Re: Le hasard
Posté : 02 déc.15, 02:20
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
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hermes a écrit : Oui c'est vrai je me suis mal exprimé, mais on en reviens au même type d'explications que dans le long pararagraphe, la nature n'a pas de volonté propre, et de nombreux exemples abondent dans ce sens
hermes a écrit : Oui c'est vrai je me suis mal exprimé, mais on en reviens au même type d'explications que dans le long pararagraphe, la nature n'a pas de volonté propre, et de nombreux exemples abondent dans ce sens
Volonté propre de se préserver, d'agir sans le sens conscient de se préserver. D'autant que je ne comprends pas vos dernières question.indian a écrit :
Volonté propre?
Que voulez vous dire?
Que le monde du vivant n'a aucun effet sur sa progression, sa croissance, sa métamorphose ou ses transformations?
Pourquoi considérez vous des exemple ou des éléments hors-contexte, retirer de leur relations et interrelations pour parler du vivant ou de sa volonté, de ses intentions?
Pourquoi ne considérez vous pas l'être humain comme un exemple ayant de la volonté et des intentions?
Volonté propre de se préserver, d'agir sans le sens conscient de se préserver. D'autant que je ne comprends pas vos dernières question.[/quote]hermes a écrit : Volonté propre?
Que voulez vous dire?
Que le monde du vivant n'a aucun effet sur sa progression, sa croissance, sa métamorphose ou ses transformations?
Pourquoi considérez vous des exemple ou des éléments hors-contexte, retirer de leur relations et interrelations pour parler du vivant ou de sa volonté, de ses intentions?
Pourquoi ne considérez vous pas l'être humain comme un exemple ayant de la volonté et des intentions?
Le vivant se préserve en se reproduisant.hermes a écrit :Volonté propre de se préserver, d'agir sans le sens conscient de se préserver.
hermes a écrit :Les exemple montrent que les animaux comme les balaines ou les dauphins peuvent s'échoués suite aux variations du champ magnétique de la terre, la meduse se laisse mangée par ses enfants, l'homme a aussi la capacité de se suicidé pour raison de déséquilibre homonal, de peine de coeur, de traumatisme cranien, de facteur génétique, de se faire embrigadé comme kamikase.
La definition du vivant, c'est naitre, grandir, se reproduire, se nourrir et mourrir. Et je suis tout à fait d'accord avec ce que vous ditesSaint Glinglin a écrit :C'est l'espèce qui se préserve en se reproduisant. Ce ne sont pas des volontés individuelles.
Avouons que les animaux font de même... et que les plantes aussi.hermes a écrit :De dire que la volonté de se préserver est plus une idée humaine, les exemples suscités démontre qu'il n'y pas de volonté
Le hasard des mutations fait justement la diversité du vivant, par exemple la pression des dinosaures sur le règne animal maintenait les mammifères dans peut de diversité d'espèces, la fin du regne des dinos, à laisser des niches vides, permettant la diversification des espèces de mammiferes au travers des mutations car il n'y avait plus de prédateurs de mammifères. On pourrait aussi parler de l'australie, dont l'introduction de mammifères conduit à l'extinction des espèces marsupiales et autres sur ce continent. Des espèces parfois sur le déclins peuvent parfois retrouver de la vigueur, ou une mutation particulière permet la survie de la descendance. Enfin bref, j'arrete là car j'ai l'impression de faire un monologue et qu'il n'y a donc pas beaucoup d'échange.indian a écrit :
Avouons que les animaux font de même... et que les plantes aussi.
Vous avez déjà vu une plante se déplacer pour aller puiser de l'eau ? ou avoir plus de lumière?
Se faire attirante pour la pollinisation et la reproduction?
Pour se préserver?
à moins qu'elles se comportent comme ca par hasard
hermes a écrit : Le hasard des mutations fait justement la diversité du vivant, par exemple la pression des dinosaures sur le règne animal maintenait les mammifères dans peut de diversité d'espèces, la fin du regne des dinos, à laisser des niches vides, permettant la diversification des espèces de mammiferes au travers des mutations car il n'y avait plus de prédateurs de mammifères. On pourrait aussi parler de l'australie, dont l'introduction de mammifères conduit à l'extinction des espèces marsupiales et autres sur ce continent. Des espèces parfois sur le déclins peuvent parfois retrouver de la vigueur, ou une mutation particulière permet la survie de la descendance. Enfin bref, j'arrete là car j'ai l'impression de faire un monologue et qu'il n'y a donc pas beaucoup d'échange.