Posté : 19 nov.04, 09:42
Attention, je n’ai fait qu’exprimer le souhait du Dieu qui se rapprocherait plus de mes valeurs. Je suis toujours athée et fière de l’être. Je n’ai fait que me mettre à la place d’un croyant. Le faite de croire qu’un Dieu existe est louable pour les gens. Le concept de Dieu n’est pas dérangeant, c’est plutôt les religions qui me gênent.
Qu’est-ce que Dieu sans les religions? Cette question est à méditer. Dieu n’a pas besoin d’artifice, encore moins que des gens parlent à sa place. Plus haut, je fais le rapprochement avec Satan, ce n’est pas un hasard. Si il voulait être Dieu, qu’est-ce qu’il ferait? Le Dieu que je lis dans la bible ou dans le Coran est plus proche de l’esprit de Satan. Le mal a besoin qu’on l’idolâtre, a besoin de menace pour se faire aimer, a besoin de la soumission pour se faire respecter et surtout a besoin d’un outil pour l’entretenir. Qui a t-il de mieux que les religions pour cela?
Si Dieu est l’amour et la vie, a t-il besoin de ces idéologies? Non. La menace, la soumission, le respect n’existent pas devant l’amour, puisqu’on est déjà conquis. Alors, pourquoi avoir besoin d’un outil?
Il y a là 2 concepts qui s’opposent et qui met en évidence un problème entre l’image de Dieu que le commun des mortels a, et l’image renvoyée par les religions.
Dieu est bon et les religions menacent pour le faire exister. Pour moi, sectes ou religions, ne sont que des instruments du mal puisque par sa faiblesse, il est obligé de montrer 2 visages pour être. Dieu, par sa définition, est au dessus de tout ça, sinon il ne peut-être qu’un Dieu faible. Un Dieu sans religion est pour moi le vrai Dieu, celui qui s’exprime en chacun de nous par les sentiments et l’amour.
Si, j’étais croyant, c’est à ce Dieu et non au publicitaire que je ferais confiance. C’est en lui que je forgerais ma morale, ma manière de vivre. Nullement dans un livre, puisque Dieu lui même nous guide quand on sait l’écouter. De même, je parle de Satan, mais existe t-il vraiment dans le monde de Dieu? Quand je parle de la faiblesse des hommes, il y a une corrélation avec celle du mal. Le mal est le talon d’Achille de l’homme. Quand il apparaît, elle a pour cause l’homme et non une entité. C’est à l’humanité de faire son autocritique et non d’aller accuser un coupable facile. C’est de la faiblesse, celle des religions, qui part leur menace, on induit et fait naître cette entité, ainsi l’homme peut fuir ces responsabilités. Un Dieu fort n’a pas créé le mal en opposition, c’est à l’homme qu’on doit son existence, c’est à l’homme de s’en séparer. Un croyant trouvera dans l’amour de Dieu le chemin de la bonté et non du mal qui tiraille son être.
Ce que je retire en passant de l’autre coté de la barrière, c’est la faiblesse de l’homme. Durant siècles et millénaires, il a suivi les forts, les dominants. Habitué à être pris en mains par des rois et autres, sa confiance en lui s’est échappée au file du temps. Il ne lui a pas été difficile de succomber aussi aux charmes des sectes. Il en a oublié d’être lui même. Ce que les athées ont réussi, c’est à sortir de cette spirale, ils ont pris confiance en eux et sont aujourd’hui libérés de cette faiblesse. Les croyants ne sont pas plus faibles que nous. Il manque à la majorité d’entre eux cette confiance, qui les libérera de l’emprise religieuse. Une fois cette étape franchie, ils seront plus forts et responsables de leur vie. Plus proche de Dieu, puisqu’ils seront directement guidé par lui. Les religions sont souillées, prisonnières de leur victimes; elle n’ont d’image que la faillite de l’humanité devant ces responsabilités. Dieu est en chaque croyant, non dans l’artifice humain.
L’athée a pris l’habitude de s’en remettre qu’à lui pour forger sa morale et pour prendre ces responsabilités devant ces actes. Je trouve que les croyants sont trop timides et ont peur de faire confiance à leur propre jugement. Il suffit de voir cette faiblesse dans les questions d’actualités. Ils sont obligé de voir dans un livre pour se faire une opinion qui n’est finalement pas la leur. Un croyant sans religion est plus fort en tant qu’individu puisqu’il s’interroge. En cela, il est plus proche de l’esprit de Dieu. Ses réponses devant des questions difficiles seront guidées par l’image qu’il a du divin.
Qu’est-ce que Dieu sans les religions? Cette question est à méditer. Dieu n’a pas besoin d’artifice, encore moins que des gens parlent à sa place. Plus haut, je fais le rapprochement avec Satan, ce n’est pas un hasard. Si il voulait être Dieu, qu’est-ce qu’il ferait? Le Dieu que je lis dans la bible ou dans le Coran est plus proche de l’esprit de Satan. Le mal a besoin qu’on l’idolâtre, a besoin de menace pour se faire aimer, a besoin de la soumission pour se faire respecter et surtout a besoin d’un outil pour l’entretenir. Qui a t-il de mieux que les religions pour cela?
Si Dieu est l’amour et la vie, a t-il besoin de ces idéologies? Non. La menace, la soumission, le respect n’existent pas devant l’amour, puisqu’on est déjà conquis. Alors, pourquoi avoir besoin d’un outil?
Il y a là 2 concepts qui s’opposent et qui met en évidence un problème entre l’image de Dieu que le commun des mortels a, et l’image renvoyée par les religions.
Dieu est bon et les religions menacent pour le faire exister. Pour moi, sectes ou religions, ne sont que des instruments du mal puisque par sa faiblesse, il est obligé de montrer 2 visages pour être. Dieu, par sa définition, est au dessus de tout ça, sinon il ne peut-être qu’un Dieu faible. Un Dieu sans religion est pour moi le vrai Dieu, celui qui s’exprime en chacun de nous par les sentiments et l’amour.
Si, j’étais croyant, c’est à ce Dieu et non au publicitaire que je ferais confiance. C’est en lui que je forgerais ma morale, ma manière de vivre. Nullement dans un livre, puisque Dieu lui même nous guide quand on sait l’écouter. De même, je parle de Satan, mais existe t-il vraiment dans le monde de Dieu? Quand je parle de la faiblesse des hommes, il y a une corrélation avec celle du mal. Le mal est le talon d’Achille de l’homme. Quand il apparaît, elle a pour cause l’homme et non une entité. C’est à l’humanité de faire son autocritique et non d’aller accuser un coupable facile. C’est de la faiblesse, celle des religions, qui part leur menace, on induit et fait naître cette entité, ainsi l’homme peut fuir ces responsabilités. Un Dieu fort n’a pas créé le mal en opposition, c’est à l’homme qu’on doit son existence, c’est à l’homme de s’en séparer. Un croyant trouvera dans l’amour de Dieu le chemin de la bonté et non du mal qui tiraille son être.
Ce que je retire en passant de l’autre coté de la barrière, c’est la faiblesse de l’homme. Durant siècles et millénaires, il a suivi les forts, les dominants. Habitué à être pris en mains par des rois et autres, sa confiance en lui s’est échappée au file du temps. Il ne lui a pas été difficile de succomber aussi aux charmes des sectes. Il en a oublié d’être lui même. Ce que les athées ont réussi, c’est à sortir de cette spirale, ils ont pris confiance en eux et sont aujourd’hui libérés de cette faiblesse. Les croyants ne sont pas plus faibles que nous. Il manque à la majorité d’entre eux cette confiance, qui les libérera de l’emprise religieuse. Une fois cette étape franchie, ils seront plus forts et responsables de leur vie. Plus proche de Dieu, puisqu’ils seront directement guidé par lui. Les religions sont souillées, prisonnières de leur victimes; elle n’ont d’image que la faillite de l’humanité devant ces responsabilités. Dieu est en chaque croyant, non dans l’artifice humain.
L’athée a pris l’habitude de s’en remettre qu’à lui pour forger sa morale et pour prendre ces responsabilités devant ces actes. Je trouve que les croyants sont trop timides et ont peur de faire confiance à leur propre jugement. Il suffit de voir cette faiblesse dans les questions d’actualités. Ils sont obligé de voir dans un livre pour se faire une opinion qui n’est finalement pas la leur. Un croyant sans religion est plus fort en tant qu’individu puisqu’il s’interroge. En cela, il est plus proche de l’esprit de Dieu. Ses réponses devant des questions difficiles seront guidées par l’image qu’il a du divin.