ladann a écrit :premièrement voici la provenance de l'électricité naturelle : Lorsque les électrons cheminent en colonne, ils forment une ligne électrique.
Les lignes de force qui partent de l’hémisphère nord dans l’espace et arrivent sur
l’hémisphère sud de l’aimant, sont également des lignes électriques dépourvues de
conducteurs. Un courant électrique est par conséquent une ligne de force, pourvue
ou dépourvue de conducteur. Le conducteur, tel son nom, conduit seulement. Mais,
étant faite d’électrons, l’électricité est forcément matérielle ; car si petits soient-ils,
les électrons sont de véritables masses. Ce qui signifie que si ces masses se réunissent
soudainement sur un seul point, elles donneront naissance à une masse plus grande,
à un satellite par exemple. Et si elles continuent d’arriver à flot sur ce satellite, elles
le feront croître d’autant. Cela est véritable et certain.
[Avec les éclairs d’orage, de tout temps les hommes virent la force électrique et
sa puissance. Et lorsqu’ils trouvèrent les moyens de la produire, ils copièrent les
astres sans le savoir. Mais ils ne le savent toujours pas, sinon ils connaîtraient
l’activité des astres, et tout l’univers leur serait révélé. La compréhension de cette
activité tient donc à peu de choses, seulement à comparer le générateur à l’astre,
comme ceci [img]comme ceci :
(5) Voici la concordance du générateur et de l’astre qui sont tous deux des
aimants ayant besoin du côté APPORT et du côté DÉPENSE des électrons pour
s’activer, car sans dépense il n’y a point d’apport possible et point de courant. Ici, sur
la figure de gauche, la dépense est représentée par une résistance. Et, sur la figure de
droite, cette dépense est représentée par un anneau (vu ici en coupe) qui, nous le
verrons, ne manquera pas de donner naissance à un satellite qui sera lui aussi une
véritable résistance électrique. Sur ces résistances, les électrons sont dépensés
partiellement, et ce qu’il en reste retourne au générateur ou à l’astre. Il y a donc
nécessité d’un circuit. Celui-ci est formé par les conducteurs aller et retour sur le
générateur, et par les lignes de force aller et retour sur l’astre, qui sont pareillement
des lignes électriques mais dépourvues de conducteur.
(6) Ne voyez que ce qui est montré, et pensez que l’astre est entouré d’une
quantité considérable de lignes de force et non d’une seule comme sur la figure de
droite. Si l’on augmentait pareillement le nombre de circuits et de résistances autour
d’un générateur, celui-ci fonctionnerait davantage, car plus les résistances sont
nombreuses plus le générateur (qui est aussi l’astre) produit de l’électricité. Cela,
parce que l’aimant du générateur restaure constamment les lignes électriques en
produisant la quantité consommée. Cela nous montre que, dans un cas comme dans
l’autre, c’est la dépense qui commande l’apport.
Les conducteurs électriques
(7) Tout cela nous mettra sur la voie. Pour l’instant, pensons qu’un fil électrique
resterait un conducteur si on en faisait une sphère. Les astres sont aussi des sphères
conductibles reliées les unes aux autres par les lignes de force et les anneaux. Mais,
(5) Voici la concordance du générateur et de l’astre qui sont tous deux des
aimants ayant besoin du côté APPORT et du côté DÉPENSE des électrons pour
s’activer, car sans dépense il n’y a point d’apport possible et point de courant. Ici, sur
la figure de gauche, la dépense est représentée par une résistance. Et, sur la figure de
droite, cette dépense est représentée par un anneau (vu ici en coupe) qui, nous le
verrons, ne manquera pas de donner naissance à un satellite qui sera lui aussi une
véritable résistance électrique. Sur ces résistances, les électrons sont dépensés
partiellement, et ce qu’il en reste retourne au générateur ou à l’astre. Il y a donc
nécessité d’un circuit. Celui-ci est formé par les conducteurs aller et retour sur le
générateur, et par les lignes de force aller et retour sur l’astre, qui sont pareillement
des lignes électriques mais dépourvues de conducteur.
(6) Ne voyez que ce qui est montré, et pensez que l’astre est entouré d’une
quantité considérable de lignes de force et non d’une seule comme sur la figure de
droite. Si l’on augmentait pareillement le nombre de circuits et de résistances autour
d’un générateur, celui-ci fonctionnerait davantage, car plus les résistances sont
nombreuses plus le générateur (qui est aussi l’astre) produit de l’électricité. Cela,
parce que l’aimant du générateur restaure constamment les lignes électriques en
produisant la quantité consommée. Cela nous montre que, dans un cas comme dans
l’autre, c’est la dépense qui commande l’apport.
Les conducteurs électriques
(7) Tout cela nous mettra sur la voie. Pour l’instant, pensons qu’un fil électrique
resterait un conducteur si on en faisait une sphère. Les astres sont aussi des sphères
conductibles reliées les unes aux autres par les lignes de force et les anneaux. Mais,
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La force universelle
+ générateur résistance +
conducteur ligne de force
(apport)
astre
(dépense) (apport)
anneau
– – (dépense)
8 – Le générateur et l’astre
pour expliquer l’activité des astres, il convient de voir au préalable que les électrons
ne cheminent pas à l’intérieur de la masse des conducteurs comme cela se dit, mais
autour d’eux. Lorsque l’électricité est trop grande et forcée de passer partiellement
dans le métal conducteur, ce métal s’échauffe par résistance et va jusqu’à fondre. Et
c’est ce phénomène de résistance qui fait fondre la surface du noyau de l’astre autour
duquel s’opère la soudure des électrons, faisant croître son volume.
(8) Nous verrons que, quel que soit l’astre (satellite, planète ou étoile), son noyau
est en ferronickel, qui est le pur produit de l’électricité, c’est-à-dire de toute l’activité
électromagnétique. De ce fait, ce métal est le meilleur des aimants. Mais nous
comprenons que si l’électricité passait dans la masse des conducteurs et non autour,
tout le volume du noyau d’un astre serait chaud d’une façon uniforme. Il serait
chaud mais resterait solide, car il n’existe rien qui puisse maintenir en fusion
constante une telle masse.
(9) De plus, si le noyau d’un astre était entièrement en fusion, il ne pourrait être
aimanté. Par conséquent, il n’aurait point de magnétosphère, de lignes de force,
d’anneaux et de satellites. Tel n’est pas le cas, parce que le noyau est froid et rigide
depuis le centre jusqu’à la surface qui, elle seule, est chaude et en fusion sur peu de
profondeur. Ce qui n’est nullement un obstacle à son aimantation, qui est son
activité électromagnétique.
(10) Il est donc primordial de démontrer que l’électricité ne passe nullement
dans toute la masse des conducteurs. Comment pouvons-nous y parvenir ? Tout
d’abord, comprenons ce qu’est un conducteur métallique. Les métaux sont faits de
cristaux. Et les cristaux sont les conséquences du refroidissement de la matière, qui
les découpe en se contractant. Dans le métal en fusion, il n’y a pas de cristaux,
ceux-ci ne pouvant se former que lors de son refroidissement.
(11) Mais dans le métal rigide, fait de cristaux, il y a des interstices dans lesquels
le courant électrique peut passer en partie. Ce courant est fait par des électrons qui
sont des masses. Et les cristaux sont faits également de particules (de petites masses)
soudées les unes aux autres par l’énorme pression exercée par le retrait d’un corps
qui se refroidit. C’est pourquoi les électrons ne peuvent pas passer à l’intérieur des
cristaux eux-mêmes, ils passent sur eux. Et plus ces cristaux sont serrés les uns
contre les autres selon la densité du métal, moins le courant passe dans ce métal.
Pensez que si un courant de mille passe sur un conducteur, dix ou vingt de ce nombre
peuvent passer entre les cristaux du conducteur, c’est-à-dire dans une moindre
proportion.
(12) Ici, je vous demande d’être très vigilants sur les proportions. Soyez-le, parce
que lorsqu’on parle d’un conducteur électrique de près de treize mille kilomètres de
diamètre comme l’est le noyau de la Terre, il ne s’agit pas d’un conducteur de treize
dixièmes de millimètre pouvant fondre entièrement. Pour suivre, ayez cela à l’esprit.
(13) Par ailleurs, et en raison de la croissance de la particule, l’électricité est
forcément proportionnelle à la taille des corpuscules qui la forment. En ce sens,
lorsque les scientifiques disent que l’électricité est formée par les électrons et que ces
électrons sont eux-mêmes chargés d’électricité négative, avec quoi pensent-ils que
cette dernière est faite ? Entendraient-ils qu’un électron chargé d’électricité serait
comme une lune chargée de lunes ?
Non, l’électricité existe à tous les degrés de densification de l’essence, et cela
jusqu’à ce qu’elle atteigne la taille du positon. En raison de quoi, il n’y a pas une
grosseur d’électricité, mais autant de tailles électriques qu’il y a de changements de
taille de la particule négative : de l’électron. Mais restons-en là à ce sujet, et
continuons à démontrer que le courant électrique n’a pas la possibilité de passer
dans toute la masse des conducteurs. Cela étant indispensable à la compréhension
de la formation des astres.
Beau travail,
Oui on connaît cela.
Mais comment à été structuré pour devenir l'électron.
partant des champs magnétiques qui se frottent dans la dynamo (aucun métal ne se touche)
sa fabrication dans l'âme de l'électron, ce qui fait n'aître l'électron
les champs magnétiques qui l'on fait naître
Les n
eZ des mots l'explique, c'est une charge.
de o neutre, 4 particules le q, le p, le d, et le b, chacun possède une ligne magnétique gauche, droite, haut et bas (je n'enseigne pas cela c'est trop difficile, on commence par le partage des mots pour comprendre le futur, une fois compris, c'est de la sourate 114 que tout commence)
la manière dont naît l'électricité est très perceptible dans le coran en français
72.7. Et ils avaient pensé comme vous avez pensé qu'Allah ne ressusciterait jamais personne.
72.8. Nous avions frôlé le ciel et Nous l'avions trouvé plein d'une forte garde et de bolides.
72.9. Nous y prenions place pour écouter. Mais quiconque prête l'oreille maintenant, trouve contre lui un bolide aux aguets.
72.10. Nous ne savons pas si on veut du mal aux habitants de la terre ou si leur Seigneur veut les mettre sur le droit chemin.
Ce passage c'est entre les champs magnétique de la dynamo, le Nous c'est l'autre partie du ciel magnétique, ils se frottent, le fait de parlé produit d'autres bolides
le bolide c'est la particule du champ magnétique, (personne ne l'a isolé) c'est beaucoup plus petit que l'électron
ce monde mime l'échange et ce qu'il en dit, avec les lettres sont d'infime composent de l'électricité qui se cumulent avec EZ pour terminaison
Dedans l'électricité, il y a la mémoire du Feu, et ce qui le fait courir, sans parler qu'il possède autour de lui un champ magnétique à l'identique de sa naissance.
Sourate 100
AL-ADIYATE (LES COURSIERS)
Sourate 102
AT-TAKATUR (LA COURSE AUX RICHESSES) sa richesse, c'est "CH" des lignes magnétiques et les "ESSE" les mémoires des ondes
Sourate 110
AN-NASR (LES SECOURS)
Comme Dieu possède une participation, le mot "Dieu" et déjà une structure.
le cumule du mot Dieu ne peut pas se voir dans ce monde.
C'est pour cela que c'est toujours à partir d'un produit, il s'agit de transformations, et non à partir de zéro