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Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 23 mai15, 08:01
par Marmhonie
Kerridween a écrit :Pas de soucis, suffit de regarder ma signature.
Le marquis de Sade, un des plus grands pervers sexuels français pratiquant l'inceste. De morale, il n'y en a aucune chez lui. Il en était naturellement dépourvu. Génie littéraire, certes, comme Céline, mais pour le reste, il n'y a pas d'humanité chez ces gens là.
Kerridween a écrit :Je suis désolé mais le jour où l'Homme disparaîtra enfin de cette planète, la Nature pourra enfin dire qu'il y aura eu, dans l'Histoire, un progrès révolutionnaire significatif et positif.
Voilà, c'est bien cela.

Au passage, on a bien plus beau et complet avec le Popol Vuh qui apparait curieusement au temps de Sade. Hasard, possible. En tout cas, c'est ce siècle, le 18e siècle français où les auteurs pillent sans plus citer leurs sources les plus grands ouvrages. Voltaire copie Confucius, etc.
Kerridween a écrit :L'Humanité toute entière mériterait de disparaître parce qu'étant la forme de vie la plus intelligente sur terre, elle n'a eu de cesse de démontrer qu'elle ne méritait pas cette place, devenant une tâche ignoble et abjecte dans l'équilibre naturel des choses ; la Nature elle-même ne s'irritant point à l'idée de la voir disparaître.
C'est hors-sujet, pardon. La notion de moralité n'existe pas dans la nature en dehors de l'humanité. En nettoyant l'humanité, en la rinçant, certes il n'y a plus de problèmes humains. C'est la pensée de Hitler, Staline et de Mao Zedong, mais pas et fort heureusement celle de Lénine.

Je recentre sur le sujet donc : La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 23 mai15, 08:07
par vic
Pourquoi on ne s'entrainerait pas plutôt à envoyer de la lumière sur tout ça plutôt que de faire du religieux sans intêret qui s'apitoie sans cesse sur la décadence ?
Le religieux prend tout à la gorge , prend tout en étau, il n'y a plus guerre d'espace pour la lumière .
Pourquoi vous n'invitez pas sur ce forum à prier tout ensemble sur une cause pour vous rassembler , plutôt que des débats idélologiques stériles sans consistance ?
Faites un forum où vous organisez une prière pour telle chose ou telle évenement ensemble périodiquement à une heure précise au moins ça aura un intêret commun .
Laissez vos croyances , vous n'en avez pas besoin dans la lumière .
Vous ne faites rien de positif en commun ensemble , et vous ne vous intéressez pas à ça .
Ah ça vos chapelles , vos églises , vos mosquées et vos clochers , ça vous y êtes accroché .

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 23 mai15, 08:39
par kaboo
Marmhonie a écrit :Sortez un peu le nez de vos livres qui vous dictent vos actes et laissez parler votre cœur.
Faudrait-il encore en avoir un. :D

Pour le reste, je répondrais motié moi/moitié livre.
Marmhonie a écrit :Ce cœur humain devenu sec comme le tronc d'un arbre de vie mort,
Lili :
Pourquoi l'homme veut-il tout recevoir, tout fait ?

L'Ange :
Enfance gâtée. Jouets tout faits, savoir tout fait, nourriture toute faite, expérience toute faite, c'est cela que l'enfant reçoit, et il en a la nausée.
Sa soif de connaissance, son désir de créer, tout ce qui le rend homme, dépérit.
Son désir d'expérimenter, trop de conseils, le tuent.
Tout cela est lâcheté et manque de foi.
Lorsque l'enfant devient adulte, tout est mort en lui.

Retiens cela, ma bien-aimée :
Ne complète jamais, ne conseille jamais, ne mâche pas à l'avance la nourriture !
Toi, donne autrement et tout se renouvellera entre tes mains !
Tu peux même bousculer un peu celui qui est incertain et la certitude se renforcera en lui"...
http://www.ecoledesanges.com/article-di ... 09500.html
Marmhonie a écrit :et tortueux comme un serpent, engence de vipères ...
Concernant le serpent, je dirais que l'image du serpent c'est la magie du présent.
Marmhonie a écrit :Tout le monde promet un monde meilleur, les politiques, les religieux, les idéologues,
Pas tous, Essentiellement les megalomanes.
Marmhonie a écrit :et l'immoralité sans réserve ni pudeur s'est entachée de cynisme, de culot sans fin et de fanatismes.
Ca s'appele l'homme ou fils de l'homme. Il aime bien l'enseignement quand ça va dans son sens, c'est à dire, si ça peut lui procurer du pouvoir.

Pour le reste, il ne faut pas oublier que moralité = enseignement de la vie + enseignement du respect venant des parents.
Pas de parents, pas de bases. Résultat : l'enfant est livré à lui-même.
Pas de hierarchies, pas de limites. Résultat : l'enfant ne sait pas ce qu'est l'autorité.
Pas de politiciens, pas de diplomatie. Résultat : l'enfant fonce dans le tas sans réfléchir.

Question, une moralité peut-elle exister sans lois ?

Pour terminer. L'homme a besoin d'avoir peur.
Gitta : "Qu'est-ce que la damnation éternelle ?"

Réponse : "Épouvantail. A vous je peux le dire. LA DAMNATION ÉTERNELLE, C'EST QU'ILS NE SAVENT PAS QU'ILS Y SONT, ET QU'ILS N'ONT PAS PEUR." "Ce n'est pas Dieu qu'ils craignent ni une force supérieur, ILS SE CRAIGNENT LES UNS LES AUTRES. ET C'EST CELA L'ENFER."
"Ils ont peur de la bombe et non de SA main qui s'abat sûrement."
http://www.forum-religions.org/t6010p20 ... re-demeure

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 23 mai15, 09:43
par Gérard C. Endrifel
Marmhonie a écrit :C'est hors-sujet, pardon.
Soit, j'en prends note. Aucun souci pour moi :)
Marmhonie a écrit :La notion de moralité n'existe pas dans la nature en dehors de l'humanité. En nettoyant l'humanité, en la rinçant, certes il n'y a plus de problèmes humains. C'est la pensée de Hitler, Staline et de Mao Zedong, mais pas et fort heureusement celle de Lénine.
La notion de moralité n'existe plus tout court et ce depuis des lustres. Avec ou sans l'Homme, le constat reste le même. Il s'obstine à s'enfoncer davantage dans l'immoralité au lieu de tendre vers l'inverse. Quelle différence donc que l'Humanité continue d'exister et de proliférer ou qu'au contraire, Elle disparaisse ? Aucune. Il passe son temps à dire "nous devons aller vers cela pour vivre heureux et en harmonie les uns avec les autres" tout en produisant l'inverse à coup de "faites ce que je dis mais pas ce que je fais" qui l'éloigne chaque fois un peu plus de cet idéal qui n'est plus, aujourd'hui, qu'illusion et fantasme. Il préfère s'enfermer dans une politique du "tout m'est dû, je ne dois rien à personne, ni même des comptes parce que je fais tout ce que je veux".

Il fait toutes sortes de promesses, joue les grands moralisateurs et une fois les foules galvanisées par ses beaux discours, acquises à sa cause et ses objectifs atteints, Il s'empresse de faire tout le contraire et de réduire au silence ceux qui tirailleraient un peu trop sa conscience qui travaille.

Quand à la pensée de Lénine, doit-on passer sous silence cette partie de sa pensée qui poussa les russes à se massacrer entre eux ? doit-on balayer sa morale qui le fit pactiser avec la Prusse, attisant haine et révolte par le biais de manigances dans le seul but d'être au pouvoir sous prétexte qu'elle produisit, si toutefois ce fut vraiment le cas, des effets 'positifs' ? Non, certes, non, car ce n'est pas le sujet. Focalisons-nous sur le positif et rejetons ce négatif qui nous obligerait à nous remettre en question jusque dans nos fondations. Parlons de lumière au point d'en oublier ce qu'est l'obscurité si bien qu'à la longue, on finira par parler d'obscur sans même s'en rendre compte.
Marmhonie a écrit :Je recentre sur le sujet donc : La perte de la moralité 德 dans nos sociétés
Alors de quelle "noble" moralité vertueuse dont fait preuve l'espèce humaine peut-on parler justement ? Avec laquelle pourrions-nous nous gargariser et continuer de dire que nous sommes les mieux placer en la matière, insistant sur le fait qu'aujourd'hui nous l'avons perdu et que nous devons impérativement remettre la main dessus ? A quel moment de notre Histoire, notre "moralité" fut si élevée qu'elle obscurcissait celle des dieux eux-mêmes ?

De celle qui nous arrange parce qu'elle nous met des rêves plein les yeux, nous permettant d'occulter cette noirceur qui nous dérange tellement qu'on ne l'accepte pas comme faisant partie intégrante de ce que nous sommes ou de celle qui consiste à noyer l'autre sous un fatras de valeurs loufoques et destinées à détruire son Libre Arbitre en cherchant à l'uniformiser et à le conformer à nos propres exigences ? à réduire au silence tout ceux qui nous mettrait devant ce que nous sommes, des êtres humains imparfaits, capables du bon comme du mauvais mais abondamment constant et de plus en plus imaginatifs et créatifs pour ce qui est de faire le mal ?

Peut-on parler de moralité sans parler de sagesse ou de cette "normalité", différente d'une frontière à l'autre, que l'on impose à un autre, de la pire des manières qui soit, que l'on affuble de toutes sortes de qualificatifs dégradants ? de celle qui consiste à commettre des génocides physiques, émotionnelles, spirituelles et mentaux au nom de normes et de valeurs morales "élevées et fondamentales" ? Est-ce celle-ci, cette "noble" moralité, l'attitude Blanche-neige et Sainte Nitouche qui, sous ses airs de ne pas y toucher, se délecte en catimini de toutes sortes de choses mauvaises dans le seul but d'assouvir ses pulsions de domination sans partage ?

Comment peut-on parler de "moralité universelle", ensemble de règles de vie en collectivité et de principes si l'on prône constamment l'individualisme sous toutes ses formes ? que l'on a peur du 'qu'en dira-t-on' pour ce qui est de fixer des règles ainsi que des limitations et que l'on s'exprime dans le seul but de plaire à l'autre ? que l'on divise pour mieux régner ? que l'on passe son temps à contourner n'importe quelles règles de conduite et de bienséance pour assouvir ses plaisirs et ses excès que l'on surnomme affectueusement, "mon droit de", "ma liberté de" ?

Peut-on, sous prétexte qu'il menait un train de vie dissolu, se permettre de diminuer les propos et juger les notions en matière de moralité que pouvaient avoir un homme qui, bien qu'empruntant a priori du Popol Vuh, n'avait rien d'un imbécile lorsqu'il écrivit les paroles se trouvant dans ma signature ? De quel droit peut-on estimer sa morale supérieure à Untel ou à Untel pour ensuite parler d'une sorte de "moralité universelle destinée à unir les hommes" ? De quelles façons ? En stigmatisant ou en ridiculisant d'abord ?

En effet, je serais vraiment curieux de savoir de quelle "noble" moralité vertueuse l'Homme dispose - ou a disposé - en toute légitimité vu qu'Il n'a jamais su l'employer depuis qu'Il existe et surtout qui, parmi tous les individus de mon espèce, pourrait prétendre être de ceux qui en ont érigé - ou en érigeraient à compter de ce jour - les règles.

Enfin, peut-on décemment continuer à croire en l'Homme pour ce qui est de les établir ces fameuses règles, cet être au formidable potentiel qu'Il ne peut s'empêcher d'employer à l'asservissement de l'autre ou à sa destruction complète s'Il ne peut le soumettre ? En cette "merveille de la Nature" qui n'a jamais su, en 6000 ans ou en millions d'années, établir quoi que ce soit de moralement élevé et respectable dans toute son Histoire mais bien tout le contraire ?

Pour perdre quelque chose, il faut l'avoir eu. L'Homme n'a jamais eu de moral, c'est pas maintenant que ça va commencer. Même dans le pire, le mieux qu'il sache faire, c'est de faire encore pire.

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 24 mai15, 02:21
par vic
La perte de moralité est souvent un bon slogan pour l'islam , [Un membre] disait que marie s'habillait correctement et qu'il trouve qu'on devrait reprendre son modèle vestimentaire d'il y a 2000 ans .
Donc la moralité ça évolue aussi avec le temps , certains décrochent parce qu'ils veulent continuer à vivre dans des idéaux ancestraux et refusent toute évolution de société .

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 25 mai15, 10:32
par Veloth
Kerridween, j'ai l'impression que tu te complais dans une espèce d'attitude de plainte et de lamentation. C'est facile de dire qu'on est malade, c'est évidemment plus dur d'essayer de se soigner.
Mais le sujet est la perte de la moralité dans nos sociétés. Je repose donc la question : est-on vraiment plus malade aujourd'hui qu'hier ? Comment cela se manifeste-t-il ?


@ indian : dans la saga vidéo-ludique The Elder Scrolls, Veloth est un saint du Temple dunmeri, patron de ceux qui se sont assignés une quête spirituelle. Assez adapté, donc, à ce type de forum. ;)

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 25 mai15, 10:38
par indian
Veloth a écrit : @ indian : dans la saga vidéo-ludique The Elder Scrolls, Veloth est un saint du Temple dunmeri, patron de ceux qui se sont assignés une quête spirituelle. Assez adapté, donc, à ce type de forum. ;)

(y)

Merci
je ne connaissais pas ce jeu bien que mes gars ont le jeu video (y)
Mais je ne crois pas les guerries er archers ...assez armés pour ici... :wink:
A+

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 25 mai15, 14:09
par Gérard C. Endrifel
Veloth a écrit :Kerridween, j'ai l'impression que tu te complais dans une espèce d'attitude de plainte et de lamentation.
Ah ? J'aurais plutôt parlé de constatation et d'indignation par le sarcasme :mrgreen: J'observe, je constate, je m'indigne. Je m'indigne surtout quand je vois des personnes tomber dans une sorte de béatitude et dire, pour faire simple, "aaaah, si nous faisions comme ça et comme ça ! Que ce serait beau ! Que ce serait bien ! Allez, faisons-le les copains, ça va marcher ! Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, il faut y croire les copains !" en oubliant complètement dans quelle sorte de monde ils se trouvent, à quelle espèce ils appartiennent et la nature profonde qui l'habite.

Navré, mais moi, je suis terre-à-terre, réaliste et pragmatique, le rêve d'un monde de bisounours, c'est quand je dors la nuit. La réalité de la vie et de sa soi-disant morale, je l'affronte tous les jours et j'ai pas le temps de m'attarder sur des considérations, des plaintes, des lamentations ou sur des rêveries à base de "si seulement" ou "et si on faisait comme ça".

J'observe, j'analyse, je constate, j'affronte, j'éradique tous les processus inutiles de mon environnement parce que pendant que vous regardez en l'air, à vous perdre dans la contemplation béate de ce que vous aspirez, la terre, elle, continue de tourner.

Simple, méthodique, froidement efficace et pragmatique.

EDIT: Et puis l'on m'a demandé de sortir mon nez des bouquins et de parler avec le cœur...
Marmhonie a écrit :Sortez un peu le nez de vos livres qui vous dictent vos actes et laissez parler votre cœur. Ce cœur humain devenu sec comme le tronc d'un arbre de vie mort, et tortueux comme un serpent, engeance de vipères...
=> http://www.forum-religion.org/general/l ... ml#p882241

Ça tombe bien, il a beaucoup de choses à dire celui-là. :mrgreen:

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 26 mai15, 01:23
par Bodomista
C’est un constat malheureux. Mais cette perte me semble ‘inévitable’. Je pense que la perte de moralité va de pair avec la 'prospérité' matérielle.
Un petit retour en arrière. N'oublions pas les civilisations passées. Toutes se sont effondrées quand les gens se sont laissés dominer par leurs désirs, plaisirs et envies. De tous les temps, aucune (grande) civilisation n’est tombée avant d’avoir atteinte cette Prospérité. Les gens ne fournissent plus ‘d’efforts’, ne cherchent plus à avoir plus de résultat car la satisfaction matérielle les aveugle. Alors ils ne sont plus contrôlés que par le vice, car c’est ce qui vient généralement de cet excès de ‘plaisirs’. Qui a encore le temps de penser à faire du bien autour de lui, à respecter les codes existants, à respecter la communauté, etc. quand il y a tellement de choses autour qui procurent une satisfaction personnelle immédiate et ‘palpable’ ?
C’est (selon moi) ce qui est se passe en ce moment. L’Humanité (dans sa globalité) a atteint un niveau jamais égalé de développement. Nous avons toutes les formes de confort, un nombre infini de sources de plaisirs (charnels et intellectuels). Les gens vivaient avant pour fournir un effort et avoir quelques moments d’amusement. C’est l’inverse aujourd’hui. Nous voyons les efforts que nous devons faire comme une punition, comme une barrière qui nous empêche de vivre pleinement ce que nous voulons. Il en va de même pour la moralité. C’est devenu une barrière qui empêche les gens d’accéder à ce qu’ils veulent. Il suffit de voir toutes les formes de ‘revendications’ pour exiger des choses qui sont inconcevables pour tous. Des demandes insensées, des propos qui défient tout bon-sens et tout code moral et pourtant, le premier qui ose dire cela est attaqué de toute part car 'il touche à la liberté'. Or, pas de liberté, pas de droits, pas d'humanité et d'humanisme sans moralité ...

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 28 mai15, 02:05
par Crisdean
Une chose me gène fortement dans tout ce que j'ai pu lire ici.
Vous parlez d'une chose, la moralité, mais je n'ai pas vu de définition de ce qu'est la moralité ou de ce que vous appelez moralité.

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 28 mai15, 03:24
par septour
Moralite: Ensemble de regles( generalement) non ecrites regissant la vie(morale) dans une communaute, etat, etc, etc.
Maintenant il n'y a pas de moralite edictee par DIEU( liberte totale). La "moralite" change SUIVANT LE SIECLE ET LE LIEU.
Ainsi Bouffer sa belle mere apres sa mort est tres bien vu chez les papous......... :) Beurk!

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 28 mai15, 04:33
par Crisdean
septour a écrit :Moralite: Ensemble de regles( generalement) non ecrites regissant la vie(morale) dans une communaute, etat, etc, etc.
Maintenant il n'y a pas de moralite edictee par DIEU( liberte totale). La "moralite" change SUIVANT LE SIECLE ET LE LIEU.
Ainsi Bouffer sa belle mere apres sa mort est tres bien vu chez les papous......... :) Beurk!
D'accord avec la définition,
mais je doute que les croyants ne voient pas la moralité comme n'émanant pas de dieu.

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 28 mai15, 11:43
par septour
Pourtant c'est ainsi, DIEU n'a pas de MORALE! Il est simple de s'en rendre compte, il suffit de voir ce qui se passe dans l'univers et en particulier ici bas. La mere de 6 enfants qui meurt d'un cancer, la hyene qui devore le bebe antilope en train de sortir du ventre de sa mere, Le serpent qui avale les poussins qui viennent d'eclore!!!Etc,etc. :(

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 28 mai15, 11:53
par kaboo
Bonjour à tous.

Pour moi, il y a morale et morale.
- Celle qui vient du coeur. L'amour de son prochain et le respect de toute forme de vie.
- Celle qui vient de la loi. Code pénal pour ceux et celles qui n'ont pas de coeur.

En un sens, c'est ce qu'on retrouve dans le NT (la foi et l'amour) et l'AT (la loi de Moïse).

Cdlt.

Re: La perte de la moralité 德 dans nos sociétés

Posté : 29 mai15, 01:38
par indian
Et le mot ''valeur''?
Nous n'en parlons pas?
Avant les règles??? Les valeurs?
Avant la ''morale'' les valeurs?
Avant les lois? les valeurs??