L'idolâtrie dans les religions
Regardez sur la première image du "dieu Sîn" en haut à droite et regardez, et voyez l'image de la porte extérieur de la Kaaba.
Symbole du "dieu Sîn préislamique" que l'on retrouve sur la porte du repentir à l'intérieur et à l'extérieur de la Kaaba.
360 Dieux de La Jahiliyya
http://fr.scribd.com/doc/57854397/360-D ... -Jahiliyya
D'après Anas , le Prophète a dit :
" Toute chose a un coeur et
le coeur du Coran est la sourate Yâ-Sîn. Celui qui récite Yâ-Sîn, Allah lui inscrira une récompense équivalente à dix fois la récitation du Coran entier".
Le Cheikh Mohammed 'Alî Essaboûnî a dit à ce sujet dans son exégène " Safwat Essafwa":
"Cette sourate a été appelée
Yâ-Sîn parce que Allah l'a fait commencer par cette formule. Dans le commencement avec cette formule,
il y a une indication sur le caractère miraculeux du saint Coran".
http://at-tawwab.over-blog.com/article-31024944.html
Sîn est la divinité personnifiant la Lune dans la Mésopotamie antique. Comme la plupart des autres dieux mésopotamiens elle a eu plusieurs noms : Sîn (ou Sî') correspond à la forme akkadienne de son nom (langue des royaumes de Babylone et d'Assyrie) tandis qu'en sumérien, la divinité est connue sous les noms Nanna(r) ou Su'en (d'où dérive sans doute le nom akkadien).
Nanna/Sîn était une des divinités les plus importantes du panthéon de la Mésopotamie, sans jamais avoir joué un rôle majeur dans la mythologie. Il était subordonné à son père le grand dieu Enlil, mais les deux autres grandes divinités astrales, la déesse Inanna/Ishtar (déesse de l'Amour hermaphrodite liée à Vénus, Ashtoret chez les Phéniciens, Astarté du royaume hittite d'Ougarit, sur la côte syrienne) et le dieu solaire Utu/Shamash étaient considérés comme ses enfants. Du fait de l'importance du cycle de la lune dans le culte religieux,
il a conservé une place de premier plan durant toute l'histoire mésopotamienne, et son principal sanctuaire, dans la grande ville d'Ur, fut l'un des principaux lieux de culte de la région (un autre étant situé à Harran, dans le Nord-Ouest, c'est-à-dire dans la partie orientale de l'actuelle Turquie).
Il est manifeste que le temple du Dieu-Lune à Ur est alors l'un des plus importants de la Basse Mésopotamie, et le grand roi Sargon d'Akkad fait de sa fille la grande-prêtresse du dieu, épouse terrestre de la divinité. Il est imité en cela par d'autres rois par la suite.
Secondairement,
dans de nombreux hymnes et textes rituels, Nanna/Sîn apparaît comme une divinité liée à la fertilité, e
n particulier celle des troupeaux de vaches. L'origine de cette fonction pourrait être liée à la proximité entre le cycle de la lune et le cycle menstruel (un rituel visant à aider l'accouchement difficile d'une femme enceinte est ainsi placé sous les auspices du dieu lunaire de la fertilité).
Alors que le dieu solaire parcourt le ciel la journée puis passe les nuits dans le Monde souterrain, le dieu lunaire prend le relais. Généralement représenté disposé à l'horizontale avec les deux extrémités pointées vers le haut,
le croissant lunaire ressemblait à une paire de cornes, ce qui est à relier avec l'aspect bovin et fertilisateur du dieu-lune, ou encore à un bateau. Certains hymnes présentent les différents stades de l'évolution de la lune dans le ciel nocturne comme différentes manifestations du dieu lunaire. Un hymne sumérien indique ainsi qu'à la nouvelle lune il est le « jeune Su'en », puis devient le « père Nanna » lors de la pleine lune. Il y a là des parallèles évidents avec la mythologie égyptienne.