Religions du monde :: forum religion

Siegahertz a écrit :Ya un équilibre à avoir...

Saint Glinglin a écrit :
Et cela concerne aussi les époux.

Bragon a écrit : L'article déplore que les femmes n'aient pas la latitude de choisir leurs époux. Mis à part quelques cas exceptionnels, cela se passe surtout là où la misère est à son paroxysme. Dans ces contrées la misère est telle qu'elle ne laisse pas de place aux sentiments, les gens n'ont pour ainsi dire ni le temps ou la force d'aimer, ni même de larmes pour pleurer leurs morts, probablement parce que le malheur est leur quotidien. Cela ne veut pas dire qu'ils sont moins humains, mais c'est la misère qui les rend ainsi. La vie est tellement dure que les gens appelleraient plus volontiers un vétérinaire pour leur vache qui les nourrit qu'un médecin pour leur femme. Ainsi est la vie, ainsi sont les humains, ainsi est la lutte pour la survie.
Cela n'est pas une tentative d'explication, je le sais par expérience.

Bragon a écrit :Ces pauvre gens ont trop faim pour avoir le cœur de se conter fleurette.

Bragon a écrit :Dans ce monde extrêmement pauvre on arrange un mariage pour permettre aux enfants de se mettre en couple, de s'organiser pour affronter la vie, pour que la vie continue...tout simplement. Ces pauvre gens ont trop faim pour avoir le cœur de se conter fleurette.

indian a écrit : Tu crois?
Ne crois-tu pas que tous aspirent à une certaine ''liberté' ?...qu'elle ne connaisse peut être pas... mais qui est là...
Serait-il ''mieux'' que ce choix de leur époux viene d'eux?.........................

Bragon a écrit : Tu dois être bourré de fric pour parler ainsi de liberté.
Ces pauvres gens sont tellement malheureux qu'ils s'agrippent les uns aux autres pour pouvoir survivre.
Ils ne pensent pas à la liberté. Survivre est leur unique préoccupation depuis qu'ils ont vu le jour.
Ils n'ont ni les moyens, ni le temps de songer à autre chose, même pas de rêver voir leur situation changer, tant ils savent cette perspective illusoire.
Et c'est dans ce monde que se trouve la quasi totalité de ce que l'UNICEF installée dans ses buildings rutilants appelle les " marié(e)s de force ".
Est-ce que tu comprends ce que j'écris... quand j'écris ?