Il est plus facile à un Musulman d'embrasser les pieds du pape que des riches qui entrent au Paradis.
C'est une comparaison pour dire qu'il est impossible aux riches d'entrer au Paradis..... impossible .........
Parce que JESUS est pour l'égalité des richesses.
Il faut lire ANANIAS et SAPHIRA dans les actes des apôtres.
JESUS est favorable à une politique socialiste.
Mais pas socialiste à la Mitterrand non...
Un vrai socialisme.
C'est à dire un socialisme comme les kibboutz en Israël.
Comme le Kibbutz Nir David
Nir-David est un kibboutz fondé en 1936. C'est un kibboutz laïc composé de 250 familles, dont la moyenne d'âge des membres est de 30 ans.
Nom du kibboutz
À sa fondation il est nommé Tel-Amal, puis remplacé par Nir-David en souvenir de David Wolffsohn, second président du Congrès sioniste.
Création du kibboutz
Le kibboutz Nir-David est fondé par des pionniers du mouvement de jeunesse Hashomer Hatzair, formés préalablement au kibboutz Beït-Alfa, le 10 décembre 1936, deuxième soir de Hanoucca. Il est aussi le premier kibboutz de la vallée de Beït-Shéan à voir le jour dans le programme politique de Tour et Muraille.
Le kibboutz a cessé d'élever les enfants en collectivité dans les années 1980, et a commencé à se privatiser à partir de 2009.
Activités du kibboutz
culture de fleurs
pisciculture
poulailler de dindes
fabrique de matière plastique
usine de matériel de jardinage
chambres d'hôtes
restaurant
zoo (abritant entre autres autruches et koalas)
Ajouté 4 minutes 54 secondes après :
Un autre :
https://www.salutbyebye.com/visite-du-k ... el-israel/
Lors de mon séjour en Israël, j’ai souhaité effectuer la visite d’un kibboutz. Ce sont des communautés au sein desquelles les habitants décident de mettre en commun toutes leurs ressources, de les partager de manière équitable pour limiter les inégalités et garder une certaine autonomie (financière, alimentaire, économique).
Le mot d’ordre ? « Donner tout ce que l’on peut, recevoir tout ce dont on a besoin ».
De l’extérieur, ça peut ressembler à un bel idéal (« tous égaux ! ») autant qu’à une belle source de conflits (« au nom de quoi le médecin gagnerait-il autant que la femme de ménage alors qu’il a fait plus d’études ? »). Alors sans surprise, ma visite du kibboutz Ma’agan Michael en Israël a été une vraie expérience de vie, très enrichissante, que je brûlais de partager avec vous !
Je l’avais réservée sur GetYourGuide, où l’on pouvait auparavant réserver uniquement cette visite seule au départ de Tel Aviv. Aujourd’hui, elle est disponible mais dans le cadre de cette excursion un peu plus longue où l’on vous déposera aussi sur le site archéologique de Césarée (que vous pourrez visiter de manière autonome, sans guide)
Les kibboutz sont une part assez intéressante de l’histoire d’Israël, et tendent de plus en plus à disparaître si bien qu’on a l’impression, en en parlant, de préserver par l’écrit une partie de ce patrimoine.
Ils sont nés d’une manière assez inattendue au début du 20e siècle : à cette époque, beaucoup de Juifs russes avaient émigré en Israël pour fuir les persécutions dont ils étaient victimes sous le règne d’Alexandre III. « Israël » n’existait pas encore en tant qu’État et il n’y avait pas beaucoup d’emploi sur place, alors la meilleure manière de gagner sa vie était l’agriculture.
Problème : le pays n’était pas spécialement paisible, ni accueillant pour ces migrants qui n’y connaissaient souvent pas grand-chose à l’agriculture avant d’arriver sur place. Le terrain était difficile (entre le désert, les montagnes, les marécages), les conditions sanitaires et politiques compliquées (beaucoup d’épidémies, de pillages par des Bédouins).
Difficile d’envisager de lancer en solo sa petite exploitation agricole ! Les « colons » ont donc eu l’idée de se regrouper, à la fois pour assurer la pérennité de leur projet et leur propre sécurité. C’est ainsi que sont nées des communautés agricoles.
L’idée n’était pas seulement de se regrouper « par intérêt »… mais aussi de porter de vraies valeurs socialistes au sein du groupe : donner le meilleur de soi-même pour « le bien collectif », prôner l’égalité, aider les femmes à sortir de leur rôle de « maîtresse de maison » notamment en les déchargeant de la responsabilité d’élever les enfants (ils étaient souvent réunis dans des maisons dédiées et ne vivaient donc pas avec leurs parents).
Certaines communautés (les kvutzot) choisissaient de limiter leur nombre de membres tandis que d’autres (les kibboutzim) n’imposaient pas ce type de limite. Chaque communauté a commencé à acquérir ses propres spécificités : kibboutz séculaire (laïc, sans affiliation religieuse) ou religieux, kibboutz prônant l’égalité entre les genres (à une époque où la plupart des femmes désignaient leur mari en hébreu par un mot signifiant littéralement « mon maître »)…
Parfois, des clivages naissaient au sein des kibboutz, conduisant les communautés à se diviser suite à des divergences d’opinion ou de religion.
Aujourd’hui, il reste un peu plus de 260 kibboutz en Israël, qui fédèrent à peine plus de 1% de la population du pays.
Il est impossible de faire des généralités sur leur fonctionnement car chacun a sa propre histoire et ses propres « lignes directrices »… mais je vais vous emmener au cœur du kibboutz Ma’agan Michael. Un endroit qui vous montre qu’il est possible de vivre autrement, qui vous rappelle qu’il n’y pas un seul et unique schéma de société qui fonctionne… ce qui, au fond, fait beaucoup réfléchir même quand on ne s’imagine pas rejoindre ce type de communauté !
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