer avec la modernité, mettre fin à la fonction politique de leur religion. Je ne polémique jamais avec les fondamentalistes. En revanche, je discute toujours les thèses des réformistes, ceux qui essayent de nous vendre un “islam modéré”. Ceux qui classent “islamique” ce qui les arrange dans l’islam. Et dans “l’intégrisme” ce qui ne les arrange pas comme le djihad, le niqab, la polygamie, la lapidation, la violence, et d’autres aspects de la charia.
Qui parmi les musulmans oserait appeler à abroger les versets hostiles aux juifs, athées et chrétiens ?
Ces réformistes sont plus dangereux parce qu’ils avancent masqués. Ces pseudos modernistes musulmans n’ont jamais essayé de porter un regard critique sur l’islam mais seulement sur des interprétations supposées fausses de l’islam. L’intégrisme est le fils légitime de l’islam, on ne peut réformer sans toucher quelque chose de fondamental dans cette religion. Un islam réformé, c’est la fin de l’islam. Exemple : qui parmi les musulmans intégristes ou modérés oserait appeler à abroger les versets hostiles aux juifs, aux athées et aux chrétiens ? Et tant d’autres qui n’ont rien de sensé aujourd’hui ? Le Coran est vu par les musulmans comme un texte dicté, non comme un texte inspiré, et cela rend problématique toute interprétation, tout dépassement.
Personnellement, je n’aime pas le mot “réforme”. Car accepter la ruse de la “réforme”, de “l’actualisation”, “l’acclimatation”, c’est accepter que l’islam est valable en tout temps et en tout lieu comme “Religion et État”. Dire aujourd’hui que l’intégrisme est une déviation de l’islam et que les islamistes n’ont pas compris l’islam est devenu une blague qui ne fait rire personne. L’islam n’est rien d’autre que la passéification du présent.
Par leurs analyses apologétiques et surréalistes de l’islam, les “nouveaux penseurs de l’islam”, comme les nomme une certaine presse française, trompent la vigilance laïque des Occidentaux et confortent les musulmans dans leur sommeil dogmatique. »
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 12 déc.16, 03:16Islam de France : un mensonge bien français…
Publié le 11 décembre 2016 - par Hamid Zanaz - 16 commentaires - 1 561 vues
Partager
Depuis notre création, nous sommes régulièrement en contact avec des apostats de l’islam, des ressortissants d’Afrique du Nord qui refusent la dictature du Coran et ses conséquences dans leur quotidien. Hamid Zanaz fait partie de ceux-là, et, comme il vient de publier un nouveau livre, c’était pour nous l’occasion de reprendre contact avec lui.
Riposte Laïque : Parlez-nous de votre dernier livre…
Hamid Zanaz : Dans ce nouveau livre « D’où vient la violence islamique ? », je parcours les thèmes liés à cet islam conquérant d’aujourd’hui : le mensonge français qui consiste à dire que l’islam est réformable et adaptable aux valeurs de la République démocratique et laïque, l’islamisation officielle à travers les mosquées et les associations cultuelles, le communautarisme qui avance à visage découvert en Europe, le prosélytisme inhérent à la religion islamique, l’aveuglement de la gauche, la blague de la dé-radicalisation et de ‘l’islam français’ etc. Mais tout ça à travers des interviews données de 2009 à 2016 à différents organes de presse, arabe, Kurde, canadien, canadien, helvétique, italien, français (Sites anti-islamistes bien sûr). Chaque entretien est suivi soit d’un extrait choisi de l’un de mes livres ou de mes articles publiés dans la presse italienne ou arabe (La Stampa, Corriere della Sera, A rivista Anarchica, MicroMega, al-arab , Aladjadid, Alawan, al-nahar, A-akhbar .. ).
Riposte Laïque : En 2009, vous publiiez « L’impasse islamique », livre préfacé par Michel Onfray. Vous y dénonciez la réalité de l’islam, sans tourner autour du pot. Sept ans plus tard, les faits vous donnent raison, et pourtant, personne encore, dans le monde politique, n’ose parler de l’islam, et se défausse sur l’islamisme. Comment réagissez-vous à cela ?
Hamid Zanaz : J’ai fait mieux, j’ai même écrit une lettre ouverte à Monsieur le président de la République François Hollande en 2013, je lui ai expliqué la naïveté de ses positions et la dangerosité de sa compréhension de la chose islamique. J’ai écrit noir sur blanc dans ma lettre :
Vous, président de la République, vous ne devez pas légitimer l’instinct tribal au détriment de la culture universelle.
Vous, président de la République, vous ne devez pas laisser le communautarisme s’installer dans la République.
Vous, président de la République, quand un fleuve est pollué, vous devez remonter à la source de la contamination.
Vous, président de la République, vous devez libérer les territoires perdus de la République.
Vous, président de la République laïque, vous ne devez pas financer les lieux de culte.
Vous, président de la République, vous avez le devoir de protéger les femmes d’origine arabe, pas leur culture islamique misogyne.
Vous, président de la République, vous devez interdire à vos ministres de se balader dans les mosquées pour une raison ou une autre.
Vous, président de la République, vous ne devez pas voir en la barbarie une culture. Vous devez savoir qu’il y a des « spiritualités » meurtrières.
Vous, président de République, vous devez savoir que l’islamisme est une idéologie meurtrière et non pas une frustration mal orientée.
(http://www.bvoltaire.fr/hamidzanaz/fran ... stes,14300)
Quant aux autres auteurs / chercheurs prolifiques sur la question, ils n’osent pas poser les vrais problèmes, ils préfèrent noyer le poisson comme Olivier Roy, l’auteur de la trouvaille verbale du siècle : l’islamisation de la radicalité et non pas la radicalité de l’islam ! Ces gens-là proposent une petite idée qui sonne le glas nouveau chaque année juste pour garantir des subventions et éviter l’épée de l’islamophobie suspendue sur leurs têtes. Ajoutez à cela un manque de courage flagrant, deux pincées de malhonnêteté intellectuelle, et vous comprenez pourquoi le « Rien-à-voirisme » est devenu un sport national français
Riposte Laïque : Et votre regard sur la politique de l’islam de France ?
Hamid Zanaz : Aujourd’hui, certains considèrent encore que l’intégrisme est la maladie de l’islam, et prétendent guérir des patients radicaux, les ramener dans le droit chemin républicain et pacifiste en leur offrant le vrai islam. Mais, y a-t-il un vrai islam ? Personne n’a la moindre idée de ce prétendu islam humaniste, spirituel, paisible. Des associations se multiplient pour la cause et rôdent autour de ce nouveau business du désendoctrinement, ces mêmes associations qui ont participé d’une façon ou d’une autre à pousser ces jeunes à détester l’Occident et ses valeurs.
On sollicite même les services d’imams pour convaincre des musulmans que ce qui existe dans leur religion est inexistant !
Dans un livre collectif publié par le centre de recherche El Misbar, Dubai 2016 sous le titre L’islam en Europe, problématique de l’intégration et les défis du terrorisme, ma contribution était « Y a-t-il un islam français ? ». Mon enquête a montré qu’il était très difficile de répondre par l’affirmative à cette question. Pourquoi ? Si le musulman s’adapte, s’intègre d’une façon ou d’une autre dans la société française, le système islamique global – représenté par des associations, des unions, des conseils islamiques- pourrait-il adhérer à cette mutation et renier ce qui est appelé dans le jargon islamique « charia » islamique ou identité islamique ? Sincèrement, je ne crois pas.
Riposte Laïque : Que répondez-vous à ceux qui réclament l’interdiction de la visibilité de l’islam en France ?
Hamid Zanaz : Le prosélytisme est inhérent à la religion islamique et l’expansionnisme est consubstantiel à cette idéologie. J’ai toujours dit et écrit que le voile islamique, par exemple, est le drapeau ambulant de cette idéologie, la mosquée un point de départ d’une islamisation d’un territoire etc.
Mais que dire encore quand je lis qu’un tribunal allemand a jugé que sept islamistes qui patrouillaient dans les rues de Wuppertal pour faire appliquer la charia, n’avaient pas enfreint le droit allemand !
Riposte Laïque : Avez-vous d’autres projets littéraires ?
Hamid Zanaz : Oui, bien sûr, j’ai toujours l’envie de dire aux autres ce qu’ils ne veulent pas entendre. Cela m’amuse beaucoup… Mais j’ai décidé de le dire dorénavant beaucoup plus en langue arabe. D’ailleurs, j’ai publié trois livres en 2016, un sur Albert Camus et sa relation mal comprise avec l’Algérie, un autre sur la nécessité de la réflexion philosophique dans le monde arabo-berbère, et un petit dernier pour la route sous le titre ‘ Eloge de la raison’..
Propos recueillis par Pierre Cassen
Publié le 11 décembre 2016 - par Hamid Zanaz - 16 commentaires - 1 561 vues
Partager
Depuis notre création, nous sommes régulièrement en contact avec des apostats de l’islam, des ressortissants d’Afrique du Nord qui refusent la dictature du Coran et ses conséquences dans leur quotidien. Hamid Zanaz fait partie de ceux-là, et, comme il vient de publier un nouveau livre, c’était pour nous l’occasion de reprendre contact avec lui.
Riposte Laïque : Parlez-nous de votre dernier livre…
Hamid Zanaz : Dans ce nouveau livre « D’où vient la violence islamique ? », je parcours les thèmes liés à cet islam conquérant d’aujourd’hui : le mensonge français qui consiste à dire que l’islam est réformable et adaptable aux valeurs de la République démocratique et laïque, l’islamisation officielle à travers les mosquées et les associations cultuelles, le communautarisme qui avance à visage découvert en Europe, le prosélytisme inhérent à la religion islamique, l’aveuglement de la gauche, la blague de la dé-radicalisation et de ‘l’islam français’ etc. Mais tout ça à travers des interviews données de 2009 à 2016 à différents organes de presse, arabe, Kurde, canadien, canadien, helvétique, italien, français (Sites anti-islamistes bien sûr). Chaque entretien est suivi soit d’un extrait choisi de l’un de mes livres ou de mes articles publiés dans la presse italienne ou arabe (La Stampa, Corriere della Sera, A rivista Anarchica, MicroMega, al-arab , Aladjadid, Alawan, al-nahar, A-akhbar .. ).
Riposte Laïque : En 2009, vous publiiez « L’impasse islamique », livre préfacé par Michel Onfray. Vous y dénonciez la réalité de l’islam, sans tourner autour du pot. Sept ans plus tard, les faits vous donnent raison, et pourtant, personne encore, dans le monde politique, n’ose parler de l’islam, et se défausse sur l’islamisme. Comment réagissez-vous à cela ?
Hamid Zanaz : J’ai fait mieux, j’ai même écrit une lettre ouverte à Monsieur le président de la République François Hollande en 2013, je lui ai expliqué la naïveté de ses positions et la dangerosité de sa compréhension de la chose islamique. J’ai écrit noir sur blanc dans ma lettre :
Vous, président de la République, vous ne devez pas légitimer l’instinct tribal au détriment de la culture universelle.
Vous, président de la République, vous ne devez pas laisser le communautarisme s’installer dans la République.
Vous, président de la République, quand un fleuve est pollué, vous devez remonter à la source de la contamination.
Vous, président de la République, vous devez libérer les territoires perdus de la République.
Vous, président de la République laïque, vous ne devez pas financer les lieux de culte.
Vous, président de la République, vous avez le devoir de protéger les femmes d’origine arabe, pas leur culture islamique misogyne.
Vous, président de la République, vous devez interdire à vos ministres de se balader dans les mosquées pour une raison ou une autre.
Vous, président de la République, vous ne devez pas voir en la barbarie une culture. Vous devez savoir qu’il y a des « spiritualités » meurtrières.
Vous, président de République, vous devez savoir que l’islamisme est une idéologie meurtrière et non pas une frustration mal orientée.
(http://www.bvoltaire.fr/hamidzanaz/fran ... stes,14300)
Quant aux autres auteurs / chercheurs prolifiques sur la question, ils n’osent pas poser les vrais problèmes, ils préfèrent noyer le poisson comme Olivier Roy, l’auteur de la trouvaille verbale du siècle : l’islamisation de la radicalité et non pas la radicalité de l’islam ! Ces gens-là proposent une petite idée qui sonne le glas nouveau chaque année juste pour garantir des subventions et éviter l’épée de l’islamophobie suspendue sur leurs têtes. Ajoutez à cela un manque de courage flagrant, deux pincées de malhonnêteté intellectuelle, et vous comprenez pourquoi le « Rien-à-voirisme » est devenu un sport national français
Riposte Laïque : Et votre regard sur la politique de l’islam de France ?
Hamid Zanaz : Aujourd’hui, certains considèrent encore que l’intégrisme est la maladie de l’islam, et prétendent guérir des patients radicaux, les ramener dans le droit chemin républicain et pacifiste en leur offrant le vrai islam. Mais, y a-t-il un vrai islam ? Personne n’a la moindre idée de ce prétendu islam humaniste, spirituel, paisible. Des associations se multiplient pour la cause et rôdent autour de ce nouveau business du désendoctrinement, ces mêmes associations qui ont participé d’une façon ou d’une autre à pousser ces jeunes à détester l’Occident et ses valeurs.
On sollicite même les services d’imams pour convaincre des musulmans que ce qui existe dans leur religion est inexistant !
Dans un livre collectif publié par le centre de recherche El Misbar, Dubai 2016 sous le titre L’islam en Europe, problématique de l’intégration et les défis du terrorisme, ma contribution était « Y a-t-il un islam français ? ». Mon enquête a montré qu’il était très difficile de répondre par l’affirmative à cette question. Pourquoi ? Si le musulman s’adapte, s’intègre d’une façon ou d’une autre dans la société française, le système islamique global – représenté par des associations, des unions, des conseils islamiques- pourrait-il adhérer à cette mutation et renier ce qui est appelé dans le jargon islamique « charia » islamique ou identité islamique ? Sincèrement, je ne crois pas.
Riposte Laïque : Que répondez-vous à ceux qui réclament l’interdiction de la visibilité de l’islam en France ?
Hamid Zanaz : Le prosélytisme est inhérent à la religion islamique et l’expansionnisme est consubstantiel à cette idéologie. J’ai toujours dit et écrit que le voile islamique, par exemple, est le drapeau ambulant de cette idéologie, la mosquée un point de départ d’une islamisation d’un territoire etc.
Mais que dire encore quand je lis qu’un tribunal allemand a jugé que sept islamistes qui patrouillaient dans les rues de Wuppertal pour faire appliquer la charia, n’avaient pas enfreint le droit allemand !
Riposte Laïque : Avez-vous d’autres projets littéraires ?
Hamid Zanaz : Oui, bien sûr, j’ai toujours l’envie de dire aux autres ce qu’ils ne veulent pas entendre. Cela m’amuse beaucoup… Mais j’ai décidé de le dire dorénavant beaucoup plus en langue arabe. D’ailleurs, j’ai publié trois livres en 2016, un sur Albert Camus et sa relation mal comprise avec l’Algérie, un autre sur la nécessité de la réflexion philosophique dans le monde arabo-berbère, et un petit dernier pour la route sous le titre ‘ Eloge de la raison’..
Propos recueillis par Pierre Cassen
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- Yoel
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 1210
- Enregistré le : 07 janv.14, 16:29
- Localisation : Sur un arpent de neige
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 12 déc.16, 03:44Karlo a écrit :Cette citation incomprise parce que toujours hors contexte est une des préférées des jean-fascistes français.
Ils ont l'impression qu'elle dit ce qu'ils veulent entendre, alors ils ne vont jamais chercher plus loin.
L'Angleterre est un cloaque. L'Angleterre est le vivier fertile des fondamentalistes musulmans. Son raisonnement social est de permettre a toutes les religions de prêcher ouvertement. Mais cela est déraisonnable puisque aucune des autres religions ne prêchent la violence apocalyptique. Pourtant, l'Angleterre le permet...-Wole Soyinka
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 26 janv.17, 23:22L’islamisme et/ou la haine de la France s’imposent aux heures de grande écoute à la télévision
Source : Boulevard Voltaire
Salafistes et radicaux sont devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus.
Si les mal-pensants, selon les normes en vigueur du PAF, font figure de dahus médiatiques, il n’en va pas de même pour les islamistes et les gens qui haïssent la France du plus profond de leur être. Récemment, deux émissions ont fait vivement réagir les internautes. Elles étaient exemplaires, à plus d’un titre, de cette « soumission » qui vient, selon le titre désormais fameux du dernier roman de Michel Houellebecq. Côté pile, une jeune professeur d’anglais, à l’apparence plutôt avenante. Côté face, un homme portant barbe et kami. Les deux faces d’une même pièce : le multiculturalisme qui génère des conflits multiples sur notre territoire.
Jeudi dernier, le philosophe Alain Finkielkraut était apostrophé par une enseignante lors de l’émission « Des paroles et des actes ». Immédiatement, la jeune femme, appelée Wiam Berhouma, a cherché à en découdre. Elle a d’abord commencé par qualifier le professeur de philosophie de l’École polytechnique de « pseudo-intellectuel », puis a assené avec un sourire carnassier qu’Alain Finkielkraut était un « semeur de haine et de discorde ». La jeune hystérique a terminé son intervention en posant la question suivante : « Monsieur Finkielkraut, êtes-vous conscient de faire mal à la France ? » en se positionnant arbitrairement dans un camp du bien indéfini. Sans jamais argumenter ses propos, Wiam Berhouma a déversé un torrent de haine particulièrement gênant : « Là où votre rôle d’intellectuel était d’éclairer les débats, vous avez, au contraire, obscurci nos pensées, nos esprits, avec tout un tas de théories vaseuses et très approximatives. »
David Pujadas a présenté cette jeune femme comme n’étant affiliée à aucun parti ni aucun mouvement associatif. C’était inexact, bien que madame Berhouma s’en soit défendue sur Twitter. Elle est en réalité proche des Indigènes de la République, groupuscule qui ne fait pas mystère de son racisme anti-blanc. Il faut bien avoir en tête que les Indigènes de la République, dont le nom est passablement trompeur, ne sont pas simplement des révisionnistes de l’histoire de France mais bel et bien des négationnistes. Héritiers de Bourdieu et des Black Panthers, ces gens sont le bras armé culturel du lumpenprolétariat issu de l’immigration non assimilée. Ils ont notre histoire en horreur. David Pujadas n’a pas correctement fait son travail de journaliste en omettant de préciser ce fait pourtant capital aux téléspectateurs. Les personnes comme Wiam Berhouma sont choyées par le pouvoir sociétaliste. Elles sont le visage aimable de la France désintégrée, de la France soumise aux intérêts communautaires particuliers d’activistes.
Dans un registre plus brut de décoffrage, le « musulman normal » Idriss Sihamedi. L’homme, dirigeant de l’association humanitaire islamique BarakaCity, était invité de l’émission « Le Supplément » de dimanche dernier. BarakaCity intervient en Syrie, probablement avec l’aval du Quai d’Orsay. Interrogé sur ses pratiques religieuses, monsieur Sihamedi n’a pas hésité à affirmer ne pas serrer la main des femmes et a tenu un discours très ambigu lorsqu’il lui a été demandé de condamner l’État islamique. Le dirigeant associatif est un thuriféraire du djihad pacifique et propose « une belle alternative » aux jeunes de banlieue désireux de rejoindre l’État islamique.
« Ce n’est pas qu’on ne condamne pas l’État islamique, c’est qu’on essaye d’avoir une certaine pédagogie pour essayer de discuter avec les jeunes et pour leur faire comprendre qu’on est une alternative qui est bien, qui est pacifique. Ce n’est pas équitable, ce n’est pas juste de poser la question à un musulman comme moi parce que je suis musulman », a ainsi lâché monsieur Sihamedi. Il faut dire que son association a reçu 16 millions d’euros de dons lors des trois dernières années. Peut-être ne souhaitait-il pas fâcher ses généreux, et très mystérieux, donateurs ?
Face à lui, Najat Vallaud-Belkacem, ministre de la (ré)éducation nationale, n’a pas osé s’opposer vigoureusement, se déclarant tout juste « gênée ». Eh oui, monsieur Sihamedi n’est pas d’« extrême droite ». Il appartient normalement au « camp du bien ». On avait connu Najat Vallaud-Belkacem moins timide sur les questions de genre ou de discrimination positive. Le cahier des charges de Terra Nova l’obligeait à respecter le pacte non écrit signé avec les clientèles électorales communautaires. Salafistes et radicaux sont, en effet, devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus, ces quartiers qui ne sont français que sur le strict plan de la géographie physique. Éteignez vos téléviseurs.
Gabriel Robin
Source : Boulevard Voltaire
Salafistes et radicaux sont devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus.
Si les mal-pensants, selon les normes en vigueur du PAF, font figure de dahus médiatiques, il n’en va pas de même pour les islamistes et les gens qui haïssent la France du plus profond de leur être. Récemment, deux émissions ont fait vivement réagir les internautes. Elles étaient exemplaires, à plus d’un titre, de cette « soumission » qui vient, selon le titre désormais fameux du dernier roman de Michel Houellebecq. Côté pile, une jeune professeur d’anglais, à l’apparence plutôt avenante. Côté face, un homme portant barbe et kami. Les deux faces d’une même pièce : le multiculturalisme qui génère des conflits multiples sur notre territoire.
Jeudi dernier, le philosophe Alain Finkielkraut était apostrophé par une enseignante lors de l’émission « Des paroles et des actes ». Immédiatement, la jeune femme, appelée Wiam Berhouma, a cherché à en découdre. Elle a d’abord commencé par qualifier le professeur de philosophie de l’École polytechnique de « pseudo-intellectuel », puis a assené avec un sourire carnassier qu’Alain Finkielkraut était un « semeur de haine et de discorde ». La jeune hystérique a terminé son intervention en posant la question suivante : « Monsieur Finkielkraut, êtes-vous conscient de faire mal à la France ? » en se positionnant arbitrairement dans un camp du bien indéfini. Sans jamais argumenter ses propos, Wiam Berhouma a déversé un torrent de haine particulièrement gênant : « Là où votre rôle d’intellectuel était d’éclairer les débats, vous avez, au contraire, obscurci nos pensées, nos esprits, avec tout un tas de théories vaseuses et très approximatives. »
David Pujadas a présenté cette jeune femme comme n’étant affiliée à aucun parti ni aucun mouvement associatif. C’était inexact, bien que madame Berhouma s’en soit défendue sur Twitter. Elle est en réalité proche des Indigènes de la République, groupuscule qui ne fait pas mystère de son racisme anti-blanc. Il faut bien avoir en tête que les Indigènes de la République, dont le nom est passablement trompeur, ne sont pas simplement des révisionnistes de l’histoire de France mais bel et bien des négationnistes. Héritiers de Bourdieu et des Black Panthers, ces gens sont le bras armé culturel du lumpenprolétariat issu de l’immigration non assimilée. Ils ont notre histoire en horreur. David Pujadas n’a pas correctement fait son travail de journaliste en omettant de préciser ce fait pourtant capital aux téléspectateurs. Les personnes comme Wiam Berhouma sont choyées par le pouvoir sociétaliste. Elles sont le visage aimable de la France désintégrée, de la France soumise aux intérêts communautaires particuliers d’activistes.
Dans un registre plus brut de décoffrage, le « musulman normal » Idriss Sihamedi. L’homme, dirigeant de l’association humanitaire islamique BarakaCity, était invité de l’émission « Le Supplément » de dimanche dernier. BarakaCity intervient en Syrie, probablement avec l’aval du Quai d’Orsay. Interrogé sur ses pratiques religieuses, monsieur Sihamedi n’a pas hésité à affirmer ne pas serrer la main des femmes et a tenu un discours très ambigu lorsqu’il lui a été demandé de condamner l’État islamique. Le dirigeant associatif est un thuriféraire du djihad pacifique et propose « une belle alternative » aux jeunes de banlieue désireux de rejoindre l’État islamique.
« Ce n’est pas qu’on ne condamne pas l’État islamique, c’est qu’on essaye d’avoir une certaine pédagogie pour essayer de discuter avec les jeunes et pour leur faire comprendre qu’on est une alternative qui est bien, qui est pacifique. Ce n’est pas équitable, ce n’est pas juste de poser la question à un musulman comme moi parce que je suis musulman », a ainsi lâché monsieur Sihamedi. Il faut dire que son association a reçu 16 millions d’euros de dons lors des trois dernières années. Peut-être ne souhaitait-il pas fâcher ses généreux, et très mystérieux, donateurs ?
Face à lui, Najat Vallaud-Belkacem, ministre de la (ré)éducation nationale, n’a pas osé s’opposer vigoureusement, se déclarant tout juste « gênée ». Eh oui, monsieur Sihamedi n’est pas d’« extrême droite ». Il appartient normalement au « camp du bien ». On avait connu Najat Vallaud-Belkacem moins timide sur les questions de genre ou de discrimination positive. Le cahier des charges de Terra Nova l’obligeait à respecter le pacte non écrit signé avec les clientèles électorales communautaires. Salafistes et radicaux sont, en effet, devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus, ces quartiers qui ne sont français que sur le strict plan de la géographie physique. Éteignez vos téléviseurs.
Gabriel Robin
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- Prophètedel'éternel
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 1274
- Enregistré le : 15 sept.16, 01:01
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 22 févr.17, 01:40ouais, il faut, que ces mécréants soient châtié, car qui aime bien châtie bien c'ets connu, c'est un précepte , et il ne faut, surtout pas le changer....
donc, de toute façon je les aime pas ces salafistes.. ils enseignent aux enfant,s ( vous devinerez pas ce qu'ils leur enseignent) à aller se tuer eux même avec des bombes ou alors à aller tuer d'autres enfants, avec des couteaux... c'est dingue quand même...
donc ré éducation ^pour ces "pasteurs de néants" coup de fouets et main coupé, c'ets dans leurs lois, ça devraient pas les gèner, en plus ils ne sont que chair... c'est eux qui le disent...
voilà comment l'islam creuse sa tombe, vous connaissez l'histoire de moby dick, vous pouvez "voir" d evos propres yeux que le seul survivant c'est ismaël.. or, ismaël se toruve dans un cerceuil....
et ça c'est clair ?
donc, de toute façon je les aime pas ces salafistes.. ils enseignent aux enfant,s ( vous devinerez pas ce qu'ils leur enseignent) à aller se tuer eux même avec des bombes ou alors à aller tuer d'autres enfants, avec des couteaux... c'est dingue quand même...
donc ré éducation ^pour ces "pasteurs de néants" coup de fouets et main coupé, c'ets dans leurs lois, ça devraient pas les gèner, en plus ils ne sont que chair... c'est eux qui le disent...
voilà comment l'islam creuse sa tombe, vous connaissez l'histoire de moby dick, vous pouvez "voir" d evos propres yeux que le seul survivant c'est ismaël.. or, ismaël se toruve dans un cerceuil....
et ça c'est clair ?
http://www.lire-des-livres.com/alice-au ... erveilles/ ( celui là se commence au commencement )
http://www.lire-des-livres.com/de-lautr ... du-miroir/ ( celui là se commence par la fin )
Constater que de l'autre coté du miroir le style change légèrement.
http://www.lire-des-livres.com/de-lautr ... du-miroir/ ( celui là se commence par la fin )
Constater que de l'autre coté du miroir le style change légèrement.
- Gorgonzola
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 5772
- Enregistré le : 10 avr.17, 04:31
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 20 sept.17, 21:29Sous prétexte de racisme et de liberté de culte, nos élus français ont laissé s'implanter l'islam et sa culture asphyxiante.Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zanaz
L'islamisation est en marche, des quartiers entiers en Europe et en Amérique s'islamisent et quittent la communauté nationale et ses principes démocratiques. Musulmans d'abord, citoyens après. Les sondages successifs montrent l'inquiétude des populations face à cet islam envahissant, isolationniste et de plus en plus agressif. Mais, en dépit de cette présence aussi flagrante que problématique, hommes politiques, intellectuels, journalistes, sans oublier beaucoup d'associations autoproclamées "antiracistes" essayent par tous les moyens de déformer la réalité à coups d'islamophobie, racisme antimusulman et autres balivernes. Dans ce livre, l'auteur décrit cette islamisation galopante en donnant la parole aux acteurs européens et américains qui sont sur le terrain : journalistes, intellectuels, chercheurs, qui ont saisi la vraie nature de l'islam et de ses intégristes. Résultat : des interviews qui posent le problème autrement et questionnent la présence de l'islam en Occident loin du déni chronique des lécheurs de babouches minimisant les dangers de cette présence religieuse hostile à la sécularisation et aux droits de l'homme. De Belgique, de Suisse, de France, du Canada..., des hommes et des femmes libres, certains d'origine arabe, ont répondu à nos questions pour nous expliquer comment l'Occident est en train de creuser sa tombe.
Les médias ignorants et bien pensants ont installé ce climat de fausse acceptation où l'atmosphère ressemble à une occupation. Les prostitués de l'information ont volontairement biaisé le débat en nous culpabilisant ou faisant appel à notre mémoire collective sur la shoah, transférant le génocide juif sur quelque chose à ne pas reproduire envers l'islam et les musulmans, bloquant ainsi tout débat. Le jugement que l'on pourrait avoir sur l'islam est interdit et canalisé par le pouvoir et les mouvements gauchistes qui étiquettent d'extrême droite nazie ou de fasciste toute personne formulant ne serait-ce qu'une critique, facilitant les lavages de cerveaux des plus ignorants.
Les pays du golfe qui adhèrent non sans intérêts à ce changement de population et de pensée, financent et apportent leurs capitaux à une Europe vouée à la dérive financière : le chantage consiste à laisser l'islam s'épanouir par la démographie, les constructions de lieux de culte, les pôles universitaires, et en revoyant les programmes scolaires pour montrer l'islam sous un beau jour. Diaboliser l'occident et angéliser l'islam.
S'il ne se passe rien, le changement se fera par asphyxie : briser ou étouffer la parole tout en asphyxiant les différents systèmes de santé, administratifs, de défense et de surveillance tu territoire.
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 20 sept.17, 23:42Comme le dit Karim Labidi, le Chef de la Résistance à la Douloureuse Pénétration Islamique, réfugié à Amsterdam.
Pas de tolérance à l'égard des intolérants
Pas de liberté aux ennemis de la liberté
Pas de tolérance à l'égard des intolérants
Pas de liberté aux ennemis de la liberté
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- Imperiocristo
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 2712
- Enregistré le : 10 mai15, 17:24
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 25 sept.17, 09:35c'est avec ce type de discours qu'une nation perd toutes ses valeurs , traditions etc....Karlo a écrit :Je pense que cette obsession et cette haine de l'islam qui t'animent chaque jour t'empêcheront de combattre efficacement cette nouvelle vague de fascisme religieux.
C'est terrible d'être aveugle à ce point quand même .
Genre tu bois un café regardant par la fenêtre tu voit un gars déboulonné une de tes jantes et tu dit a haute voix " ohh mais non le gars il va pas volé m'a jante , il fait juste de la gymnastique de poignet "
C'est pour ça que nous allons allez droit dans le mur et n'espérez aucun espèce de soulèvement ou prise de conscience c'est une utopie total
Jean 14
14 Si vous me demandez quelque chose en mon nom, je le ferai
14 Si vous me demandez quelque chose en mon nom, je le ferai
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zan
Ecrit le 20 oct.17, 04:24Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- LeCoinDuDeen
- Nouveau
- Nouveau
- Messages : 13
- Enregistré le : 10 mars16, 02:33
-
Contact :
Re: Islamisme, Comment l'Occident creuse sa tombe par H. Zanaz
Ecrit le 20 juin19, 19:12Bonjour, j'aimerais savoir qu'est ce que vous recommander comme livre pour apprendre l'islam ? J'ai lu un hadith qui dit que c'est important :
D'après Abou Darda (qu'Allah l'agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Celui qui prend un chemin pour rechercher la science, Allah lui fait prendre par cela un chemin vers le paradis.
Certes les anges étendent leurs ailes pour celui qui recherche la science.
Certes tous ceux qui sont dans les cieux et sur la terre demandent le pardon pour le savant même le poisson dans l'eau.
Le mérite du savant sur l'adorateur est comme le mérite de la lune par rapport aux autres astres.
Certes les savants sont les héritiers des prophètes et les prophètes n'ont pas laissé comme héritage des dinars ou des dirhams mais ils ont laissé la science, celui qui la prend aura prit une part importante ».
(Rapporté par Tirmidhi dans ses Sounan n°2682 et authentifié par cheikh Albani dans sa correction de Sounan Tirmidhi)
De plus je ne suis pas arabophone j'aimerais apprendre l'arabe, par quoi me conseillerez vous de commencer. Ca ma parait tellement vaste.
Merci d'avance pour votre retour.
D'après Abou Darda (qu'Allah l'agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Celui qui prend un chemin pour rechercher la science, Allah lui fait prendre par cela un chemin vers le paradis.
Certes les anges étendent leurs ailes pour celui qui recherche la science.
Certes tous ceux qui sont dans les cieux et sur la terre demandent le pardon pour le savant même le poisson dans l'eau.
Le mérite du savant sur l'adorateur est comme le mérite de la lune par rapport aux autres astres.
Certes les savants sont les héritiers des prophètes et les prophètes n'ont pas laissé comme héritage des dinars ou des dirhams mais ils ont laissé la science, celui qui la prend aura prit une part importante ».
(Rapporté par Tirmidhi dans ses Sounan n°2682 et authentifié par cheikh Albani dans sa correction de Sounan Tirmidhi)
De plus je ne suis pas arabophone j'aimerais apprendre l'arabe, par quoi me conseillerez vous de commencer. Ca ma parait tellement vaste.
Merci d'avance pour votre retour.
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 18 invités