Bon Francis là on va entrer au coeur du probléme lis mon frére lis:
y a déjà pas mal de détails troublants à ce sujet: Dans l'Evangile Jésus parle d'un Paraclet:
"Quand viendra le Paraclet, que je vous enverrai d'auprès du Père, 1'Esprit de vérité, qui provient du Père, il me rendra témoignage" (La Bible, L'évangile selon saint Jean, XV, 26)
"Pourtant je vous dis la vérité : il vaut mieux pour vous que je parte ; car si je ne pars pas, le Paraclet ne viendra pas à vous ; mais si je pars, je vous l'enverrai" (La Bible, L'évangile selon saint Jean, XVI, 7.)
Autre énigme:
L'évangile de Barnabé qui est l'un des premiers à annoncer l'Evangile. Il était originaire de Chypre, Converti très tôt, Il a accompagné Jésus-Christ depuis le début de sa mission, avant qu'il choisit ses douzes apôtres. Son nom était Joseph, mais les Apôtres lui donneront celui de Barnabé qui signifie "fils d'encouragement". (Actes 4:36).
Lorsque Jésus annonca à ses disciples qu'il se trouvait parmi eux celui qui devait le trahir, "Barnabé interrogea secrètement Jésus en pleurant :«Maître, Satan ne me trompera-t-il? Serai-je donc réprouvé? » Jésus répondit :«Ne t'attriste pas, barnabé, car ceux que Dieu a choisis avant la création du monde, ne périront pas! Réjouis-toi parce que ton nom est inscrit au livre de la vie.»" (Barnabé 19)
Il fut l'un des premiers à vendre ses biens et à faire profiter l'Eglise naissante du montant de cette vente (Actes 4:37).
Il se trouvait parmi les Apôtres dans le Cénacle lors de l'épisode de la Pentecôte.
"Il était un homme de bien, plein d'Esprit Saint et de foi." (Actes 11:24).
C'est lui qui présentera Paul, après sa conversion , à Pierre et Jacques. Il travaillera un an avec Paul à Antioche où, dit-on, ses discours attiraient le peuple qui le considérait comme investi du Saint-Esprit. C'est à cette époque que les adeptes du Christ commencent à porter le nom de "chrétiens". Paul et Barnabé sont alors désignés pour devenir les apôtres des Gentils.
La dernière chose que l'on sait de la vie de Barnabé, c'est qu'après s'être séparé de Paul, il est parti en Chypre. Les textes choisis comme canoniques dans le Nouveau testament raconte la cause de leur séparation que Barnabé "voulait emmener aussi Jean, surnommé Marc; alors que Paul jugea plus convenable de ne pas prendre avec eux celui qui les avait quittés depuis la Pamphylie, et qui ne les avait point accompagnés dans leur oeuvre. Et Barnabé prenant Marc avec lui, s'embarqua pour l'île de Chypre". (Actes 15:36-39) .
Après cette séparation on entend plus parler de barnabé! juste de Paul.
Mais d'après l'Évangile de barnabé la raison semble être bien différente, il s'agit d'une divergence dans la foi entre les deux, Paul a commencé à prêcher une autre doctrine que celle que prêchait barnabé, comme le dit celui-ci dans le premier chapitre de son évangile
".... prêchent une doctrine fort impie: ils appelent Jésus fils de Dieu, rejettent la circoncision, alliance de Dieu à jamais, et autorisent toute sorte d'aliments impurs. Parmis eux, Paul lui-meme est dans l'erreur". Aussi dans le dernier chapitre: "
d'autres, et parmi eux se trouve Paul, trompé lui aussi, prêchaient et prêchent encore maintenant que Jésus est le fils de Dieu. Quant à nous, nous prêchent à ceux qui craignent Dieu tout ce qu'il a écrit pour qu'ils soient sauvés au dernier jour du jugement de Dieu. Amen!"
L'annonce d'un prophète "Le loué"(Mohamed) après Jésus "serait" également énoncé dans l'évangile de Barnabé
Une copie de cet Évangile écrite de l'écriture personnelle de St.Barnabé était aussi trouvé sur sa poitrine quand sa tombe a été ouverte en l'an 382 (Apr. J-C.). Le dit Evangile était intact, comme s'il venait d'être juste placé à l'intérieur de la tombe. Egalement le corps de Barnabé. Les deux relèvent du miracle sans aucun doute, autrement ni l'Evangile ni le corps de St. Barnabé ne seraient restés intact pendant 300 années. Il est de coutume chez les gens de cette région du monde d'enterrer un trésor encore plus important dans une tombe. Le fait même que cet Évangile en hébreu ait été trouvé intact après plus de 300 années sur la poitrine de St. Barnabas, prouve clairement combien il chérissait l'Evangile en hébreu, langue maternelle de Jésus. Car, il contenait non seulement les enseignements originaux de Jésus, mais il contenait aussi les enseignements réels de Jésus. Autrement, pourquoi devrait-il être placé sur sa poitrine dans sa tombe ? Cet Évangile en hébreu a été depuis découvert dans la Bibliothèque privée du Pape au Vatican, à Rome…
Lorsque J.F. Cramer montra à J. Toland, en I709, la traduction italienne de l'Évangile de "Barnabas", après qu'il en ait réalisé une traduction en espagnol, une grande controverse s'éleva à travers l'Europe, tout au long du XVIIIème siècle. On fit beaucoup de recherches. Quelques-uns uns des chercheurs les plus célèbres furent :
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Dr Holme, Recteur de Hedley,
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Dr Thomas Monkhouse, élève du Collège de la Reine, d'Oxford, qui fit une traduction anglaise à partir de l'espagnol.
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Dr White Bampton, lecteur en 1784, etc.
Les opinions suivantes ont été exprimées en faveur des écrits de Barnabé, ainsi que l'un des 120 premiers convertis, par les anciens Pères de l'Église, les chercheurs chrétiens, et égalité les autorités ecclésiastiques.
Celui-ci a été cité par Clemens Alexandrinus, Origène, Epusebius, Jérôme et de nombreux anciens Pères.
Cotelenius affirme qu'Origène et Jérôme l'ont estimé comme authentique et canonique, de même le Docteur Bernard, professeur Savilien à Oxford, pensa qu'il fut également considéré, dans les Églises d'Alexandrie, comme les autres écritures canoniques. Dodwell supposa qu'il fut publié avant l'épître de Judée, et les écrits de Jean. Vassius, Dupuis, Dr Cane, Dr Mill, Dr S. Clark, Whiston et l'archevêque Wake, le considèrent également comme authentique (page 143 du Nouveau Testament apocryphe de William Hone, Londres 1820).
Le chercheur chrétien arabe,
Dr Khalil Sahadat, Daï du Caire, après une recherche réalisée sur le manuscrit italien, nous informe des points suivants :
1) - Barnabé était un Juif de Chypre et l'un des compagnons de Jésus (sur lui la Paix !), ainsi que son disciple.
2) - L'évangile de Barnabé comprend les enseignements, les avis, les conseils de Jésus, transcrit en hébreu araméen, en sa présence, avant qu'il ne fut élevé au ciel.
3) - L'évangile de Barnabé contient également l'histoire complète de Jésus depuis sa naissance jusqu'à son jusqu'à son ascension, comme on la trouve dans les quatre autres évangiles canoniques, à la différence que s'y trouve en plus maints passages faisant défaut dans ceux-là, prouvant que l'on y a délibérément retiré quelque chose...
4) - L'évangile de Barnabé fut reconnu comme canonique jusqu'en 325, et était régulièrement lu dans les églises d'Alexandrie, suivant les premiers Pères de l'Église.
5) - Cet évangile échappa à la destruction en 325, parce qu'il se trouvait quelque part à Alexandrie, et ne put être ainsi amené au concile de Nicée, auquel cas il eût été brûlé.
6) - Athanasius, déclara apocryphe, dans une lettre en 362, un nombre de travaux originaux personnellement dictés par Jésus (la paix soit sur lui), et recueillis par les scribes Juifs, avant son ascension. Cette liste incluait "I'Evangelicum Barnabe" en hébreu, de script araméen.
7) - En 382, le Pape St Damas I, en tant que chef du concile de l'Église, approuva la liste des évangiles apocryphes préparée par Athanatius. Cette liste exigeait que les autres exemplaires soient restitués au Pape.
8) - Les anciens auteurs avaient mentionné l'évangile de Barnabé dans le "décret de Gelassius" et pourtant l'Église prétendit que l'on ne pourrait jamais connaître son contenu, celui-ci ayant été soit perdu, soit détruit !
9) - En 1585, un prêtre italien, nommé Peretti, devint le Pape Sixtus V.
10) - Le moine italien, Fra Marino, étant l'ami intime du Pape Sixtus V, se vit accorder une permission spéciale par celui-ci, pour lire les livres secrets dans sa librairie personnelle.
11) - Fra Marino pouvait lire l'hébreu, en script araméen. Lorsqu'il lut l'évangile original de Jésus (sur lui la Paix !), transcrit par Barnabas, en 1585, dans la librairie du Pape, il fut si impressionné, qu'il prit quelques feuilles de papier, de qualités différentes, puis en constitua un petit livre de notes (de poche) d'environ 6 1/4 sur 3 1/4 pouce, comprenant 255 pages, et après avoir réalisé sa traduction, il les recouvrit avec de minces feuilles rigides, recouvertes de cuir. Il traduisit ainsi l'évangile de Barnabé en quelques jours, en langue italienne, de sa propre main, dans un style courant, et non en lettres d'imprimerie comme c'eût été le cas pour un livre destiné à l'édition.
12) - Fra Marino devint "Soumis" en accord avec les instructions de Jésus contenues dans l'évangile de Barnabé.
13) - Fra Marino mourut sans avoir dévoilé le contenu de sa traduction italienne de l'évangile de Barnabé. Celui-ci resta donc inconnu aux Soumis.
14) - Cette traduction italienne passa de mains en mains pendant une période d'environs 110 ans sans que son auteur soit connu des Soumis, et finit par arriver jusqu'à J.F. Cramer, conseiller du Roi de Prusse, peu après 1700.
Lond-Sale et Laura Ragg nous informent dans leur introduction de l'évangile de Barnabé, publié par les éditions Clarendon (1907), page X et XI :
" Notre manuscrit italien fut acquis à Amsterdam, par J.F. Cramer qui le présenta à John Toland en 1709. Quatre ans plus tard, en 1713, Cramer transmit sa découverte à un célèbre connaisseur, le Prince Eugène de Savoie, et celle-ci aboutit finalement à la bibliothèque du Prince, à Vienne, où elle se trouve encore actuellement ".La version espagnole, introuvable aujourd'hui, dût être l'œuvre de
John Toland, le célèbre chercheur. Cet évangile de Barnabé était une traduction du manuscrit italien et devait dater d'environ 1709. Ainsi le manuscrit espagnol fut-il écrit quelques 110 ans après le manuscrit italien, si l'on fixe la date de l'écriture de celui-ci autour de I585.
Le manuscrit italien se trouvait à la librairie impériale de Vienne au début de ce siècle, lorsque Lond Sale et Laura Ragg le recopièrent pour le traduire en anglais.
George Sale, page 10 de sa note aux lecteurs, dans sa traduction du Coran, fait le remarque suivante sur la version espagnole de l'évangile de Barnabé :
" Il se trouve une préface entête de celui-ci, où l'on fait le récit de celui qui découvrit le manuscrit orignal, et qui était un moine chrétien, appelé Fra Marino, qui nous dit, qu'ayant eu accidentellement connaissance d'un écrit d'Irénaeus ( entre autres) où celui-ci parlait contre St Paul, allégeant pour son autorité, l'évangile de Barnabé, il devint extrêmement avide de découvrir cet évangile et que Dieu, dans Sa miséricorde, l'ayant rendu très intime du Pape Sixtus V, un jour, comme ils étaient ensemble dans la bibliothèque Papale, sa "Sainteté" s'étant endormie, pour s'occuper, il chercha un livre à lire, et mit la main sur cet évangile qu'il désirait tant : plein de joie à cette découverte, il n'eut pas de scrupule à cacher sa découverte dans sa manche, et au réveil du Pape, prit congé de lui, emportant avec lui ce trésor céleste, par la lecture duquel il devint un converti au Mohammadisme".(A l'islam c mieux)
"Cet évangile de Barnabé contient une histoire complète de Jésus depuis sa naissance jusqu'à son ascension, et la plupart des événements contenus dans les quatre évangiles réels s'y retrouvent également.''
George Sale confirme le fait qu'il ne vit jamais le manuscrit original, ni sa traduction en italien, du moine
Pra Marino. Il déclare qu'il ne lui fut donné seulement en 1734 par
le Docteur Holme, Recteur de Hedley dans l'Hampshire, le manuscrit espagnol de cet évangile. Cet évangile était, bien sûr, la traduction de la version italienne provenant de l'évangile original en araméen qui se trouvait dans la librairie privée des Papes. Il fit donc les remarques précédentes au sujet du vol du manuscrit hébreu, apparemment une pure spéculation, comme on le verra plus tard grâce aux remarques de Lond Sale et Laura-Ragg, qui, non seulement virent le manuscrit italien, mais aussi le transcrivirent et le traduisirent. Si l'évangile de Barnabé en hébreu, avait été volé par le moine Fra Marino, comme prétendu ; alors le dit original aurait dû être découvert comme le manuscrit italien le fut !
Mais le fait qu'il ne soit pas tombé aux mains du public, prouve que le manuscrit original en hébreu se trouve encore dans la bibliothèque privée du Pape et que Fra Marino n'a eu en fait que la traduction en italien qu'il fit lui-même.
Conclusion-Question: Comment la Bible peut-elle ignorer la venue d'un homme qui allait s'apprêter à bouleverser l'histoire de l'humanité ?... De plus pourquoi n'a t'on pas accès aux manuscrits de Qumran ? (manuscrits de la mer morte decouvertes en 1948 et rédigés par des moines juifs appelés "Esséniens" au IIIe siecle av- JC) détenus actuellement par l'Etat israëlien et qui a d'ailleurs informé seulement et secrètement le Vatican...
Quand on cache on avance pas.