tu viens de le dire on n'a pas lu les memes livrespascal a écrit :Bonjour,
Nous n'avons pas dut suivre les memes cours d'Histoire Rachel.
En France, pays ou je suis né, grandi et travail je n'ai jamais entendu parlé de ce que tu racontes !
Pascal
-maurice papon lui meme dans son proces pour collaboration avec les nazis .Medhi el dar el kufr a écrit :
Bonjour rachel,
Pourrais tu mettre le lien ou le titre du livre où tu as péché ses informations ?
Medhi el dar el kufr a écrit : à la radio pendant le proces de papon,son avocat a plaider à la decharge de son client papon disant que papon avait servit la cause juiuve quand il etait prefait à ajaccio en 1948,sans lui disait -il l'entité sioniste n'aurait ja mais gagné la guerre.
il complete ainsi le livre de janusz piekalkiewitz qui lui donne le detail des armes qui transitaient par la corse.
je rappel que c'est le meme papon qui était prefait de paris durant la guerre d'algerie c'est lui qui a donné l'ordre de jeter dans la seine les manifestants algeriens à paris en 1960
Rachel,
J'aimerais savoir où tu as pu avoir connaissance des piéces du dossier papon ?
à la radio pendant le proces de papon,son avocat a plaider à la decharge de son client papon disant que papon avait servit la cause juiuve quand il etait prefait à ajaccio en 1948,sans lui disait -il l'entité sioniste n'aurait ja mais gagné la guerre.Medhi el dar el kufr a écrit : Rachel,
J'aimerais savoir où tu as pu avoir connaissance des piéces du dossier papon ?
ah bon, je regarde le procès papon sur la chaine histoire et pour l'instant j'ai pas vu son avocat parler de cette histoire ni transmettre aucune pièce sur ce sujet au dossier.rachel a écrit : à la radio pendant le proces de papon,son avocat a plaider à la decharge de son client papon disant que papon avait servit la cause juiuve quand il etait prefait à ajaccio en 1948,sans lui disait -il l'entité sioniste n'aurait ja mais gagné la guerre.
il complete ainsi le livre de janusz piekalkiewitz qui lui donne le detail des armes qui transitaient par la corse.
je rappel que c'est le meme papon qui était prefait de paris durant la guerre d'algerie c'est lui qui a donné l'ordre de jeter dans la seine les manifestants algeriens à paris en 1960
je regrette l'avenir =f(passé+présent)Alison Carpentier a écrit :Bonsoir,
*Rachel* tes textes sont très négatifs, peut-être historique mais elle ne change rien à ce qui se passe actuellement et ne peut pas créer l'avenir puisque l'avenir ne ce décide qu'aujourd'hui.
*Pascal* tes textes sont toujours trop long.
1-qui etait le prefet à ajaccio en 1948paul le juste a écrit :je vis aussi en France et ce n'est pas la première fois que je vois des propos négationnistes et révisionistes couverts par ce forum - un membre a même été exclu pour avoir défendu, un peu vivement, la mémoire de la Shoa -
Rachel, tu racontes n'importe quoi ! si Papon avait aidé un tant soit peu les "sionistes" comme tu dis, israël serait intervenu lors de son procès - tant que tu y es, dis qu'Eichmann fournissait des passeports aux juifs au lieu de les envoyer aux chambres a gaz
Comme le dit Pascal: ta haine du juif t'aveugle et je te plains
pendant le procés les radios les journaux en ont parlé.Medhi el dar el kufr a écrit :
ah bon, je regarde le procès papon sur la chaine histoire et pour l'instant j'ai pas vu son avocat parler de cette histoire ni transmettre aucune pièce sur ce sujet au dossier.
Peut être qu'il le fait à la fin.
la haine du non-juif=eino-yahoudi=nokri s'exprime dans les stades de l'entité sioniste contre les joueurs goyim en les traitant de rats.paul le Pharisien a écrit :
Comme le dit Pascal: ta haine du juif t'aveugle et je te plains
tu parles de desertcrane l'islamophobe qui se déclare catholique alors qu'il parle comme david mansour l'ex chaliah du bétar-tagarpaul le juste a écrit : un membre a même été exclu pour avoir défendu, un peu vivement, la mémoire de la Shoa -
paul le juste a écrit : la mémoire de la Shoa -
Comme le dit Pascal : ta haine du juif t'aveugle et je te plains
Dès son introduction à Nadjrâne, le christianisme eut à subir les assauts des maîtres qui régnaient sur le yémen ; ils devaient probablement considérer que la nouvelle religion apportait dans leurs États un ferment de désagrégation, contre lequel leur autorité menacée devait nécessairement réagir. A Sanaa, Dhou-Nowâs , qui faisait figure de restaurateur de la grandeur hymiarite, venait d'embrasser le judaïsme, qu'il tentait d'imposer à ses sujets. Suivant Ibn-al-Kalbi(102), le meurtre de deux juifs, commis par des habitants de Nadjrâne fournit à Dhou-Nowâs le prétexte qu'il attendait pour attaquer la ville, qui finit par se rendre, après un long siège, sur la foi d'un serment que prêta Dhou-Nowâs d'assurer aux habitants la vie sauve et l'intégrité de leurs biens. Mais à peine fut-il en possession de la place, que le roi les dépouilla de leurs richesses et leur donna le choix entre le judaïsme et la mort. Les Nadjranites préférèrent la mort. Dans le bûcher, allumé au fond d'un long fossé ( okhdoud) rempli de matières combustibles, les chrétiens furent précipités. D'autres périrent par le glaive. Le nombre des victimes, selon Ibn-Ishâq(103), se serait élevé à vingt mille personnes, hommes, femmes et enfants. L'épouvante que cet acte de cruauté inspira en Arabie, s'est répercutée plus tard dans le Coran (Sourate 85, 4-8)(104).
Il devait être cause de l'intervention étrangère dans le Yémen et coûter à Dhou-Nowâs la perte de son trône. A l'instigation du basileus, qui lui fournit des navires, une armée de soixante-dix mille Abyssins, commandée par Aryât, auprès duquel se trouvait déjà Abraha, l' Axoumite des chroniques musulmanes, traversa la Mer Rouge vers 525 et conquit le Yémen. A l'issue d'une dernière bataille que livrèrent ses troupes, Dhou-Nowâs, battu et désespéré, poussa son cheval dans la mer et s'y noya. L'empire hymiarite prit fin avec lui. Aryât, pour assurer sa domination sur le Yémen et Nadjrâne, fit raser les murailles des villes et peser sur les habitants un régime de fer, qui finit par leur faire regretter le temps où le Y émen était gouverné par des princes de leur race.
Secouée par les révoltes incessantes de leurs sujets, la domination des Abyssins fut d'ailleurs de courte durée. C'est dans cet intervalle que se place la tentative du chef abyssin, Abraha al- Achram, successeur d ' Aryât, de conquérir le territoire de La Mecque. Une église, construite à Sanaa, devait détourner à son profit le grand mouvement de pèlerinage, qui attirait tous les ans vers la Pierre Noire les Arabes de la Péninsule. Abraha jura de détruire la Kaaba. L'expédition qu'il dirigea, à la tête de l'éléphant qu'il montait, fut arrêtée devant la Ville sainte; son armée fut frappée, selon les auteurs, d'une pluie de pierres que portaient dans leurs becs des oiseaux Ababill(1O5). Le Coran a conservé dans ses versets l' écho de l' indignation qui souleva La Mecque contre la menace abyssine (Sourate 105, 1 et S.)(lO6).
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102. CAUSSIN DE PERCEVAL, op. cit., p. 128 et s. 103. IBN HISHAM, op. cit., t. I, p. 35.
104. Pour les détails, v. CAUSSIN DE PERCEVAL, t. I, p. 129 et s. ; M. MOBERG, The Book of Hymiarites, p. XXIV-LX111, où l'on trouvera l'indication des sources, avec une abondante bibliographie; v. aussi, MAR EPHREM BARSAUM, Kitab ach- Chouhada' al-Himiariyine (Le livre des martyrs hymiarites), tiré à part de la Revue de l'Académie Arabe de Damas, Damas, 1948; et, surtout, JACQUES RYCKMANS, La persécution des chrétiens hymiartes au six.ème siècle, Istambul, 1956. Un récent ouvrage apporte des clartés nouvelles: IRFAN SHAHID, The Martyrs of Nagrân. New documents, Bruxelles, 1971 (critiques et additions de Walter W. Müller, dans Oriens Christianus, t. 58, 1974, p.179 et s.) -Au jugement de De Lacy O'Leary , le motif de cette persécution était que les chrétiens de Nadjrâne se montraient favorables à l'influence de l'Éthiopie, que Dhou- Nowas combattait âprement et qu'Aréthas (al-Hareth), le sayyed (gouverneur) de la ville était un agent du Négus (Arabia before Muhammad, p.145), ce que paraît controuver l'attitude prise par les Koreichites contemporains, dont l'horreur a été exprimée par le Coran, malgré la connaissance qu'ils avaient que l'intervention des Éthiopiens avait été provoquée par les atrocités dont le monarque juif s'était rendu coupable, ainsi que le dit nettement Ibn Ishâq (IBN HISHAM, La Sira..., t. I, p. 36); un récit très développé est fourni par IBN KATHIR, a/-Bidayat wa/-nihayat (Le commencement et la fin), Le Caire, 1932, t. II, p.129 et s.
105. L 'histoire d'Abraha et de la guerre de l'Éléphant ( Harb alFil) a été relatée en détail par Ibn Ishâq (Ibn Hishâm, I, p.43 et s.).
106. TAHAHUSSEIN en a fait, dans son ' Ala Hamescha al Sira(En marge de la Sira), dans le style qui lui est personnel, le récit émouvant; il y fait coïncider l' événement avec la naissance du Prophète.
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